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Comparatif grinçant des eaux pétillantes-gazeuses

Bouteilles d'eau pétillante de différentes marquesL’auteur de Grinçant est un grand buveur d’eau.
De préférence pétillante, et donc gazeuse.
Il est conseillé de boire deux à trois litres d’eau par jour, voire plus, et c’est même souvent marqué sur les bouteilles. En cas d’effort, notamment, une bouteille est vite engloutie. Et ne parlons même pas de problèmes de santé qui assoiffent.
Mais, toutes ces bouteilles, soigneusement packagées et colorées n’inspirent pas forcément confiance, alors que dire du contenu normalement salvateur pour la santé ?

Un peu fou, je me suis donc livré à un petit exercice : acheter une bouteille de chaque eau « gazeuse » disponible dans le coin.
Je me retrouve donc maintenant à la tête d’un cheptel de 29 bouteilles, pour un total de 34,65 litres, et un budget global de 12,78 €.
Alors, autant rendre mon expérience utile et la partager…

Les 29 bouteilles objet du comparatif/test

 

Un article qui ne se veut pas scientifique, loin de là, surtout que nous touchons presque au médical, et que chaque cas est particulier, le tout dans un contexte de multinationales de l’agroalimentaire et de distributeurs surpuissants.
Le but est de jouer le consommateur tout con, mais un peu… Grinçant ;-)

À la recherche du PET perdu

Mais au fait, elles sont faites en quoi toutes ces jolies bouteilles en plastique ?
Eh bien en « Polyéthylène Terphthalate », dit PETE ou PET, normalement identifié par ce logo, avec le chiffre 1 :

Logo plastique 1 PET-PETE

Le plus rigolo, c’est que certaines des bouteilles ne comportent pas ce logo, ni moulé dans le PET, ni sur l’étiquette, ou alors il est bien caché…
Quant aux bouchons en plastique, ils sont en « Polyéthylène de haute densité », ou HPDE, avec le chiffre 2 :

Logo plastique 2 HDPE

Regardez bien à l’intérieur d’un bouchon, vous devriez arriver à le distinguer si vous avez de bons yeux.
Bien sûr, il y a de la couleur dans tout ça, ne cherchons même pas à savoir avec quelles substances elles sont obtenues…

L’eau dans le gaz ou le gaz dans l’eau

À vrai dire, on ne sait même pas dans quel sens ça va.
L’eau est le plus souvent annoncée comme « eau naturelle/minérale gazeuse », mais elle est régulièrement « renforcée au gaz de la source », « regazéifiée avec son propre gaz », ou avec « adjonction de gaz carbonique ».
Bref, il y a des manipulations, pas forcément explosives, mais pas loin.
Notez que le gaz est devenu un vrai business dans le secteur de l’eau pétillante, puisque les mêmes eaux peuvent être déclinées dans des bouteilles différentes, en général Vert vs Rouge, pour des bulles plus ou moins fines.
La composition est strictement identique, mais le prix généralement pas. Quant aux bulles et au goût, à chacun de juger, un peu comme pour le Champagne…

Des sources à toutes les sauces

Ah, quel beau business, qui plus est « agréé » ou « encadré » !…
« Reconnue eau minérale par décret impérial depuis 1861 » pour VICHY Célestins.
Ou avec une « autorisation » préfectorale ou ministérielle, pas toujours toute récente d’ailleurs.
Souvent, il y a des mentions, un peu comme pour les châteaux « Ribeauvillé depuis 1888 », « San Pellegrino Terme 1899 », « 1778 » (Badoit source Saint-Galmier), etc.
Mais comme pour les sauces, il y a aussi du réchauffé, ou du réutilisé.
Ainsi, OGEU existe en marque propre, mais si vous allez du côté de Système U, il faudra lire en transparence, en gros caractères dont seul le contour est visible, « SOURCE GAZEUSE N° 1 à OGEU »… Ne cherchez pas, l’eau est strictement la même, mais les prix évidemment pas. Et après, il y a une déclinaison U « fines Bulles »
Idem pour Alizée, en fait Chambon, vous la trouverez en marque de distributeur (MDD) Leclerc, mais aussi Cora.
Certaines sources avancent presque masquées… Ondine appartient par exemple à Intermarché.
Vous trouverez aussi Castel-Rocher (Auvergne, 63) chez Lidl, sous la marque « Sélectionnée par Saguaro », mais aussi chez Carrefour, avec la seule mention « Eau minérale naturelle naturellement gazeuse ». Mais Lidl met en avant un macaron « Reconnu SAVEUR de l’Année 2016 »

Les arguments SANTÉ

Alors là, ils mettent le paquet !
Et ne parlons même pas des publicités à la TV. D’ailleurs, la pub Rozana me donne un ulcère rien qu’à la voir ou l’entendre…
Il y a toujours des arguments pour vous sauver la vie, vous soigner, ou vous permettre de vivre mieux, en toute légèreté du fait des bulles.
Le problème, c’est que le plus souvent les arguments mis en avant sont dangereux ou destinés à cacher la misère, voire de vrais dangers.
Mais bien sûr, le consommateur est censé savoir ce qu’il fait. Sauf qu’il faudrait l’informer correctement pour cela.

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L’étiquetage, ou le royaume de l’embrouille « carrée »

Oh certes, il y a des mentions, des tableaux, ou des caractères à la queue leu leu…
Mais qui comprend vraiment ?
Tout est ramené au litre, pour des bouteilles de 100 cl (là, ça va), mais aussi pour des contenants à 115, 125 ou 150 centilitres.
Après, il faut faire des mathématiques, et surtout connaître ce que cela induit, et là, c’est loin d’être gagné.
Parfois, des chiffres essentiels ne sont tout simplement pas mentionnés, ou remplacés par une mention « légale » pour se défausser, notamment pour le fluor…
Bref, ça fait « sérieux », mais ça ne l’est pas.
Et bien entendu, tout cela se fait avec la complicité des « pouvoirs publics ».
Rassurez-vous, je vais vous livrer un tableau de synthèse ;-)
Mais voici donc les étiquettes de « composition » des 29 bouteilles de l’échantillon :

Maintenant, pour vous aider, je vous ai élaboré un tableau.

Oh, bien sûr, il n’est pas exhaustif ! D’abord parce qu’il n’y a pas toutes les eaux disponibles, mais seulement celles trouvées (relativement) facilement sur mon secteur. Mais aussi parce qu’il repose sur les indications de composition fournies sur les étiquettes, et non sur une analyse de chaque bouteille. Bien évidemment, je reste dans mon rôle de blogueur qui boit de l’eau ;-)

Tableau comparatif de 29 eaux minérales/de source gazeuses-pétillantes
Ça bouge pas mal, fiez-vous à la “source”, et pensez aux addendas ;-)

Addenda du 11/11/2020-14h00, suite au commentaire de Arms (10h27) : Version PDF

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Revue de colonnes (d’eau)

Je vais faire un commentaire par colonne, sachant qu’il faut connaître la teneur de chacune d’elles.
Là, je vous laisse un peu à vous-même, ou bien entre les mains de votre diététicien, médecin, voire de votre croque-mort préféré. Wikipédia peut aussi vous être utile, mais pas que.
Vous allez trouver les intitulés Bicarbonates, Chlorures, Sulfates, Nitrates, Fluorures, Sodium, Potassium, Calcium, Magnésium, Silice, Résidu à sec, Acidité…
Juste en dessous, vous avez les symboles chimiques…
Pourquoi ? Pour faire sérieux ? Oui, mais pas seulement !
Sachez que Perrier, pour sa bouteille verte, n’utilise que ça :

Composition "Minéralisation caractéristique" sur une bouteille de PerrierAuthentique !
Concluons que seuls des chimistes peuvent acheter cette bouteille, ou alors que les clients ont une confiance aveugle en cette marque (propriété de Nestlé).

Bicarbonates, aussi appelés Hydrogénocarbonates

C’est censé être bon pour la digestion, mais aussi désodoriser, ou nettoyer/blanchir. Bref, on le conseille pour plein de choses !
Sauf que cela peut provoquer des problèmes d’hypertension, et qu’il est conseillé de ne pas dépasser 20 grammes par jour.
À elles seules, ces eaux contiennent :

  • 4,368 g/L pour Vichy St-Yorre

  • 2,989 g/L pour Vichy Célestins

  • 1,956 g/L pour Castel-Rocher (Saguaro 877 de Lidl + Carrefour)

  • 1,837 g/L pour Rozana

Votre dose quotidienne maximale peut donc être très vite dépassée, car cela s’ajoute aux autres apports…
Dans le tableau, le rapport est de 1 à 36 entre la plus faible teneur et la plus haute, c’est énorme !

Chlorures

Qui veut boire du chlore ? En gros, de l’eau de javel…
On vous conseille de l’éliminer de l’eau du robinet, avec des filtres plus ou moins efficaces.
Pourtant, l’eau du robinet à une teneur normalement limitée à 0,1 mg/L, et l’OMS fixe une limite sanitaire de 5 mg/L.
À partir de 200 mg/L, on commence à en ressentir le goût…
Et pourtant, vous en avez :

  • 649 mg/L pour Rozana

  • 322 mg/L pour Vichy St-Yorre

  • 260 mg/L pour St-Diéry (Leclerc)

  • 235 mg/L pour Vichy Célestins

  • 230 mg/L pour Sainte-Marguerite

  • 229 mg/L pour Castel-Rocher (Saguaro 877 de Lidl + Carrefour)

Curieusement, Quézac n’en parle pas, la rubrique ne figurant tout simplement pas sur leur composition.
Ici, le rapport est de 1 à 185 !

Sulfates

En gros, des engrais. Qui souhaite en consommer, de ces saloperies ?
Déjà qu’il y en a dans quasiment tout ce que l’on nous conseille de manger « Au moins cinq fruits et légumes par jour »… Alors, autant en ajouter, n’est-ce pas ?
Il en faut, certes, mais ça fait fuir le calcium, et c’est laxatif.
Alors, si vous voulez vous purger et avoir une bonne diarrhée, allez pour 1 000 mg/L ! Ou buvez la quantité pour les atteindre…
Quant au goût, on commence à le sentir à partir de 500 mg/L.
Et ne cherchez pas trop si vous avez la courante après avoir beaucoup ingurgité ces eaux :

  • 430 mg/L pour San Pellegrino

  • 230 mg/L pour Rozana

  • 223 mg/L pour Castel-Rocher (Saguaro 877 de Lidl + Carrefour)

  • 174 mg/L pour Vichy St-Yorre

  • Environ 140 mg/L pour Vichy Célestins, Vernière et Carola

Là encore, silence sur la bouteille chez Quézac, alors qu’une recherche sur Internet nous signale qu’elle en serait chargée à hauteur de… 143 mg/L !
Dans l’échantillon, le rapport est de 1 à 82 !

Nitrates

Encore des « engrais »… Qui en veut, en plus des sulfates ?
Normalement, il ne devrait tout simplement pas y en avoir compte tenu de tout ce que l’on absorbe par ailleurs.
Alors les marques jonglent avec le « Inférieur à » (<), ou n’en parlent tout simplement pas.
Autour de 8 mg/L, les records sont détenus par Perrier et par Puits St-Georges (Casino).

Fluorures

Ah, le fluor !
Une belle saloperie, surtout qu’il est le plus souvent utilisé à notre insu, et pas que dans le dentifrice…
Beaucoup d’étiquettes font l’impasse sur le sujet.
Pourtant, sur ma boite de Sel Fin « iodé et fluoré » de marque « La Baleine », il y a cette mention : « Ne pas consommer si l’eau de boisson contient plus de 0,5 mg/L de fluor. »

Avertissement "FLUOR" sur une boite de sel fin La Baleine

Sachant que ces eaux sont à :

  • 3,6 mg/L pour Castel-Rocher (Saguaro 877 de Lidl + Carrefour)
    (En fait, Lidl cache carrément et scandaleusement l’information en se contentant de mentionner « Contient plus de 1,5 mg/l de fluor : Ne convient pas aux enfants de moins de 7 ans pour une consommation régulière. », mais comme son eau est la même que celle de Carrefour qui délivre l’information de son côté…)

  • 2,2 mg/L pour Quézac

  • 1,8 mg/L pour Source St-Pierre (Cora)

  • 1,2 mg/L pour Badoit

  • 1,0 mg/L pour Vichy St-Yorre

On fait comment, si l’on suit le conseil de ma boîte de sel dit « de mer » ?

Sodium

Ah, voilà, pour caricaturer, le bon vieux « sel »…
Vous savez, celui que l’on vous conseille de réduire, voire supprimer dans plein de régimes.
Hypertension, maladies cardiovasculaires, cancer de l’estomac, ostéoporose, etc.
On nous en met partout, on nous le cache, alors autant ne pas s’en gaver dans quelque chose de normalement bon pour la santé, l’eau…
Oui, mais voilà, c’est dramatique !
Ma boîte de sel, encore, m’indique que pour 1 gramme de sel (environ 1 pincée), il y a 0,393 g de sodium… Ailleurs, on retrouve le taux de 40 %…
Et comme je suis à la fois « Grinçant », et parfois très « con », nous allons ramener les doses de Sodium annoncées en équivalent « sel » fin ordinaire…

  • 1,708 g/L pour Vichy St-Yorre → 4,27 g de sel de cuisine

  • 1,172 g/L pour Vichy Célestins → 2,93 g de sel de cuisine

  • 0,756 g/L pour Castel-Rocher (Saguaro 877 de Lidl + Carrefour) → 1,89 g de sel de cuisine

  • 0,493 g/L pour Rozana → 1,23 g de sel de cuisine

  • 0,460 g/L pour Puits St-Georges (Casino) → 1,15 g de sel de cuisine

Voulez-vous une idée claire de ce que cela représente ?
C’est simple, remplissez un bouchon « HPDE » de bouteille d’eau à ras bord de sel, et vous obtenez (balance correctement tarée) :

Bouchon de bouteille d'eau rempli de sel de cuisine, sur une balance affichant 8 grammes

8 grammes de sel, soit 3,2 grammes de « sodium » : c’est ce que vous ingurgitez avec seulement 2 litres de Vichy St-Yorre ou 6,5 litres de Rozana !
Dans ce domaine, entre l’eau la plus « titrée », et celle qui annonce le taux de sodium le plus faible, le rapport est de… 1 à 380 !

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Potassium

Du potassium, il en faut.
L’alimentation en apporterait entre 2 et 6 grammes par jour. 2 grammes étant considérés comme un minimum nécessaire.
Là, il y a peu à dire, car les eaux du panel restent raisonnables question potassium. Il convient donc d’ajouter ces apports, souvent marginaux, au reste de votre alimentation quotidienne.
Sur ce point, les eaux les plus chargées sont :

  • 110 mg/L pour Vichy St-Yorre

  • 66 mg/L pour Vichy Célestins

  • 65 mg/L pour St-Diéry (Leclerc)

  • 52 mg/L pour Rozana

  • 44 mg/L pour Castel-Rocher (Saguaro 877 de Lidl + Carrefour)

Pour atteindre l’apport journalier minimal recommandé, il faudrait donc boire entre 18 et 45 litres de ces seules eaux par jour, et ne parlons même pas des autres…

Calcium

J’ai un tube à côté de moi qui m’indique qu’un comprimé apporte 500 mg, soit 63 % de la « Valeur Nutritionnelle de Référence » (VNR), ce qui nous amène à 800 mg/jour. D’autres sources indiquent 1 000 mg/jour.
C’est bon pour les os, notamment. Et il semblerait qu’en absorber de manière exagérée ne serait pas nocif, mais tout le monde n’est pas d’accord sur ce point. En cas d’excès, on parle d’hypercalcémie.
L’eau qui en apporte le plus et Rozana, avec 301 mg/L. En boire 3 litres suffirait donc à apporter la dose quotidienne.
Oui, mais voilà, cette eau est très chargée en sulfates (voir plus haut, 230 mg/L), réputés pour faire fuir le… Calcium !!!

Magnésium

Là encore, j’ai un autre tube à côté de moi, et il est mentionné qu’un comprimé apporte 200 mg, soit 53 % de l’AJR (« % des Apports Journaliers Recommandés selon la directive 2008/100/CE relative à l’étiquetage nutritionnel des denrées alimentaires »), ce qui nous amène à environ 380 mg/jour.
Sans surprise pour qui subit un peu les publicités, Rozana est en tête avec 160 mg/L, les autres étant, soit à la moitié, soit très loin derrière (le rapport est de 1 à 80)…
Mais sur ce point, puisque nous avons même droit en ce moment à un « coach santé » qui veut nous apprendre la respiration pour finir par cette eau « riche en magnésium »… Oui, mais elle est aussi riche, voire très riche en Bicarbonates, Chlorures, Sulfates et Sodium… :-((

Silice

Du sable… Il semblerait que cela protégerait de la maladie d’Alzheimer…
Si vous en voulez, consommez Rozana (97 mg/L), St-Diéry (77 mg/L), Salvetat (50 mg/L), Badoit (27 mg/L) ou San Pellegrino (7,1 mg/L).
Les autres n’en parlent pas.

Résidu à sec

Là, c’est simple, c’est ce qui « reste » dans la casserole une fois l’eau chauffée à 180 °C jusqu’à évaporation.
Si l’eau est « pure », normalement il ne reste rien…
D’un autre côté, on retrouve là les composants précédents…
Alors, cela peut être bon, ou mauvais signe.
Cela va de 178 mg/L (Ondine) à 4 774 mg/L (Vichy St-Yorre).

Acidité pH

Un pH neutre, c’est 7.
Plus il tend vers 0, plus c’est acide.
Ne vous étonnez pas d’avoir des aigreurs d’estomac avec des eaux au faible pH.
À ce titre, les plus mal loties sont Plancoët (4,60), Cristaline (5,10), Ogeu (5,2) et ses dérivés Système U (qui n’en parle pas), Alizée (5,4) de Leclerc (+ Adeline) et Cora.
La moins acide de toutes étant Ondine (propriété d’Intermarché), avec un pH annoncé à 7,65… Serait-ce parce qu’elle contient finalement très peu de choses, et avec le taux de résidu le plus faible ?

Contenance / Prix payé / Prix au litre

Faites attention aux contenances, car dans ce format, tout est fait pour compliquer la comparaison.
Donc, toujours considérer le prix au litre, qui va de 0,1733 € (Source Adeline ECO+ Leclerc) à 0,60 € pour Badoit Rouge.
Ce delta est clairement énorme et injustifié, même s’il peut varier d’une région, et surtout d’un point d’achat à un autre.

CONCLUSION

Objectivement, j’ai un problème, car maintenant il faut tout boire ;-)
Et il y en a dans le lot qui me font carrément peur. Mais heureusement, il ne s’agit que d’une bouteille à chaque fois.
Pour d’autres eaux auxquelles j’étais habitué, je vais tout simplement changer de marque/source à la lumière de cette analyse.
L’argument « SANTÉ » est le plus souvent abusif, voire dangereux en l’absence, précisément, de prescription médicale. D’ailleurs, des eaux comme Vichy (St-Yorre & Célestins) entrent clairement dans ce cadre hors consommation très ponctuelle.
Certains « avantages » ne sont là, bien souvent, que pour masquer d’importants défauts, dont certains rédhibitoires.
N’oublions pas, par ailleurs, qu’une eau chargée en sel/sodium, ça fait… Boire !
La solution ? Sauf attentes bien particulières pour cause de carence ou d’envie d’intoxication(s), rechercher le meilleur compromis, en toute simplicité, et sans écouter les arguments commerciaux.
À vous de choisir en votre âme et conscience, et j’espère que cet article (et ses annexes) vous aidera.

Sur ce, je vous dis : À votre santé !
Et j’ajoute : Certaines « eaux » peuvent être dangereuses, buvez-les avec… Modération !

Vignette : « L’eau, c’est finalement complexe, et ça n’est pas forcément limpide, surtout en bouteille» © PF/Grinçant.com (2016)

© PF/Grinçant.com (2016)

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Billets en rapport :


Addenda du 21/03/2016-18h00 : Des éléments complémentaires dans mes commentaires de 17:13 et 17:43.


Addenda du 11/04/2016-17h45 :

J’ajoute au panel la Saguaro Adeline (rouge) de Lidl qui était absente des linéaires le jour de mes achats, mais comme je viens de mettre la main dessus ;-)

Étiquette Lidl Saguaro Adeline (1)
Lidl 1 Saguaro Adeline (rouge)

Vous l’aurez compris, comme il s’agit de la source « Adeline », cette eau est strictement identique à la Source Adeline (E.C.O.+) de Leclerc (R sur le tableau).

Chez Lidl, elle est aussi vendue en bouteille de 1,5 L, mais au prix de 0,35 €, soit 35 % plus cher que la version Leclerc (0,26 € la bouteille).
Elle comporte un « 1 » sur la poignée du pack, et elle est nettement plus « fréquentable » (ou neutre) que la « 877 » du panel (W) quant à sa composition.


Addenda du 05/09/2016-14h30 :

Cristaline (source Cristal-Roc) vient de changer son packaging. Le plastique est identique (assez mou), mais passe du bleu au transparent/vert. Quant à l’étiquette, elle passe du bleu au vert + Apparition d’un slogan « Délicieusement Pétillante ! ».

Ancienne et nouvelle bouteille de Cristaline Cristal-Roc 1,5 L
Cristaline gazéifiée : à gauche, la nouvelle bouteille, à droite l’ancienne

La composition reste inchangée, mais apparition de la teneur en silice (14 mg/l) et disparition de celle des fluorures (qui était “<0,3”) :

Nouvelle étiquette CristalineLe prix payé reste identique : 0,26 € la bouteille de 1,5 L, 1,56 € le pack de 6 bouteilles (9 litres).


Addenda du 25/09/2016-15h30 :

Cristaline (source Cristal-Roc), encore, est aussi vendue chez Carrefour, de manière presque anonyme, puisque dans la gamme « Produits Blancs » de CMI (pour « Carrefour Marchandises Internationales », mais la marque Carrefour n’apparait pas explicitement).
Elle est vendue au même prix que l’original (Cristaline) ailleurs, soit 0,26 € la bouteille de 1,5 L, 1,56 € le pack de 6 bouteilles (9 litres).

La composition est bien évidemment identique, sauf qu’il y a en plus la mention la mention des « Fluorures » (0,1 mg/L).

Voici l’étiquette :

Étiquette Produits Blancs (Carrefour) – Source Cristal-Roc (Cristaline) 1,5L
Étiquette Carrefour « Produits Blancs »
Source Cristal-Roc (= Cristaline, repère N)
Eau de source pétillante
(avec adjonction de gaz carbonique)

Addenda du 18/10/2016-15h30 :

Attention, E.C.O.+ de Leclerc (repère R), ça n’est plus de la source Adeline, mais de la Cristal-Roc qui semble s’infiltrer dans tous les circuits de la grande distribution.
Il convient donc de se référer à cette source (Cristaline, repère N) dans le tableau. Bien sûr, la Composition/Analyse moyenne est strictement identique.
Le PET de la bouteille n’est plus neutre, mais devient bleuté (comme celui de l’ancienne Cristaline qui est maintenant passé au vert, voir addenda du 05/09/2016).

Voici la nouvelle étiquette, avec un « CRISTAL ROC » vertical sur le côté :

Étiquette ECO+ (Leclerc) – Source Cristal Roc (= Cristaline) 1,5L
Étiquette €.C.O.+ Leclerc
Source Cristal-Roc (= Cristaline, repère N)
Eau de source pétillante
(avec adjonction de gaz carbonique)
(Changement de source Oct. 2016)

Et, accrochez-vous bien, voici ce que cela donne dans un linéaire Leclerc…

Packs Cristaline et ECO+ dans un linéaire de supermarché Leclerc
Cristaline ou €CO+ “Cristal Roc” ?
Même eau !

Par contre, si les bouteilles d’1,5 L sont bien toutes à 0,26 € pièce, le pack de 6 Cristaline (l’originale « Source Cristal-Roc ») est à 1,51 € contre 1,56 € pour la MDD €.C.O.+, alors que cette dernière devrait être, en toute logique, moins chère.


Addenda du 02/11/2016-11h00 :

Les bouteilles de CRISTALINE (une marque du groupe ROXANE) peuvent contenir des eaux de sources très différentes (ben voyons) en fonction des périodes, régions et points de vente : Alizée, Céline, Chantereine, Cristal-Roc, Cristaline, Eléna, Eléonore/Sainte-Aude, Floralies,Isabelle, Louise, Metzeral/Valon, Neyrolles, Saint-Cyr-en-Val, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Léger, Saint-Martin/Saint-Médard, Sainte-Cécile, Sainte-Hélène, Sainte-Lucie, Sainte-Sophie…

Si ça n’est pas de la Castel-Roc, la plus courante (celle du tableau), pensez à regarder le tableau d’analyse !

Voir mon commentaire du 02/11/2016-10h23.


Addenda du 03/12/2016-14h00 :

Stupéfiante séquence dans l’émission Enquête de santé : « Sel : alerte dans nos assiettes » du 29/11/2016 sur France 5, dans la portion du «débat» où il convenait, normalement, de répondre à la question : « Certaines eaux minérales contiennent du sel, lesquelles éviter et lesquelles privilégier ? »

question-enquete-de-sante-sel-alerte-dans-nos-assiettes-sequence-eaux-20161129Voir mon commentaire du 03/12/2016-13h06.


Addenda du 11/03/2017-17h20 :

Je viens de trouver les analyses de la San Pellegrino par l’Università di Pavia
Elles sont disponibles sur le site Internet de la marque, il suffit de voir le lien.

Vers Analyses Sans Pellegrino
(Vers PDF, source SanPellegrino.com, capture 11/03/2017)

Je compte pas moins de 65 items. C’est un peu ancien (20/06/2014), mais ça a le mérite d’exister.
Si seulement nos marques françaises pouvaient faire preuve de la même transparence…


Addenda du 06/08/2018-08h00 : Alerte PERRIER !

Attention, Perrier a changé — subrepticement — (depuis quand ?) son eau sur un point essentiel…
Il ne s’agit en effet plus d’une « Eau minérale naturelle renforcée au gaz de la source », mais d’une simple « Eau minérale naturelle avec adjonction de gaz carbonique » !!!
(En gros, le gaz — CO2 — n’est plus de la source, et vient d’ailleurs.)

Pour plus d’informations, voir ma réponse à la contribution de Jonathan qui a signalé le fait le 05/08/2018 à 23h27.

La composition a également été modifiée, mais dans des proportions mineures :

Minéralisation caractéristique en mg/l : Calcium : 160 150, Magnésium : 4.2 3.9, Sodium : 9.5 9.6, Sulfate : 33 25.3, Hydrogénocarbonate : 430 420, Chlorure : 22 19.5, Potassium : <1.0, Nitrate : 7.8 7.3, Résidu à sec à 180°C : 480 456.


Addenda du 14/10/2018-16h40 : Alerte OGEU !

Comme Perrier, Ogeu est passée — subrepticement — de  « Eau minérale naturelle renforcée au gaz de la source » à « Eau minérale naturelle avec adjonction de gaz carbonique » !…

Merci à Flavien pour son signalement du 14/10/2018-11h41.


Addenda du 03/09/2019-18h00 : Source Faustine

Signalée par un contributeur (Kajeewriter), le 28/08/2019
Une eau que je n’ai réussi (voir échange) à trouver — effectivement — qu’en MDD “Netto” (magasins Netto, groupe Intermarché).

Faustine, de/par Netto

Dénomination principale : Faustine  – Source : Faustine – Dép. : 42
Minéralisation caractéristique en mg/l : Bicarbonates : 1 609 – Chlorures : 20 – Sulfates : 9 – Nitrates : <1 – Fluorures : 1,3 – Sodium : 237 – Potassium : 30 – Calcium : 209 – Magnésium : 56 – Silice : NC – Résidu à sec : 1 367
Acidité pH : 6,3
Contenance achetée (L) : 1,25 – Prix payé (1 bout.) : 0,30 € – Prix au litre : 0,24 €

Que signaler/souligner ?

  • « Avec adjonction de gaz carbonique »
  • Comme le mentionne l’étiquette, « Cette eau minérale est bicarbonatée » (voir cet item dans l’article).
  • Elle est assez « neutre », sauf en Calcium (et en Bicarbonate).
  • Son pH est élevé, donc elle est aussi plutôt « neutre » côté acidité.
  • Il y a quand même pas mal de « Résidu à sec ».
  • Son prix au litre est plutôt bien positionné.

Addenda du 18/10/2019-16h10 :

Une “Brève” : Quand Vichy Saint-Yorre met sa bouteille au régime

1,25 l –> 1,15 L

Addenda du 30/05/2020-17h05 :

Et Salvetat s’y met aussi, au “régime”,
mais probablement pas dans notre intérêt !

Salvetat diminue le format de ses bouteilles
1,25 l –> 1,15 L

(Voir contribution de Frangi78)

(Ajout du 01/06/2020-13h00)

Et pour le prix, ça nous fait une magnifique culbute.
Photo prise hier 31/05/2020-AM dans un supermarché Carrefour :

Dans mon tableau — certes de mars 2016, mais les prix étaient plutôt stables —, la bouteille de 1,25 L était à 0,46 €, soit 0,368 € le litre.
La nouvelle bouteille de 1,15 L est à 0,50 €, soit 0,435 € le litre.
Cette « astuce » a donc permis d’augmenter le prix de la bouteille/du pack de Salvetat de 18,21 % !!!
C’est beau le « Marketing » — mais c’est une méthode de plus en plus courante —, surtout utilisé pour niquer le consommateur !:-/


416 commentaires sur “Comparatif grinçant des eaux pétillantes-gazeuses”

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      Je me demande si le pastis n’est pas finalement plus « clean » que certaines de ces eaux quant à la composition…
      Manque aussi, sur leurs « étiquettes » (souvent difficiles à lire), le taux de radioactivité…

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    Eau tempora, eau mores ;-)

    Encore une sacrée étude sur cet élément naturel carrément indispensable dont les marchands ne pouvaient manquer de s’emparer.

    Je ne pense pas a priori que ces eaux soient des dangers sinon pour notre budget. Les bulles ce n’est peut-être pas indispensable surtout quand c’est retrafiqué, on se demande pourquoi…

    Quant aux éléments chimiques pris séparément, je ne crois pas qu’il faille raisonner sur les effets supposés de chaque molécule mais plutôt sur leur(s) association(s). Je ne vais pas rentrer dans le détail, il y a des couples antagonistes comme nos muscles (biceps/triceps par exemple) qui interagissent et s’auto régulent. La Nature fait toujours parfaitement les choses dans les proportions, jamais les humains quand ils pensent la copier.

    L’essentiel c’est de se rappeler qu’il est toujours bon de consommer local, saisonnier et le moins transformé. Pour l’eau c’est souvent la simple eau du robinet qui représente le meilleur compromis, avec des vérifications, et peut-être des réserves.

    Où est captée l’eau du réseau ? comment le vérifier ? et surtout quels sont les moyens de la commune qui gère la qualité de sortie ?

    Paris a certainement la meilleure qualité de France car elle a le plus gros budget et fixe des limites à sa hauteur. À l’inverse, une petite commune qui exploite une source millénaire avec des moyens restreints va forcément faire des impasses.

    Ce qui m’inquiète le plus dans l’eau, ce sont les molécules de synthèses recrachées dans les urines de tous ceux et celles qui prennent ces « indispensables » médicaments que vous avez déjà évoqués ici. On se les les récupère fatalement quand l’eau est captée dans un fleuve ou une rivière. Bien sûr ça ne fait pas partie des cahiers des charges, on zappe !

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      Le problème, c’est le cumul avec tout le reste qui est déjà très difficilement quantifiable.

      Par ailleurs, boire de l’eau, c’est pour se désaltérer, mais aussi pour nettoyer l’organisme. En fait, avec certaines eaux, on le « charge » encore davantage :-(

      Je me suis intéressé sérieusement à la question, au point de faire ce « dossier », car je buvais de plus en plus d’eau, jusqu’à cinq litres par jour ! (C’est même un coup à se fatiguer les reins.)
      Et en profitant de « promos », genre troisième pack gratuit, ou 50 % sur le second, j’ai essayé d’autres eaux pétillantes.
      Et là, miracle, je buvais nettement moins (deux à trois litres) !
      L’explication est simple, rien que par ce « canal », j’ai divisé par 150 mon apport en sodium, et donc en sel à quantité d’eau équivalente… Mais en fait, en buvant moins, le « gain » est encore plus considérable. Boire deux fois moins, dans ce cas, c’est diviser par 300 ce seul apport journalier en « sodium » !
      Sans même parler des économies financières réalisées…

      Allez, un peu de mathématiques…

      Là, il y a deux palettes de Salvetat, une eau affichée comme « pauvre en sodium ».
      Sur chaque palette, il y a 4 niveaux de 14 packs de 6 bouteilles de 125 cl.
      Cela nous fait donc 336 bouteilles par palette, et 420 litres d’eau.
      Pour les deux palettes, nous avons donc 112 packs, soit 672 bouteilles pour un total de 840 litres.
      À raison de 2,3 litres par jour, cette photo représente donc ma consommation annuelle actuelle, donc « réduite »…

      2 palettes de Salvetat

      Dans le tableau (et sur la bouteille), la Salvetat (H) affiche 5 mg/L en sodium…
      Ce qui nous fait 4,2 grammes de sodium une fois tout bu, et un équivalent « sel de cuisine » de 10,5 grammes… Soit un peu plus que mon bouchon rempli, et ce pour toute l’année.

      Allons un peu plus loin dans le magasin…

      De gauche à droite, nous avons des packs de Quézac, de Vichy Célestins, de Vichy Saint-Yorre, et enfin de Rozana :

      Des packs d'eau minérale pétillante en linéaires de grande surface

      Faisons les mêmes calculs pour nos 840 litres « annuels », et nous obtenons :
      – Quézac, à 110 mg/L –> 92,4 grammes de sodium, soit 231 grammes en équivalent « sel de cuisine », ou 29 « bouchons »…
      – Vichy Célestins, à 1 172 mg/L –> 984,5 grammes de sodium, soit 2,461 kg en équivalent « sel de cuisine », ou 308 « bouchons »…
      – Vichy St-Yorre, à 1 708 mg/L –> 1 434,7 grammes de sodium, soit 3,587 kg en équivalent « sel de cuisine », ou 448 « bouchons »…
      – Rozana, à 493 mg/L –> 414,1 grammes de sodium, soit 1,035 kg en équivalent « sel de cuisine », ou 129 « bouchons »…
      Donc, en buvant toute l’année de la Salvetat (simple exemple, car la Cristaline est encore moins salée), j’ingurgite 10 grammes de mon sel de cuisine à l’année, et avec la Vichy St-Yorre, je « mange » l’équivalent de 3,5 kilogrammes de mon sel de cuisine !!!
      Et pire encore, comme ces eaux très titrées en sodium donnent finalement soif, j’en bois au moins le double, ce qui ferait au moins 7 kilos de sel à l’année avec la St-Yorre…
      CQFD !

      Bien sûr, ce calcul vaut pour tout le reste, pour ceux qui aiment bouffer des chlorures, des sulfates, des nitrates, des fluorures, etc.

      De l’eau qui fait boire, c’est quand même un comble.
      Idem pour celles qui vous fournissent du calcium avec ce qu’il faut pour que votre organisme ne puisse le retenir…

      Alors, quant au reste, tout ce qui n’est pas « recherché », mieux vaut peut-être ne pas savoir.
      Avec un peu de bol, on doit boire du radioactif, avec des cocktails médicamenteux associés à des hormones ;-)

      Déjà, allégeons en sel pour éviter de se faire pigeonner, et adoptons une eau la plus « neutre » possible, avec un delta (ou écart type) acceptable en fonction des goûts, des couleurs, et des colonnes (du tableau).

      Moi, je buvais de la Castel-Rocher, et je suis maintenant horrifié, car c’est mauvais sur quasiment tous les points.
      Je suis passé à de la Puits St-Georges (Casino), mais ça n’est finalement guère mieux.
      Pour passer à de la Salvetat au même prix en période de promo, et là je vois la différence.
      Et j’observe que l’Ondine à l’air très bien sur le papier.
      Je viens de boire les deux moins onéreuses de toutes, Cristaline, et Adeline (E.C.O.+ de Leclerc), les chiffres sont bons, et je les ai trouvé bonnes, comme quoi.
      Pour l’eau du robinet, oui, c’est probablement la meilleure solution, mais je cherche encore les bulles… Quant aux solutions pour « gazéifier », ça la met au prix des eaux minérales en bouteille…

      Un dernier conseil, regardez les colonnes, mais adoptez la ligne !;-)

      PS : Parlons un tout petit peu budget, pour mes 840 litres à l’année à consommation constante… (Avec les prix de mes achats du jour)
      – 140,03 € pour Cristaline (N)
      – 241,92 € pour Ondine (O), St-Diéry (P), Puits St-Georges verte (U1)
      – 295,68 € pour Vichy Saint-Yorre (A)
      – 299,46 € pour Quézac (D)
      – 309,12 € pour Salvetat (H)
      – 322,56 € pour Ogeu (I) qui est la même source que la U1 payée 25 % de moins
      – 362,88 € pour Vichy Célestins (B)
      – 403,20 € pour Rozana (G)
      – 428,40 € pour Perrier (F1)
      – 478,80 € pour San Pellegrino (C)
      – 504,00 € pour Badoit rouge (E2)
      Et comme certaines de ces eaux, et pas les moins chères, savent comment vous faire boire davantage…

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    J’avais lu (je ne sais plus où) que la meilleure eau est… L’eau du robinet !
    Bon, c’est peut être pas le cas en Bretagne avec les cochons de la FNSEA qui épandent leur lisier partout.

    PS : faites vite pour boire tout ça ou sinon vous allez avoir des composants de la bouteille en plastique qui vont migrer dans l’eau ! Surtout ne les stockez pas en plein soleil (là, être en Bretagne c’est un avantage ;-)))

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      Justement, dans le tableau, j’ai mis une eau des Côtes-d’Armor (22), la Plancoët (J), qui a plutôt l’air pas mal question absence de saloperies, sauf qu’ils ne mentionnent carrément pas les Nitrates… Un zéro ferait beaucoup mieux que rien du tout, et ça laisse un gros doute.

      Un autre problème, c’est quelle affiche un pH très faible de 4,60, ce qui veut dire qu’elle est très acide (pire que le café, et comme de la bière)…
      En boire pour soigner ses brûlures d’estomac n’est donc pas une bonne solution.
      Les pluies étant considérées comme « acides » avec un pH <5,6…

      J’emprunte ce tableau à Wikipédia, la magie du « libre » ;-), mais je cite ma source : Potentiel hydrogène

      pH de solutions du quotidien (Wikipédia)

      Et pour finir, on dit de Plancoët que c’est « L’eau la plus radioactive de France ! »

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        Certainement qu’à l’origine, vers 1920-1936, l’eau de ladite source était moins « radioactive » et moins acide ! À part qu’un procédé en catimini soit utilisé pour rendre à zéro le taux des nitrates…
        L’eau minérale de la source Sassay (Actu.fr, 29/07/2014)

        Plancoët. L’eau de la source en libre-service (LeTelegramme.fr, 10/04/2010)
        Zéro nitrates dans le sous-sol en Bretagne, cela me rappelle la frontière pour le nuage de Tchernobyl !
        Y aurait-il un tchine caché en Bretagne ?

        tchine : nom masculin = Histoire russe. Organisation hiérarchique de type militaire, appliquée à toute l’administration de l’Empire russe.

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        Bonjour,
        Un regard critique sur les produits de l’industrie agroalimentaire est toujours prudent, et souvent bénéfique. Cependant, comme vous le dites vous même, votre étude comparative n’a rien de scientifique. Et certaines de vos conclusions sont carrément trompeuses!
        Par exemple, vous assimilez le sodium à du sel de cuisine, mais le chlorure a « de l’eau de javel »?
        Et là c’est dommage que vous n’ayez aucune base en chimie. Car la formule du sel de cuisine est (Na+, Cl-). Le sel est bien composé en nombre identique d’ions sodium ET d’ions chlorure. L’ion chlorure Cl- n’est donc absolument pas assimilable à de l’eau de javel, même si cette dernière contient aussi du chlore (Na+,ClO-). Hors vous mettez du sel dans vos pates, alors que vous ne mettriez pas d’eau de javel, ces deux composés ioniques ont des propriétés bien différentes!

        Idem pour vos conclusions sur le pH et l’acidité: votre propre message ci-dessus fait apparaitre une ligne bien intéressante dans le tableau issu de wikipedia: la ligne 4, acide gastrique pH=2. Gastrique, comme… estomac. Et oui, le pH à l’intérieur de votre estomac est très faible et naturellement très acide. Donc ingérer une boisson de pH<5,6 n'est pas du tout synonyme de danger pour votre estomac, ni de source d'aigreurs. Sinon il y a longtemps qu'on aurait arrêté de manger des tomates, de boire de la limonade, etc… A vrai dire le corps humain est plutot habitué à ingurgiter des choses de pH neutre ou acide, mais pas du tout de pH trop basique (trop supérieur à 7).
        Bon je pourrais poursuivre avec votre assimilation hative des sulfates à des engrais… Sulfate de quoi? comme pour le Cl-, l'ion sulfate n'est qu'un ion. Tout depend de ce qu'on met en face.

        On peut avoir un questionnement légitime, même sans avoir de connaissances en chimie. Mais ce qui est plus embêtant, c'est de fournir des réponses, assez définitives et radicales, mais fausses!.

        Après, je ne connais pas votre blog ni vous pour savoir si c'est par méconnaissance ou pour faire du sensationnalisme et attirer des clics.
        Bonne continuation!

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          Ce débat sur le « sel/sodium » — notamment — a déjà eu lieu plus haut, et à plusieurs reprises (preuve que vous n’avez pas lu les commentaires/contributions, ce qui devrait être un prérequis avant de poster, mais bon, vu leur nombre…).

          « Après, je ne connais pas votre blog… »
          Il ne tient qu’à vous de lire, c’est gratuit et dispo 24/7.

          Je ne vois qu’une explication à votre « commentaire »…
          Jeter le discrédit — méthode bien connue, notamment des grands groupes, et déjà utilisée sur ce fil — ou bien prouver que ces étiquettes/indications ne veulent rien dire et qu’elles sont là pour nous rassurer (faussement) ou nous enfumer.

          PS : Et s’il faut être expert en chimie — quel est votre niveau à vous ? — pour acheter une bouteille d’eau, c’est bien qu’il y a un énorme problème.

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      L’eau du robinet est filtrée, SAUF pour les molécules qui proviennent de médicaments humains et vétérinaires… C’est ainsi qu’aujourd’hui, des analyses montrent que l’urine de ces messieurs contient… des contraceptifs féminins ! Grâce à l’eau du robinet, vous ne serez jamais enceints ! Ouf !

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    Si j’osais je dirais que vous êtes un grand buveur.
    Vous résidez en Bretagne alors certains vont dire :
    – Normal !!
    – Oui mais c’est de l’eau…
    – Ah bah ça c’est pas normal !!

    Intéressant ce billet, bien que très humide avec toute cette flotte.

    Les eaux à forte teneur en sodium sont à proscrire.
    Le sel et surtout sa surconsommation sont fortement dangereux induisant, hypertension, aggravation de pathologies cardiovasculaires, problèmes rénaux entre autres.
    Salez les plats est une aberration, alors en boire…
    L’OMS préconise un maximum de 5 g/jour de sel. En France la moyenne se situe entre 10 et 12g / jour !!!

    Le fluor on n’en parle pas puisque toute consommation >0,5 mg/jour peut être dangereuse. Prendre du sel renforcé en fluor c’est potentialiser le risque « effet cocktail ». Le fluor fut introduit au sortir de la guerre suite aux carences nutritionnelles de la population. Mais, sauf erreur nous ne sommes plus en 1945 et hormis de rares exceptions, la majorité n’a pas de carence en fluor et pas davantage en sel c’est même plutôt l’inverse.

    Les Eaux de Sources conditionnées restées bien exposées au soleil puis entreposées dans les hangars de la grande distribution, bonjour les migration de molécules entre contenant et contenu. C’est vrai que le PET c’est trop bon à manger ça donne un petit gout sympa ;)

    Maintenant l’eau du robinet suivant les lieux de captation et les traitements ça n’est pas forcément folichon non plus.
    Ne parlons pas de certaines régions qui sont plus ou moins favorisées.
    L’eau du robinet par ailleurs est encore très largement traitée par du…sulfate d’aluminium !! Tout le monde sait que cela engendre des désordres neurotoxiques mais c’est pas cher, donc buvez cette eau rendue claire par ce procédé..

    Comme vous le dites on ne recherchent pas tout dans les analyses d’eaux, est mentionné surtout ce qui est vendeur, calcium, fluor, bicarbonate, etc. etc., les résidus médicamenteux, les pesticides (hormis les nitrates), les éléments radioactifs que nenni.

    L’eau proposée devient de plus en plus un poison !! Mais l’eau est nécessaire. Cruel dilemme.
    Je n’achète que rarement de l’eau minérale (ou de source) et quand je le fais je choisis uniquement des bouteilles en verre.
    Pour le reste je filtre l’eau du robinet au moins ça enlève le calcaire à défaut du reste ;)

    Par contre, PF, si vous tenez à vos reins (et au reste) cessez de boire 5L/jour surtout des eaux gazeuses toujours plus salées que les plates.
    1,5 à 2L suffisent amplement, le reste étant apporté par une alimentation équilibrée (BIO de préférence) avec les fruits, légumes, lait divers et variés ou …vin, modérément s’entend.

    Sauf si vous faites un marathon et perdez 2 L par effort, ou vous exposez à des températures sahariennes, diminuez drastiquement votre consommation de flotte.
    Vous allez finir par annihiler tous les bienfaits d’une consommation de liquide et votre corps ne vous dira pas merci pour autant, pire il risque fort de vous le faire payer ;)

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      Pour l’eau du robinet, ça n’est pas pour rien (vs rein) que j’ai mis en « billets en rapport » le billet Aluminium, notre poison quotidien : symptomatique et emblématique.

      Pour ma santé, c’est bien pour cela que j’ai recherché une explication, et que j’en suis venu à ce « dossier »…
      Là, j’en suis aux environs de deux litres, mais vous savez peut-être que je marche aussi ;-)
      Cela dit, c’est toujours mieux que les sodas ou l’alcool…

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        Bonjour,

        Pouvez vous vous dire en résumé quelle est la meilleure, la moins nocive, la moins salée et la moins chargée en sulfates des eaux pétillantes ? Merci d’avance.

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          Je sais, c’est long, mais je n’ai pas à me prononcer sur ce point…
          Le tableau est là pour ça, et il me semble qu’il est plutôt « synthétique » :-P

          De plus, chaque personne a son propre « équilibre », et certains « apports » peuvent être utiles, alors qu’ils doivent être évités par d’autres.

          J’ai cependant dit que les « moins chères » étaient aussi les plus « neutres »… ;-)

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    « Quant aux solutions pour “gazéifier”, ça la met au prix des eaux minérales en bouteille »

    J’aimerai bien voir le calcul qui a mené à cette conclusion.
    Dans tous les cas, gazéifier l’eau du robinet a au moins le mérite de diminuer le volume des déchets (et je ne parle même pas de la quantité de gasoil consommée chaque année pour transporter toutes ces bouteilles….).

    Et pour les enfants, via des sirops bien sélectionnés, cela permet de faire de temps en temps du soda « pas trop mauvais » (en terme de taux de sucre et autres cochonneries).

    Et puis l’eau gazeuse n’est pas forcement très bonne à la santé…..

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      « J’aimerai bien voir le calcul qui a mené à cette conclusion. »

      Simple, le moins cher que j’ai trouvé de « sérieux » lors d’une recherche rapide, c’est chez Darty :

      Recharge Sodastream chez Darty

      C’est donné pour 60 litres, mais je doute que l’on y arrive, mais bon, allons-y…
      12,49 €* pour 60 litres, ça nous fait 0,20817 € le litre, rien que pour le gaz…
      Dans mon tableau, vous avez des eaux (bouteille comprise) à partir de 0,1667 €/L (Cristaline)…

      Et encore, avec la recharge, il faut acheter la machine qui va avec, et ça n’est pas donné !
      Sans même parler de tout ce qu’ils vendent autour…

      « Et puis l’eau gazeuse n’est pas forcement très bonne à la santé… »
      Et je dis quoi dans mon billet ?

      *Sur beaucoup de sites qui s’affichent « Discount », je vois même un prix barré (officiel ?) à 35,50 €… Là, ça nous met le litre à 59 centimes, rien que pour le gaz, soit au niveau des bouteilles les plus chères (Badoit, Perrier, San Pellegrino, etc.)

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        Pour les effets sur la santé, je pensais juste au rôle néfaste du gaz carbonique sur l’appareil digestif.
        A moins d’avoir mal lu, je n’ai rien lu à ce sujet dans l’article.

        Concernant le prix, on trouve par ici entre 10,5 et 11,5€ la recharge. Concernant le nombre de litre, il faudrait que je « m’amuse » à compter.
        Rien que le fait ne pas déplacer plusieurs centaines de kg de flotte par an et d’éviter pas mal de trajets au point tri, c’est déjà pour moi une victoire.

        Je pense qu’il faut voir au delà du simple prix au litre.

        Après, l’eau du robinet n’est pas toujours aussi bonne que l’on pense.

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          « …rôle néfaste du gaz carbonique sur l’appareil digestif. »
          Normal que vous n’ayez rien lu sur ce sujet dans l’article, puisque je veux des bulles, de l’eau pétillante, et par conséquent j’assume ces effets, à supposer que ce soit bien du bon « Co2 »…
          Notez toutefois mon couplet titré « L’eau dans le gaz ou le gaz dans l’eau ».

          Le gaz évacué, ce qui est plus grave, c’est tout le reste, car souvent indésirable et/ou nocif en excès…
          Et c’est bien le vrai sujet de cet article, transposable par ailleurs aux eaux plates, mais ça n’est pas ma tasse de thé, alors dans ce cas je me tourne vers le robinet…

          Enfin pour revenir au prix des bulles, je vois des machines entre 69 € et 299 €, toujours chez Darty, hors consommables et accessoires.
          Gazéifier, ça revient (très) cher, mais c’est savamment calculé !

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            En Allemagne, la pratique de la « consigne » pour les contenants semble très répandue, alors ça n’est pas étonnant que ces recharges soient nettement moins chères.

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        Bonjour, je suis utilisateur de Sodastream, j’ai fait mes petits calculs au départ et je n’arrivais pas à la même conclusion. En supposant – grosso modo – qu’on produise 60 litres pour une recharge à 12 euros, 12 divisé par 60 ça fait 0.2 euro le litre. En fait, j’injecte le gaz jusqu’à l’ouverture de la soupape qui pétarade (j’arrête aussitôt) et je fais 80 recharges de la bouteille de 0,9 litre, soit 72 litres. J’ai payé la machine Sodastream moins de 50 euros, modèle de base, dans les débuts (prix de lancement ?) et elle fait toujours bien son travail depuis 4 ans environ, à raison de 4 ou 5 bonbonnes de CO2 par an. Je ne fais pas de pub, c’est juste des constatations ;-)

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          Bonjour, oui, je parlais de 0,20817 € le litre, sans compter tout l’attirail qui va avec…

          Ah oui, ça pétarade en plus ? ;-P

          Vous trichez dans votre façon de faire, d’autant que l’eau que vous obtenez ne doit pas être aussi gazéifiée que celle achetée en bouteille (où c’est déjà très variable).
          Et, en usage « normal », je doute que l’on atteigne les 60 litres.

          Par ailleurs, 12 € est vraiment un prix plancher, une simple recherche sur Internet nous donne des prix bien plus élevés. Tenez, à l’instant, sur le site Auchan, c’est 20,51 € la cartouche…

          20,51 € la cartouche de Co2 Sodastream chez Auchan (27/09/2016-19h00)

          Donc, nous passons à 0,34 €/Litre obtenu (pour les 60 litres annoncés).
          Je vois aussi des cartouches à plus de 30 € :-/

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            Alors là… grosse surprise ! j’ai toujours payé autour de 12 euros, mais en rapportant le cylindre vide ! C’est peut-être ça la différence : la consigne. Comment faire l’échange sur un site marchand ?
            Bon, la machine pétarade, vous ne l’avez jamais entendue ? C’est plutôt amusant. C’est le signe que l’eau ne peut plus dissoudre de gaz et celui qu’on continue à injecter est évacué par une soupape (musicale). En bon scientifique, je refroidis la bouteille d’eau au frigo avant d’injecter le gaz pour obtenir une meilleure concentration (inversement, si on chauffe, le gaz s’échappe).
            Sans entrer dans les détails techniques… j’assume pleinement l’usage du Sodastream :
            – j’aime boire de l’eau gazeuse (ça désaltère mieux)
            – je ne veux plus transporter de bouteilles d’eau
            – je ne veux plus remplir ma poubelle de bouteilles plastique vides

            Question subsidiaire : sur les autoroutes entre la France et l’Italie, y a-t-il des camions chargés de bouteilles d’Evian qui croisent des camions chargés de bouteilles de San Pellegrino ?

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              Je suis de moins adepte de tous ces machins, et d’ailleurs je viens de remplacer ma machine à expresso en obsolescence programmée effective et irrémédiable par un simple engin à piston italo-chintok : Bialetti, Luminarc, comment j’enrichis la Chine

              Pourquoi ne pas acheter de l’eau « de source » – plate – pour la gazéifier ensuite ?
              Car, avec l’eau du robinet, il faudrait probablement rajouter du sel/sodium pour être équitable ;-P

              Exact pour la consigne… Chez Darty, c’est actuellement à 12,99 €, avec les mentions « Uniquement en échange d’un cylindre de CO2 vide » & « Une fois votre cylindre supplémentaire vide, vous pouvez l’échanger contre un plein ».
              L’Air Liquide ne recharge pas gratuitement ces bidules ?

              PS : Pour la question subsidiaire, je cherche une réponse subsidiaire.

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            Bonjour,
            Grosse Arnaque à la mode !
            Si vous voulez faire de la Badoit rouge, ce n’est pas 60 litres que vous ferez, mais plutôt 20… et encore. Donc beaucoup plus cher que d’acheter de la vraie Badoit rouge !

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      Testez donc la « Ventadour » vous la trouvez uniquement dans quelques épiceries dont les Biocoop par exemple.

      En revanche… j’ai peur que si vous en buvez 5L par jours il soit préférable de passer au vin, le prix n’étant pas du tout le même que ceux de la grande distribution.

      Mais … Emballage stable et sans risque de contamination du contenu par le contenant qui est en verre, 0 nitrate, pas de taux fluoré dangereux, très faible teneur en sel… etc etc, bref on ne peut pas tout avoir.
      J’ai lu d’ailleurs que Ventadour refuse la course à la production, préférant rester au stade artisanal en gardant indépendance, production locale et usine humaine. (10 salariés je crois)

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        Je suis revenu à une consommation « normale » après mon test…
        Comme quoi ça a été utile pour mieux comprendre.

        Dans mon enfance, j’ai un très bon souvenir de la Châteldon, bue directement à la source avec une écuelle. Une eau très ferrugineuse et aussi assez confidentielle… Là, il y avait un vrai (bon) goût !

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          Bon vous aurez bu du beaucoup de sel avec toutes ces eaux, le PDG de la société qui vous vends ces belles « mer.. », lui, il aura bu du « petit lait ».

          Pourquoi je vous dis ça, voyons…
          Ah si, ça y est : Une quinzaine des 500 plus grandes fortunes françaises citées dans les « Panama papers » (Dépêche AFP sur HuffingtonPost.fr, le 09/04/2016)
          Le PDG du Groupe Alma, Monsieur Papillaud (ça s’invente pas, pour cacher du papier au Panama, en s’appelant Papillaud pour pas payer, c’est un vrai nom prédestiné) joue aux écureuils dans les planques du Panama ;)

          Le groupe Alma avec ce pitre à sa tête, c’est Saint-Yorre, Vichy Célestins, Vernière, etc. Je cite juste les « eaux bulleuses ». Je vous laisse découvrir les autres marques en eau plates détenues par ce voyou, comme Cristalline, Rozana etc etc.

          Oui, je suis méchant de vous dire ça parce que je suis sûr que désormais l’effet bénéfique de ces eaux sur votre digestion va être… amoindri.
          Mais en fait, c’est pour votre bien. Comme ça vous ne dépenserez plus d’argent dans ces boissons toxiques à plus d’un titre ;)

          Je trouve étonnant que si peu parlent de tous ces pitres (Notez que Drahi et Balkani sont une fois de plus dans le -sale- coup).
          En même temps, qui les traduira et les jettera en taule ? Surement pas les clowns de notre classe politique, ils sont mouillés eux aussi.
          C’est vachement bien fait quand même, car Drahi contrôle l’info, et Balkany vote les Lois et… les Français payeront.

          Allez, comme je veux quand même vous faire sourire, je vous place le lien vers l’article excellentissime d’Agnès M du Blog Monolecte : Panama Papers for losers (Monolecte.fr, Agnès Maillard, le 11/04/2016)

          Et, en ce moment, comme un écho à ces Panama papers, Luxleaks qui verra les lanceurs d’alerte en prison et les voyous… au Panthéon, l’affaire est en cours. Gageons que ça va être là aussi vite réglé.

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            Merci, je n’avais pas creusé cet aspect-là pour la flotte, mais ça ne m’étonne pas.
            Mon « étude » m’a été très utile pour revoir ma consommation, car je suis passé aux eaux les moins chères et les plus « neutres », mais je reste chez… Alma :-(
            Mon budget a été considérablement réduit sur le prix aux litre, mais aussi sur la quantité, puisque la réduction drastique de sel fait moins boire. Ne parlons même pas des autres saloperies.

            En ce moment je me tais sur les sujets que vous évoquez, car c’est le dégoût généralisé qui l’emporte. Mais je vais m’y recoller…

            Pour le scandale en cours du « jugement » au Luxembourg, je suis ça sur Mediapart, auquel j’ai fini par m’abonner, ne serait-ce que par soutien. À vomir, une fois de plus. Mon billet précédent, allégorique avec le geai, avait notamment cette affaire en ligne de mire, mais pas que.

            Oui, Le Monolecte est un délice, et Agnès passe parfois ici en laissant un commentaire :-)
            Je vois d’ailleurs, avec votre rappel, qu’elle a changé le format (thème maintenant « responsive ») de son blog…

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            Ah, le délicat Monsieur « Papillon » qui s’est permis, au cours d’un repas d’affaires avec le Président de la société française d’un grand groupe international, d’enlever sa chaussure et la lui faire sentir !
            La super classe !
            Un premier de cordée.
            J’imagine qu’il a envoyé paître son responsable marketing (ce qui en soi est plutôt une bonne idée), lui disant qu’il allait lui-même faire son film de pub et qu’il ferait donc « Nââturellement » des économies. J’imagine aussi son larbin lui roucouler : « Comme tu es beau mon Papillon !!! »
            Scène de vie médiévale.

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              Le pire, c’est que des personnages imbuvables ;-) de ce genre se montrent de plus en plus dans les publicités, c’est tellement… Facilis !
              Des « égos » que je trouve obscènes.

              PS-Édit : Je vois que Pierre Papillaud ne fera plus renifler ses pompes ici-bas (ni sur la TNT), puisqu’il est décédé le 13/06/2017… J’imagine qu’on a dû passer la chanson « Roxanne »* de « The Police » à son enterrement. ;-)

              *Il était PDG du Groupe Roxane, actionnaire majoritaire du… Groupe Alma !

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                Oui, j’ai vu cela aujourd’hui lorsque j’ai papillonné sur le web ! On lui souhaite le paradis… Fiscal… qu’il aimait tant.

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          Bjr, j’aime également bien la Chateldon mais depuis que dans un documentaire d’Arte j’ai appris qui en était propriétaire dans les années 1930/1940 je lui trouve maintenant un arrière goût….

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            Disons que la région a une sombre histoire.
            Nous ne sommes pas loin de Vichy…

            Châteldon a vu naître Pierre Laval qui, effectivement, a racheté la source. Mais il n’est pas connu que pour cela :-/

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    Quelle lecture passionnante !
    entre 3 et 4 h du mat.
    Je me sens moins bête et j ai beaucoup apprécié vos styles et vos orthographes irréprochables (ça change des forums à la noix!)
    Bon, je vais dormir….

    Ps: je comprends maintenant mon mal au bide:
    Saguaro pétillante source St Michel achetée chez Lidl avec citron bio fraîchement pressé + stevia pour le goût. …bu 2 grands verres tout à l’heure.
    Et moi qui croyais cela bon pour ma santé , je vais me remettre au pinard …. bio….
    ( peut-être un peu moins sulfaté )
    Faut bien rêver!

    Cat De Péz

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      Merci pour votre préambule (prêt en bulles ?) sympathique ;-)

      De l’eau aromatisée ? Mon dieu, là vous cumulez, en effet !

      Mieux vaut acheter de l’eau classique et y ajouter un peu de jus d’un citron « bio » fraichement pressé…
      Quant au Stevia, n’en parlons même pas.
      Dans ce cadre, optez donc pour la Saguaro Adeline (bouchon rouge, chiffre 1 sur le pack), ou pour sa version Eco+ à 26 centimes au lieu de 35 la bouteille d’1,5 litre… (Voir mon addenda)

      Et, pour ce qui concerne vos œuvres d’artiste-peintre, joli travail :-)

      Site de Catherine Romet Soret, artiste peintre

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        Merci pour vos précieux renseignements et de vos commentaires sympas sur mes recherches picturales. :)
        Il m’aura fallu attendre l’âge de la retraite pour enfin concrétiser ma passion pour la peinture abstraite.
        … et pour ouvrir encore plus grand les yeux sur les cochonneries que la société de consommation nous propose.

        Car il en faut du temps pour déchiffrer les étiquettes presque illisibles de tous ces produits.
        Bravo pour votre travail si complet et méticuleux !

        Quand j’étais mère de famille je faisais déjà très attention à ne pas donner n’importe quoi à ma progéniture.
        Mais les produits bio étaient beaucoup plus chers que maintenant et mon budget n’était pas à la hauteur !

        Malgré tous mes efforts, j’espère ne pas avoir fait  avaler trop d’OGM, de pesticides ou d’antibiotiques à mes enfants.
        (sans parler des colorant, des produits chimiques, etc.)

        Maintenant autonomes ils sont très conscients de ce qu’il vaut mieux mettre dans leurs assiettes.
        —————-
        Savez-vous si nous avons suffisamment de recul pour évaluer les méfaits de toutes ces cochonneries que certains ont dû avaler pendant des années ?

        – cancer, RCH, diabète… etc.
        (sans parler d’obésité très à la mode en ce moment)

        À 30 ans, un de mes enfants, apparemment en excellente santé à été atteint de RCH.
        2 ans de traitements sur traitements, très pénibles, hospitalisations et tout et tout, passons…
        Bref ça s’est terminé par une colectomie totale !!!
        Heureusement il s’en est très bien sorti, fait beaucoup de sport, a un métier passionnant et gère très bien son handicap. 

        Si je vous parle de tout cela, c’est parce que je me suis posé énormément de questions sur les causes de cette maladie et sur ma propre responsabilité de parent.
         
        Cette fichue course au rendement à tout prix au détriment de notre santé est vraiment à proscrire avec toute ses violences et ses pollutions (animaux maltraités, cultures empoisonnées, CO2 des camions, mers salies ….etc.).

        C’est pourquoi j’apprécie votre site qui dénonce tous ces abus qui nous détruisent et bousillent notre Univers.

        NE NOUS LAISSONS PAS BOUFFER PAR LA MALBOUFFE !

        Il faut réagir et agir vite avant que le ciel nous tombe sur la tête :)

        Bonne journée, le printemps est arrivé.
        C.

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          « Savez-vous si nous avons suffisamment de recul pour évaluer les méfaits de toutes ces cochonneries que certains ont dû avaler pendant des années ? »
          Bien sûr qu’ils le savent/supposent, du moins en partie, il n’y a qu’à voir les « précautions & avertissements » qu’ils mettent sur les notices des médicaments (Pique-nique champêtre, cocktail pharmaceutique)…
          Mais ils vous disent toujours que la balance avantages/risques est du côté « avantages », même lorsque vous êtes confronté(e) au PIRE (et pour eux, ça devient le super-jackpot, en cascade).

          Le poids des lobbies est devenu insupportable, et les politiques sont dans leur camp (et ça n’est pas l’« accord » transatlantique TTIP/Tafta qui va arranger les choses).
          Quand un scandale arrive à sortir, tout est fait pour le minimiser, et même pour culpabiliser les… victimes !

          Pour votre fils, vous ne pouvez être responsable, puisqu’il vous/nous manque/manquait la vérité…
          Sa réaction est bonne : s’écouter, faire de l’activité physique, profiter de la vie, faire un métier qu’il aime… Et aussi et surtout réfléchir ET (tenter de) comprendre !

          Lisez donc l’un de mes billets récents, si ça n’est déjà fait ;-)
          DIABÈTE Club, bienvenue à Babette
          Il semble « léger », mais il va très loin pour qui veut bien comprendre et affronter la réalité.

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          Au sujet de la RCH, la mauvaise bouffe certes mais aussi peut-être les vaccins ? L’alu est un perturbateur du système immunitaire qui favorise les maladies auto-immunes…

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    Bonjour,

    Vos calculs sur le teneur en sel (NaCl) des eaux est inexacte, comme très souvent sur internet.
    Le sel de table découle de l’association du sodium et du Chlorures.
    Ainsi une eau riche en sodium n’a pas forcement un taux de sel de table aussi élevé qu’elle peut faire penser si son taux de chlorure est faible.
    Ainsi St Yorre ne contient que 0.53 g de sel de table par litre et non pas 4.27g/l.
    Ainsi, les eaux minérales les plus sodiques ont des teneurs en sel comparables à l’eau du robinet (norme de qualité fixée à 0,4 g de sel/l pour les eaux du robinet).
    Les eaux gazeuses sodiques contiennent surtout du bicarbonate de sodium, qui n’est pas le chlorure de sodium.

    Merci d’apporter un correctif car des informations aussi fausses que celle-ci me fait douter sur le sérieux de votre blog.

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      « Merci d’apporter un correctif car des informations aussi fausses que celle-ci me fait douter sur le sérieux de votre blog. »

      D’abord, je ne réponds pas à ce genre d’injonction, surtout ici, et avec une telle formulation.

      « …si son taux de chlorure est faible » : manque de bol pour vous, la Saint-Yorre présente un taux de chlorures de 322 mg/l, le plus élevé après Rozana (649 mg/l), ce qui casse d’emblée votre argumentaire.

      Ensuite, je vais ressortir la photo de la vieille salière La Baleine qui m’a servi de référence :

      Apports nutritionnels sel de cuisine La Baleine 71897/A

      S’il y a 0,39 g de sodium dans 1 g de sel de cuisine, simple règle de trois, 1,708 g/l de sodium (St-Yorre) représente 1,708/0,39 -> 4,379487179487179 grammes de « sel de cuisine » par litre d’eau. CQFD !
      C’est bête, c’est purement mathématique, mais je fais avec les moyens du bord, ma logique, et les infos que l’on daigne donner au CONsommateur pour lui faire avaler n’importe quoi.

      Composition moyenne Saint-Yorre source Royale

      Notez d’ailleurs que sur les bouteilles d’eau il n’est jamais question de « sel », mais de « sodium »…
      Mais il y a une exception, en effet, c’est St-Yorre, avec ce renvoi sur l’étiquette : « (1) équivaut à 0,53 g de chlorure de sodium (sel) par litre »*
      Comme le mot « sel » est mis à toutes les sauces dans l’agroalimentaire, je préfère mon bête calcul avec l’interprétation qui va avec.

      D’ailleurs, je viens de photographier la dernière génération de salière La Baleine, et devinez ?

      Apports nutritionnels sel de cuisine La Baleine 71897/D

      La mention de « Sodium » a tout simplement été supprimée !

      On voudrait noyer le consommateur, on ne s’y prendrait pas autrement.

      Oui, je sais, je suis encore plus con qu’une salière, et je rigole comme une Baleine ;-P

      *En fait, j’attendais une remarque sur ce point, mais je pensais qu’elle viendrait plus intelligemment.
      Et pourquoi est-ce vous, un simple consommateur (je suppose), et pas M. Pierre Papillaud qui vient maugréer, voire insulter ?
      Il pourrait aussi essayer de nous vendre (ici) l’indéfendable Rozana…
      Mais bon, lui, il sait à quoi s’en tenir !

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        Le mot SEL a une définition bien précise en chimie (souvenez-vous du cours de seconde : acide+base donne sel+eau) et s’applique à de nombreux composés solubles dans l’eau mais dans le langage courant on pense seulement au sel marin. Et l’ion sodium n’est qu’une partie du sel marin, donc il faut une certaine rigueur dans les inscriptions sur les étiquettes, pour savoir de quoi on parle.

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          Exact, on pense tout de suite « sel marin », et c’est normal.
          Mais ces étiquettes sont vraiment faites pour nous enfumer.

          Je rappelle que j’ai écrit cela à la fin de l’introduction de mon article :
          « Le but est de jouer le consommateur tout con, mais un peu… Grinçant ;-) »

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    Merci pour ce travail comparatif.

    De mon point de vue, il devrait être réalisé gratuitement, et de façon systématique, par une institution spécialisée, financée sur fond publics, avec un comité scientifique en charge de valider la méthode et vérifier les critères d’appréciations.

    Alors, on a bien quelque chose qui y ressemble.

    En France, cela s’appelle 60 Millions de Consommateurs et cela voit le jour en 1970.
    En Allemagne, cela s’appelle Stiftung Warentest (SW), et c’est antérieur de quelques années (décision du chancelier Adeanauer en 1962)
    Source : https://www.test.de/unternehmen/geschichte-5017009-0/?mc=kurzurl.unternehmen

    A noter qu’aujourd’hui SW ne bénéficient plus que de 11% de financement public.

    Les 2 font une étude sur l’eau en 2015.
    Les allemands la vendent à 1€.
    Source : https://www.test.de/Natuerliches-Mineralwasser-im-Test-4258945-0/
    Les français à 4,60€.
    http://www.60millions-mag.com/kiosque/qualite-de-l-eau-qui-faire-confiance

    Je ne suis pas allé plus loin sur le sujet (je ne bois pas d’eau gazeuse, sinon quand je vais au restaurant et j’achète des eaux minérales régionales qui ne se trouvent pas dans les grands réseaux de distribution).

    Pour revenir sur le fond de la marchandisation des biens publics, le « traficotage » des produits de consommation courante et la promotion plus que discutable de l’information au consommateur (lisibilité, pertinence, etc.), une solution claire serait :

    1 – Interdire la spéculation sur les matières premières (je ne vais pas plus loin, c’est un autre sujet).
    2 – Interdire le financement des médias par la publicité (en France, la publicité à la télévision est une décision qui date de 1968).
    3 – Réorienter les flux financiers industriels sur la valorisation d’actions d’intérêt général, comme par exemple le financement de ce type d’institution publique.
    4 – Mise en place d’un contrôle citoyen (désignation aléatoire, avec rémunération du travail et changement à fréquence régulière) et financier (chambre des comptes régionales, avec sanctions à la clé et mesure des actions correctrices, pas comme le rapport de la Cour des Comptes dont on ne sait jamais sur quoi il débouche).

    L’intention étant bien entendu de renforcer le discernement du citoyen, la légitimité des structures de contrôle, et leur pouvoir de préconisation et de sanction (en faveur de plus de responsabilité et de transparence).

    Tout ceci, bien sûr, est incompatible avec la gestion privatisée et financière de la monnaie (voir le problème de la dette) et le cadre de l’Union européenne régionaliste qu’on nous organise.

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      Effectivement, c’est normalement le rôle de ces associations « consuméristes », dites « de défense du consommateur »…
      Mais comme elles font partie du système et participent à sa perversité.
      Elles ne défendent principalement que leurs… intérêts !

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      J’aime beaucoup votre commentaire bien bâti, élégamment rédigé et argumenté.

      Je vous rejoins sur de nombreux points, mais tout comme PF, je reste parfois un peu dubitatif sur la sincérité des actions de certaines de ces associations.

      Mais ceci n’a guère d’importance, puisque de toute façon, même quand elles dénoncent à juste titre, personne n’y prête attention … regardez le contenu des caddies d’une majorité de Bœufs sortant des supermarchés et vous comprendrez que c’est pas gagné cette affaire ;)

      Bref à titre personnel je suis militant au sein de la meilleure des associations de consommateurs, elle est gratuite et est disponible chez chacun qui veut bien.
      Elle s’appelle « Le Bon Sens ».

      Oui je sais c’est mal parti, très peu d’adhérents pour cause de perte de cerveaux chez la majorité des bœufs CONcitoyens.

      Encore merci pour votre prose que j’ai bien appréciée et qui me permet de croire que tout n’est pas perdu quand on vous lit.
      J’espère d’ailleurs vous relire sur d’autres billets également.

      Bien à vous

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      Merci de m’avoir fait découvrir et lire scrupuleusement cette belle étude et ces beaux commentaires sans fautes de français.
      Vous m’avez donné l’envie de devenir un consommateur tout c.. mais un peu grinçant.
      Bien qu’ayant un cerveau un peu lent, j’ai passé un peu plus de deux heures très instructives.

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    Pour aller chercher le pack d’eau le plus économique, il faut vraiment en vouloir et avoir le bras long :

    Packs d'eau gazeuse inaccessibles en rayon

    Je précise que le premier niveau est à une hauteur d’environ 1,40 m.
    En fait, c’est impossible !

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        Ben non, c’est prévu, y’a rien pour ça :-(
        Et même avec un grappin, faut le ramener, le pack de 9 litres…
        Ensuite, en général, c’est la poignée qui lâche !

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    Erreur fatale ! quand on veut jouer le critique et l’apprenti sorcier sans vrai connaissance en chimie !

    Trop salées les eaux minérales gazeuses ? Halte aux idées reçues !

    À tort, 88 % des Français(3.) croient que les eaux minérales gazeuses contiennent trop de sel. C’est en raison de leur teneur en sodium, trop souvent confondu avec le sel (chlorure de sodium), alors que le sodium n’est qu’un de ses composants. Or, VICHY Célestins est une eau bicarbonatée sodique : le sodium qui la compose est, avant tout, du bicarbonate de sodium, à ne pas confondre avec le sel (chlorure de sodium). En effet, il n’a pas les mêmes effets sur l’organisme. Des travaux scientifiques ont montré que le bicarbonate de sodium n’aurait pas d’impact sur l’hypertension(4.).
    VICHY Célestins peut donc être consommée au quotidien par tout adulte en bonne santé, sauf en cas de régime désodé strict(5.). Sa teneur en sel – 0,38 g/l est comparable à celle de l’eau du robinet (référence de qualité à 0,4 g/l de sel). Le « goût salé » typique de VICHY Célestins provient essentiellement… des bicarbonates de sodium.

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      C’est rigolo votre propension à vous voiler la face ou à vouloir désinformer ou jeter le doute sur mon billet.
      Vous rejoignez PC dans son commentaire (presque comminatoire) du 25 mai 2016 @ 11:45.
      Et je vous renvoie donc à ma longue réponse, argumentée, du 25 mai 2016 @ 14:35.

      Je vais maintenant clore le débat sur ce point (sodium vs sel) en citant un sujet explicatif de France TV Info que je viens de trouver :


      Quelle est la différence entre sel et sodium ?

      Une trop grande consommation de sel peut avoir des conditions néfastes sur la santé. En plateau, Jean-Daniel Flaysakier revient sur les méfaits.

      L’abus de sel est dangereux pour la santé. La plupart des personnes en consomment beaucoup trop. Délibérément, mais également à leur insu. « Nos amis industriels, non seulement ils utilisent un peu de sel caché, mais parfois on ne vous dit pas les choses de façon très claire. Il y a le sodium et puis il y a le sel. Le sel c’est du chlorure de sodium. Quand il y a un taux de sodium marqué sur l’étiquette, pour savoir combien il y a de sel, il faut multiplier par 2,5 », explique en plateau Jean-Daniel Flaysakier.

      Selon la marque d’eau minérale, le taux de sodium est sensiblement différent. « La Salvetat est à 7 mg/L, la Badoit à 165 et la Vichy St Yorre est à 1 708 mg/L de sodium, c’est-à-dire 4,2g de sel par litre », rapporte le spécialiste santé de France 2.

      Quels substituts au sel ?

      « On peut déjà ne saler qu’à la cuisson et ne pas saler à table. C’est une première chose (..) Pour remplacer le sel, on a la chance aujourd’hui de disposer d’herbes aromatiques, de différentes épices, qui permettent de se passer plus ou moins de sel », confie Jean-Daniel Flaysakier.

      Quelle est la différence entre sel et sodium ? - Francetv info

      (Copie d’écran de ce jour, 08h00)
      Article source


      Ce ratio de 2,5, c’est très exactement ce à quoi j’étais arrivé avec ma boite de sel de table.
      Mes calculs sont donc parfaitement exacts, ainsi que l’illustration qui va avec (sel & balance).

      Et pour que ce soit bien clair, et comme c’est de salubrité publique, j’intègre aussi la vidéo qui correspond à la citation :

      C’est vous, qui commettez une erreur fatale en intervenant ici, sur ce ton, et avec vos arguments fallacieux.

      Comprendo ?

      PS : Je réitère par ailleurs, la mention spécifique de St-Yorre « (1) équivaut à 0,53g de chlorure de sodium (sel) par litre » sur ses étiquettes est soit erronée (?), soit mensongère. Comme je l’ai écrit, c’est 4,27 grammes de sel par litre, et non 0,53… C’est aussi clairement énoncé/affiché dans la vidéo à la 48e seconde :

      Vichy St-Yorre 1708 mg/L de sodium, soit 4,2 g de sel/L

      Versus :

      Composition moyenne Saint-Yorre source Royale

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        Bonjour,

        Super étude, merci.

        PhilippeC doit avoir des actions chez St-Yorre…

        J’ai une insuffisance rénale chronique et sous traitement corticoïde, après avoir fait un régime débile que j’ai trouvé sur internet, j’ai totalement supprimé le sel et les protéines, ainsi que les vitamines en faisant bouillir les légumes. Chose que je n’aurais pas dû faire…
        Je suis donc tombé en déshydratation.
        Pour me réhydrater, j’ai eu 3 jours d’hospitalisation avec perf NaCl et également boire 1 L de St-Yorre par jour pour booster l’apport en minéraux et en sel… Je préfère le Perrier, ça tombe bien, il y a 120 fois moins de sel, sodium, NaCl… enfin bref… toujours est-il, qu’en effet le sel, appelez-le comme vous le voulez, est le pire poison qui existe, car il est partout. Il en faut, oui, et suivant les personnes le dosage est différent, mais n’en abusez pas.

        En tout cas je cherchais une eau gazeuse, et grâce à votre étude je m’oriente sur le bon vieux Perrier et la Salvetat ou San Pellegrino en préférence à de la Badoit souvent suggérée au resto.

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          Content de vous avoir été utile.

          Oui, le « sel » est indispensable. Le problème, c’est que l’on nous en colle partout, de manière parfaitement cachée, quitte à nous faire crever ou à provoquer des « maladies » bien opportunes pour les lobbies médicaux/pharmaceutiques.
          La « polémique », ici, sur ce sujet, est d’ailleurs bien révélatrice. Et il y a eu des commentaires de « faux-nez » à plusieurs reprises sur ce coup :-/

          Restez en bonne santé, avec une eau équilibrée, et meilleurs vœux ;-)

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        Je réagis à une publication qui date de plus d’un an mais qui est d’actualité par les commentaires les plus récents. En regardant de près l’étiquette « composition » de Vichy Saint-Yorre, je vois le renvoi (1) qui a un effet trompeur. L’indice (1) pourrait être accolé à chlorure mais certainement pas à sodium ! L’équivalent en sel (marin) sous-entend chlorure de sodium seul, avant dissolution, et on passe aux oubliettes la teneur très élevée en ions sodium qui proviennent non seulement du chlorure mais aussi du bicarbonate, sulfate, etc. de sodium. Or c’est bien l’ion sodium Na+ qui est mauvais pour la santé. L’affirmation de Saint-Yorre (priez pour nous ?) n’est pas complètement fausse, elle donne le juste équivalent en NaCl sec, mais ce n’est pas là le problème, il faut tenir compte de tous les ions sodium.

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          Eh oui, ce « renvoi » (double), je l’avais à nouveau souligné hier (avec un crop de cette photo d’étiquette) dans mon commentaire de 11h32 en réponse à Fix que j’ai été finalement contraint de… renvoyer pour « Troll » en application de mes CGU et de sa volonté manifeste de considérer ce « renvoi » comme normal et juste.
          C’est de la triche, avec le risque que d’autres eaux les imitent, semant encore plus le trouble (c’est d’ailleurs le but) sur le peu d’informations disponibles sur les étiquettes (souvent considérées comme incompréhensibles).

          Dans la tête des gens, c’est le « sel » qui est dangereux (en en abusant), alors autant faire la « conversion », même si elle hérisse certaines personnes.

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    Je laisse les *polémiqueurs polémiquer et je vous remercie pour votre travail. Suite à des problèmes de santé, je recherche des eaux riches en bicarbonate, non pour en boire tout au long de l’année, mais pour une petite cure. Votre article m’a fait gagné un temps fou alors que j’étais en train de rechercher les compositions des eaux minérales une à une. En plus, j’ai appris plein d’autres choses intéressantes et je comprends bien que cette cure d’eau hyper minéralisée ne pourra qu’être de courte durée.

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      C’est exactement le but.

      Par contre, pour boire au long cours, mieux vaut une eau la plus « neutre » possible. Et, comme de par hasard, elles figurent parmi les moins chères, et c’est l’un des éléments intéressants à retenir de cette « étude ».

      Certaines eaux relèvent presque de la prescription médicale, et en abuser peut être dangereux. Par contre, pour combler certaines carences*, il y a des pistes…

      Quant aux « polémiques », je suspecte quelques lobbies/marques qui n’ont pas le courage de s’afficher comme il se devrait.

      *À condition que cela ne fasse pas tout et son contraire, comme les sulfates qui facilitent l’élimination du calcium !

      PS : Je laisse votre lien en ancre, car il fleure bon la Bretagne et le plaisir de vivre ;-)

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    Bonjour,

    Je suis à la recherche de trois degrés d’intensité de carbonatation différents et qui seraient distinguables uniquement visuellement (soit en nombre de bulles, soit la taille des bulles).
    Parmi toutes les marques que vous avez identifié, pouvez-vous m’en conseiller 3 pour lesquelles je pourrai trouver cette différence uniquement sur la base du visuel?

    Egalement au niveau du son des bulles, je recherche trois niveaux d’intensité différents.
    Merci.

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      Bonjour,
      Très honnêtement, j’ai abandonné cette piste qui m’est effectivement venue à l’esprit en faisant les tests.
      Le seul vrai moyen est de goûter (ou de regarder/écouter), et encore, les bulles s’en allant vite ;-)
      Par contre, vous observerez une déclinaison de certaines de ces eaux en « rouge », ou en « appellation », avec du gaz ajouté :Badoit Rouge vs Badoit Verte, Carola Rouge vs Carola Verte, Casino Puits St-Georges vs Casino Puits St-Georges Rouge, ou avec une référence aux bulles, comme Système U eau pétillante vs Système U fines bulles.
      Mais la différence n’est pas toujours flagrante :-/
      Et l’écart de prix, lui, peut être considérable, et ça fait cher le gaz carbonique. Par exemple, entre les deux Casino Puits St-Georges, plus de bulles, c’est un prix plus élevé de +27,8%, et de +38,9% pour l’Ogeu de Système U !!!

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      Eh oui, mais ça se vend !
      En plus, ça n’est pas donné pour de l’eau avec du CO2 et des arômes artificiels.
      Ensuite, le mieux serait de boycotter les restaurants de ces « chefs » qui se moquent du monde en vendant leur âme (artificielle ?) aux géants de l’agroalimentaire.

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    En ce moment sur Arte, le pitch :

    Nestlé et le business de l’eau en bouteille
    Documentaire d’Urs Schnelle (Suisse/Allemagne, 2012, 1h30mn)
    « Comment transformer l’eau en or ?
    Une entreprise détient la recette : Nestlé, multinationale basée en Suisse, leader mondial de l’agroalimentaire, grâce notamment au commerce de l’eau en bouteille, dont elle possède plus de 70 marques partout dans le monde. Une enquête édifiante. »

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    Bonsoir,
    En conclusion, je dirai qu’il ne faut pas s’arrêter sur une seule eau. Changez régulièrement de marque. Tous les mois j’achète une autre marque et j’en ai banni quelques unes et ainsi je ne me porte pas si mal. Parfois je bois aussi l’eau du robinet. Pas si mauvaise que ça.

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      Pour ma part, j’en fais maintenant « tourner » deux, les plus « neutres », et les moins chères d’ailleurs, car l’une à un pH un peu élevé.
      L’eau du robinet, oui*, à condition de la laisser un peu décanter au réfrigérateur… Par contre, pour les bulles :-( Mais en eau « plate », j’ai aussi opté pour ça.

      *Attention toutefois, en fonction des lieux, tout n’est pas si clair, et la “transparence” (sur la qualité, les analyses) n’est pas toujours de mise.

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    Plus ou moins intéressant mais vraiment de grosses erreurs.
    Dire que chlorures = eau de javel ! Ah ah
    Les chlorures sont liés avec sodium pour faire le sel.
    Ineptie sur le pH…
    Et j’en passe… bref je vous conseille de faire des recherches avant de faire peur aux gens !

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      Dans ce cas, on met « chlorure de sodium » sur les étiquettes, et pas « chlorures ».
      Pour le pH –> Potentiel hydrogène (Wikipédia)

      Je fais peur ? Non, j’informe, et je sais que ça dérange !

      Au fait, je vous conseille de rattraper le « Cash Investigation » diffusé hier sur France 2 : « Industrie agroalimentaire : business contre santé » (Recherche Google Vidéos)
      Il semblerait que vous en ayez bien besoin, à moins que vous ne fassiez partie de ce système mortifère…
      Ça illustrait parfaitement ce sujet et les embrouilles sur les étiquettes « nutritionnelles ».

      PS 19h45 : Je viens de réagir, rien que la façon dont vous avez positionné votre commentaire est détestable (en réponse au premier), je déplace en fin de fil…

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      Si, mon premier commentaire de mon récent billet « Les sardines de la rentrée des classes » est illustré par une copie d’écran de ce site ;-)

      C’est une très bonne initiative d’ailleurs, qui montre à quel point les associations « consuméristes » sont inutiles et transparentes en France, à part pour « vendre » leurs publications (papier ou via site web)…

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        Oups ! En effet ! J’avais vu la photo mais pas la source sous le lien, mea culpa.
        Les associations de consommateurs peuvent avoir une utilité, mais entre la théorie et la pratique… c’est comme les élus politiques :-)

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          Sous la capture d’écran, il y a (et avait) le lien direct vers le site et la page concernée.
          Je suis prudent, car s’agissant de droit des marques, même des photos de boîtes de sardines pourraient être considérées comme de la contrefaçon ;-)

          Donc, oui, je connais ce site, et même depuis sa création, ou presque.

          Les associations consuméristes font partie du système, et vous voyez ce qu’il en est…
          Curieusement, dès que le consommateur a besoin de se défendre, il faut passer par elles, avec l’efficacité que vous savez. Sans même parler des magouilles monumentales qui les concernent :-/
          Voyez aussi comment des émissions comme “Cash Investigation” sont suivie d’effets… Et la disparition de “On n’est plus des Pigeons” ?…

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            Les marques peuvent être tatillonnes sur leurs droits en effet, tout en volant/plagiant sans vergogne lorsque cela les arrange ! (cfr. affaire Zara)
            Juste pour rire (même si c’est à pleurer) : si la photo originale de ces boîtes de sardines était considérée comme une « contrefaçon », la reproduire ici serait… du recel de contrefaçon ?? On vit une époque surréaliste :-)

            Les associations de consommateurs ont perdu leur crédibilité à mes yeux depuis qu’elles utilisent les mêmes méthodes de marketing (proches de l’arnaque) que les entreprises qu’elles fustigent.

            Concernant les émissions, je ne les connais pas (j’ai le bonheur de ne pas avoir de télévision) mais je me méfie grandement des manipulations journalistiques. Autant ils peuvent utilement lever des lièvres et informer de pratiques inacceptables, autant je trouve qu’ils ont tendance à faire beaucoup de raccourcis et de sensationnalisme :-/
            C’est qu’eux aussi sont soumis au diktat du « faire plus (d’audience), plus vite, avec moins (de temps, de moyens) »… et de plus ils ont une pression liée aux actionnaires, aux annonceurs publicitaires et aux politiciens. Le produit qu’ils vendent n’est plus l’information, c’est nous.
            Je les trouve très forts pour se donner une *image* de politiquement incorrect, tout en restant en réalité très (trop) politiquement correct sur le fond.

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              Exact pour les photos des boîtes de sardines ;-)
              C’est d’ailleurs en gros ce dont l’on m’accuse/me menace pour avoir « cité » une « citation » d’arnaqueurs dont les textes pour pigeonner seraient… Protégés !!!
              Le (presque) début du fil : Demande de retrait d’information (1) ;-)

              Quand je cite une émission, ce qui est plutôt rare, je pense que vous pouvez y aller ;-)
              En plus, pour le dernier Cash Investigation, ça colle parfaitement au billet, avec démonstration à l’appui pour la méthode du « On jette le doute pour vous discréditer et noyer le consommateur final »

              Pour les associations dites « de consommateurs », j’aurais tant à dire, mais je diffère, je diffère :-/

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    Bravo pour votre site « grinçant » comme une symphonie au violon…
    Et cet article qui coule de « sources ».

    J’aimerai ajouter quelques gouttes à ce vase qui déborde déjà…
    L’opacité des étiquettes de composition chimiques est une escroquerie de technocrates pour berner le public.
    Il ne s’agit pas de CHIMIE mais de PUB COM pour endormir…
    Consommateur ça commence par CON…

    Même en connaissant bien la chimie, on ne peut pas comprendre les compositions !
    Les étiquette prennent aussi les chimistes pour des CONS !

    Explications (de chimie)

    –> Bicarbonate, sulfate, chlorure, nitrate, fluorure, N’EXISTENT PAS en tant que tels… Il s’agit toujours de Bicarbonate de quelque chose (élément joint) !
    – Bicarbonate de sodium ou de calcium ou de Magnésium
    – Bicarbonate veut dire 2 atomes de Carbone (bi-carbon) avec de l’oxygène (ate)
    –> Sulfate c’est pareil (« sulf » pour Soufre et « ate » pour oxygène) = Soufre et Oxygène
    – Sulfate de Sodium, sulfate de Calcium, sulfate de Magnésium… etc…
    –> Chlorure idem :
    – Chlorure de Sodium (sel de table)
    – Chlorure de Calcium (tendance à faire précipiter le Phosphore, pas génial pour la santé)
    – Chlorure de Magnésium (vanté par certains jusqu’au jour où il y aura un MAIS… ?)
    –> Nitrate …. C’est de l’Azote (N = Azote) et de l’Oxygène (ate). Si les nitrates s’avèrent des polluants de première ce n’est pas parce qu’il sont toxiques mais parce qu’ils favorisent les développements excessifs de certains micro-organismes. Et donc leur surdosage dans le vivant provoque l’essor de bactéries et d’intrus indésirables… Mais par ailleurs l’Azote permet de produire l’Ammonium qui est un « nettoyant » du corps… Cela finit en ammoniac dans les urines…
    –> Pour les fluorures, excepté le fluorure de Calcium, les autres fluorures sont tous des dangers toxiques pour l’être humain… Inutile de détailler au cas où… En effet ce serait vite la porte ouverte à la psychose !
     

    C’est peut-être bien de boire de l’eau…
    Encore faudrait-il expliquer le mécanisme de la SOIF.
    Ne cherchez pas, vous aurez du mal à trouver une explication (issue de doc ou milieux qui prennent soin de votre santé) de ce mécanisme naturel qui déclenche la SOIF.

    Pour ceux que cela intéresse voici un lien qui vulgarise ce détail.
    La soif expliquée pour la santé (AB Litho veritas – Sur BlogSpot.fr)

    Vous saurez ce que vous « sentez » dans votre gorge.
    Cœurdialement et chimiquement vôtre.

    PS : À l’heure ou BAYER et MONSANTO projettent (on aura du mal à empêcher ce désastre) de prendre le monopole mondial de la chimie pour la santé et la vie, il est peut-être temps de s’intéresser aux connaissances de la chimie naturelle (le langage de l’Univers) pour sortir des pièges énormes que nous tendent ces deux là !
    La vie n’est que chimie (avec un peu d’esprit en sus, si peu parfois) cessons de nous laisser conditionner pour ignorer la chimie.
    Si les indiens d’Amérique n’avaient pas pris de Winchester, ils auraient tous disparu !
    Réapproprions nous vite la chimie… c’est une question de vie ou de mort !

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      Si même les chimistes ne s’y retrouvent pas ;-)
      En effet, c’est de l’enfumage total, alors même que c’est notre santé qui est en jeu.

      Et les « pouvoirs publics » cautionnent et encouragent tout cela :-/

      Merci pour vos planches de vulgarisation en ancre et lien, elles sont bienvenues, d’autant qu’elles ne semblent pas provenir de « lobbies » ;-)

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        Les pouvoirs publics ne cautionnent pas cela, « ils le décrètent ».
        C’est là que les Lobbies montrent leurs influences.
        Dans tous les couloirs des POUVOIRS les lobbies sont à l’oeuvre !

        Vous avez raison de penser que ces planches ne viennent pas des « systèmes »…
        Mais aucun système ne peut les contredire !
        Toutes les données que j’utilise, sont dans les « savoirs acceptés » des systèmes.

        On peut expliquer très simplement quantités de détails de la santé en RE-dessinant les mécanismes, en fouillant un peu aussi bien sûr, les réalités scientifiques.
        Le souci c’est la nécessité de compétence pour comprendre et surtout du temps pour mettre à jour.
        Là les journalistes d’investigation sont un peu légers…
        Ils se limitent presque tous, à aller interroger tel ou tel scientifique (du système), qui va donner un avis qui ne mettra pas en cause (sa position avec le système) et qui de ce fait n’ira pas au fond des choses.
        Quant aux opposants, démunis d’arguments avérés du système, ils seront battus en brèche, marginalisés et discrédités…

        Un exemple avec le sel de table, pour la consommation duquel vous évoquez « un risque sanitaire » connu et entretenu par tous.
        Il s’agit du plus bel « enfumage » des lobbies de l’agro-alimentaire et des labo de chimie industrielle.
        En 1850 alors que toutes les conserves (viandes, poissons et autres) sont extrêmement salées, alors que pains et fromages sont très salés (il n’existe aucun autre mode de conservation que le sel), le Professeur Béclard fonde la Physiologie. Il est académicien et Pr à la Faculté, une pointure sérieuse.
        Il écrit dans son traité de Physiologie (le 1er du genre) page 430, qu’un être humain normal doit ajouter de 8 à 15 g de sel par jour à sa nourriture… ÉNORME n’est-ce pas.
        Une réalité validée par le consensus scientifique fondateur de la Physiologie !

        Depuis les années 50, les lobbies par visiteurs médicaux interposés, ont fait courir le bruit qu’il ne fallait pas dépasser 4g par jour sous peine de divers dangers métaboliques…
        En fait l’arrivée des corticoïdes sur le marché, s’est heurtée à cette consommation du sel, et pour diminuer les effets peu recommandables des corticoïdes, les savants du système ont jugé indispensable de supprimer le sel. C’est à ce moment là que les régimes sans sel sont apparus…
        (Aujourd’hui on en revient, ils déclenchent presque systématiquement des CANCERS du Pancréas.)

        L’agro-alimentaire américain (et mondial) s’est engouffré dans cette brèche en amplifiant au maximum cette orientation, en associant au passage les labo et les pouvoirs (genre OMS) pour généraliser la PEUR du sel…
        POURQUOI donc cet intérêt à effacer le sel ?

        Simplement parce qu’ils ont (en gros) 2000 additifs alimentaires à VENDRE à la place du sel qui reste une denrée naturelle disponible sans limite et donc sans énormes profits à la clef.
        En voilà un lièvre intéressant…
        Là le MAL est fait, on peut constater que même dans les milieux dits de santé naturelle, la majorité des gens sont adhérents à cette rumeur infondée ! Eh OUI infondée scientifiquement et métaboliquement !

        Si vous voulez plus de détails avec des « preuves accessibles documentées » vous pouvez consulter :
        Le sel (Na Cl) indispensable à la vie : indispensable à votre santé ! AFFIRMATION !
        (AB Litho veritas – Sur BlogSpot.fr)

        Vous découvrirez que la fameuse vitamine D que l’on ajoute partout dans les aliments de santé, elle, elle fait durcir les artères, pas le sel !
        C’est avec plaisir que je partage ça là où ça « grince ».

        Cœurdialement
        Un chercheur « contrebandier des savoirs naturels ».

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          « Quant aux opposants, démunis d’arguments avérés du système, ils seront battus en brèche, marginalisés et discrédités… »

          Je renvoie à mon commentaire du 18/09/2016-11h40, plus haut ici, où je parlais du dernier Cash Investigation où ils démontraient à plusieurs reprises la technique du « DOUTE », largement utilisée par ces industries devenues mortifères dans certains cas.

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            J’ai lu votre billet sur « l’aventure de Babette ».
            Pour soigner, on balance une enclume sur la tête du patient, et ensuite on l’asperge de produits chimiques « coûteux »…
            C’est un bon boulot de médecin, « boulon » du système !
            Quant à la souffrance émotionnelle (garantie en prime), c’est cadeauˆ!

            Cela peut se décliner avec d’autres pathologies CANCER, SEP, j’en passe et des meilleures.
            Les médecins « gardiens du monopole de la santé » sont devenus des inspecteurs pressés (à 1/4 d’heure la visite, il n’y a pas de temps à perdre) qui ciblent les symptômes identifiables rapidement, pour se contenter de prescrire un « médicament » qui a été vanté par un visiteur médical, et qui colle pile poil avec ce symptôme…
            Pour les effets secondaires on ajoute d’autres médocs et le tour est joué.
            A garder en mémoire : En France, les médicaments causent plus de morts que les accidents de la route…

            Pour faire écho à votre article sur le diabète :
            Pourquoi les diabétiques deviennent-ils aveugles ? (AB Litho veritas – Sur BlogSpot.fr)

            Vous comprendrez comment du simple plâtre dilué dans de l’eau peut conjurer ce fléau…
            OUI, cela réduit considérablement l’usage de l’insuline et des médocs associés…
            Pour les puristes de l’asepsie (peur des infections) vous pouvez acheter des bandes de plâtre en pharmacie (les bandes utilisées pour immobiliser les fractures) 5 euros les 2 m.
            Vous avez mal à la nuque, au dos, à une articulation, vous humectez 2 tronçons de 20 cm, vous les placez sur la zone douloureuse… Le temps que le plâtre sèche, vous sentez une amélioration.
            Il s’agit d’une amélioration de fond, Soufre et Calcium restaurent toutes les cellules de la zone.

            Si vous avez encore des doutes après cette lecture, renseignez-vous sur les eaux thermales pour lesquelles la Sécu rembourse chaque année 9 millions de journées de soins en cures thermales.
            80% des eaux thermales sont Sulfo-calciques (SOUFRE + Calcium = plâtre = sulfate de calcium).

            Au passage, étonnez-vous que l’AFRETH (l’association pour la recherche Thermale) ne publie que des statistiques d’évaluation d’efficacité et qu’elle n’engage aucun programme de recherche pour expliquer POURQUOI ces eaux thermales sont efficaces sur TOUTES les pathologies…
            C’est encore un coup des « lobbies » !
            L’AFRETH est aux mains de médecins du « système » qui contrôlent de près qu’aucune information ne viennent expliquer pourquoi des eaux naturelles permettent au patient de consommer beaucoup moins de médicaments (c’est le PREMIER critère d’évaluation de l’efficacité d’une cure par les « contrôleurs » de la Sécu…).
            OUI, vous avez bien compris, les cures thermales, par l’effet Sulfo-calcique réduisent la prise de médicaments (pour presque toutes les pathologies), les médecins de la Sécu le prennent en compte, mais le système laisse planer un doute fumeux pour préserver les marchés et les profits des labos…
            Il s’agit juste de VOTRE Santé… ????????

            Les eaux thermales, cela ne date pas d’hier, mais de quelques millénaires…
            Ça, les lobbies des Labos, ça ne leur plait pas du tout.
            Donc, ils discréditent et ils soudoient les organismes médicaux pour minimiser et marginaliser…
            Il ne s’agit pas d’une théorie du complot, mais d’une triste réalité de notre société.
            Si vous désirez comprendre le principe Sulfo-calcique du plâtre et donc l’efficacité des eaux thermales :
            Fontaine de Jouvence, les eaux qui guérissent… Le principe “Sulfo-Calcique” (AB Litho veritas – Sur BlogSpot.fr)

            Merci cher PF, c’est plaisir de « grincer » avec vous.

            Cœurdialement
            Ph PM Le contrebandier des savoirs naturels.

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              « Merci cher PF, c’est plaisir de “grincer” avec vous. »
              Vous pouvez, mais je tiens toutefois à préciser, puisque vous ne le faites pas, que vous êtes à l’origine de la méthode « STAM », « La santé par les pierres » & « Tout minéral ».
              Je ne voudrais pas qu’il y ait une sorte de prosélytisme dans vos propos, donc je souligne ce point, d’autant que vous vendez des pierres, mais aussi des formations de « lithothérapeute », relatives à l’activité « lithopragmatique ».

              J’aime bien creuser, et je voulais apporter cet éclairage sur vos interventions.
              J’ai lu quelques-uns de vos articles sur votre site AB Litho veritas, notamment ceux que vous avez cités ici, et je dois dire que je les trouve (très) intéressants, didactiques et étayés.

              Maintenant, vous êtes géologue (et chimiste), et il est certain que vous savez de quoi vous parlez (probablement bien mieux que moi) question étiquettes et composition d’eaux minérales, et donc minéraux notamment.
              J’apprécie donc votre « soutien », ainsi que votre éclairage ;-)

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                C’est avec plaisir que je soutiens votre démarche sur ces thèmes de la santé.

                Pour votre remarque « business », à laquelle je suis très attentif… j’ai bien essayé depuis quelques temps déjà, de ne plus mélanger  » activités commerciales » et résultats d’investigations sur des sujets santé… ce n’est pas toujours facile quand on a lancé des produits et des activités qui perdurent parce que cohérents.

                Pour s’écarter de ce « business », j’ai mis sur le net il y a plusieurs années déjà, le bain de pied au plâtre : je vend pas de plâtre, donc pas de compromission possible.
                Le principe sulfo-calcique est une application simple et naturelle de tout ce que j’explique autant dans mes publications que dans les principes que j’ai mis en évidence pour la santé NATURELLE..

                C’est en plus un exemple typique de l’occultation organisée (par les systèmes) qui existe autour des principes NATURELS de santé.
                En n’expliquant pas les principes scientifiques qui font l’efficacité des eaux thermales on laisse le marché des eaux minérales dans son flou le plus profitable… ainsi que le marché de la balnéo, en minimisant l’usage simple des minéraux… et en prime on ne s’occupe pas de la chimie, les labo peuvent continuer à occuper le terrain.

                Pour ce qui est de la remarque de Daniel vous accusant de faire peur sans « savoir »…
                Il serait utile que Daniel, évalue la perception générale que le public français peut avoir de la chimie organique, y compris dans les milieux dits officiels de la santé…

                Explication d’expert (pédagogique) à votre service :
                Le sel de table dont on cause ici, c’est du chlorure de sodium Na Cl (Na sodium, Cl Chlore).
                L’eau de javel est de l’hypochlorite de sodium (Na Cl O) soit pour « vulgariser » les notions de chimie (en simplifiant sans commettre d’erreur grossière) du sel, Na Cl, avec de l’Oxygène.
                Curieusement ces deux produits sont chimiquement très très proches et votre association n’est pas incongrue, cela peut faire peur mais c’est une réalité.

                De même que l’on peut prendre peur quand on considère que le Sodium et le Chlore, considérés individuellement sont MORTELS pour les êtres vivants.
                C’est donc une réalité de la chimie qu’il faut savoir dépasser, car sans le sel, Na Cl la vie est impossible.

                Quant au pH, c’est une échelle (logarithmique) théorique qui est sujette à de nombreuses interprétations et qui mérite quelques remarques de modérations.

                On place la neutralité au milieu (à 7, entre 0 et 14). Lorsqu’on étudie les corps chimiques on comprend vite que la neutralité chimique doit se situer (dans la réalité), aux alentours de 7,5.
                Cette théorie du pH est donc à prendre avec des pincettes…
                Avec les remarques précédentes on constate que des eaux avec un pH aux alentour de 4 sont assez ACIDE, comme peuvent l’être le vin ou la bière, comme c’est curieux…

                Je milite depuis des années pour une vulgarisation de la chimie NATURELLE afin de sortir de toutes les duperies que les lobbies industrielles s’évertuent à nous faire avaler.
                Malheureusement une ignorance crasse de la chimie, s’est installée y compris dans les milieux de la santé.
                Ce n’est pas un hasard, c’est une stratégie d’ensemble qui commence dès le collège et dès l’initiation aux sciences dites naturelles….
                Dans les programmes scientifiques on familiarise les jeunes avec les OGM en leur faisant étudier des manip sur Escherichia coli, mais on omet de leur faire toucher du Calcium métal.
                C’est terrible car cet exemple chimique permet facilement de comprendre la différence entre alcalin et basique.
                Cette distinction « chimique » pourrait servir à éviter de confondre les dangers de l’hydroxyde d’Aluminium (base utilisée dans les vaccins et à proscrire d’URGENCE) avec l’Aluminium métal qui n’est en rien dangereux …
                On voit avec ces détails que l’ignorance organisée sciemment autour de la chimie, évite tout débat public et c’est pourquoi votre investigation est une initiative d’intérêt public que soutiens avec toutes mes compétences (et expertises si nécessaires).
                Bonne continuation, grincer, grincer…
                Cœurdialement.
                Le contrebandier des savoirs naturels.

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                  Contrairement à ce qui est dit en particulier par Ph PM, les IONS sodium, potassium, chlorure, sulfate, bicarbonate ont bien une existence réelle dans les eaux qu’elles soient minérales ou du robinet. Il est par conséquent inexact d’affirmer que le sodium aurait un effet différent selon qu’il est sous le forme de chlorure ou de bicarbonate (Quand on vous fait une analyse de sang, on vous mesure la teneur en ION sodium).
                  Autres remarques :
                  – Le pH d’une eau n’a guère d’intérêt pour une eau chargée en gaz carbonique : quand le gaz s’échappe le pH croît, et la valeur sur l’étiquette dépend des possibilités de dégazage au moment de la mesure, en particulier si la pression de gaz est élevée. Si vous ne la consommez pas en une seule fois, le pH augmentera au cours de la consommation de la bouteille.
                  – Le chlorure (Cl-) a des propriétés chimiques totalement différentes du chlore (Cl2)
                  – Dans les eaux naturellement riches en CO2, ce dernier ayant un pouvoir dissolvant, les concentrations des ions est généralement très élevée (donc méfiance sur le caractère « naturel » du CO2 pour les eaux pauvres en sodium), en particulier les ions fer. Ces derniers sont instables à l’air, ce qui entraînerait un trouble rougeâtre après ouverture de la bouteille. C’est pourquoi le fer est retiré, ce qui nécessite d’extraire le gaz qui est ensuite réintroduit, d’où la mention regazéifiée avec son propre gaz.

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                    Pour répondre à GMic

                    Un seul argument pour ne pas considérer le « sodium » seul, sous forme d’ions ou au autre…
                    Le SODIUM est un métal alcalin corrosif, toxique et mortel pour un être humain.
                    Essayez de ne pas déformer ni mes propos, ni les principes d’une science dont vous semblez ignorez l’essentiel, malgré votre véhémence de néophyte.

                    Cœurdialement
                    Ph PM

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                      Et pourtant GMic n’a pas tort. Les formes physico-chimiques influent sur la propriété des éléments, en particulier en solution aqueuse il est tout à fait légitime de parler d’ions dont les propriétés sont heureusement différentes des atomes et molécules de base, sinon le chlorure de sodium dans toutes ses formes aurait aussi la virulence des deux poisons violents qui le composent.
                      Et comme GMic, j’ai bien l’impression d’être moins néophyte que vous sur le sujet ; nous ne sommes plus ici dans de la chimie pure mais dans les états de la matière.

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                        Merci de votre remarque cher Bernard, c’est avec ce genre d’appréciation :
                        « il est tout à fait légitime de parler d’ions dont les propriétés sont heureusement différentes des atomes et molécules de base, sinon le chlorure de sodium dans toutes ses formes aurait aussi la virulence des deux poisons violents qui le composent. »
                        Que l’on peut assurer que vous êtes bien néophyte en chimie ou incompétent (ce qui est plus grave).
                        En effet :
                        Du sodium SEUL atome ou ion, en solution dans de l’eau, va donner de l’hydroxyde de sodium, base corrosive relativement dangereuse, c’est juste de la SOUDE caustique…
                        Alors que :
                        Du sodium associé avec du chlore sous forme de Na Cl, qu’il soit soit sous forme solide (cristaux blancs) ou en solution dans l’eau sous forme « solutée » ou même en vapeur (ça peut arriver) reste « occupé » par ses charges d’électrons, et il ne donnera pas de soude caustique, pas plus que le chlore ne risquera de se transformer en acide chlorhydrique c’est donc bien différent.
                        Vous conviendrez donc que cela n’est pas pareil malgré la prise en considération des états de la matière, la chimie reste la chimie… Quant à être « pure »… Il semblerait qu’elle ait perdu sa virginité depuis longtemps, et il serait temps d’espérer qu’elle redevienne un jour plus naturelle pour tous.

                        En France, il faut constater qu’aujourd’hui on ignore magistralement la chimie élémentaire (nous venons d’en avoir un exemple), à tel point que les médecins qui soignent les maladies incriminant un désordre de Calcium ignorent la couleur de cet élément. Le grand drame de notre temps c’est malheureusement que les approximations aperçues ici ou là, l’emportent sur les données avérées.
                        En matière de science un minimum de « Bon Sens » est utile pour donner un avis (ailleurs aussi…).
                        Cœurdialement

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          D’accord sur les défaillances des associations de consommateurs, pas totalement libres, c’est clair, on le voit sur de nombreux sujets… Quelques actions d’exception pour faire oublier leurs défaillances par ailleurs…
          Quant à l’enfumage ? Une pratique à grande échelle ! Et dans de nombreux domaines…

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            La « défaillance » relève parfois/souvent de la connivence…
            Savez-vous qu’elles sont autorisées (légalement), à faire des « transactions » ???

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      Encore un addenda, pour de la Cristaline (source Cristal-Roc) dissimulée dans la gamme « Produits Blancs » de Carrefour (CMI).
      Même prix que l’original ailleurs, ce qui veut dire que Cristaline pourrait vendre encore moins cher que la MDD ;-)

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      Bonjour

      Merci pour toutes ces informations. Au final, il semblerait que les eaux les plus équilibrées si, l’on peut dire, apparaissent être souvent les moins onéreuses. La Cristaline me semble être le meilleur rapport / qualité prix ?

      Merci

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        Oui, mais parlons plutôt de « sources »…

        Les plus équilibrées/saines, à la lecture des étiquettes de composition, sont “Cristal-Roc” et “Adeline”.

        La Cristaline, c’est la source Cristal-Roc, que l’on trouve aussi sous la marque Carrefour « Produits Blancs », et probablement sous d’autres habillages dans d’autres enseignes.

        Quant à la source Adeline, on la trouve en Eco+ chez Leclerc, mais aussi chez Lidl en Saguaro Adeline (rouge). Probablement aussi sous d’autres marques/enseignes.

        Il s’agit, effectivement, normalement, des moins chères.
        Ainsi, je trouve (et consomme) de l’Adeline (Eco+) en supermarché (même pas en hyper) à 1,56 € le pack de 6 bouteilles d’1,5 L (donc 9 litres), soit 0,26 € la bouteille et 0,17333 € le litre.
        Dans le même magasin, je prends aussi de la Cristal-Roc, sous la marque Cristaline, au même prix à la bouteille (0,26 €), mais à 1,51 € le pack de 6 bouteilles d’1,5 L, ce qui abaisse le coût à 0,16778 € le litre :

        Pack de 6 Cristaline d'1,5L (9L), prix 08/10/2016

        Par contre, méfiez-vous de Lidl qui se moque de ses clients en vendant son “Adeline” au prix fort…
        26 centimes la bouteille d’1,5 L en Eco+, elle était vendue 35 centimes en Lidl-Saguaro lors de mon addenda du 11 avril dernier. Et maintenant, elle est passée à… 41 centimes* la bouteille !
        La même eau est donc 57,7 % plus chère chez Lidl !!! (Et la bouteille est du même plastique/PET, seule l’étiquette différant à composition identique.)

        La preuve en photo (prise hier) :

        Bouteille 1,5 L eau gazeuse Lidl-Saguaro Adeline, prix 10/10/2016

        Notez le « Exclusivité Lidl » : Ben voyons, on nous prend vraiment pour des cons !
        (C’est bien de l’Adeline avant d’être de la Saguaro !…)

        *Quelques jours avant, je l’avais même vue à 0,42 € la bouteille :-/

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        Ayant privilégié pendant de nombreuses années la Sainte-Marguerite, suite à votre tableau, je me tourne vers Ondine, une des plus « neutres ».
        Merci

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      Simple remarque qui pour moi vous a décrédibilisé malgré un travail non négligeable :
      Le Cl- (ions Chlorures) et le Na+ (Sodium) font le sel.
      Il est aussi aberrant de dire qu’on boit de l’eau de javel dans une eau cumulant Sodium + Chlorure que de dire qu’un bouchon de sodium = 1 bouchon de sel !
      Bref, je n’ai pas terminé la lecture d’un article qui semblait relativement bien construit de prime abord. Pour démystifier ce qu’il y a d’écrit sur nos bouteilles, il faut d’abord le comprendre…

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        « décrédibilisé » ?
        Mais c’est vous qui l’êtes !
        Avez-vous au moins lu ?

        Je remets donc la vidéo de mon commentaire (argumenté) du 10/07/2016-08h30 qui abonde à 100 % dans mon sens, justement, pour ce qui concerne le « sel », et c’est un toubib qui parle !

        PS : Normalement je ne valide pas un commentaire avec un mail visiblement totalement bidon –> Il m’est même impossible de vous répondre en « Off », sans parler de votre « courage ».

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          Pour rectifier les propos d’ Alakazam.

          Avant de JUGER (à tort), il faut parfois aller au bout des raisonnements… chimiques.
          Et comprendre que certaines « interprétations » ne sont pas déplacées… au contraire !

          Le Chlore normalement produit de l’acide chlorhydrique H Cl.
          L’élément Chlore par lui-même est considéré comme ACIDE.
          Le Sodium est un métal alcalin qui produit avec de l’eau une base Na OH (la soude caustique).
          Chlore et Sodium ensemble forment le sel de table Na Cl.
          Mais Chlore + Sodium + Oxygène forment une base : l’eau de Javel (Na Cl O)
          Si de l’eau H²O , Hydrogène + Oxygène, contient des Chlorures (indéterminés), des Ions Sodium (indéterminés), « on peut » retrouver de l’eau de Javel (Na Cl O) dans la formule.
          C’est un Risque majeur de possibilité avec cette « écriture » normalisée de l’étiquette.

          Lorsqu’on sépare (sur les étiquettes) les ions et les cations au prétexte de simplification de lecture, et de « mode chimique » autour des ions, on ne peut plus savoir COMMENT sont associés les ions et les cations. Là ou certains vont voir juste avec le taux de sodium écrit, du chlorure de sodium, d’autres pourquoi pas pourraient y voir de l’eau de Javel, le support de solution étant de l’eau H²O.
          Il est impossible d’opposer les deux points de vue à simple lecture des étiquettes.

          De cet éclairage en vient un autre. Le jour où les groupes connus qui possèdent le marché des eaux minérales mondial, désireront FABRIQUER une eau industrielle du même type (pour l’Afrique ou les machine à soda), cela ne posera aucun problème d’utiliser de l’eau de Javel dans une composition, ils pourront obtenir les mêmes quantitatifs d’IONS sur l’étiquette.
          Et vanter ainsi la « similarité » de composition avec l’eau NATURELLE qui sort de la terre.

          C’est ainsi que les POUVOIRS de la chimie industrielle prétendent faire mieux que la Nature !

          Cœurdialement

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            Ces attaques (répétées) sur le « sel » n’ont pour unique but que de « discréditer », et sont d’autant plus déplacées que j’assume totalement l’approche et annonce la couleur dans l’article.
            Pour parler « sel » dans l’eau qui nous est vendue en bouteilles, je pars d’une boîte de… sel alimentaire ! C’est probablement ce qui parle le mieux à tout le monde, et le résultat final est parfaitement juste, y compris avec la photo d’illustration sur la balance de cuisine.
            Rendre les choses simples et compréhensibles est sacrément embarrassant pour certains lobbies, car c’est bien de cela qu’il s’agit derrière ces « interventions » anonymes et dissimulées.

            De l’eau de Javel pétillante en guise de boisson pour l’Afrique ? Une telle idée risque d’être reprise par ces cyniques nuisibles prêts à tout ;-)
            Merci pour votre analyse.

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      Nouvel addenda, l’ECO+ Leclerc n’est plus de la source Adeline, mais Cristal Roc (comme la Carrefour en marque blanche)…
      Vous passez donc du repère R au repère N pour l’analyse/composition.
      C’est donc de la Cristaline qui ne dit pas son nom, et elle est même vendue plus cher !
      La cohabitation des packs en linéaires ne manque pas de sel ;-)

      Si vous vous posez la question d’une éventuelle différence quant aux « bulles », sachez que j’ai testé en « aveugle », et que je n’ai pu faire aucune distinction entre ces deux eaux (achat simultané, même température lors de la dégustation).

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      Je tombe par hasard sur ce site que je ne connaissais pas en cherchant des renseignements sur les machines à gazéifier et je l’ai mis en favori… même s’il manque mon eau préférée, la Vals (dont je vais aller lire l’étiquette de plus près). Attention la Cristaline est une marque qui commercialise de l’eau issue de nombreuses sources différentes suivant les régions !
      Cdlt

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        La Vals, de l’eau ardéchoise de la commune de Vals-les-Bains (07) et non de Matignon (s’il y a une source Valls là-bas, elle doit être fortement toxique et très, très gazeuse, au méthane même, gazéifiée en Manuel).
        Pas vue dans mon coin, la Vals, malgré mes efforts, donc pas dans le panel.

        Pour la Cristaline, je ne parle que de la source Cristal-Roc (72370 Ardenay-sur-Mérize), celle que l’on trouve aussi sous de nombreuses marques de distribution (MDD). Sur ce point, voir mes addendas.

        De toutes les manières, il faut toujours se référer à la « source » avant de regarder la marque et sa déclinaison (regazéifiée plus ou moins, aromatisée, packaging). À source identique, normalement, la fiche d’analyses est identique…

        Pour votre texte tapé sur tablette, au clavier virtuel sans chocolat, il est corrigé ;-)

        PS : Puisque ce site est maintenant dans vos favoris, bonne lecture, car ici on ne parle pas que d’eau, même avec du gaz…

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      De retour à Paris après plusieurs mois hors de France, j’achète un pack de 6 bouteilles de Vichy Saint-Yorre au Carrefour de la rue Lacépède… et surprise, je constate que les bouteilles sont plus petites. De 1,25 l., elles sont passées à 1 l. Le prix, je ne sais pas, mais je parierai volontiers qu’il est resté le même – à moins qu’il n’ait été augmenté…

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        En général, dans un premier temps, le prix reste identique, ce qui représente déjà une hausse déguisée de 20 % dans votre cas, avant d’augmenter ensuite discrètement comme si rien ne s’était passé.
        Ce que vous décrivez est une vieille combine pour nous entuber. Par exemple (justement), sur le dentifrice, le tube « standard » est passé de 100 ml à… 75 ml. Soit une hausse déguisée de 25 %. Après, ils peuvent bien faire des « lots », il en manque toujours…
        Et c’est un non-sens pour la planète de réduire la taille des contenants.

        Sur l’eau, voyez ce que je signale avec les mêmes sources sous différentes « marques », et des prix qui peuvent varier de manière considérable à conditionnement comparable.

        Cela nous ramène aussi à une règle essentielle : toujours regarder les prix au litre !

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            Oh, ce genre de pratique se généralise… :-/
            Une autre façon de dire qu’il n’y a pas d’inflation, alors qu’en un claquement de doigts, elle est de 25 % !!! L’INSEE parlera de « tablette » à inflation zéro, à supposer que cela entre même dans leur « panier ».
            – Passer un contenant de 125 ml à 100 ml à prix constant –> + 25 % niveau prix !
            – Passer une tablette de 100 g à 80 g à prix constant –> + 25 % niveau prix !
            Il faut boycotter ces produits, et, plus que jamais, regarder le prix au litre/kilo, tout en ayant de la mémoire ;-) + En parler autour de soi…

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        Bonsoir M.N. Tranchart !
        Je peux vous répondre à ce sujet car j’habite aussi à Paris (depuis longtemps) et, en effet, dans certains magasins ils ne vendent plus d’eau Vichy St-Yorre de 1,25 L mais de 1 L, en revanche le prix reste le même (par exemple à Carrefour City, je me souviens qu’il y a quelques mois l’eau Vichy St-Yorre 1, 25 L était à 0,74 euros, et là elle est vendue au même prix, mais seulement en 1 L), et oui c’est de l’arnaque. En revanche au magasin G20 ils vendent toujours cette eau de 1,25 L et à un prix moins cher(0,61 euros).

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          Donc, c’est bien une hausse dissimulée de 25 % pour ce qui concerne le prix au litre :-/
          Par ailleurs, votre Carrefour City vend maintenant cette eau 51,64 % plus cher au litre que dans votre G20. En plus, vu de province (même si je connais très bien la région parisienne), un G20 devrait être plus cher qu’un CC.
          Oui, c’est bien de l’arnaque, et à plusieurs niveaux !

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            Même moi je suis très étonné que dans mon G20 le prix du st-yorre soit plus faible que dans mon carrefour city, en tout cas selon ma logique.

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              Effectivement, ça n’est pas logique…
              Et si c’est pareil pour d’autres produits, privilégiez ce genre de magasin toujours plus indépendant que les « Carrefour » et consorts.

              Et en plus, regardez dans mon « panel », la Saint-Yorre est à 0,352 € le litre… Vous la payez le double !!!

              La Ondine (propriété d’Intermarché), source Bron-St-Benoit (45), semble aussi être un très bon choix « neutre et équilibrée », mais ils la vendent un peu cher. pH de… 7,65 !
              Et elle est probablement plus difficile à trouver à Paris…

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                En effet j’achète plusieurs autres produits à G20 plutôt qu’à Carrefour City (car moins chers).

                Oui, j’ai vu, j’étais choqué quand j’ai vu sur le tableau : 0,352 euros le litre. Mais pas à Paris, et oui c’est plus cher.

                La Ondine, malheureusement je ne l’ai trouvé nulle part pour l’instant.

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                  Ondine, c’est la propriété (marque et source) d’Intermarché, et vous ne la trouverez que dans cette enseigne.
                  Je viens de regarder, et je suis surpris, car je croyais qu’il n’y en avait pas à Paris, mais si, il y a 16 magasins…
                  Bref, comme je fuis la capitale, je ne suis plus vraiment dans le coup, mais Internet est d’une grande aide ;-)

                  Avec un peu de chance, le prix sera peut-être à peu près le même que ce que j’ai constaté dans un Intermarché (simple supermarché, pas un hyper) de province à l’occasion de mon comparatif, soit 0,36 € la bouteille de 1,25 L.

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      Bonsoir à PF !
      Je voulais vous remercier pour cet article que vous avez publié, il m’a grandement ouvert les yeux.
      Tandis que je m’étais fait une idée de changer d’eau gazeuse j’ai décidé de voir les conseils d’eaux gazeuses et qu’est-ce qu’il se passe, je tombe sur votre article, alors je le lis attentivement et tout s’illumine au niveau de mon cerveau. Et dire que ces deux-trois dernières années je buvais à un rythme de 3 litres de St-Yorre par jour!!!!!!!!!!!!! quelle horreur!!!!!!!!!! pourtant je buvais cette eau car elle me sauvait des vomissements (et je la buvais en plus quotidiennement, même quand je n’avais pas mal au ventre), car à chaque fois que je buvais cette eau quand j’avais un gros mal de ventre je ne vomissais pas, et donc en deux ans je n’ai pas vomi la moindre fois, étonnamment, grâce à cette eau, curieux non ? Vous en pensez quoi ? Néanmoins, dès que j’ai lu votre article (c’est-à-dire le 17 octobre), j’ai radicalement décidé d’arrêter cette eau-là, et maintenant je ne bois que l’eau du robinet, et quand j’ai un peu mal au ventre je prends de la Salvetat. Au final, j’ai décidé de m’intéresser en détails aux eaux gazeuses grâce à votre tableau, et j’en ai déduit que les deux eaux gazeuses les plus potables étaient Ondine et Salvetat, et donc j’ai décidé d’acheter de la Salvetat tout simplement parce qu’elle est présente dans tous les magasins situés près de chez moi, contrairement à l’Ondine qui n’y est pas. Au sujet des prix, si vous voulez le savoir, chez nous à Paris, la Salvetat est à 0,50 ou 0,56 voire 0,65 euros (selon point de vente). La St-Yorre est elle à 0,54 ou 0,61 ou 0,74 euros (selon point de vente).

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        Bonsoir,

        Content que cela vous ait été utile, c’est d’ailleurs le but.

        Les eaux ne sont pas anodines, surtout celle que vous citez (St-Yorre et ses concurrentes directes), qui peut avoir un impact certain sur la santé, et pas forcément positif.

        J’ai aussi longtemps été abonné à la Salvetat, mais je suis passé à la source Cristal-Roc, encore plus « neutre », disponible sous plusieurs « marques » (Cristaline, Leclerc Eco+, Carrefour, etc.), et à un coût encore bien plus faible (prix au litre divisé par deux hors promotions Salvetat assez fréquentes).

        L’essentiel est de trouver un équilibre, quitte à tâtonner un peu… Il faut écouter son corps et régler correctement le curseur.
        Par exemple, plutôt que de boire de la Rozana pour son « magnésium », mais bourrée de bicarbonates, je préfère dissoudre un comprimé de Magnésium (effervescent et aromatisé) dans de l’eau du robinet… J’ai ainsi un apport « maitrisé » pour cet oligo-élément, avec du goût ajouté à l’eau, et même des bulles ;-)

        Je vous souhaite une bonne santé !

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          Le seul problème de Cristal-Roc, c’est son pH trop acide à 5,1, et j’ai vu qu’en général il est recommandé de boire des eaux de pH compris entre 6 et 8.

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            Exact, sauf qu’à ce niveau-là, je ne ressens pas trop la différence par rapport à d’autres eaux…
            Et ma consommation personnelle est loin d’être « anodine » ;-)

            Remarquez, il y a bien pire, avec la Plancoët bretonne, au pH de… 4,60 ;-)

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              En même temps c’est compliqué de trouver l’eau gazeuse parfaite sur tous les points, a priori y en a pas. Il faut voir celles qui contiennent le moins de saloperies possibles, c’est la solution.

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                Si, les moins chères sont les plus « correctes ».

                Par contre, pour toutes ces eaux, il y a un sujet qui n’est pas abordé, c’est celui des « polluants & toxiques » autres que ce qui est prévu sur l’étiquette… Et là, c’est l’omerta :-/
                Le problème est d’ailleurs le même avec l’eau du robinet, car on ne nous dit pas tout.

                Par exemple, en octobre dernier, je suis tombé sur une affiche « Contrôle sanitaire des eaux de loisirs – Présence de Cyanobactéries dans l’eau », avec un classement « Niveau 1 ». Voici l’extrait :

                Analyse eaux de loisirs - Cyanobactéries Niveau 1

                Encart suivi de ceci :

                Cyanobactéries, effets sur la santé

                Le souci, c’est que cette « eau de loisirs » (un lac) sert aussi à alimenter l’eau du robinet du coin…
                Alors oui, il y a l’usine de traitement à côté, mais bon :-/

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      Bonjour,
      Article très grinçant ;) et intéressant ! Nous, ici à la Réunion, notre eau « naturellement » gazeuse c’est Cilaos dont la source est la source Véronique. Voici sa composition :
      Éléments / Proportion en mg/l
      Calcium (Ca2+) : 110,5
      Magnésium (Mg2+) : 70,5
      Potassium (K+) : 5,3
      Sodium (Na+) : 238
      Bicarbonates (HCO3-) : 1300,5
      Sulfates (SO42-) : 54,7
      Chlorures (Cl-) : 3
      Fluorures (F-) : <0,05

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        Oui, le site doit honorer son nom, et rester dans l’esprit ;-)

        « Naturellement gazeuse », pas de gaz ajouté ?
        Merci pour la composition :-)
        Il y a des eaux plus « neutres », mais beaucoup moins « locales » pour vous…

        Vous pouvez nous donner une idée du prix ?

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          Ils rajoutent du gaz après qu’elle soit déferrisée, et ils rajoutent du gaz issu de la source même.
          Le prix est de 0.58 centimes d’euro.

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            Assez classique le coup du « regazéifiée avec le gaz de la source »… À se demander s’il ne s’agit pas de sources de gaz plutôt que d’eau ;-)

            0,58 € le litre, ou la bouteille de quelle contenance ?

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      Attention, quand je parle de CRISTALINE, il s’agit de celle du tableau, à savoir la source CRISTAL-ROC, que l’on retrouve aussi dans des bouteilles MDD.

      En effet, dans la même bouteille « CRISTALINE », et selon les régions, périodes & points de vente, on peut trouver l’une des sources suivantes :
      – (Cristal-Roc)
      – Alizée
      – Céline
      – Chantereine
      – Cristaline
      – Eléna
      – Eléonore/Sainte-Aude
      – Floralies
      – Isabelle
      – Louise
      – Metzeral/Valon
      – Neyrolles
      – Saint-Cyr-en-Val
      – Saint-Jean-Baptiste
      – Saint-Léger
      – Saint-Martin/Saint-Médard
      – Sainte-Cécile
      – Sainte-Hélène
      – Sainte-Lucie
      – Sainte-Sophie
      – Etc. ? –> Groupe ROXANE

      Vérifiez la source, et regardez la composition, car c’est quand même très limite comme méthode commerciale !!!

      Et un addenda de plus ;-)

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        Pour Roxane, c’est Hovelange pour moi, Grand Duché du Luxembourg. Ça permet certainement d’imputer, par les jeux d’écritures comptables, les bénéfices à l’étranger.

        Étiquette bouteille 1,5 L Roxane-Hovelange du Luxembourg (contribution Lechauve, 20161102pm)

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          La société « S.A. Eaux de Beckerich »… Du groupe ROXANE… De l’imbuvable Pierre PAPILLAUD, celui qui se montre à la télé dans la publicité Rozana…
          C’est vrai, pratique d’avoir des sources au Luxembourg, surtout avec la couverture de l’eau pure ;-)

          Curieux que Jean-Claude Juncker tolère de l’eau sur son « duché »…
          Bon, c’est de mauvais goût, cette allusion, je cours boire une limonade !

          Édit 20h20 : Merci pour la photo, je viens de l’intégrer dans votre sobre contribution ;-)

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      Bonjour cher Mister Grinçant,

      Je viens de recevoir une info officielle sur les questions du Sel à consommer.
      Depuis quelques temps la médecine officielle se pose des questions sur les RISQUES du régime sans sel.
      Canadiens et américains sont en avance sur nous pour ce sujet.
      Ils remettent clairement (études à l’appui) la limite « imposée » de la consommation de sel.
      En France on réagit moins vite. Officiellement le DOUTE persiste. Faut tout remettre en cause.
      Alors voilà ce qu’on déclare officiellement sur ce sujet.

      Apports de sodium et mortalité : résultats après 25 ans de suivi. Medscape. 14 oct 2016 (Medscape.com)

      « …
      Convertir le sodium en sel
      1 g de sodium = 2,54 g de sel de table.
      100 mmol de sodium = 6 g de sel »

      MEDSCAPE est un site qui diffuse les dernières INFO en matière de recherches médicales.
      Au passage, il donne une correspondance Sodium/Sel qui corrobore vos infos.

      Cœurdialement.

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        « Au passage, il donne une correspondance Sodium / Sel qui corrobore vos infos. »
        Merci pour cette conclusion ;-)

        J’ai remplacé la copie de l’article par son lien, car il est protégé par copyright.

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          Au passage, je conçois que ma démonstration* concernant le Sodium/Sel soit bigrement dérangeante pour certains, puisqu’elle est inversée, et part d’une boîte de… sel de table !

          *J’ai vu ailleurs que ce billet était qualifié de « non scientifique » (toujours les tentatives de discrédit), ce qui n’enlève rien à la justesse de mes remarques et analyses ;-)

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      Cela fait quelques temps que je bois de l’eau du robinet (alors qu’il y a un mois je me gavais de St-Yorre), et je me rends compte que je fais 3 types d’économie : financière (car l’eau du robinet est moins chère), au niveau du temps (pas besoin d’aller au magasin à chaque fois juste pour l’eau), émission CO2 (en effet je permets aux camions de moins transporter d’eau).
      Par ailleurs, j’ai moins souvent mal au ventre que lorsque je buvais du St-Yorre.

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        J’ajoute aussi les bienfaits pour la planète en économisant en « contenants » en polytéréphtalate d’éthylène (PET)…
        Vous arrêtez aussi d’engraisser le groupe Alma/Roxane et son insupportable patron, Pierre Papillaud (celui qui s’exhibe dans la pub Rozana).
        Vous arrêtez d’ingurgiter des bulles à base de CO2, car je ne suis pas certain que le corps soit vraiment fait pour ça (cf.aérophagie).

        Bref, que des bonnes nouvelles ;-)

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            Perrier, c’est de l’eau plus « ludique » (positionnement marketing)…
            Et souvenez-vous du scandale de 1990, avec du benzène (gaz cancérigène) découvert dans des bouteilles aux USA.
            Perrier a mis près de 15 ans pour s’en remettre et a été racheté par Nestlé (Waters)…

            La Source Perrier, c’est à Vergèze, près de Nîmes, et l’usine d’embouteillage produit 1,2 milliard de « cols » (contenants individuels, tous formats) par an.

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                Je ne conseille rien, c’est à vous de vous écouter et de décider en fonction des éléments apportés, notamment via le tableau comparatif.
                Et tout dépend de quelle eau vous parlez ;-)

                Salvetat me parait plus intéressante sur la majorité des points (analyses chimiques), ainsi qu’au niveau du coût.
                Quant à Perrier, comme dit précédemment, c’est un pur positionnement « marketing », festif & bulles, avec une marque forte. Dans les bars, on demande un « Perrier citron », un « Perrier menthe », un « Perrier tranche », etc. Résultat que l’on peut parfaitement obtenir avec n’importe quelle autre eau gazeuse à laquelle on ajoute du sirop, un arôme ou une tranche de ce que vous voulez ;-)
                Une Salvetat-menthe ou une Cristal-Roc-citron, ça vous dit ?
                D’ailleurs, la plupart de ces marques déclinent leurs eaux avec des « arômes » et font la culbute question tarifs…

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                    Non, c’est une eau gazeuse exactement comme les autres, avec une marque forte et un « positionnement » purement marketing.
                    Dans le tableau, il faut comparer les valeurs, avec les mêmes critères pour choisir.
                    Quant au « goût » ou aux « bulles », il faut voir ça en « aveugle » pour être vraiment rationnel ;-)

                    Après, dans un bar, ça fait mieux de demander un Perrier que de la Plancoët ou de l’Ogeu

                    1. Avatar photo

                      Excusez-moi mais je ne comprends pas ce que vous voulez dire : « eau avec une marque forte et un positionnement purement marketing », est-ce que vous pourriez m’éclairer un peu ?

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                        C’est ce que l’on appelle une « marque culte » ou « marque iconique », avec un positionnement « haut de gamme », alors que c’est une eau gazeuse comme les autres.
                        Quelques slogans Perrier…
                        1870 : « La princesse des eaux de table »
                        1946 : « Le champagne des eaux de table »
                        1970 : « Perrier c’est fou »
                        1991 : « L’eau, l’air, la vie »
                        Ce dernier, plus « descriptif » (l’air pour les bulles, enfin bon, du CO2) a été relégué au profit de « Perrier c’est fou », mais fou en quoi ?

                        À une terrasse, on ne commande pas « une eau gazeuse », mais « Un Perrier », c’est plus classe.
                        Comme on ne commande pas un « soda cola », mais « Un Coca »… Bon, après, il y a des déviants/mafieux, limite terroristes qui réclament un « Breizh Cola » ;-)

                        Je suis même certain que beaucoup n’ont même plus l’impression de demander de l’eau en réclamant un Perrier…
                        Je pense que si on leur demandait pourquoi cette marque, ils/elles seraient bien en peine de l’expliquer.

                        « La légende de l’entreprise veut que dans l’Antiquité, le chef carthaginois Hannibal se serait désaltéré dans la source avant d’aller essayer de conquérir Rome et que des soldats de Jules César auraient reçu en récompense cette source édifiant un bassin de pierre qui préfigure l’établissement thermal du domaine des Bouillens. »
                        (Wikipedia, fiche probablement écrite par la marque)

                        Carrément une légende ???

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                Ah, au fait, ça n’était pas mentionné sur mes bouteilles, mais le pH (acidité) de Perrier serait de 5,5 selon ce qu’indique le site Nestlé Waters…

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                  Oui en effet j’ai vu ça sur internet.
                  Par ailleurs j’ai une remarque à faire au sujet de la quantité de nitrates dans Perrier, elle est d’environ 8 mg/L. Par comparaison avec l’eau du robinet de Paris je cite Doctissimo : « l’eau du robinet de Paris contient 15 à 48 mg/L de nitrates. »

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                    Toutes les eaux de ce comparatif sont sous la barre des 10 mg/L.

                    Une eau du robinet est forcément plus fluctuante qu’une eau de source…
                    Ils disent aussi : « La limite réglementaire de présence de nitrates dans l’eau est de 50 mg/L. Pour les nourrissons, certains pédiatres préconisent une limite à 15 mg/L. »

                    En cas de budget contraint, le mieux est probablement de trouver un équilibre entre la consommation d’eau du robinet et d’eau en bouteille, plate ou gazeuse. Sinon, ne buvez que de l’eau en bouteille adaptée à votre organisme et à votre goût.

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      Bonjour, je n’ai pas lu entièrement vos propos, mais je vous suis entièrement sur le sel ou le… sodium.
      J’ai acheté de l’eau Saguaro ces jours-ci et me demande si je ne vais pas la faire analyser : en effet, elle sent l’ail ou le moisi. Voilà pour le ressenti. Je n’ai jamais vu cela, ça ne m’était jamais arrivé avant. C’est de l’eau plate en 2 litres.
      J’ai laissé un mail à Lidl Moneteau-Yonne ce matin, j’attends ces jours-ci leur réponse.
      Je possède un Culligan à la maison avec en supplément un système AquaClear : l’eau est parfaite.

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        Une odeur d’ail, de moisi ?
        Ne serait-ce pas des traces/résidus d’acétylène (C2H2), ou de marqueur pour le gaz de ville, ou de mercaptan (comme la fuite à Rouen en janvier 2013 : « Une odeur de sueur, d’ail et d’oeuf pourri ») ?

        Mais il s’agit d’eau « plate », donc normalement pas de gaz…

        Le mieux est effectivement de la faire analyser, et surtout ne la buvez pas !;-)

        C’est quelle source ? (C’est marqué sur la bouteille).

        Pour votre équipement, tout le monde ne peut pas se le permettre. Et pour ceux qui sont dans un immeuble collectif, c’est le plus souvent inenvisageable.

        PS : Pas tout lu ? Oui, ce fil commence à être long ;-)

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          Bonjour à vous
          La composition de l’eau de la source du Prince Noir (eau de St Antonin) contient beaucoup de sulfate (1342 mg/l). Elle peut donc naturellement sentir l’œuf pourri (H2S).
          Comparée à l’eau d’un Culligan (eau vidée de TOUT) la différence de goût et d’odeur peut apparaître énorme.
          Cette eau de l’Aveyron traverse un plateau calcaire et elle se classe dans les eaux sulfo-calciques par excellence.
          Cœurdialement

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            Dans ce cas, il suffit de faire passer le contenu des bouteilles par le Culligan ;-)

            1342 mg/l de sulfates, bigre, c’est 3 fois plus que la San Pellegrino, la plus « titrée », en ce domaine, du comparatif !
            (Et donc entre 27 et 135 fois ce que contient l’eau du robinet à Paris.)*

            Et ils osent vendre ça ?
            Qu’ils préviennent, au moins, sur l’étiquette : « Cette eau de source peut avoir un goût naturellement nauséabond, voire infecte… »
            L’odeur doit être sympathique dans l’usine d’embouteillage !

            Merci pour l’info-explication ;-)

            *Extrait d’un site d’information (cieau.com) sur l’eau du robinet :
            « Sauf pour le calcium, le magnésium et les bicarbonates, la réglementation européenne impose que l’eau potable ait une composition équilibrée pour les autres sels minéraux et oligoéléments. En effet, une présence trop importante de ces éléments peut être nocive pour la santé. »

            « Les sulfates sont limités à 250 mg/litre car leur effet laxatif fait trop travailler les reins et ils font mauvais ménage avec le calcium. »

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        @lagalis
        Je suis passé ce soir dans un Lidl pour voir ce qu’il en était, et, en eau plate 2 litres, il n’y avait que de la « Source Eleonore » (44), et l’analyse m’a l’air plutôt bonne et équilibrée, avec des sulfates à seulement 38 et un pH de 7,7 :

        Eau Saguaro 2L (plate) Source ELEONORE

        Donc, si vous avez de la « Prince Noir » (post de Ph PM), mauvaise pioche ;-)
        Et s’il s’agit bien de l’Eleonore, il y a donc un réel souci :-/

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          Bonjour à tous,
          Encore fois, pour plaire à notre ami Grinçant, la démonstration qu’une « marque » change de source au gré des marchés…
          L’eau SAGUARO référencée sur le site
          http://fr.openfoodfacts.org/produit/20562182/eau-minerale-naturelle-saguaro
          est bien de la source Prince Noir…
          (je tiens des copies d’écran à disposition en date du 22/11/2016)
          Il s’agit bien d’une eau sulfo-calcique très utile pour un usage « curatif » limité, mais à déconseiller pour un usage quotidien à cause de sont haut taux de sulfate.
          La dernière information sur le site OpenFoodFact date de janvier 2016.
          La source Éléonore est référencée par « Cristalline » à Genrouet. (voir liste sur WIKI)
          Il n’existe apparemment pas d’info locale à Genrouet, sur cette source.
          En changeant de source sur l’étiquette, aurait-on oublié de changer de cuve pour remplir les bouteilles ?

          Que @Lagalis se rassure, boire de l’eau source Prince Noir, occasionnellement, est bon pour le foie, l’estomac, le système digestif et le métabolisme osseux, même si son odeur peut en repousser plus d’un.
          Il s’agit d’une eau curative pour « cure » à caractère thérapeutique.
          Une malveillance commerciale peut parfois cacher un bienfait pour la santé.

          Cœurdialement

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            Les contenants changent, les contenus changent…
            C’est bien ce que je disais, dans mes derniers addendas, ainsi que dans les commentaires.

            Et c’est aussi pour cela que je demandais à notre camarade lagalis quelle était la source mentionnée sur la bouteille.

            Maintenant, s’il a bien acheté de la source Prince Noir en Saguaro, il faudrait que Lidl prévienne de l’aspect « eau curative pour “cure” à caractère thérapeutique », alors même qu’ils la vendent par palettes, comme produit de consommation courante, et qui plus est en grandes bouteilles.

            Je rappelle que les sources Eleonore et Prince Noir sont vendues comme « eau plate », à moins qu’elles ne soient vendues aussi en « gazéifiée par adjonction de gaz carbonique ».
            Pour ma part, si je veux de l’eau plate, je choisis le plus souvent l’eau du robinet, enfin s’il n’y a pas de doute majeur sur sa potabilité ;-)

            PS : J’avais vu cette fiche, et il n’y avait pas de doute sur le fait que Lidl vende de cette source, mais elle est en 1,5 L et non en 2 L. J’en profite d’ailleurs pour corriger une petite erreur, son taux de sulfates n’est pas de 1342 mg/l, mais de 1377 mg/l à la lecture de l’étiquette photographiée.
            J’ajoute également qu’il ne sert à rien (ou presque) de boire une eau à la fois chargée en Calcium ET en Sulfates, puisque les sulfates font « fuir » le calcium de l’organisme.

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      Sidération de ma part lors du visionnage d’Enquête de santé : « Sel : alerte dans nos assiettes » de mardi dernier (29/11/2016) sur France 5.
      Parfaite illustration du poids des lobbies et de la technique qui consiste à « jeter le doute »…

      Il y a une chose qui dérange énormément l’agroalimentaire, c’est la formule, largement répandue, « Multipliez par 2,5 la quantité de sodium pour obtenir la quantité de sel » (voir plus haut)… Elle a le mérite de la simplicité en l’absence d’autres informations.
      Oui, mais voilà, il y a le Chlorure de Sodium, et le Bicarbonate de Sodium, en nous disant que c’est le Chlorure, associé au Sodium, qui fait du Sel (genre de table).
      D’où la mention, pour alléger, maintes fois relevée ici, de St-Yorre « équivalent à… ».

      Lors du « débat » qui a suivi, à une question de téléspectateur, une « diététicienne-nutritionniste », Angélique HOULBERT, s’est mise à citer trois marques…
      Dans l’ordre : St-Yorre, Vichy-Célestin et… Rozana…
      Pour dire que non non, il ne fallait pas confondre, que le bicarbonate, « ça change tout », et que des « études » en attestaient…
      Puis l’animatrice Marina Carrère d’Encausse enchaine « d’autres commentaires sur les eaux, puisque vous avez des eaux avec vous ? »… (Manœuvre grosse comme une maison)
      Pour qu’Angélique HOULBERT sorte des bouteilles de… St-Yorre, Vichy-Célestin et… Rozana… Pour mieux les commenter, citer et reciter les marques, et même montrer les étiquettes en détail.
      Bien évidemment, ces trois eaux, c’est « du tout bon » !

      Sauf que la Pr Irène MARGARITIS, chef de l’évaluation sur la nutrition et les risques nutritionnels à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) regardait ça d’un air dubitatif, en ne prenant pas la parole pour d’obscures raisons.

      Sauf également que le Pr Thibaud DAMY, cardiologue à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, opinait du chef avant de corriger mollement en disant que le sodium restait dangereux et que « ces eaux restaient clairement déconseillées ».

      Avant que Pierre MENETON, chercheur à l’INSERM, ne corrige à son tour, toujours mollement, mais avec un argument qui en dit long : « Le problème, c’est que le chlore peut provenir d’autres aliments, éventuellement, et donc, dans l’organisme, évidemment, ça va faire du chlorure de sodium… Donc, c’est pour ça que c’est quand même un discours qu’est pas… »

      Pour que la dernière parole soit laissée à notre porteuse de trois bouteilles probablement choisies au hasard…

      Voici l’extrait vidéo correspondant :

      De mon côté, j’ai beaucoup été attaqué ici sur le sujet, et notamment en « Off », avec même des insultes. Preuve évidente que le sujet dérange. Mais, curieusement, aucune marque n’est venue se défendre elle-même ici.

      Maintenant, admettons cet « argument » du bicabornate, mais je vais faire deux remarques :

      1) Pierre MENETON, chercheur à l’INSERM, avec son « Le problème, c’est que le chlore peut provenir d’autres aliments… » aurait tout simplement pu ajouter « d’autres eaux », et surtout l’eau du robinet, toujours très chargée en… Chlore ! Il y a donc reconstitution dans l’organisme du fameux « sel ».

      2) Angélique HOULBERT a cité uniquement trois marques, et sorti trois bouteilles, en positionnant curieusement Rozana dans le lot.
      Rozana est connue pour son patron, Pierre Papillaud, qui en fait personnellement la publicité dans des spots TV.
      Mais, P. Papillaud, c’est le PDG du Groupe Alma qui possède aussi, en plus de Rozana, entre autres marques… Saint-Yorre et… Vichy Célestin !

      Bref, vous voyez la fusée ?

      Ce qui est en outre très marrant, c’est que la même « diététicienne-nutritionniste », Angélique HOULBERT, nous montre ensuite des condiments, avec… des étiquettes pour cacher les marques !…

      Subitement, quelle pudeur !

      En plus, il n’a pas du tout été répondu à la question initiale du téléspectateur, posée par Michel Cymes (également toubib) « Certaines eaux minérales contiennent du sel, lesquelles éviter et lesquelles privilégier ? », ou alors de manière bien biaisée.

      Tout cela sentait l’embrouille et était clairement surréaliste…

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      Je ne suis pas allé au bout de la lecture… Vous voudrez bien m’excuser si la question a été traitée après ma démission (temporaire peut-être, car l’ensemble des commentaires, outre votre étude elle-même, sont fort intéressants).
      Vous évoquez, sans autres détails, les risques d’ingestion de salop….. radioactives.
      Mon épouse vient de me ramener un pack de six bouteilles de San Pellegrino « les Itinéraires du Goût » (est-ce de la « normale » ou une « spéciale » ?, identifiée L6314087010 sous la DLUO). La composition de cette eau transalpine indique la présence de 2,7 mg/l d’ion strontium (analyse effectuée à Pavie le 18 juin 2015, toujours d’après l’étiquette). Est-ce cela qui me rend fluorescent ce soir ???

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        Oui, c’est un peu « long », en effet ;-)

        Cette mention d’ion strontium n’est pas présente sur l’étiquette de la San Pellegrino du « panel »…
        Il faudrait voir si la composition de votre spécimen est identique sur les autres points.

        En général, les « séries spéciales » ne concernent que le contenant, pas le contenu.
        Celle-ci bénéficie-t-elle d’analyses selon des règles italiennes ?

        S’agissant de la radioactivité, comme dit dans le fil, il n’y a pas de réelles analyses (publiques) sur ce point. N’oublions pas qu’elle peut être normale, puisque la radioactivité est naturellement présente (un peu) partout.
        En France, on dit de Plancoët que c’est « L’eau la plus radioactive de France ! », c’est peut-être vrai, mais il faut le prendre comme une boutade ou un clin d’œil.

        Tant qu’elle reste « minérale » et « de source », il n’y a normalement pas matière à s’inquiéter.
        Par contre, si l’on se met à nous vendre de l’eau issue de centrales nucléaires avec adjonction de gaz carbonique, là, il y aura matière à s’alarmer et, effectivement, à devenir fluorescent ;-)

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            Excellente réaction de votre part (on voit le spécialiste…) (pour ma part, je m’étais contenté de remuer la truffe [non, pas le reste] comme un bon cabot, après avoir flairé le strontium).
            Voici donc la composition de « mon » eau :

            mg/L
            Ion Sulfate 402
            Ion Hydrogénocarbonate 243
            Ion Calcium 164
            Ion Magnésium 49,5
            Ion Chlorure 49,4
            Ion Sodium 31,2
            Silice 7,1
            Ion Nitrate 2,9
            Ion Strontium 2,7
            Ion Potassium 2,2
            Fluorures 0,5
            Résidu sec à 180° 854

            SOURCE S. Pellegrino

            Cela donne effectivement un certain nombre de différences -en plus ou en moins- par rapport aux caractéristiques de votre tableau. Ce qui me « chagrine » le plus : mes données sont en ions et non en mg/l. Est-ce comparable ? Mes souvenirs de chimie du bahut sont bien loin aujourd’hui…
            Y a-t-il une explication à trouver de ce côté ?

            Je n’avais pas davantage réfléchi à l’avantage pour la sécurité routière, n’étant plus vraiment piéton, mais plutôt grabataire. Bah…
            Bonne journée à tous.

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              Bon, je viens de trouver l’une de vos bouteilles ;-)
              Et en effet, l’analyse chimique est différente…
              À noter d’ailleurs que ces analyses sont réalisées par l’Université de Pavie (Italie).

              Voici l’étiquette que je viens de scanner (en grand format) :

              Sans Pellegrino, étiquette bouteille concours

              J’ai l’impression d’une actualisation* des analyses, la composition étant forcément instable.
              D’ailleurs, les écarts ne sont pas si considérables.

              Concernant la mention « ion » c’est une précision qui ne change rien à la nature de l’élément analysé, ni aux unités de mesure.
              Et si, c’est bien indiqué en mg/L.

              *Effectivement, c’est bien ça. Sur ma bouteille de référence, il est marqué « Pavia, 08/07/2011 », alors que sur celle-là, c’est « Pavia, 18/06/2015 » ;-)

              PS : J’ai mis en forme vos données, et j’y ai surtout ajouté les deux analyses manquantes relatives aux sulfates (le maximum du panel, avec 430 mg/L) et aux bicarbonates (à 243 mg/l, « Ion Hydrogénocarbonate »), bien présentes, mais habilement et probablement vicieusement placées sur la partie gauche de l’étiquette, mais bien indiquées dans mon tableau ;-)

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                  Mais non, ça va passer, il suffit de bien choisir votre eau ;-)
                  En plus, le « mystère » est élucidé, d’autant que la question de la fréquence de « mise à jour des analyses » sur les étiquettes mérite vraiment d’être posée…

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      Bonjour.

      Je suis perdue dans toutes ces informations.

      Pourriez-vous m’indiquer une eau à boire tous les jours sans aucun risque pour la santé ?
      Et qui apporte des bonnes choses au corps ?

      Merci par avance pour vos précieuses réponses !

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        Vaste question, mais tout est dit, ou presque…

        Si vous voulez une eau la plus « neutre » possible, cherchez les valeurs les plus proches de zéro dans tous les domaines (j’évoque les eaux les « moins chères »), sur une même ligne du tableau.

        Pour les « bonnes choses », relisez bien mon billet, et cherchez les taux élevés dans ce qui est « bon » pour vous (à voir avec votre médecin, après des analyses médicales pour détecter d’éventuelles carences), et évitez les mêmes eaux où ce qui est « mauvais » (voire toxique) est également présent dans des quantités importantes.
        Cela peut vous aider à combler des carences, mais attention à ne pas provoquer l’effet inverse.

        L’idéal serait de manger sain et équilibré pour vos apports quotidiens, et de boire de l’eau « neutre » pour vous hydrater/désaltérer.

        Ensuite, tout est question de quantités.

        Écoutez votre corps, il vous le rendra ;-)

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      Un peu de vin rouge aussi, le tanin a plein d’effets bénéfiques sur notre métabolisme, selon de nombreuses études trouvées sur internet, selon les sites sur la santé et selon la tradition populaire. Avec modération, bien sûr.

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        Oui, sauf que si nous avions les mêmes « analyses » sur les étiquettes des bouteilles de vin du commerce, croyez-moi, les pires eaux vous sembleraient miraculeuses pour la santé.
        Mieux vaut ne pas savoir, même avec « Modération » ;-)

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          Oui, « contient des sulfites », c’est toujours ça ! H2SO3 : gaz sulfureux et eau… c’est aussi produit par le diesel me semble-t-il… N’empêche que j’ai toujours plaisir à goûter un bon Bordeaux.

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            Mais choisissez bien votre eau pour diluer tout ça dans votre organisme ;-)
            D’autant que les boissons alcoolisées, ça… déshydrate !

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      Merci pour ce superbe test ;-)
      Je pense que la source de chez Saguaro Lidl a changé, car j’ai 1400 mg sur mon étiquette en hydrogénocarbonates…

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        Oui, les sources changent*, les étiquettes valsent, et les « analyses » ne sont que rarement actualisées.
        C’est d’ailleurs pour cela que j’ai mis sous le tableau à télécharger : « Ça bouge pas mal, fiez-vous à la “source”, et pensez aux addendas ;-) »
        Par ailleurs, ce billet ne peut prétendre en aucun cas à l’exhaustivité.
        Par contre, s’il peut « éveiller » le consommateur et le rendre plus attentif :-)

        *Elles sont (normalement) toujours mentionnées, mais parfois en petit…

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      Tout d’abord, je tiens à vous dire que je viens de passer plus d’une heure à vous lire (à la recherche de la ‘moins nocive’ eau gazeuse) et je me suis régalée ! Je comprends mieux les couleuvres qu’on cherche à nous faire avaler au moindre spot pub.
      De nature profondément sceptique, j’apprécie réellement le travail que vous avez effectué et bravo pour votre contre-argumentation excellement documentée!
      Et puis aussi, enfin un blog rédigé sans faute d’orthographe, me voici donc comblée.

      Pour en revenir au sujet des eaux gazeuses, j’avais décidé de porter mon choix sur la Cristalline mais manque de bol, Carrefour Market ne la propose pas sur son service Drive. J’ai trouvé l’eau gazeuse Orezza dont la composition ne me semble pas mauvaise et votre avis serait le bienvenu.
      Le seul bémol que je redoute, c’est le taux de radio-activité puisque la Corse en a été abondamment arrosée lors du fameux nuage qui s’est arrêté net à la frontière française grrrrr!!!

      En attendant le plaisir de vous lire et de recueillir vos commentaires, je vous souhaite une très agréable journée.

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        Bonjour Sam,

        Bienvenue, et merci pour les compliments :-)

        Ici, quand il est question de « Cristaline », il s’agit d’une marque sous laquelle on peut trouver plusieurs sources.
        Mais le plus souvent (celle du tableau), il s’agit de la source CRISTAL-ROC (72370 Ardenay-sur-Mérize).
        Et cette source, on la trouve dans des marques de distributeur, notamment comme Leclerc (ECO+), et Carrefour (Produits Blancs), justement (voir cet addenda). Peut-être est-elle dans votre Carrefour Market sous un embouteillage MDD ou sous une autre marque ?
        D’une manière générale, pensez à toujours regarder la source, car elle peut changer pour une même bouteille au fil du temps et des humeurs…

        Concernant l’Orezza, que je découvre, elle semble plutôt neutre/équilibrée, donc parfaitement adaptée à une consommation « normale ».

        Composition eau de source corse Orezza (capture orezza.com, le 11/03/2017)
        (Source : Capture site orezza.com)

        Par contre, je me demande si elle n’est pas onéreuse compte tenu d’une distribution probablement confidentielle (10,5 millions de bouteilles produites), surtout sur le continent.

        Concernant la radioactivité, c’est une donnée qui ne figure (bien sûr) pas sur l’étiquette, mais je ne pense pas qu’il faille s’en inquiéter.
        De toutes les manières, vous savez, le nuage de Tchernobyl est passé un peu partout sur notre territoire :-/
        De plus, le sol est naturellement radioactif, donc s’agissant de sources…
        Sachez que l’on dit de la Plancoët (Bretagne) que c’est « L’eau la plus radioactive de France ! » ;-), et que je n’ai encore jamais vu un Breton jaune fluo, sauf s’il porte un gilet…

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          Waouhhhhh quelle réactivité ! Merci pour votre réponse, je ne m’étais donc pas trompée sur le choix qualité. Par contre, au niveau prix entièrement d’accord avec vous. La belle Ile d’Amour se sucre largement mais quand on voit à qui OREZZA apporte ses sponsors, on comprend mieux.

          Je ne me rends pratiquement jamais au supermarché (complètement allergique), néanmoins je confirme qu’ils ne font pas figurer la CRISTAL-ROC sur leur service Drive. Je vais prendre mon courage à deux mains pour aller y faire un saut un de ces jours.

          Pour revenir sur la radio-activité, j’ai toujours entendu dire que c’était les régions de l’Est et plus encore le Sud-Est dont la Corse qui avaient été le plus largement touchées. Encore du pipeau ???
          En tout cas, MDR avec le Breton jaune fluo :D

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            À 0,26 € la bouteille de 1,5 litre en super/hyper (voire 1,51 € le pack de 6), il n’est guère étonnant qu’ils ne la mettent pas en avant en « drive ».

            L’Orezza me fait un peu penser à une eau de mon enfance, la Châteldon, à diffusion encore plus confidentielle (qualifiée de « rare », avec 3 millions de bouteilles/an)*, essentiellement en restaurants.
            J’ai eu la chance de la boire à la (vraie) source, minuscule, pas en pompage. Pas du tout « neutre », naturellement gazeuse, et très ferrugineuse, mais c’était un vrai délice/plaisir.

            Pour ce qui est du nuage de Tchernobyl, allez donc parler de la vague de cancers de la thyroïde qui a suivie du côté de Bordeaux :-/

            *Saint-Yorre & Célestins, c’est 100 millions de bouteilles par an. Perrier 200 millions… À pondérer du fait des « petits » formats.

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              Si vous avez l’occasion d’aller faire un tour en région Emilie-Romagne, Italie ne manquez pas d’aller goûter l’eau qui est mise à disposition gratuitement dans certains lieux publics.
              L’eau dans les lieux publics : 2. Les « Maisons de l’eau » en Italie (RAMPEDRE, « De la déclaration à la concrétisation du droit à l’eau! », rampedre.net)

              J’y ai découvert une source d’ eau merveilleuse dans un lieu paradisiaque dédié à Pic de la Mirandole, malheureusement je ne me souviens plus du nom du patelin.
              Les Italiens y viennent en famille le week-end pour y remplir leurs bouteilles pendant que les enfants s’ébrouent dans les bassins.

              Cette eau d’une composition très particulière est réputée guérir de nombreux maux. A l’époque, je venais de me casser un orteil et la moitié de mon pied était noire malgré les pommades à l’arnica.

              Une heure à laisser baigner mes pieds dans cette eau fraîche à souhait, et l’hématome était résorbé de moitié !

              Ensuite, dégustation de retour à la casa avec les quelques bouteilles ramenées : un nectar de vie qui accompagnait tous les petits plats concoctés par la maîtresse de maison.

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                Très belle initiative :-)

                …« L’idée de construire des fontaines ou des points d’eau potable dans les villes et dans les lieux publics est l’une des propositions contenues dans le “Manifeste de l’eau” lancé en 2005 par le Comité italien pour le Contrat mondial de l’eau. Elle a été reprise par les Autorités locales et des sociétés de gestion des services d’eau pour lutter contre le processus de marchandisation de l’eau et l’utilisation toujours plus accrue, pour boire, d’eau minérale en bouteille, en plastique, sous l’influence d’un propagande commerciale agressive. »…

                En France, c’est tout l’inverse qui se fait, il n’y a qu’à voir mon commentaire de ce jour, 08h33, au sujet de Vernière-Roxane :-/

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                  Je l’ai lu, du grand n’importe quoi ! La France se démarque de plus en plus de certains pays européens mais certainement pas dans le bon sens.
                  De toute façon, le bon sens n’a plus résidence dans cette France obsolescente.

                  Moi non plus, je n’y trouve plus ma place et écume le Net dans l’espoir d’y trouver un paradis perdu d’où je pourrai constater non sans amertume et sans compassion la terrible descente aux enfers de mes compatriotes.

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                    Buvez donc un verre d’OREZZA, ça vous remontera le moral.
                    Et les polyphonies corses, c’est tellement beau ;-)

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                      En cas de grosse déprime, je préfère un bon Jack Daniels ! Mais comme je n’ai pas envie de finir alcoolo, je préfère prendre le large là où le vent me portera.

                      Sachez que les polyphonies corses bercent la plupart de mes soirées et que je les emmènerai avec moi pour me tenir chaud. Si seulement la Corse n’était pas la France, le problème ne se poserait pas.

                      Je vais en parler à mon conseiller quadrupède en espérant qu’il ne se fâche pas que je le quitte !

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      Ce matin 08h10, sur BFM-TV, une publicité déguisée…
      Il s’agissait en fait de nous parler de VERNIÈRE, sacrée « Meilleure eau minérale gazeuse du monde »… Rien que ça !
      Dans un « sujet », interview d’un responsable du groupe… Roxane (propriétaire de la marque Vernière), puis d’un représentant de l’AVPA qui a « décerné » ce prix…

      Qu’est-ce que l’AVPA ? C’est l’Agence pour la valorisation des Produits Agricoles(1) (les phosphates et autres sulfates ?)… Bravo pour la notoriété désintéressée et mondiale !
      Le nom du « concours » ? « Concours International des Eaux gourmet «  ! Il faut donc comprendre que le mot « meilleure » n’a aucun rapport avec la santé, mais avec le goût (allez donc juger ce critère), ce qui n’a pas été souligné (bien au contraire, puisqu’un nutritionniste est interrogé ensuite pour faire l’amalgame(2) alors même qu’il ne cite pas cette eau)…

      Et devinez… Dans la séquence pub, juste après, BFM-TV nous ressort l’infâme (vieux) spot « Rozana » avec Pierre Papillaud dedans, patron du groupe… Roxane !!!

      Bref, la stratégie immonde et (presque) habituelle de certains groupes de l’agroalimentaire : une honte ! :-/

      PS : Quant à Vernière, allez donc regarder la ligne qui la concerne dans mon tableau :-/ Et pour ce qui est du « goût », mon « concours » à moi ne lui a rien trouvé de spécial.

      1) En fait une « Association sans but lucratif » clairement dédiée au lobbying…

      2) Et ce qu’il dit est parfaitement censé, puisque, sauf « besoins » particuliers, il incite à boire des eaux peu « minéralisées »… Donc « neutres », mon crédo ici…

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      C’est drôle, l’eau de source d’Ogeu non gazeuse vendue en bouteille est exactement la même que celle que les gens du coin ont au robinet… :)
      Les deux sont prélevées dans un rayon de même pas 50 mètres, et viennent du même bassin versant, le Piémont pyrénéen.
      On rajoute juste un chouïa de chlore pour celle destinée au robinet…

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        Et un chouïa de gaz carbonique pour celle dont nous parlons ici ;-)

        Et amusez-vous à comparer le prix de revient au litre entre celle au robinet et celle en bouteille…

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          Oui…

          En fait, celle de l’eau du robinet sort aussi avec le gaz, mais la source n’est pas sous cloche, donc le gaz s’envole alors que pour celle dite « minérale gazeuse » le forage est au sein de l’usine, et sous cloche, donc le gaz est récupéré…

          Étrange histoire… qui est en ce moment au tribunal administratif, car la SEMO n’a pas de périmètre de protection et se décharge sur celui du syndicat d’eau potable (en création laborieuse), dont le président est un ami du directeur de la SEMO.
          http://ogeu.mon.village.over-blog.com/2017/08/le-maire-du-puisatier.html

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            Ah, le « business », autour de l’eau !…

            Quant à celle en bouteilles, sans même parler du prix, les salades autour des « sources » – bien visibles dans le tableau – en disent long.

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              Ce qui est amusant, c’est que, les gens étant mis au courant d’une trop grande minéralisation de l’eau en bouteille, cette même eau d’Ogeu se déclare faiblement minéralisée…
              L’eau du robinet vous dis-je !… :)

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                Pour de l’Ogeu du robinet, je serais curieux du prix au m3, afin de le comparer à celui de la même eau en bouteille…
                Si vous pouviez regarder sur une facture ;-)

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                    Merci ;-)

                    Dans mon tableau, la « gazeuse » (naturellement) est vendue 0,48 € le litre :
                    – Soit 116,5 fois plus cher.
                    – Le pack de 6 bouteilles de 1,25 L (donc 7,5 litres) ne reviendrait qu’à 3 centimes d’euro, alors qu’il est vendu 3,60 €.

                    Ça n’est certainement pas comparable (quoique), mais le « gap » est hallucinant !
                    Je ne sais pas s’il y a des « métiers » où l’on peut se faire des marges aussi stupéfiantes.

                    PS : Et ne parlons même pas des « petites bouteilles » (1/2 L, voire moins) souvent vendues 2 € en distributeurs ou dans les gargotes…

                    1. Avatar photo

                      Et le prix des bouteilles ? La mise en bouteille ? Le transport jusqu’au magasin ? La marge du revendeur ? Je ne suis pas étonné que la matière première entre pour un montant négligeable dans le prix de vente final. Pour certaines eaux, il y a en plus le prix de la publicité à la télé.

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                        PF/Grinçant.com

                        C’est marrant, je l’attendais celle-là…

                        Et l’arrivée de l’eau jusqu’au robinet ?
                        Ah oui, au fait, le plus souvent les infrastructures sont financées sur fonds publics avant d’être confiées au « privé » pour la (mauvaise) « gestion » (et les énormes bénéfices)…

                        Bien sûr que je n’oublie pas tout cela, mais rien ne peut justifier un tel « gap/coefficient ».*

                        De plus, je rappelle que l’eau est un bien commun « privatisé », et l’on voit à quel point…

                        *Je viens d’acheter des tomates (plutôt belles) « Prince de Bretagne » à… 1€16 le kilo ! Et elles étaient bien en rayon, prêtes à la vente, dans des caissettes, et cueillies à la main…

                        PS : Tout le début de votre argumentation est automatisé. Les bouteilles, du PET, souvent récupéré par ceux qui s’occupent de l’eau (curieusement)… Le transport = Pollution (de l’eau ?). Les marges, extraordinaires. La pub, une autre pollution dont on se passerait bien.

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                          Il faut bien peser le pour et le contre pour animer le débat !
                          Souvenez-vous que nous avons déjà eu quelques échanges quand j’expliquais que j’avais renoncé aux eaux gazeuses en bouteille depuis plusieurs années et que j’utilise un Sodastream.
                          Quand je bois de la San Pellegrino au restaurant (ils n’ont pas de Badoit) je pense à tous les camions qui arrivent d’Italie avec les bouteilles pleines et repartent avec les bouteilles vides (oui, elles sont consignées et la mise en bouteille est à la source). Mais ce sont peut-être des trains… alors ce serait mieux.

                          1. Avatar photo
                            PF/Grinçant.com

                            Et pourquoi n’ont-ils que de la San Pellegrino à vous proposer ???
                            Regardez donc du côté des magouilles des « limonadiers » et autres grossistes en boissons…

                            Bon, nous sortons un peu du sujet principal ;-)

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          Le sodium n’a pas le même effet sur la pression artérielle selon qu’il est absorbé sous la forme de chlorure de sodium ou de bicarbonate de sodium.
          Une eau minérale riche en sodium n’augmente pas la pression artérielle…

          (www.)lanutrition.fr/les-news/une-eau-minerale-riche-en-sodium-naugmente-pas-la-pression-arterielle

          Tension Artérielle : Comprendre le Sodium (LaNaturopatheModerne.com, Québec, 24/02/2015)

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            Je biffe votre premier lien qui est un article en accès uniquement « abonné », et je transforme le second en plus « humain ». ;-)

            Le problème, c’est que le sel est caché partout et qu’il est évident que nous n’en consommons pas à doses « naturelles ».
            Pour ma part, je fais très attention sur ce point, notamment, et je suis/j’étais pourtant très concerné par le sujet : « Petite histoire d’un Bêta-Débloqué — “Comment je suis sorti de l’HyperTension” (Témoignage) »

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              Je suis tout à fait d’accord avec le sel caché (caché sur l’étiquette, mais on le sent au goût :) ) Et je ne consomme quasiment plus toutes ces préparations industrielles en boîtes ou les charcuteries et autres viandes ou poissons fumés. On arrive presque à 10 grammes de sel par jour. Je n’achète que de la viande de bœuf dont les bêtes ont brouté de l’herbe et n’ont pas été nourries de céréales au silo ou pire, avec des farines animales. Je prends mon lait (de chèvre) et mon beurre chez le paysan ainsi que les œufs, des fruits et légumes, et quand j’utilise du sel, je prends du sel marin gris, non raffiné et non moulu. Plus de sucre industriel raffiné depuis longtemps. Je suis aussi un béta-bloqué depuis 14 ans, mais moi, pas à cause de la tension artérielle qui a toujours été basse, mais j’ai fait des crises d’angoisses et de panique avec les pulsations cardiaques qui montaient parfois jusqu’à 175 ou 180 par minute. J’aimerais arrêter ces bêtabloquants, mais j’ai peur de me retrouver un jour à la montagne, dans la forêt ou dans la nature et avoir une crise d’angoisse à ce moment-là. À la maison, ça a moins d’importance, car on se sent plus en sécurité et au cas où, l’hôpital n’est qu’à quelques minutes… À la limite, j’aimerais mieux prendre des bêtabloquants pour la tension artérielle, car si on arrête, on peut toujours trouver un moyen pour la régulariser, tandis qu’un cœur qui s’emballe, c’est assez flippant et on ne sait pas trop quoi faire pour le calmer.

              1. Avatar photo

                J’ai aussi été confronté à des problèmes de tachycardie (c’est souvent lié), et je suis pourtant « bêta-débloqué »…
                Je ne cherche pas à vendre mon eBook (quoique), mais il y a des leçons à en tirer, croyez-moi.

                Quant à ce que vous exposez question hygiène alimentaire, ça semble parfait. ;-)

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                    Merci. ;-)
                    Vous verrez, c’est du vécu, et c’est assez édifiant.
                    Maintenant, est-ce transposable ? C’est à vous de le déterminer. De toutes les manières, il y a des leçons à en tirer, et pas seulement pour l’hypertension…

                    Bonne lecture.

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          Bonjour cher PF. Tout d’abord merci pour cet article très documenté et bien écrit. J’ai tout lu, y compris les commentaires.
          Je suis plutôt convaincu par votre démarche et les arguments qui l’étayent, mais, et cela ne remet pas en cause le reste, je bloque sur le sel de table, ou chlorure de sodium. Votre rapport de 2.5 est semble t-il juste. Donc j’en déduis qu’il faut 1.5 unité de chlorure pour 1 unité de sodium. Dans l’exemple de Saint-Yorre, puisque c’est celui qui est utilisé, on a 322 mg/l de chlorure. 322/1.5=215. Soit 215 mg de sodium utilisé pour la partie chlorure de sodium. Soit 537 mg/l de sel de table. Le reste du sodium est vraisemblablement associé au bicarbonate ou reste sous forme ionisée. Mon but n’est pas la polémique, juste que votre calcul bouscule ma logique. Peut être me trompe-je ? ☺️ mais je voudrais comprendre comment on fait dans ce cas pour avoir autant de chlorure de sodium avec si peu de chlorure. Comme on dit, qui peut le plus peut le moins. Mais l’inverse n’est pas vrai.
          Merci et respect pour votre excellent travail.

          1. Avatar photo

            Merci pour votre courtoisie. ;-)

            Vous relancez toutefois une « polémique » qui a déjà eu lieu ici dans les contributions… Et pour ma part, je considère le sujet comme clos.

            Votre logique est bousculée ? Soyez rassuré, il n’y a pas que la vôtre, et c’est d’ailleurs fait exprès par les industriels de l’agroalimentaire…
            Il s’agit peut-être d’ionisation, en effet, voire même de « macronisation » (bidouilles et effets pervers). ;-P

            Je vais rappeler :
            1) Que Saint-Yorre est la seule eau du « panel » à mettre un renvoi pour « pondérer » les chlorures et le sodium. Pourquoi ???
            2) Qu’après certaines « contestations » ici, sur ce sujet précisément (le sel), j’ai fait des recherches supplémentaires, et ramené une vidéo sur le sujet, avec un tableau qui affiche très exactement mes… calculs !
            Je vous renvoie donc à mon commentaire du 10 juillet 2016 @ 08:30, avec à la fois cette vidéo, ainsi qu’une copie d’écran du moment où ils affichent la teneur en sel de quatre eaux. Et pour St-Yorre, il est clairement écrit « 1708 mg/l – Soit 4,2 g de sel/L »… Et c’est un médecin qui parle dans le sujet !

            Cordialement.

            1. Avatar photo

              Merci pour votre réponse,
              Je viens de trouver sur le blog santé du-dit docteur (Dr Jean-Daniel Flaysakier) son mea culpa (discret cependant) concernant cette affirmation.
              Sur cette page si vous voulez vérifier dans les commentaires le docteur répond et revient sur ses propos :

              https://www.docteurjd.com/2015/02/19/sel-il-faut-savoir-laisser-la-saliere-de-cote/

              la partie qui nous intéresse :

              « paul dit :
              19 février 2015 à 15 h 44 min

              buvant régulièrement du « st yorre » je me suis intéressé a la teneur en sel de cette eau.
              vous avez dit 1708mg/l de sodium x 2.5, la teneur en sel est de plus de 4g.
              la réponse du service conso st yorre nous dit le contraire.
              dixit: dans les eaux minérales naturelles bicarbonatées le sodium est non pas lié à du chlorure mais à du bicarbonate……il y a néanmoins un résidu de sodium lié à du chlorure, expliquant la présence d’une petite quantité de sel (0.53g/l).
              qui dit juste?
              Répondre

              docteurjd dit :
              19 février 2015 à 17 h 04 min

              Chez les personnes hypertendues ou en insuffisance cardiaque importante, cette eau n’est pas conseill&e en consommation régulière et abondante.
              La richesse en sodium est l’élément important. Le chiffre donné était destiné à montrer l’équivalent, pas de dire qu’il y avait 4 grammes de sel.
              Répondre

              William dit :
              2 avril 2015 à 14 h 46 min

              Un litre de Saint-Yorre contient donc bien l’équivalent d’environ 4,3 g de sel…
              Alors pourquoi, cher Docteur, avez-vous trouvé utile de revenir sur cette affirmation scientifique, aujourd’hui au journal de 13 heures sur France 2 ?
              Pourquoi avoir repris la valeur rassurante et mensongère du service consommateurs de la marque, sans aucune explication ??
              Répondre

              docteurjd dit :
              2 avril 2015 à 14 h 50 min

              Le sodium de cette eau est majoritairement sous forme de bicarbonates e sodium et non pas de chlorure de sodium. Donc je me suis trompé et j’ai pour cela vérifié auprès de personnes indépendantes du service consommateurs de la marque.
              Le NaCl représente 0,53g/l.   »

              Encore une fois, mon but est juste de comprendre et surtout éviter la désinformation et dans le cas présent, la mésinformation.
              Le sujet me semble maintenant clos.

              Bien cordialement

              1. Avatar photo

                Oui, il est clos, mais de mon fait et pas du vôtre (vous êtes gonflé), et depuis le 10 juillet 2016 (rappel)…

                C’est vous qui désinformez !
                Vous êtes de Saint-Yorre ???

                1) Alors, sur la (presque) trentaine d’eaux de mon « panel », pourquoi St-Yorre est-elle la seule à « pondérer » avec un « renvoi » ( double et abscons) pour minorer le « sel » (définition ordinaire pour le consommateur lambda) ???

                2) Si l’on rentre dans ce petit jeu malsain, c’est très grave, puisque cela jette le doute sur les étiquettes des autres eaux/bouteilles… (Ou alors c’est justement – aussi – le but.)

                3) Le sel est caché partout par l’industrie agroalimentaire, et dans une eau « santé », c’est encore plus dramatique.
                Une fois de plus, c’est l’agroalimentaire qui utilise la technique du « discrédit », du mensonge, et de la complexité pour noyer et empoisonner le consommateur.
                Si le taux de sel calculé est accepté pour toutes les eaux de mon tableau, alors c’est (aussi) celui à retenir pour le consommateur pour St-Yorre !

                PS1 : Je me doutais bien que vous alliez arriver avec ce genre de post tant votre commentaire initial était alambiqué/tortueux/insidieux.
                PS2 : « docteurjd » a subi quelles pressions (puisqu’il y a bien eu « intervention ») pour se « démentir » ainsi ?
                PS3 : Demandez aux « pouvoirs publics » d’imposer des étiquettes claires pour le consommateur…
                PS4 : Il y a bien d’autres sources qui retiennent ce fameux ratio de “x 2½” (il est même « communément admis »), même si ça dérange…
                PS5 : Ici, c’est clos de chez clos sur le « sel », comprendo ?

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                  En quoi mon premier commentaire était-il tortueux ?
                  Je ne suis personnellement pas pour clore un sujet, c’était ma réponse à votre volonté de le faire.
                  J’estime qu’un sujet peut être évoquer continuellement si l’on apporte des arguments nouveaux à la conversation.
                  Je me fous de Saint-Yorre, je n’aime d’ailleurs pas le goût de cette eau.
                  Et je vous rejoins pour dire que c’est la plus « salée ».
                  Mais pas du fait du sodium, mais bien du chlorure qui doit s’associer au dit sodium et ce avec le rapport de 2,5 qui vous tient tant à coeur.
                  La vidéo et les chiffres sur lesquels repose votre démonstration m’ont interpellé et sont démentis par l’auteur. Je trouvais donc intéressant de le porter à votre attention.
                  Je répète que votre travail est exceptionnel et utile pour le consommateur et c’est pour cela que
                  je tiens à la véracité des informations.
                  Si votre article n’était qu’un ramassis de contrevérités, je ne l’aurais pas lu jusqu’au bout, et je n’aurais rien écrit.
                  Pour que vous ne me soupçonniez pas d’allégeance à Saint-Yorre, sachez que je bois de la Salvetat (citron vert de préférence et agrumes que je trouve trop rarement).
                  Toujours aussi cordialement

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                    Je pense qu’il est plus facile de faire des pressions sur « docteurjd » (en plein dans le système, avec la publicité des marques – St-Yorre, c’est le groupe Alma (Roxane) de l’inénarrable Pierre Papillaud – sur les chaines TV notamment) que sur moi et ce blog…

                    La « véracité » ??? Soit vous la retenez pour toutes les eaux, puisque vous ne contestez rien pour les 28 autres du « panel », et donc cela s’impose à St-Yorre… Soit vous ne prenez que la bidouille de St-Yorre pour argent comptant, et vous jetez le doute sur les 28 autres eaux/marques… C’est ce en quoi ça n’est pas du tout anodin.

                    Et si mon article (très vu/lu) n’était qu’un « ramassis de contrevérités », je pense que j’aurais eu bien des problèmes dans le délai légal (trois mois : droit de réponse, recours)…

                    De toutes les manières, entre le sel, le sucre, et toutes les autres saloperies imposées/dissimulées pour diverses raisons, mieux vaut « prévenir que guérir », non ?

                    Cordialement.

                    PS1 : Moi, je rajoute (un peu) de jus « citron (vert ou pas) » (concentré, mais soi-disant « naturel »), dans de l’eau gazeuse la plus neutre possible. ;-)

                    PS2 : Votre « pseudo » n’est pas anodin, puisqu’un « Fix » – en informatique –, c’est une… correction d’erreur/de bug…

                    PS3 : « Et je vous rejoins pour dire que c’est la plus “salée”. » Ah, intéressant ce que vous dites/écrivez, car avec votre « démonstration », ce serait l’une des moins « salées », cherchez donc l’erreur… Vos papilles seraient-elles moins faussées que celles de… Papillaud avec ses renvois ? ;-)

                    1. Avatar photo

                      Dire que la personne que vous preniez comme référente est corruptible parce qu’elle ne va plus dans votre sens est dommageable.
                      Comme je vous l’avais dit dans mon premier commentaire, j’ai pris l’exemple « Saint-Yorre, puisque c’est celui qui est utilisé ».
                      Cela reste valable pour toutes les eaux concernées par des taux très/trop élevés de certains minéraux.
                      Il y a des dérives, c’est une certitude, mais quand un argument n’est pas/plus valable, il vaut mieux ne pas le mettre en avant afin d’éviter que d’éventuels détracteurs ne l’utilisent contre vous.

                      Je repose votre calcul autrement pour montrer que cela ne fonctionne pas. Le résultat est 4,2 g/l de chlorure de sodium soient 4200 mg/l. Si je retranche la masse de sodium, soit 4200-1708, j’obtiens 2492 mg/l de chlorure. Hors, il n’y en a que 322. A moins que plus de 2 grammes de chlorure n’ait été occultés, ce calcul est faux.

                      Je maintiens que votre article est excellent et très creusé, d’où mon soucis du détail.

                      concernant le PS2 : La Saint-Yorre ne peut pas être la moins salée (si vous appliquez bien le même calcul à toutes les eaux.) Elle possède le deuxième plus fort taux de chlorure (322) après la Rozana (629) qui elle n’a « que » 493 mg/l de sodium. La plus salée pourrait être la Rozana, puis la Saint-Yorre. Mais il faudrait pour cela connaître les associations entre le Sodium et le Chlorure et/ou Bicarbonate.

                      Je testerai votre astuce, qui est certainement plus saine que les arômes que j’ingurgite.

                      Bonne journée

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                        C’est pourtant la triste réalité sur ces « médias »…
                        Croyez-vous que le budget « pub » de groupes comme Alma/Roxane ne sert pas à les « acheter » (ainsi que leurs « intervenants ») ?
                        Ces « eaux », c’est un juteux business !

                        Ce fameux « renvoi » (en fait double), qui figure sur les seules bouteilles de St-Yorre, permet de diviser par pas moins de 8 la teneur en « sel » au sens « commun » :

                        Renvoi sur les bouteilles de Saint-Yorre pour minorer le

                        Et, si, 0,53 g/L la positionnerait parmi les eaux les moins salées…
                        (Ce que vous contredisiez vous-même, rien qu’au goût.)

                        Pour mon « astuce », vous verrez, vous dosez comme vous voulez, et c’est plus économique… :-)

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                          Admettons que Dr JDF soit corrompu, il n’empêche que le calcul juste est celui que je reprends dans mon commentaire précédent. Sous peine de devoir trouver 2 gr de chlorure en plus.

                          Pourquoi 8 fois moins ? 0,53 est le résultat du calcul réel et les autres eaux sont en dessous de cela. C’est pourquoi Saint-Yorre est bien la plus salée ou la deuxième plus salée après Rozana, à vérifier.
                          Mon but n’est pas de démontrer que Saint-Yorre est moins salée, au contraire, je vous suis sur ce point, mais de définir la quantité réelle de sel qui se trouve dans chaque eau.
                          Et pour se faire il faut tenir compte de tous les composants, Sodium et Chlorure.

                          Maintenant peut-être sommes nous hors sujet si le problème n’est que le sodium sous toutes ses formes, alors il n’y a qu’à lire l’étiquette, tout calcul devenant inutile.

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                            Ne serait-ce que pour protéger des vies/des santés, et rendre les choses compréhensibles au commun des mortels, cela vous dérange tellement de retenir la règle – qui n’est pas de moi, mon approche étant différente, puisque je suis parti d’une boîte de sel de table – « Sel = chlorure de sodium x 2,5 » ???

                            Oui, surtout après tous les « débats » qu’il y a eu ici sur ce seul aspect, le « sel » est un peu hors sujet, puisque dans mon billet il n’est pas question que de cela…
                            On va donc stopper là, merci.

                            PS : Je parle des médias et de la plupart de leurs intervenants, dans un contexte de financement, notamment, par la publicité. C’est vous qui parlez de « corruption »… De toutes les manières, il y a eu intervention/pression en l’espèce…

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                            Nous appliquons tous les deux le même rapport de 2,5, mais votre calcul est faux puisque vous l’appliquez en partant de l’élément le plus présent. Votre résultat implique une quantité de l’autre composant trop importante et qui n’existe pas.
                            Le miens ne change pas le classement de tête des eaux les plus salée et est tout aussi simple. Il a en plus le mérite d’être juste. Où plus juste puisque je tiens compte du composant le moins présent.
                            Vous voulez stopper là, je veux bien mais pouvez vous répondre à cette question de logique simple : où trouvez vous les quelques 2000 mg manquant pour faire les 4,2 gr de sel de votre résultat?
                            Si vous voulez que le consommateur comprenne comme vous dites, alors donnez lui des résultat compréhensibles.
                            Nous en sommes venus à nous opposer, tel n’était pas mon but, car si je bois de la salvetat, c’est justement pour éviter le sel.
                            Je demande juste un erratum pour avoir des bases saines d’argumentation.
                            Et svp, donnez moi une réponse pour les 2 gr de chlorure manquant.
                            Merci

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                              Vous demandez un « erratum » !!!???
                              Dans ce cas, faites une demande officielle (mais c’est hors délai depuis 482 jours), et indiquez en quel nom (véritable) vous « agissez »* ainsi…

                              Les eaux sont assez polluées comme cela (notamment par le sel), alors merci de ne pas polluer aussi ce blog/ce sujet.

                              *Là, j’estime que nous sommes clairement dans le Troll, j’y mets donc clairement fin (modération).

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                              Je n’avais pas relevé votre analyse de mon pseudo : « fix » veut en effet dire réparer en anglais, mais dans le cas présent ce serait plutôt pour idée fixe.
                              ;)

                              1. Avatar photo

                                C’est ça, ajoutez-en une couche…
                                Ça devient plus que saumâtre. :-/

                                PS : Vu l’état dans lequel met la Salvetat, il va falloir sérieusement analyser sa (vraie) composition…

                              2. Avatar photo

                                Ne convertissez pas les ions sodium en sel !
                                Bien sûr que vos calculs sont justes… mais on se fiche de l’équivalent en sel !
                                S’il n’y a pas assez d’ion chlorure, c’est que les eaux souterraines ont aussi dissout du sulfate de sodium (laxatif par l’ion sulfate), du nitrate de sodium, du bicarbonate de sodium, du phosphate de sodium, etc.
                                C’est l’ion sodium et lui seul qui est mauvais pour la tension. Ne cherchez pas plus loin.

                          3. Avatar photo

                            En faisant appel à mes souvenirs de chimie minérale en école d’ingénieurs et à une recherche par Google, je constate que les anions (chlorure, sulfate, nitrate, bicarbonate, phosphate…) et les cations (sodium, calcium, potassium, magnésium…) baignent librement dans nos eaux minérales sans savoir qui était lié à qui avant dissolution. Il est donc logique de faire figurer une liste d’ions sur les étiquettes et pas une liste de sels.
                            La médecine considère que l’hypertension artérielle dépend d’un équilibre entre les ions sodium et potassium. Donc, sur ce point, on peut faire abstraction des anions et se concentrer sur la teneur en cation sodium, sans la convertir en équivalent chlorure de sodium sec. N’est-ce pas plus simple comme cela ?

                            1. Avatar photo

                              « N’est-ce pas plus simple comme cela ? »
                              Vous trouvez ???
                              Autant supprimer les étiquettes !!! L’agroalimentaire triche déjà avec, alors ce sera encore plus joyeux sans…

                              1. Avatar photo

                                Ah non ! on laisse les étiquettes comme elles sont ! C’est dans les débats ici-même qu’on n’a pas besoin de parler des ions chlorure, bicarbonate ni du sel… A mon humble avis, car je crains toujours que les discussions deviennent hors sujet. Donc teneur en ion sodium, point. Et je n’aime pas le goût de la Saint Yorre, serais-je partial ? Oui à la Salvetat !

                                1. Avatar photo

                                  J’étais « Salvetat » avant de passer à de la source « Cristal-Roc », et je m’y retrouve en « neutralité », et aussi au niveau portefeuille. :-)

                                  Observez l’étiquette de la San Pellegrino (italienne), qui est bien la seules à parler « ions »…
                                  Après, le but est (normalement) que le consommateur s’y retrouve « simplement ».

                          4. Avatar photo

                            “PS1 : Moi, je rajoute (un peu) de jus « citron (vert ou pas) » (concentré, mais soi-disant « naturel »), dans de l’eau gazeuse la plus neutre possible. ;-)”

                            Je pense que ces jus bio de citron/citron vert sont plus ou moins naturels, par contre, ils sont pour la plupart pasteurisés, ce qui détruit pas mal de nutriments. Mais, l’acide citrique (qui provoque l’effet recherché dans l’organisme), demeure.

                            1. Avatar photo

                              Le but recherché ici est plutôt de « parfumer », en remplaçant ces eaux « aromatisées » vendus hors de prix…
                              Et tant mieux si le côté « acide citrique » demeure.
                              En plus, ces « jus » ne sont pas des poisons, comme les « sirops », notamment au regard du sucre…

                              PS : Il y a bien l’Antésite – maintenant ils font aussi « Citron » –, mais c’est principalement à base de réglisse, et donc déconseillé en cas d’hypertension/tachycardie…

                2. Avatar photo

                  Le sodium ionisé, oui, une seule forme quelle que soit son origine au cours du cheminement des eaux souterraines.
                  Je ne dis pas que les ions chlorure, sulfate, etc. sont sans importance pour notre organisme mais si on se préoccupe de l’hypertension artérielle, le principal facteur est l’ion sodium (selon les articles trouvés sur internet).

                  1. Avatar photo

                    « … si on se préoccupe de l’hypertension artérielle, le principal facteur est l’ion sodium… »
                    Exact, et à ce petit jeu (lourd d’incidences), le « pompon » est bien détenu ici par Saint-Yorre !

              2. Avatar photo

                Ai-je rêvé ? Chez Lidl, la source du Roy, origine Ogeu, plate ou légèrement regazéifiée serait à 1300 euros le m3. Erreur d’étiquetage du magasin ?

                J’irai voir à nouveau.

                1. Avatar photo

                  Oui, probable erreur d’étiquetage… Pourtant, tout est « centralisé » chez eux (c’est donc normalement répercuté dans tous les magasins).
                  Vous auriez dû prendre une photo. ;-)

              3. Avatar photo

                Bonjour,

                Article très intéressant, merci pour l’analyse et les nombreux commentaires très utiles !
                En Belgique, nous avons l’eau « SPA »…
                Voici les données figurant sur l’étiquette (en mg/l comme les autres…) :
                Ca : 4.5
                SO4 : 4
                Mg : 1.7
                NO3 : 1.5
                Na : 3
                HCO3 : 15
                K : 0.5
                SiO2 : 7
                Cl : 5
                pH : 6
                Résidus secs : 33

                … Je pourrais faire une photo de l’étiquette au besoin.

                À voir les valeurs reprises dans le tableau au début de l’article, elle me semble à classer dans les moins « chargées »…

                Qu’en pensez vous ? Est-ce qu’elle est disponible en France ?

                Eric.

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                  Bonsoir,

                  Oui, elle semble plutôt « neutre », en effet.
                  Sur leur site, ils insistent (notamment) sur la… « Pureté », avec comme slogan « Spa Reine, l’eau qui purifie. » !

                  Je la connais, car j’ai fait quelques déplacements/visites en Belgique. ;-)
                  Pas vue en France, mais j’imagine que l’on doit la trouver en zone frontalière ou dans certains magasins « spécialisés » (à Paris notamment)…
                  D’ailleurs, je vois qu’elle appartient au groupe Spadel qui possède aussi « les Grandes Sources de Wattwiller », en France (Alsace).

                1. Avatar photo

                  D’habitude, ce genre de post saute (d’ici), comme un bouchon sur une bouteille au contenu gazeux…
                  Mais je laisse, car c’est plutôt sympa. ;-)

                  PS : J’ai mis en forme le lien et vous ai mis sous pseudo…

              4. Avatar photo

                J’ai tout lu !

                Article très instructif et, même si les fluctuations sont telles qu’il n’est sans doute plus très exact, il permet d’avoir les armes pour se faire une idée, une fois arrivé devant les étiquettes.

                Pour la petite histoire, je venais ici parce que j’ai des crises de flatulence et une diarrhée, ainsi aussi qu’une haleine que je trouve sentir légèrement l’œuf. Alors, oui, j’ai chopé une gastro, mais les flatulences ne sont pas forcément liées, me dis-je. Et là, je me souviens d’une période où j’avais régulièrement des crises de flatulences. Je donnais des formations professionnelles à l’époque, et je mettais ça sur le compte du stress. Ah mais, maintenant que j’y pense, lors de ces formations, au self le midi, je prenais de la Vernière (que je n’avais jamais consommé ailleurs). Et à la maison, cette semaine, ne trouvant pas mon eau habituelle, j’ai pris pour la première fois de la Vernière. Ni une ni deux, je compare donc une de mes bouteilles habituelles à la Vernière et je constate que cette dernière est beaucoup plus sulfatée ! Sulfate entraîne odeur d’œuf et flatulences, me trompais-je ?

                Pour info, l’eau que je prends habituellement (mais après vous avoir lu, ça risque de changer). C’est une MDD Carrefour mais pas dans votre panel :

                Source Manon :
                – Cations : Sodium 482, Calcium 49, Potassium 39, Magnésium 26
                – Anions : Hydrogénocarbonates 1567, Sulfates 45, Chlorures 27, Fluorures 1.9, Nitrates <  1 - pH 6.6, résidu à sec 1591.

                Pour finir, pour revenir sur le débat sel / bicarbonate de sodium, je pense que c’est la volonté de ramener au sel qui « tend le bâton pour vous faire battre ». Tant la dame de la vidéo (clairement payée par Roxane) que le dénommé Fix (je ne suis pas si sûr que vous de sa non-sincérité, à voir…) profitent de cette confusion.
                Alors que la réponse est simple : quand on dit que le sel est dangereux, c’est en particulier le sodium dans le sel qui l’est, donc qu’ils parlent de bicarbonate si ils veulent, ça ne change rien. D’ailleurs, JD Flaisakier ne dit pas autre chose dans le « mea culpa » rapporté par Fix. Il dit : « C’est vrai, ils ont raison, il y a en fait que 0.53 de sel ». Mais au-dessus il dit « La richesse en sodium est l’élément important. Le chiffre donné était destiné à montrer l’équivalent ». Je pense que c’est sa manière de céder à certaines pressions tout en n’en disant pas moins et en gardant sa conscience pour lui.

                Reformulé autrement : « Il y a autant de sodium que dans 4.3g de sel ». Vous-mêmes l’auriez formulé ainsi, vous auriez été inattaquable, à mon humble avis.

                1. Avatar photo

                  Ah, une odeur d’œuf pourri…
                  En me baladant dans les campagnes, parfois je me demande d’où ça vient… Soit vous êtes passé avant;-), soit c’est le sulfate des agriculteurs/éleveurs…
                  Ce que vous racontez n’a pas l’air étonnant, et vous avez probablement mis le doigt sur un « effet secondaire/indésirable » d’une eau trop sulfatée.

                  Pour le reste, c’est mon angle d’attaque, et il est assez… inattaquable !
                  En fait, comme on fait tout pour nous enfumer, je suis volontairement parti d’une boite de sel ordinaire, que tout le monde (ou presque) a dans sa cuisine… Une façon de faire un lien direct.

                  Oui, le Dr JDF a probablement subi des pressions (et la chaine), d’où son « correctif » ou plutôt sa « pirouette ».
                  Quant à Fix, je maintiens mon ressenti, et ça n’était pas le seul « faux-nez » ici… Mais ça n’a rien d’étonnant.

              5. Avatar photo

                Les eaux Vichy (et certainement d’autres) sont des eaux médicinales, donc normalement autorisées à la vente en pharmacie.
                Mais on est en France, pays des passe-droits. Donc ces eaux sont vendues dans le commerce.

                1. Avatar photo

                  Mes en France, les pharmacies sont aussi de vrais « commerces », et pas dans le sens le plus respectable du terme. ;¬/

              6. Avatar photo

                Après avoir lu cet article, une chose est bien clair : IL NE FAUT SURTOUT PAS CONSUMMER DU L’EAU PETILLANT EN BOTILLE !!
                Et si vous êtes à la limite d’être hypertensif, il faut être fou de les boire. (Sauf si vous préfère de plutôt prendre les médicaments la reste de votre vie, avec les problèmes associé…)
                Et si vous n’êtes pas encore hypertensif, n’inquiète pas, c’arrivera !

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                  De l’eau en « botille », oui ça peut être probablement dangereux. Par contre, en bouteille, je pense que ça n’est pas une mauvaise idée.
                  Je ne vois pas le rapport entre le caractère « pétillant » et l’hypertension…

              7. Avatar photo

                Ah oui, ça m’intéresse car je suis folle de l’eau pétillante mais je la veux à faible teneur en sodium.
                Merci pour cet article hallucinant très pro, et très utile pour les lecteurs.

              8. Avatar photo

                Bonjour,
                Très intéressé par votre article sur l’eau.
                Je suis amené à être méfiant, car je bois beaucoup d’eau pétillante.
                Ma question : Que pensez-vous de l’eau pétillante type Sodastream, car c’est l’eau du robinet ?
                Est-elle salée ?
                Je suis hypertendu.
                Merci de votre précieuse réponse.

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                  J’avoue être très dubitatif/sceptique quant à l’intérêt de ces « machines » pour gazéifier l’eau.
                  Ne serait-ce que financièrement, je ne pense pas que la rentabilité — le prix des cartouches est prohibitif — soit au rendez-vous par rapport aux eaux en bouteille les moins onéreuses.

                  Normalement, l’eau du robinet n’est pas particulièrement salée, mais il convient de vous reporter aux analyses régulières, normalement publiques (consultez votre commune).

                  Pour l’hypertension (et pas que pour ça d’ailleurs), effectivement, évitez le sel, d’autant qu’il y en a du « caché » à peu près partout, avec un effet « cumul ».
                  Je vous conseille donc d’adopter une eau la plus « neutre » possible (des chiffres qui tendent vers zéro*, cf. mon tableau), en veillant particulièrement au sodium.
                  Et vous allez probablement arriver à l’une des eaux les moins chères, répondant de même au premier point. ;-)

                  * Sauf « besoins particuliers », certaines eaux vous permettant de vous gaver de « minéraux », mais aussi de phosphates. ;-)
                  Il y a des « eaux » qui devraient relever du médical, et dont il ne faut surtout pas abuser.

                  1. Avatar photo

                    Adepte du Sodastream depuis 4 ou 5 ans, j’ai déjà posté ici des commentaires à ce sujet.
                    La cartouche de CO2 coûte 12 euros (en rendant la cartouche vide) et permet de gazéifier 80 à 90 bouteilles de 0,9 litre. Il faut arrêter l’injection de gaz dès qu’on entend l’ouverture de la valve limiteuse de pression. Ce qui fait le litre d’eau gazeuse à 12/(85×0.9)=16 cts environ, sans compter l’amortissement de la machine (60 euros).
                    J’utilise une carafe filtrante. Mon eau Sodastream a le goût de l’eau de Perrier, très peu salée.
                    Je certifie ne pas travailler pour Sodastream ;-)
                    Cordialement !

                    1. Avatar photo

                      Oui, nous en avons déjà parlé plus haut, notamment avec Frangi78 (d’ailleurs, je vois que c’était votre pseudo principal ici).
                      La bouteille de Cristaline (ou source Cristal-Roc) me coûte 26 centimes pour 1,5 L, soit 0,19 €/litre.

                      Et Sodastream donne ses cylindres/recharges pour seulement 60 litres, alors que vous annoncez 72 à 81 litres…

                      Et après, se pose la question de la « qualité » de l’eau du robinet utilisée…

                      PS 20h50 : Quand je vois les « nappes vertes » — franchement inquiétantes — dans les lacs (qui servent justement à l’eau du robinet) que je fréquente, je préfère de l’eau dite de « source », en bouteille, avec les garanties — à minima théoriques — qui vont avec.

                      Algues vertes dans lac pour eau du robinet - 27/07/2018

                      (Photo prise le 27 juillet dernier, et j’ai eu confirmation — de source sûre, avec une moue qui en disait long — que c’était bien dû aux phosphates, sulfates et autres saloperies…)

                      1. Avatar photo

                        L’autre paramètre à considérer est le transport et l’élimination des bouteilles plastique !

                        Au fil des ans, j’ai optimisé ma procédure d’injection du gaz pour ne pas le gaspiller : ne pas le laisser s’échapper dès que la pression est atteinte et qu’on entend la valve s’ouvrir.
                        La cartouche contient 453 g de CO2 (c’est gravé dessus).
                        La masse de ma bouteille d’eau augmente de 5 g après une injection (je refroidis l’eau à 10°C environ pour une meilleure solubilité). Avec peu de pertes, j’arrive bien aux 80 cycles et au delà.

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                          Je maintiens ma position, ne serait qu’au regard de ce que l’on nous sert ensuite comme eau « potable » au robinet (goût de javel en prime, à faire disparaitre au frigo)… ;-)

                          PS : Vos « cylindres » sont consignés (20 € la bête chez Sodastream, ben voyons)… Moi, je ne demande que le retour des bouteilles en… verre… consignées !

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                        Certes, au vu de cette photo, je n’irai pas me désaltérer — ni même nager — dans ce lac !
                        L’eau du robinet de ma région (78) provient de captages souterrains proches des sources alimentant la marque Cristaline. Selon le relevé de mon fournisseur d’eau potable, les caractéristiques salines ressemblent à ce qu’on lit sur les étiquettes des eaux de source ou minérales (mis à part Evian, Volvic…). Je mesure la conductivité électrique de l’eau de ma carafe filtrante, avant et après filtration, elle est en gros divisée par deux.

                        1. Avatar photo

                          Tous les lacs du coin sont dans cet état, et c’est bien en France, en 2018…*
                          Et plus ils vont se vider (avec l’afflux touristique), plus ça va s’aggraver.

                          Et honnêtement, qui va s’enquérir (régulièrement) de la qualité de l’eau qui sort de son robinet, à supposer que les analyses livrées au public soient vraies/justes ?

                          *Celui photographié représente à peu près 4 milliards de litres de réserve d’eau « potable »…
                          Pour le fun, pour gazéifier tout ça, il faudrait 67 millions de cartouches Sodastream, soit un budget de l’ordre de 800 millions d’euros pour du simple CO2… Business juteux, non ? ;¬)

                          PS : Dans votre processus, il vous manque peut-être un système de « purification » à « osmose inverse », c’est à la mode, et ça coûte un bras… Et je doute que ce soit efficace contre cette saloperie verte, même rendue « transparente ».

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                              Ah le vin, parlons-en, car question sulfates/phosphates, c’est sacrément dosé !
                              Peut-être aussi une idée pour Sodastream… ;¬P

              9. Avatar photo

                Bonjour,

                Quelqu’un pourrait il me dire depuis quand Perrier est passé avec adjonction de gaz carbonique et non plus gaz de la source ? Aucune information sur le net… Votre article date de 2016, et à cette époque le gaz de Perrier venait de la source (inscription sur étiquette). J’ai du mal à croire que ce changement soit passé inaperçu !

                Merci à tous pour vos futures réponses.

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                  Oui, cet article date de mars 2016, et il n’a pas vocation à être actualisé, sauf par les commentaires.
                  De toutes les manières, en France, il n’y a visiblement pas d’obligation de fournir des étiquettes avec des analyses régulièrement mises à jour. Je pense donc que mon tableau est valable encore pour longtemps. ;¬)

                  S’agissant du gaz, je n’en ai pas tenu compte dans mon analyse, mais il existe 3 cas :
                  – Gaz provenant de la source (eau regazéifiée avec le CO2 de la source — dans les mêmes proportions qu’à l’origine — pour obtenir une constance) –> Mention « Eau minérale gazeuse »
                  – Teneur en gaz augmentée (pour plus de bulles) avec le gaz de la source –> Mention « Eau minérale naturelle renforcée au gaz de la source »
                  – Gaz d’une autre origine –> Mention « Eau minérale naturelle avec adjonction de gaz carbonique »
                  Perrier est normalement dans le second cas, et c’est bien ce qu’indique l’étiquette photographiée/publiée.

                  Un tel changement me parait un peu gros s’agissant de Perrier, mais il n’est pas impossible qu’ils l’aient fait en douce. J’ai fait une rapide recherche sur internet, et je n’ai rien trouvé sur le sujet.
                  Je regarderai sur une bouteille lors d’un prochain passage en magasin.

                  1. Avatar photo

                    EXACT, vous avez parfaitement raison !

                    Je viens d’aller sur le site de Perrier, et voici une capture d’écran faite à cet instant, onglet « COMPOSITION » :

                    Perrier, maintenant avec adjonction de gaz carbonique — Capture site Perrier 06/08/2018-07h20

                    C’est bien devenu une « Eau minérale naturelle avec adjonction de gaz carbonique », opération réalisée en douce, avec une omerta visiblement totale. Tout le monde parle (encore) — Wikipedia compris — de « gaz de la source ».
                    Elle ne serait donc plus « naturellement gazeuse » ? Ou alors le gaz serait vicié/toxique au point de devoir le changer ?
                    Bref, c’est carrément un changement — pas anodin du tout — de « catégorie », sans information (réelle) du consommateur ni changement de gamme/prix.

                    J’observe par ailleurs que la composition a changé aussi, mais dans des proportions mineures.

                    Édit 08h00 : Encore un addenda à l’article. ;¬)

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                      Surexploitation ?
                      Plus assez de gaz récupéré ?
                      Alors pourquoi pas ajouter aussi de l’eau d’autres sources ?

                      1. Avatar photo

                        De telles pratiques posent effectivement de graves questions.
                        Une mise en évidence sur le packaging/la bouteille serait la moindre des choses.
                        C’est à la limite de la tromperie, car Perrier vit sur son image de « naturellement gazeuse » (même si « regazéifiée »).

              10. Avatar photo

                Bonjour,
                Pas un mot sur le Glyphosate : c’est pourtant important pour la digestion, le glyphosate ! Merci à tous les agriculteurs qui participent à l’enrichissement des eaux minérales !
                Marc

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                  Si toutes les substances chimiques et toxiques devaient être mentionnées sur l’étiquette, cette dernière occuperait très certainement toute la bouteille.

                  Ce que je constate, c’est que, quand un apiculteur se suicide — notamment du fait de cette pollution —, il n’y a pas vraiment de soutien/solidarité (surtout avant) de la part des voisins-empoisonneurs d’abeilles (et pas que).

                  1. Avatar photo

                    Bonjour,
                    Déjà, juste indiquer le taux de pesticides, ce serait parlant ! Remarquez, ce serait la faillite !
                    Apiculteurs, la FNSEA vous aime, et le ministre est derrière vous, enfin, je veux dire, très loin derrière ! Ha, ha, ha ! Je rigole pour ne pas pleurer, c’est désolant, vraiment…

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                Merci infiniment pour ce travail méticuleux. Mais bon, vous m’avez déprimé, lol — Que puis-je boire maintenant ?! Je suis, depuis 1 mois, à la recherche d’une eau simplement « carbonatée » ; c’est à dire, qui contient de l’eau + du CO2 pour pouvoir fabriquer mes bicarbonates de magnésium à la maison. Je n’en trouve pas :(

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                  Pourquoi « déprimé » ?
                  Prenez une eau la plus « neutre » possible, et complétez avec des comprimés (ou en poudre)… Cela vous permettra de bien « doser » votre apport (demandez à votre médecin).
                  S’ils ont effervescents, vous pouvez même vous passer d’eau gazeuse… ;¬)

                  1. Avatar photo

                    Merci pour votre réponse ! Quand j’ai écrit « déprimé » c’était pour plaisanter :-)
                    C’est justement cette eau « la plus neutre possible » que je ne trouve pas. Voici la recette que j’essaie de suivre : Magnesium bicarbonate supplementation (toxinless.com – désolé, site en anglais), et c’est pour ça qu’il me faut de l’eau pas plate.

                    1. Avatar photo

                      Dans mon tableau, vous trouverez la source « Cristal Roc », sous la marque Cristaline (mais attention, des fois ce sont d’autres sources), mais aussi trouvable sous des marques de distributeurs (Carrefour, Leclerc…).
                      Et en plus, c’est pratiquement la moins chère : je paye le pack de 6 bouteilles (9 litres) 1€56, soit un peu plus de 17 centimes le litre.
                      Elle est mentionnée à 200 mg/L pour les bicarbonates, 2 mg/L pour le magnésium, et elle est faible/neutre sur la plupart des autres critères… Après, à vous de voir si vous la trouvez assez gazeuse ;¬)

                      PS : Sinon, eau plate (du robinet éventuellement) + Machine à gazéifier, mais j’ai déjà discuté plus haut de la rentabilité/de l’intérêt de l’opération.

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                          Il faut bien regarder sur l’étiquette, c’est toujours indiqué en « petit », mais aussi en plus gros, souvent écrit à la verticale : Hors marque Cristaline, voir mes photos en addendas du 25/09/2016 (MDD Eco+ Carrefour) et du 18/10/2016 (MDD Leclerc). ;-)

                          1. Avatar photo

                            Bonjour, je vais chercher de temps en temps de l’eau directement gazeuse sortie directement de terre à JOZE (63), elle est un peu ferrugineuse, mais bon, c’est naturel !

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                              Dans mon enfance, je faisais la même chose à 20 kilomètres de là, avec l’eau — maintenant « élitiste » — de Châteldon (63 aussi)…
                              Il y avait une petite source peu fréquentée, et, là où elle coulait, tout était de couleur… rouille ! (Gazeuse naturellement, et très ferrugineuse.)
                              Tout juste sortie de la roche, à boire avec une timbale avec anse, elle était divine !:¬)

              12. Avatar photo

                Bonjour,
                Dans votre analyse, n’y a-t-il pas une confusion en ce qui concerne les chlorures et le sodium.
                Le sodium est un métal mou qui au contact de l’eau provoque une réaction exothermique du type explosif et ne peut donc être présent dans l’eau dans cet état natif. Par contre, il est présent sous forme de NaCl, autrement dit, notre bon sel de cuisine, et donc sous forme de chlorure de sodium, base chimique avec laquelle on fabrique l’eau de Javel (Na Cl O ou Hypochlorite de sodium).
                Il me paraît donc hasardeux de faire le raccourci Chlorures/Javel, car les chlorures sont largement des chlorures de sodium donc du sel ordinaire dont les effets ne sont pas négligeables sur la santé.
                Notons aussi que pour l’eau de San Pellegrino, une teneur en Strontium notable. S’agit-il de son isotope radio-actif ? À suivre…
                Pour le reste, n’apparaît pas une eau largement consommée dans notre région : l’eau de Vals. (Ardèche).

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                  1) Il n’y a aucune confusion. Les « informations » mentionnées sur les étiquettes ne sont normalement pas destinées à des chimistes/physiciens de haut vol, mais à de simples… consommateurs ! Maintenant, qu’on les enfume, c’est une autre histoire, présence de CO2 ou pas.

                  2) C’est votre région, pas la mienne… Et l’article commence on ne peut plus clairement : « Un peu fou, je me suis donc livré à un petit exercice : acheter une bouteille de chaque eau “gazeuse” disponible dans le coin. »
                  Il n’a par ailleurs pas vocation à être exhaustif.

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                    Je ne suis certainement pas un physico chimiste de haut vol, il ne s’agit que d’un reste de culture générale niveau seconde.
                    Cela dit, merci pour cet article, non exhaustif bien sûr, auquel je voulais, sans prétention aucune, apporter quelques précisions qui me semblaient opportunes., mais je me suis sans doute trompé.
                    Bonne journée.

                    1. Avatar photo

                      Marrant, je ne me souviens pas d’un tel programme en seconde.

                      De toutes les manières, vous savez parfaitement que ces étiquettes sont faites pour embrouiller/tromper plutôt qu’informer.
                      Il y a aussi la technique (classique) du « discrédit » que l’on tente de jeter — globalement — via un point de détail.

                      1. Avatar photo

                        Bonjour,
                        Il paraît difficile de commenter la composition chimique d’une eau minérale quand on avoue n’y rien comprendre. Mais quand même, traiter de jargon l’écriture des ions que tout élève ayant acquis le niveau de la seconde devrait connaître, c’est un peu fort de café. Et comme le dit humblement SEVIN, il y a quand même certains panneaux dans lesquels on ne saurait tomber :
                        Confondre chlore et chlorure est confondant. Je ne vous ferai pas la leçon ici mais vous touchez à la désinformation. Avez-vous remarqué que dans un gramme de sel il y a 0,6 gramme de « chlore » ? Cela ne vous inquiète pas…
                        Pour terminer les eaux acides qui agressent le corps humain, encore une blague, mais dont la substance impose pour être comprise d’avoir un minimum de connaissances en chimie. En effet les eaux que vous avez testées, après rectification sur les deux dernières du tableau dont le pH est de 6.6 (c’est écrit sur l’étiquette ) et non le supposé 5.2, montrent que dès que la teneur en sels dissous (en particulier les bicarbonates) est d’au moins 1000 mg/L le pH se situe entre 6 et 7. Ici pas de problème, c’est ce qu’on appelle l’effet tampon. Pour celles qui sont faiblement minéralisées, il y a un effet moindre et les pH varient plus d’une eau à l’autre. Mais précisément cette absence d’effet tampon fait qu’aussitôt absorbée l’eau se trouve tamponnée par… les bicarbonates omniprésents dans l’organisme. Le pH acide de certaines de ces eaux ressemble au pH de l’eau distillée (qui est de l’ordre de 5 !) Le risque est donc de ce côté amoindri. Le vrai risque est de déclencher des phénomènes d’osmose (l’histoire du liquide physiologique).
                        Alors, de quel côté se trouve la manipulation ?
                        Quand je sais pas, je dis pas

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                          « Alors, de quel côté se trouve la manipulation ? »
                          Certainement pas du mien.

                          Vous êtes le faux-nez de quelle société ?
                          Merci de ne pas répondre, ça ne m’intéresse même pas.

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                            Il se trouve que les affirmations de Serge sont exactes. J’ai fait quelques années de chimie minérale et organique après le bac et je n’ai rien à redire. Mais un tel cours de chimie plein de termes scientifiques a-t-il sa place dans ce forum grand public ? Pas sûr.
                            Une chose à retenir : ne pas confondre les ions et les molécules neutres. Les étiquettes donnent la liste des ions en vrac, c’est normal, c’est le contenu de la « soupe » chimique que nous buvons. N’y cherchons pas le sel marin de notre salière.

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                              Non, ça n’a absolument pas sa place ici, et ça n’est pas l’intention de ce billet — volontairement mal interprété par certaines personnes — que de faire autre chose que de se mettre à la place d’un simple « consommateur ».
                              Ces « commentaires » n’ont que pour but d’embrouiller les esprits et de jeter le discrédit en pinaillant sur un éventuel détail.

                              De plus, ici, ça n’est pas un forum, c’est un blog…
                              Après, on peut aussi me dire que du sel n’est pas du sel.

                              S’il y a d’éventuelles confusions, elles sont créées volontairement par ceux qui nous vendent/empoisonnent…

                          2. Avatar photo

                            Serge, ancien prof de chimie à l’IUT, qui ne supporte tout simplement pas les contre-vérités.
                            Le coup du faux-nez est génial : on ne répond pas mais on accuse !
                            Et on veut faire de la chimie sans chimie. Ce blog est trop ! (pour parler jeune).
                            Je bois de l’eau du robinet.
                            À bon entendeur

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                              Ici, nous ne sommes pas dans un IUT.
                              Contre-vérités ? Sur quoi ?
                              Vous avez vu la taille de ce fil ?!
                              Et ce blog, ça n’est pas que cet article.
                              Oui, j’appelle ça un « faux-nez », quelles que soient vos motivations.
                              À bon entendeur.

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                  De l’eau claire si possible mais dont la transparence n’est pas obtenue par un traitement par des sels d’aluminium.

                  Désolé c’est hors sujet. Quoique…

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                  C’est à vous de décider, mon article est là pour ça, et le tableau qui l’accompagne est à la fois explicite et pratique.
                  C’est en fonction de vos goûts et de vos besoins.

                  Pour ma part, je conseille — et ça me semble logique — une eau la plus “neutre” possible, mais je ne tomberai pas dans le piège du conseil médical/santé.

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                  « Enquête à refaire. »
                  Ben voyons !
                  Vous croyez que je n’ai que ça à faire dans ma vie, surtout quand l’on observe certaines réactions ici ?

                  Ma réponse sera le 264ème commentaire sur ce fil, ça n’est pas suffisant ?
                  D’autant que l’on vient m’en rajouter sans même lire ou vouloir comprendre la démarche/l’approche (cf. certains « différends » plus haut).

                  Alors :
                  1) Jonathan a soulevé ce (nouveau) point dans son commentaire du 05/08/2018-23h27.
                  2) J’ai répondu dès le lendemain, avec photo à l’appui.
                  3) Le même jour, j’ai même ajouté un addenda Alerte Perrier ! à l’article.
                  4) Ça n’est pas un billet sur Perrier, au cas où cela vous aurait échappé.
                  5) Ne serait-ce pas à Perrier/Nestlé ou aux associations dites « de consommateurs » de communiquer sur le sujet ?

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                    Ne vous fâchez pas @PF, je subodore simplement que @Pascal G a été maladroit dans la formulation de son commentaire pris au fil de l’eau — oui petit jeu de mots — façon facedebouc, sans prendre la peine de comprendre et lire le fonctionnement de ce blog, et si tel n’est pas le cas, alors oui vous pourrez vous fâcher ;)

                    (sic) « Ne serait-ce pas à Perrier/Nestlé ou aux associations dites “de consommateurs” de communiquer sur le sujet ? »

                    1/ Là, vous en demandez beaucoup à des Lobbies dont le passe-temps favori consiste à enf… — euh — tromper les gens ; quant aux associations de consommateurs, outre le fait que certaines sont à prendre avec circonspection, la matière est tellement vaste qu’elles ne peuvent sans doute pas traiter (volontairement ou pas) tous les sujets.

                    2/ Les consommateurs normalement constitués et ayant reçu une éducation de base doivent aussi être en mesure de lire et comprendre certaines choses, au pire il y a suffisamment de documents sur internet pour les informer, mais je crains que la grande masse soit (ou devient) trop « conn… ».

                    Puisque, à priori, la grande majorité va plutôt sur « youpornokiki », « angry birdynette », « voici le gala » ou autres conneries, donc niveau information et analyses des faits de consommation et/ou réflexions sociétales, forcément ça risque d’être plus que succinct.

                    Bref, votre blog défend un certain art de vivre, ouvre les yeux, fait dans la pédagogie.

                    Hélas, combien de « passants » — comme @Pascal G — n’ont peut être pas pris la mesure de la somme d’infos qu’il y a à tirer de votre blog et s’arrêtent à un seul billet.

                    Conseillons-lui (leur) plutôt de poursuivre la découverte en fouillant dans les divers billets, brèves, et ainsi de se faire une idée plus pointue et juste de l’approche, partage, info, débat qu’apporte ce blog ;)

                    Bien à vous et bon courage, il en faut.

                    1. Avatar photo

                      Oui, il en faut, du « courage » !

                      Si si, je me « fâche », et je vais vous dire (en partie) pourquoi…

                      Beaucoup arrivent en effet ici par la case Gogole et tombent directement sur un billet, le balayent, et repartent comme un pet sur une toile cirée.
                      Certains n’ont pas lu et/ou rien compris, mais ils laissent quand même leur « empreinte » que je peux considérer comme de la « pollution ».
                      D’autres agissent sciemment, mandatés (« faux nez ») ou pas et tentent le « discrédit » (méthode bien connue des lobbies notamment) sur un point ou un autre pour jeter le doute sur l’ensemble. C’est aussi une façon de tenter de troller.
                      Et pourquoi y attacher tant d’importance ? Tout simplement parce qu’un tel article date de mars 2016, que les gens le lisent à leur façon, et que, s’ils lisent des commentaires, ils vont souvent directement aux… derniers ! D’où une volonté de nuisance qui va bien au-delà de ce que vous pouvez supposer. Ce serait de la simple bêtise, je serais moins épidermique, mais comme en plus cela devient plus « global » (l’ambiance « Macronie » n’améliore pas les choses).

                      Je rappelle, dans mon « De l’auteur » figurant sur chaque page de ce blog, cette phrase : « Du “grinçant”, à ne pas lire qu’au premier degré, pour pousser à réfléchir et à réagir. »
                      Quand je vois l’intervention — à seul titre d’exemple — de MIL (03/10/2018-13h35) — « En clair quelle eau ??? » —, je me demande si l’on ne se fout pas carrément de ma gueule.
                      Quant à d’autres « commentaires », nous sommes parfois dans la malveillance pure, voire la volonté de sabotage.
                      Bon, d’un autre côté, je sais que mon tableau circule énormément (papier/mails), sans même passer par la case « blog »…

                      PS : Vous arrivez sur ce long fil, allez directement au dernier commentaire pour tâter le terrain et lisez « Enquête à refaire. »… Vous avez envie de lire, d’y prêter attention ???

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                    « Enquête à refaire, le Perrier a changé, il est avec du gaz carbonique maintenant. »

                    C’est sûr que la critique est aisée et l’art difficile, surtout quand on critique sans avoir pris la peine de prendre connaissance des commentaires où se trouve déjà la réponse apportée par un autre lecteur.

                    « Il vaut mieux se disputer avec quelqu’un d’intelligent que parler à un imbécile. » Proverbe chinois.

                    Le minimum serait de s’excuser…
                    1 septembre 2018 @ 14:19
                    « Elle pèse trente grammes.
                    Soit un peu plus qu’un cerveau de député macronien. »
                    ☺☺☺

                    1. Avatar photo

                      D’autant plus que j’avais vérifié/travaillé sur le sujet quand cela a été signalé.
                      Et que ce « panel » ne peut qu’évoluer avec le temps quant à ce qui se cache derrière, alors même que je n’ai pas vocation à l’entretenir/l’actualiser… Je ne suis pas une association « consumériste » ni la DGCCRF/DDPP…

                      Le genre de « commentaire » lapidaire et nuisible qui n’a pas sa place ici. D’où mon « emportement ».
                      Des excuses ? Il doit s’agir d’un habitué des réseaux sociaux qui est tombé là par hasard — et qui ne reviendra jamais : d’ailleurs il ne s’est pas « abonné » à une éventuelle réponse — via une recherche Google, car il cherchait des bulles pour s’oxygéner le peu de neurones en état de fonctionner dans son cerveau de 29 grammes.

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                      « Enquête à refaire »
                      L’eau d’Ogeu a elle aussi changé, elle est avec du gaz carbonique maintenant.

                      C’est vrai quoi, @PF, qu’est-ce que vous fichez sur ce blog ?! :-)
                      Allez, au taf, tout est à refaire !!! ;-)

                      Mon eau gazeuse préférée « La Ventadour » a subi quelques déboires de production et n’est plus actuellement disponible chez mon revendeur BIO habituel, je m’étais donc rabattu sur l’Ogeu (que j’achetais — oh rage, oh désespoir — en grande surface), rapport à sa composition…

                      Patatras, depuis une quinzaine de jours, de « Eau de source minérale naturelle renforcée au gaz de la source » elle est devenue… « avec adjonction de gaz carbonique ».
                      Le prix est identique, mais en revanche AUCUNE communication sur ce changement ESSENTIEL sur la qualité du produit.

                      J’ai mis les photos en off à PF il verra s’il les publie ou pas :

                      OGEU, ancienne bouteille

                      Ancienne bouteille, vs site Ogeu.fr actuel :

                      OGEU, extrait site officiel Ogeu.fr

                      OGEU, etiquette, extrait site officiel Ogeu.fr

                      Heureusement que je lis les étiquettes !!!
                      Quand je me suis aperçu de cette « tromperie », je suis allé illico presto redéposer le pack dans le rayon.
                      Adieu Ogeu… Ça va devenir compliqué d’avoir de l’eau gazeuse on dirait…

                      Bref, quand je dis plus haut (sous forme de boutade à l’encontre de @PF) « tout est à refaire » je parle de notre put… de Société à la c.. !!!

                      Tromperie, modification substantielle de la qualité des produits, prix trompeurs, etc., etc.
                      Quels sont les gros enf… qui disaient et disent encore que les industriels s’autocontrôlent drastiquement et que l’on peut leur faire confiance ?

                      Ah si, les noms me reviennent, et l’un deux est même à la tête d’un État dans lequel nous vivons, enfin tentons de vivre…

                      1. Avatar photo

                        Oui, « Tout est à refaire » ;¬), d’autant que ce « critère », si je l’évoque bien, ne fait pas partie du tableau comparatif ni des « fondamentaux » de l’article…

                        À noter que — hors gaz — la « composition » de l’Ogeu reste la même.

                        Par contre, cela fait changer cette eau de « catégorie », et le faire ainsi en « loucedé », et en toute impunité, pose de sérieuses questions.
                        Et pourquoi pas mettre du benzène au stade où nous en sommes ?

                        PS : J’ai « travaillé », encore un… Addenda !;¬)

              13. Avatar photo

                Bonsoir,
                J’ai acheté aujourd’hui de la Chateldon, il se trouve qu’elle est très fortement minéralisée :
                – Fluorures : 2,2
                – Bicarbonates : 2075
                – Potassium : 41
                – Calcium : 355
                – Sodium : 240
                – Magnésium : 49
                – sulfates : 33
                – Chlorures : 5,5
                – Nitrates < 1 Elle est chère, et il me semble — d'après vos considérations — qu'il s'agit typiquement de l'eau à éviter, bien qu'ayant un parfum d'enfance, qu'en pensez-vous ? A mon humble avis, les deux meilleures eaux naturellement gazeuses et conditionnées en bouteille de verre, sont la Ventadour et l'Orezza, elles comportent toutes les deux zéro nitrate et me paraissent équilibrées coté minéraux. Sinon en eaux plates, Rosée de la Reine, Mont Roucous et Moncalm sont recommandées pour les bébés, car très faiblement minéralisées, mais conditionnées dans du plastique (perte des bénéfices à cause de molécules migrantes ? Probablement !). Je vous conseille d'aller sur le Facebook de la Ventadour, les eaux du Prestrin, vous allez comprendre ce que signifie la guerre de l'eau, ou quand les institutionnels et certains politiques prennent le parti de foutre en l'air cette entreprise dont l'eau a été primée et reconnue mondialement, pour le compte d'un concurrent probablement, lequel, je ne sais pas, à vous de deviner ; allez faire un tour, c'est très intéressant... Cette eau est excellente et j'en ressentais un bien-être et un vrai plaisir à la boire. Aucune action chez Ventadour, je précise... Merci pour votre super boulot...

                    1. Avatar photo

                      Ah ben, au moins sommes nous plusieurs à partager la bonne opinion sur la Ventadour.
                      Désolé, j’avoue ne pas avoir lu tous les posts de tous les intervenants :(

                      1. Avatar photo

                        Il n’y a pas à être désolé, vu que ce fil est gigantesque…
                        Du coup, je suis presque le seul à ne pas avoir goûté à la Ventadour ;¬)

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                  Concernant la Châteldon, c’est une eau assez « confidentielle », maintenant positionnée « haut de gamme », et essentiellement disponible dans certains restaurants. Dans ces conditions, on ne regarde que peu la composition.
                  Effectivement, je l’évoquais comme souvenir d’enfance, et voir ce nom m’évoque toujours un peu de nostalgie de l’écuelle et de l’eau qui coule de la roche, avec d’importants dépôts « ferrugineux ».

                  Concernant les autres eaux que vous citez, elles sont à diffusion assez restreinte, indisponibles dans les rayons visités, et donc non concernées par mon « panel ».

                  Pour le plastique (PET), oui, il est avéré qu’il pose de plus en plus de problèmes. Mais s’il n’y avait que cela.
                  Le retour du verre et des consignes serait bien évidemment une excellente chose, mais qui s’y oppose ?

              14. Avatar photo

                Bonjour PF.
                J’ai pris la peine, et plus de deux heures pour lire l’intégralité du post. Édifiant et terrifiant à la fois, pour moi qui ne bois que de l’eau en bouteille. Mais je change d’eau à chaque fois, eaux plates pour la journée & la nuit, eaux gazeuses pour les repas. Je vais revoir mes achats en tenant compte de votre travail, que je salue au passage.
                Vous avez raison de vous fâcher, de temps à autre, ça le mérite, à mon sens. Et puis, comme vous le soulignez, il faut lire dans l’ordre et in extenso, ou remettre à plus tard si le temps manque, ça éviterait les redites.
                Gardez votre ton grinçant et votre indignation en bandoulière. Je vous découvre, mais j’aime déjà vous lire.
                Bonne et heureuse nouvelle année ; que votre blog dure longtemps ;¬)

                1. Avatar photo

                  Les « redites » en disent long sur certains lecteurs. Et beaucoup oublient que tous les navigateurs disposent d’une fonction « Rechercher sur la page » (Ctrl + F)…
                  Je pense aussi que c’est parfois fait volontairement pour me faire sortir de mes gonds. Parfois, je reste pantois devant la situation.
                  Et il y a aussi des « pièges », pour me pousser à la faute…

                  Pour les vœux, je vous présente les miens ici. ;¬)

              15. Avatar photo

                Bonjour,
                J’ai beaucoup de mal à boire de l’eau plate…
                Je bois trop de soda.
                Par contre, j’adore l’eau pétillante Quézac.
                Est-ce mauvais si je bois un litre par jour de cette eau vu que j’ai vraiment du mal avec l’eau plate ?
                (1 L par jour, j’exagère, malheureusement je ne bois pas autant.)

                1. Avatar photo

                  Bonsoir,
                  Mieux vaut boire trois litres de Quézac par jour qu’un litre de soda…
                  Et si vous adorez cette eau…
                  Essayez quand même une plus « neutre », quitte à alterner un peu.

                  PS : Boire — si possible de l’eau — est important, notamment pour la bonne santé de vos reins.

              16. Avatar photo

                bonjour, merci pour cette étude .
                je souhaiterai savoir qu’elle était la meilleure eau gazeuse entre perrier bleu, salvetat et perrier vert?
                comme le commentaire précédent, je n’arrive pas a boire de l’eau plate.
                merci d’avance

              17. Avatar photo

                Bonjour,
                Article intéressant mais je relève une erreur; exemple le « sodium » dans la Saint Yorre:
                Composition Saint Yorre Na 1708mg/l Cl 322mg/l et HCO3 4368mg/l
                Ensuite pour faire simple: 1g de sel (NaCL) = 0,4g de Na + 0,6g de Cl
                Dans cette Saint Yorre
                – il y a 322mg/l de Cl qui vont l’associer avec des ions Na pour représenter environ 0,5g/l de NaCl (sel) non pas 4,27g comme indiqué dans le post
                – le reste du Na s’associe à HCO3 : du bicarbonate de sodium

                Bref analyser les quantités d’ions élémentaire sans considérer comment ils s’associent amène à des erreurs importantes
                Car ensuite les propriétés et l’impact sur la santé du sel et du bicarbonate de sodium sont complètement différentes

                Bien Cordialement
                Philippe

              18. Avatar photo

                merci pour votre travail effectué sur le tableau comparatif des eaux gazeuses !
                je cherchais quelles eaux étaient chargées ou pauvres en sodium et grâce à vous j’ai trouvé !
                merci, bonne continuation.
                Mathilde – du 33

              19. Avatar photo

                bonjour

                il faut savoir que Lidl à 2 eaux pétillantes une verte que vous mentionné et une rouge moins salé avec moins de produits nocifs et moins cher et normalement au niveau national mais je trouve votre démarche extra je ne bois jamais d’alcool et pas trop d’eau plate et j’ai de la tension artérielle
                bonne journée merci pour votre comparaison

              20. Avatar photo

                bonjour, je viens de parcourir avec intérêt votre article sur les eaux gazeuses, et pour moi y 2 eaux qui se dégagent de ce comparatif la salvetat et san pellegrino, avec notemment peu de difference pour le sodium, prenant énormément de médicaments pour l’hypertension , le diabète, etc… je me suis rabattu sur la salvetat qui n’est pas ou peu charge en sodium et qui a un bon goût je trouve sauf vers la fin … , jai juste une question, avec ce test comparatif ,quelle eau gazeuse pourriez-vous me conseiller comme une eau neutre que je pourrais boire sans modération , merci.

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                  La plus “neutre” est la source Castel Roc, disponible sous plusieurs marques (dont des MDD)…
                  En plus, c’est (normalement) la moins onéreuse. ;-)
                  La Salvetat est mon second choix (idem pour l’aspect « bulles », mais c’est vraiment subjectif).
                  Plus l’eau est « neutre », mieux vous pouvez gérer vos « apports » par ailleurs (sauf besoins spécifiques clairement identifiés)…

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                    Merci pour votre réponse éclairée ! C.’est bien ce que je pensais , comme je prends des médocs pour diminuer la sel dans le sang, La Salvetat est idéale pour une utilisation journalière sans modération , après c’est une histoire de goût comme la San Pelligrino que je trouve un peu plus goûteuse pour une composition quasiment pareille

              21. Avatar photo

                Tout d’abord, bonjour à tous!
                Alors d’autant que je m’en souvienne vu mon grand âge, j’ai toujours bu de l’eau. Ayant eu un traitement chimio je suis passée à l’eau gazeuse pour décongestionner la gorge. Malheureusement à cette époque, Perrier occupait magistralement les rayons, nos esprits ( sponsor officiel de Roland Garros) ( Perrier cest fou!) et se voulait chic comme cela a été dit, bref j’ai succombé au phénomène de mode. Au fil des années, j’en ai testé d’autres mais leur goût ne me convenait pas: trop salé, trop amer, « sans goût »..Enfin j’ai découvert « Faustine » que j’achète à Netto ( Groupe Intermarché) vendue à 0,30c pour 1,5L. Sur l’étiquette, on voit « Eau minérale naturelle avec adjonction de gaz carbonique » ce qui a le mérite d’être clair.
                Je suis une grande buveuse d’eau Faustine, à savoir l’hiver j’en consomme 6 par jour, l’été 10!!!
                Je les fait congeler pour avoir de l’au gazeuse glacée ( le souci de congestion perdure) et sans cette eau je suis perdue!
                Alors qu’il y avait une rupture de stock dernièrement j’ai cherché sur Internet où je pouvais en trouver ( les autres magasins étant Lidl, Leader Price et Carrefour Market où je ne vais que très rarement car ils sont loin de chez moi, le carburant coûte trop cher.
                C’est ainsi que je suis tombée sur votre site que je lis avec délices depuis quelques jours!!! Mille mercis cher PF je me délecte de tous vos commentaires et des précieux détails, informations et réponses apportées.
                Je vous apporte donc mes « chiffres » et mille excuses mais mes cours de chimie remonte à trop loin pour que je fasse l’évaluation moi-même.

                Faustine Sodium 237, Calcium 209, Magnésium 56, Potassium 30, Bicarbonate 1609, chlorures 20 Sulfates 9 Fluorures 1,3, Nitrate < 1, Résidu sec 1367mg/l.

                Cela fait quarante ans que je bois de la Faustine dont le goût me plaît beaucoup. Le seul problème que j'ai noté c'est qu'il y a des résidus ressemblant fortement à du sel au fond de ma tasse du coup, je les enlève avec un papier absorbant.

                J'attends évidemment avec impatience votre commentaire afin de déterminer si cette eau est convenable!!

                Enfin pour celles et ceux qui feraient des commentaires sur la quantité que je bois, sachez que je suis suivie par un médecin très régulièrement et que mes analyses et examens sont parfaits jusque là. Compte tenu de l"été caniculaire que nous avons cette année, mon médecin m'a affirmé qu"il ne se faisait aucun souci pour moi quant aux risques de déshydratation, phénomène hélas courant chez les personnes âgées. En revanche, il m'a clairement déconseillé de boire l'eau du robinet.

                Une petite chose que j'apprécie également sur l"étiquette est qu"il y a un numéro de téléphone gratuit afin d'avoir plus d'information sur le produit.

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                  Jamais vu cette “Faustine”.
                  Je vais essayer d’en trouver et je reviens commenter. ;-)

                  Concernant les quantités absorbées, prudence quand même, car cela peut mettre à mal les reins, ou révéler un problème de ce côté (ou du diabète). Et je sais de quoi je parle :-/
                  Normalement, il faut boire entre 1,5 et 2,5 L/jour. Bon, après, tout dépend du contexte…

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                    Côté reins, diabète et cholestérol, tout va bien. Je reste néanmoins sous surveillance. Il faut noter que tant que mon problème de congestion et inflammation de la gorge (due à des traitements médicamenteux) persistera, il me faudra boire de l’eau glacée en quantité sinon cela se transforme en sensation d’étouffement fort désagréable et irritation/toux provoquant de forts maux de tête.

                    Concernant « Faustine » apparemment on la trouverait aussi à Carrefour ou sous le nom de Saint Alban ( Source Worldwater.fr)
                    Enfin pour les amateurs d’eau de source, je suis tombée sur ce site qui montre le captage des eaux de source de l’Ardèche.
                    http://eaux.minerales.oubliees.over-blog.com/article-35697816.html

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                      Edit: On ne peut plus trouver de « Faustine » ou « Saint Alban » à Carrefour ils ont décidé de fabriquer leur propre eau gazeuse.
                      En revanche, on en trouve en canettes à Aldi. Mais est-ce la même composition?
                      Netto doit donc détenir une exclusivité sur les bouteilles de 1,25 l Faustine.

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                        Bon, en faisant un détour (spécial) lors d’un déplacement, j’ai fini par trouver un “Netto”, et j’ai un pack de Faustine dans le coffre…
                        Pas évident, mais on va y arriver. ;-)

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                      Prudence quand même.
                      Pour ma part, j’ai atteint 9 litres/jour (d’eau), et c’était probablement annonciateur de la suite. :-/

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                  La potomanie dilue les minéraux dans le sang, provoque l’hypotension et entraîne tout un tas de problèmes de santé : calvitie, dépression, AVC, infarctus…
                  Ce n’est pas l’hypertension qui est dangereuse, c’est l’hypotension.
                  On nous ment !

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                    Merci pour tous ces renseignements mais je ne suis pas atteinte de potomanie ( voire mes explications ci-dessus) . Entre le plaisir de boire de l’eau gazeuse et y être forcée, il y a un grand fossé. Si mes souvenirs sont exacts, c’est au-dessus de dix litres que les potomanes se situent avec une obsession d’aller dans les lieux publics ( cafés, restaurants, bars) plus la satisfaction d’uriner dans les lieux publics.

                    Sinon j’ai trouvé de la Cristalline et Salvetat à Carrefour. Au goût, mon choix se porterait sur la Cristalline bien plus proche de ma « Faustine ».

                    Enfin j’ai découvert par hasard que Faustine était distribuée à Hong-Kong à 5,69E le pack de 6 bouteilles 1,25 L ;)

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                      Boire de l’eau sans sodium dedans est suicidaire…
                      Mise à part la Saint-Yorre, les autres eaux n’ont aucun intérêt nutritionnel et s’avèrent même être dangereuse pour la santé comme peut l’être l’eau distillée pour fer à repasser…

                      Le Cristalline c’est de la merde sans sodium qui a le goût du tabac froid et la Salvetat c’est gavé de calcium (calcium = tartre sur les dents, calcaire dans les artères et calculs dans les reins) qui vous bouchera les reins tôt ou tard inévitablement…

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                        Le « sodium », vous le trouvez ailleurs, et en excès, a un tel point que c’est difficilement maitrisable/quantifiable…
                        Quant à une eau comme Saint-Yorre, c’est limite médical/pharmaceutique…
                        Avec vos conseils, autant boire de l’eau de mer, non ?

                        PS : La « potomanie » a un aspect essentiellement psychiatrique, et ça n’est pas de cela dont il est question ici.

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                          L’excès en sodium est impossible.
                          Si on en prend trop, on aura la chiasse et puis c’est tout.
                          Le danger c’est l’hypotension qui conduit à l’arrêt cardiaque.
                          Les recommandations d’État ont fait fausse route…
                          https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/31451/reader/reader.html#!preferred/1/package/31451/pub/45503/page/10

                          L’eau de mer est thérapeutique oui…
                          Le plasma de Quinton…
                          Alain Bombard…

                          Boire de l’eau peu minéralisée c’est de la potomanie.
                          Rien à voir avec la psychiatrie…
                          Niveau d’intelligence un peu trop conforme aux normes débiles de notre société pour quelqu’un qui se veut « grinçant » je trouve…

                          Le bruxisme est d’ailleurs dû à un manque de sodium dans le sang.
                          Encore un mouton malade qui se prend pour un loup…
                          CQFD.

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                            Désolé, mais en plus d’être incorrect à mon égard, vous me semblez dangereux dans vos propos.

                            Si vous creusiez un peu ici, vous verriez que je suis — aussi et hélas — très concerné par tout cela.

                            1. Avatar photo

                              La vérité n’est pas incorrecte, ducon.
                              Et le danger ne vient jamais de la vérité sauf si on est un menteur ou un usurpateur…
                              Le danger vient de ceux qui diabolisent le sel ou qui sont complètement à côté de la plaque comme toi qui t’intéresses plus au prix de l’eau qu’à la qualité de l’or qu’il y a dedans…
                              L’or potable alchimique c’est le sel !

                              Saint-Yorre = sain et or = sans bactérie (potable) et avec du sodium dedans (de qualité)

                              Le secret des bodybuilders beaux et musclés : le sel et le soufre (protéines soufrées) !
                              {Nota PF/Grinçant : Lien modéré car déplacé/inadapté}

                              1. Avatar photo

                                Merci pour le « ducon ».
                                J’avais comme un doute sur votre compte dès votre première intervention ici, et là, je vous VIRE* !
                                Motif : Propos dangereux + incorrects/insultes & Non respect de mes CGU, section “Commentaires et Modération”.

                                PS1 : Je replace (encore) votre « commentaire » hiérarchiquement (donc au bon endroit) dans le fil, ce que vous êtes (aussi) incapable de faire lorsque vous postez.
                                PS2 : En plus je vire votre lien à la con.

                                * Allez donc prendre un bain de saumure, vous y serez mieux que sur ce blog.

                              2. Avatar photo

                                @djé

                                Outre le caractère grossier de votre intervention, vous devriez sérieusement revoir vos connaissances quant au sel et au sodium qui est contenu dedans.
                                Dire que l’hypotension conduit à l’arrêt cardiaque c’est une lapalissade. Il est clair qu’un mort n’a pas de tension…
                                Dire que l’hypertension n’est pas un soucis est une contre vérité grotesque.

                                Renseignez vous auprès des cardiologues, nutritionnistes et même de l’OMS vous verrez ce qu’ils pensent du rôle du sel et de l’hypertension dans la mortalité par AVC, Infarctus et autres décès dus aux maladie cardiovasculaires.

                                Vous êtes pitoyable.

                                Le Pr Delahaye cardiologue émérite précise : « Si l’on diminuait la consommation de sel à 6 g/jour, on estime qu’environ 35 000 décès par un AVC ou une maladie cardio-vasculaire seraient évités chaque année en France »

                                Bref comme le dit @PF, vous êtes particulièrement dangereux.

                                Je vous souhaite de continuer à manger du sel à volonté et de bien vite en avoir les résultats néfastes et ainsi avec un peu de chance ou pas c’est selon, vous rejoindrez bien vite les 350 000 Américains dont l’excès de sel dans leur alimentation les conduit au cimetière chaque année… (Étude de l’AHA – American Heart Association – Source 2015).

                                1. Avatar photo
                                  PF/Grinçant.com

                                  Oui, dangereux.

                                  Une fois viré/blacklisté, il a tenté de poster un « commentaire » en m’accusant de censure. Mais comme il était déjà passé (automatiquement) à la corbeille, je n’ai fait que l’apercevoir, et il a rejoint définitivement l’hyperespace sans passer par la case récupération ou même recyclage (trop toxique).

                3. Avatar photo

                  @Kajeewriter
                  Bon, pour revenir à votre Faustine, comme je l’ai écrit précédemment (le 29/08/2019), j’ai réussi à en trouver/acheter un pack.
                  Et je viens d’ajouter un “Addenda” la concernant. ;-)
                  Elle est effectivement plutôt bonne au goût, et la mention “Finement pétillante” sur l’étiquette n’est pas mensongère.
                  Elle pourrait fréquenter — en second/troisième choix cependant — mon réfrigérateur si elle n’était pas si difficile à trouver dans mon coin…

                  1. Avatar photo

                    @PF

                    Je suis ravie qu’elle vous plaise!!! La seule chose qui me turlupine ce sont ces petits grains blancs minuscules apparaissant après 3 ou 4 bouteilles que je bois dans la même grande tasse transparente. Cela dit je les enlève ne sachant pas si ces résidus sont bons ou mauvais.
                    Demain je vais goûter une eau de Lidl « Saguaro » qu’une de mes auxiliaires de vie m’a rapporté sachant que je « testais » de nouvelles eaux en cas de rupture de stock de Faustine à Netto.
                    Dès qu’elle sera mise en vente je testerais aussi l’eau gazeuse Carrefour mes aux de vie sont adorables, dès qu’elles y vont elles me ramènent quelques petites choses que je ne trouve pas à Netto.
                    Et puis si une eau gazeuse ne me plait pas je la donne à mes plantes :)

                    1. Avatar photo

                      Pour ma part, je n’ai pas observé ces “résidus”, mais il est vrai que je ne “consomme” pas du tout de la même manière, tout en alternant avec mon eau habituelle.
                      Notez cependant que 1 367 mg de « Résidu à sec » par litre, pour 4 bouteilles, ça nous fait 4 x 1,25 x 1,367, soit 6,835 grammes !
                      Alors certes, c’est (normalement) « en chauffant », mais observez, dans ma démonstration, le bouchon (de bouteille d’eau) rempli de sel… Cela représente 8 grammes, et nous n’en sommes pas loin. Alors, dans un même verre, et en cumulant (au fil de l’eau, c’est le cas de le dire), même « à froid », ce que vous observez ne doit pas être anormal…

              22. Avatar photo

                Je cherchai un comparatif sur les eaux minérales pétillantes, et bien c’est génial je l’ai trouvé sur GRINCANT, mais que boire alors? l’eau du robinet j’y suis depuis quelques temps. L’eau Grand Barbier en 3 l pour le thé et le café mais plate bien sûr!

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                  Que boire ? De l’eau parfumée par Lubrizol !… Il y a une bonne source en pleine métropole de Rouen. :-/

                  Bonne question. Pour ma part, après un (bref) passage par l’eau du robinet « gazéifiée » avec une machine Sodastream, je suis revenu à l’eau en bouteille…

              23. Avatar photo

                Bonjour,
                Très intéressant et innovant. Félicitations.
                Restriction sur le conseil de boire 2-3 litre d’eau par jour. 1,5 litre/jour étant suffisant en sachant que l’on met chacun au défi de manger 5 fruits et légumes/jour, qui contiennent déjà de l’eau. Mais qui est capable de boire autant d’eau, fruits et légumes/jour selon la saison et son activité. Et recommencer dès le lendemain ?
                En consommation abusive, état pothomaniaque, l’eau peut provoquer des désordres électrolytiques qui peuvent conduire à l’état équivalent d’une personne saoule et/ou coma ( très rare cas observé ).
                J’ai troqué Perrier bouchon vert pour le Perrier aux agrumes. Excellent, que l’on décrit sans sel.
                Le sel est ordinairement NaCl. Perrier dit Na 9,6 sodium et Cl 19,5 ou chlorure de sodium. Quel est donc le taux exact en sel pour 1 litre de Perrier

                1. Avatar photo

                  C’est une moyenne, et bien évidemment variable en fonction des individus et de leur hygiène de vie.
                  Entre l’hiver, au chaud chez soi, et l’été — de plus en plus en mode “canicule” —, la quantité et très variable. Rien que pour une randonnée d’un après-midi, je pars avec une quantité qui peut varier entre 0,5 et 1,5 litre d’eau selon la saison, et j’impose la même chose aux personnes qui m’accompagnent…
                  La potomanie, c’est plus à partir de 5 ou 6 litres par jour…
                  Lors de mon hospitalisation — pour grave problème rénal —, j’étais sous étroite surveillance, et mes « apports » autorisés allaient jusqu’à 2,5 litres/jour, et encore, hors perfusions… Un jour une infirmière m’a engueulé alors que j’allais à la fontaine pour remplir ma bouteille de 0,5 litre (j’inscrivais une barre sur l’étiquette à chaque « ravitaillement »), croyant que le médecin m’avait mis en « restriction hydrique » (maximum 0,75 à 1 litre/jour)… Mais elle se trompait de patient !;-)

                  Concernant le « sel », on nous enfume/embrouille !
                  Pour ma part, je m’en tiens à l’indication « sodium », en appliquant des mathématiques à partir des indications figurant sur une boîte de… sel de table ! Cette approche a provoqué des polémiques. Je vous invite à lire ma réponse (en commentaire) du 25/05/2016-14h35 sur le sujet.

              24. Avatar photo

                @PF
                Je ne suis pas un lecteur, mais je viens de passer 2 heures à lire votre article + tous les commentaires.
                Un mot, Mr PF : Passionnant !
                Je vous remercie chaleureusement pour cette investigation et votre bienveillance.
                Je vais revoir l’eau que je bois car je m’aperçois que je manquais cruellement d’informations (ou peut-être que j’étais mal informé…). En effet, je ne buvais que de la St-Yorre pour ses bicarbonates dont mes « recherches » sur internet ne vantaient que leur « bienfaits »… Je m’en veux presque…
                Cette eau est jumelée avec du Mont Roucous (qui semblerait être la top eau plate en composition ?).

                Hop, ajout en favoris et j’aurai du temps en confinement pour éplucher votre blog !

                Encore merci,
                Fabien

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                  Ah, le marketing !
                  Mais c’est presque criminel pour des eaux à la limite du « médical »…

                  Je ne connais pas Mont Roucous, mais je ne suis pas « eau plate », raison pour laquelle je n’ai pas creusé la question.
                  En cette période particulière, quand je ne trouve pas ma « source Crista-Roc » habituelle, ou que je ne veux/peux pas m’encombrer de packs, je gazéifie l’eau du robinet puis la fais reposer une douzaine d’heures au réfrigérateur. C’est moins bon, mais j’ai quelques bulles…

                  Bienvenue ici.
                  Et question « épluchage », vous venez de tomber sur un gros oignon qui en fait pleurer certains… ;-)

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                    Intéressant !
                    « je gazéifie l’eau du robinet puis la fais reposer une douzaine d’heures au réfrigérateur. C’est moins bon, mais j’ai quelques bulles… »
                    Alors vous y êtes venu vous aussi. Je ne vous avais pas convaincu lors de nos échanges d’il y a plus d’un an.
                    J’alterne entre Salvetat et Sodastream. Je refroidis l’eau plate avant d’injecter le gaz carbonique afin qu’elle en dissolve plus.
                    Amicalement !
                    François

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                      Oui, j’y suis venu, mais pas pour les raisons que vous pensez…
                      On m’a fait une « FAV » (fistule artério-veineuse) au poignet gauche, avec interdiction de porter des charges lourdes. Alors, pour limiter le transport de mes packs de 9 kg, j’ai effectivement acheté une « Sodastream » voilà un an…
                      Mais franchement, je trouve le résultat pas vraiment top.
                      D’ailleurs, au bout d’un an, ma cartouche de CO2 n’est toujours pas vide…

                      Malheureusement, ma FAV est morte en octobre/novembre dernier et je me suis remis aux packs (en fait, je m’y étais remis avant, FAV ou pas).
                      Ma « machine » était dans un placard, et je viens de la remettre en service. J’ai même acheté une deuxième recharge neuve la semaine dernière…
                      Actuellement, j’alterne entre ma Cristal-Roc habituelle — qui devient de plus en plus difficile à trouver en cette période compliquée — et de l’eau du robinet que je gazéifie.
                      J’utilise des bouteilles PET spéciales, et je trouve qu’elles conservent plutôt bien le peu de bulles générées par ce machin. Pourtant, je fais à chaque fois six « injections », dans 840 ml d’eau (jusqu’au repère).
                      Pour le confinement, ça a du sens, mais c’est un palliatif.

                      PS1 : J’ajoute aussi un peu de sirop de pêche à 0 % de sucre, ça améliore… J’ai aussi essayé leur « additif » Limonade/Coca (0 % aussi), et c’est plutôt rigolo, mais cher.
                      Mais un peu de citron Bio pressé, ça n’est pas plus mal…

                      PS2 : Je devrais essayer sur mon café. Mais comme c’est de l’expresso, la machine n’est pas adaptée. ;-)

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                A) 1er septembre 2018 : …/« Elle pèse trente grammes.
                Soit un peu plus qu’un cerveau de député macronien. »
                /…
                J’ai retenu car j’ai apprécié…
                B) 24 mars 2020 : « Et question “épluchage”, vous venez de tomber sur un gros oignon qui en fait pleurer certains… »
                Je vais retenir car j’apprécie !
                Et c’est toujours en relation avec LREM, comme c’est bizarre diraient Louis Jouvet et Michel Simon.
                https://www.youtube.com/watch?v=ZDce7Kl_LDo

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                  « Elle pèse trente grammes.
                  Soit un peu plus qu’un cerveau de député macronien. »

                  Initialement, c’était ici : Reine-claude pour potage gouvernemental

                  Au fait, @Pamphlétaire, c’était votre centième “contribution” ici.
                  Je vais ouvrir une bouteille d’eau pétillante à votre santé. ;-)

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                    Merci pour votre comptage… Je vais laisser le prof principal noter l’élève : « Passable. Doit plus travailler ! »
                    J’apporte ma modeste contribution tel le colibri apportant de l’eau pour éteindre l’incendie gigantesque de l’Amazonie, petite fable racontée merveilleusement par le philosophe / paysan / écrivain Pierre Rabhi.

                    Pour rester dans l’eau et dans les bulles, comme dans votre commentaire ci-dessus, j’utilise également du citron pressé en bouteille avec du bicarbonate de soude et ça pétille à plein régime, puis ajout de l’eau du robinet et le rot arrive… Dans un article, j’avais lu que le bicarbonate de soude nettoyait, accélérait, complétait le processus de nettoyage des globules blancs dans la rate… Mais c’est trop scientifique pour moi.

                    « Il faut que tu te représentes encore le lecteur douillet qui, le soir, les pieds au feu, avec quelques rots discrets de bonne digestion — une main devant la bouche — s’assimile cette prose. »
                    Romains (Louis Farigoule, devenu Jules) 1885-1972, les Hommes de bonne volonté, t. III, II, p. 37.

                    Concernant l’eau, il y en a une à ne pas consommer qui est « l’eau lourde » utilisée pour la centrale nucléaire de Brennilis (29) (Centrale nucléaire de Brennilis : un cadavre encombrant — FranceTVInfo.fr) et dont un ancien technicien a travaillé pendant 28 ans (Brennilis. Michel Marzin : « On a sous-estimé les dangers du tritium » — LeTelegramme.fr)… Quant au démantèlement de cette centrale, toujours en cours jusqu’en 2038 ? Effarant !

                    1. Avatar photo

                      Oui, en cette période de confinement, je compte les commentaires, ça occupe. ;-)
                      Pour moi, avec celui-ci, ce sera le 6 973e. Voilà pour la « référence »… ;-P

                      Concernant l’eau « lourde », plus haut, dans mon commentaire du 21/03/2016-17h43, j’indiquais :

                      « Et pour finir, on dit de Plancoët que c’est “L’eau la plus radioactive de France !”… »

                      Plancoët, ça n’est pas très loin des Monts d’Arrée (un coin superbe), et donc de Brennils.
                      De là à y voir un rapport…

                      Pour la « Légende du Colibri », j’en parle ici :
                      Pierre Rabhi, le pêcheur, le colibri, et ma libellule (07/04/2017)

                    2. Avatar photo

                      @Pamphlétaire me rappelle l’élégance épistolaire d’un @universel que je regrette de ne plus lire…
                      J’avoue que @PF se défend bien aussi ;)
                      Les saillies sont enlevées et… grinçante.

                      Concernant l’eau, rien à ajouter si ce n’est que bientôt cette ressource naturelle sera elle aussi un bien totalement privatisé.

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                        @universel n’est plus intervenu ici depuis ce commentaire, le 24/07/2019.
                        C’était sa… 1 139e contribution à partir du 31/07/2013 !;-) (Smiley pour @Pamplétaire)

                        J’espère qu’il se porte bien, surtout en cette période.
                        Je vais peut-être tenter de prendre de ses nouvelles, même si je peux comprendre que l’on ne fréquente plus ce blog (il se faisait déjà moins prolixe depuis un certain temps), notamment du fait de ses évolutions ou de certains billets.

                        Mon billet « À la recherche des commentaires perdus » (06/12/2019) le concernait d’ailleurs un peu… :’-(

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                          Je note que @universel a écrit des commentaires, proses, hors pair, car, à travers ceux-ci, on constate qu’il a roulé sa bosse un peu de partout et avec son expérience il peut comparer, à défaut apporter des témoignages précis (son commentaire du 21 sept. 2015 à 10h49 dans « Au menu ce dimanche… »).
                          Merci de nous donner des nouvelles, car votre absence est inquiétante/manquante dans ce blog pour l’enrichir avec vos témoignages issus d’une collecte de données personnelle.

                          « C’est en forgeant qu’on devient forgeron. » — C’est par l’exercice que l’on acquiert de la compétence. Pour acquérir véritablement un savoir-faire, il faut le pratiquer et non pas connaître seulement la théorie, n’est-ce pas Macron/micron pour @Flavien… Désolé, mon intervention n’a plus rien à voir avec l’eau pétillante…

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                            J’ai ajouté un lien dans votre post vers le commentaire en question.

                            Ça devient presque un avis de recherche.
                            Si c’est un buveur d’eau, votre appel sera peut-être entendu, qui sait… ;-)

                            PS 21h35 : Je viens de lui envoyer un petit mail…

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                              Salut à tous,
                              Oui, je me suis relâché un peu… Merci pour votre amical souvenir :-)
                              Je suis confiné/révolté à 600 km de chez moi, je vais revisiter un peu le blog que, malgré les apparences, je n’ai pas oublié ;-)
                              À bientôt !

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                                Ah, bonne nouvelle !
                                J’étais passé de l’eau pétillante au Whisky pour mieux supporter votre « disparition ». ;-P
                                Cela dit, ça n’est nullement une obligation que de revenir ici, mais si ce confinement peut servir à quelque chose d’intelligent…

                                600 km ? Aïe, pas le genre de distance facile à parcourir sans se faire pincer.
                                Bon courage, comme pour beaucoup de monde, hélas.
                                Par contre, je ne suis même pas certain que la « majorité » soit « révoltée ». :-/

                              2. Avatar photo

                                @universel !!!

                                Quel plaisir de vous relire, même si ce sont dans des circonstances difficiles pour nous et de plus délicates pour votre quotidien distant.

                                Au plaisir, ça va égayer ma soirée de vous savoir de retour.

                                1. Avatar photo

                                  La seule bonne nouvelle de la journée, avec le retour de @universel ! Le printemps a eu du retard dans cette région-là ! Du moment que votre santé physique et morale sont au top, c’est l’essentiel…
                                  « être au top = être au meilleur de ses capacités, de sa forme. »

                                  1. Avatar photo
                                    PF/Grinçant.com

                                    Je lui souhaite aussi d’être en pleine forme, et il sait que je suis sincère.

                                    PS1 : Par contre, il ne faut pas qu’il se sente « obligé » de réintervenir ici. Il n’y a même pas une bouteille d’eau à gagner, seulement un peu de chaleur humaine (mais vraiment pas pour tout le monde, c’est finalement assez sélectif), ce qui n’est déjà pas si mal.

                                    PS2 : Je ramène la suite de cet échange en « racine » de l’arborescence des commentaires, sur le mot « obligé ». La suite par @universel.

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                  Je suis suffisamment rebelle et libre pour n’être obligé de rien ;-)

                  C’est le bon moment, simplement, et grâce à l’intervention de Grinçant qui a eu une bonne inspiration printanière.

                  J’ai évidemment beaucoup de choses à partager dans ce monde de brutes, mais j’essaie d’éviter de mettre le feu au blog, en particulier sur cette pandémie de propagande médiatique. Le covid, à côté, c’est juste un prétexte.

                  Si je devais retenir deux choses, la première écouter le professeur Didier Raoult sur sa chaîne YT, depuis des années, la seconde c’est de rester solidaire et surtout éveillé !

                  1. Avatar photo

                    Vous pouvez toujours « mettre le feu au blog », il y a de l’eau, enfin au moins sur ce fil. ;-)

                    PS : Dans votre post, j’ai ajouté le lien vers la chaine de l’IHU Méditerranée-Infection.
                    La vidéo d’hier de Didier Raoult — Coronavirus : Recul de l’épidémie à Marseille — est d’ailleurs édifiante, en plus d’être un régal à décrypter.

                    PS 18h05 : Par précaution je stocke la vidéo en local, et la rends directement visible ici…

                    1. Avatar photo

                      Oui, cet homme est un génie tranquille, sa dernière question est époustouflante, pourquoi cette lutte brutale contre de vieux médicaments à l’efficacité avérée ? Vs bien sûr les « nouvelles molécules » très chères, toxiques, sauf pour le profit de « big pharma », là c’est moi qui en rajoute ;-)

                      Bon, j’ai une autre mèche à allumer sous le contrôle du patron, une interview très récente de Valérie Bugault par la revue Strategika : Géopolitique du coronavirus I – Entretien avec Valérie Bugault (Strategika.fr, le 01/04/2020)

                      Je suis Valérie Bugault depuis quelque temps dans ses interventions où elle est invitée pour ses analyses du meilleur niveau, notamment par nos chers gilets jaunes. Là, ça décape.

                      1. Avatar photo

                        @universel
                        Bonjour ! J’ai consommé de la Nivaquine pendant des années en raison de mes séjours en Extrême-Orient (il m’en reste même un peu), sans effet secondaire. Mais contre le coronavirus, on parle de multiplier les doses par 10. Alors prudence !

                        1. Avatar photo

                          @Frangi78
                          Oui, sauf que le Pr Didier Raoult n’est quand même pas n’importe qui, surtout s’agissant de cette molécule.
                          Et il est obligé de faire des circonvolutions pour se faire entendre (cf., notamment, cette dernière vidéo — Dans une précédente, du 31/03/2020*, il a même présenté son « état-major », c’est dire si on lui complique la vie), en plus des « preuves » sur Marseille, statistiques — pas seulement de son IUH — à l’appui.
                          Le criminel de masse, ça n’est pas lui, bien au contraire. Et d’ailleurs, si tel était le cas, vu qu’il y a même des « décrets » sur mesure dans cette affaire, il serait embastillé par les sinistres aux « commandes » (plusieurs sens, cela vaut aussi pour les masques, les respirateurs, le curare, les tests, etc.).
                          Enfin, pourquoi Macron est-il allé le « visiter » le 09/04/2020 ? En filigrane, dans son dernier « discours » du 13/04/2020, c’est pour tenter de se couvrir, encore et encore.

                          * Vidéo hébergée en local, par précaution, et il serait étonnant que l’IUH de Marseille m’attaque en justice pour cela :

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                          @Frangi78
                          Moi aussi j’ai croqué de la Nivaquine lors de détachements de plusieurs mois dans les années 80, en particulier au Gabon. Il n’y avait évidemment pas d’effets secondaires puisque je volais tous les jours en mission opérationnelle hélico de jour, et de nuit. Plus 21 jours au retour à la maison.

                          Toutes ces causeries d’incompétents font partie de la propagande.

                          Sinon, comme tout médicament, il y a une dose prescrite, ce que sait faire Raoult, les « on parle de 10 fois la dose », c’est du bruit de pollution. L’automédication, je la réserve pour la vitamine C, l’arbre à thé et autres huiles essentielles.

                          @Grinçant
                          Je reconnais que le sujet des eaux pétillantes a pris de l’embonpoint, pas évident à gérer, un petit transfert peut-être dans le sujet approprié avec une intro ?

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                            @universel
                            Non, pas de transfert, je préserve la « genèse » et la logique de l’échange.
                            Par contre, par un jeu de liens, je viens de « réinitialiser » (à la racine des commentaires) la discussion — en la coupant en deux — sur ce thème.

                            On ne sait jamais, si une discussion sur la chloroquine pouvait amener des visiteurs à boire plus d’eau. ;-)

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                        @universel
                        J’avais vu cette vidéo cette nuit lors d’une crise d’insomnie pendant laquelle j’ai par ailleurs répondu à quelques commentaires ici.

                        Du coup, je viens de l’intégrer dans mon post de 12h33, avec stockage sur le serveur du dédié au blog.

                        Sur ce, je vais lire cette interview de Valérie Bugault.

                        PS1 : Partant d’un « avis de recherche » ;-), nous sommes maintenant aux « taquets » dans la hiérarchie des commentaires (10 niveaux), et cela devient décalé par rapport au sujet du billet. Pour une suite éventuelle sur cette thématique, il y a mes billets récents tagués « Covid-19 & Confinement ».

                        PS2-20h30 : Par un jeu de liens, je ramène l’échange récent, pour sa partie « Covid-19/hydroxychloroquine/Raoult » à la racine des commentaires (indentation, niveau  1). Donc la fonction « Répondre » est à nouveau disponible — au bon endroit — pour vous.

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                  Bonjour !
                  Du nouveau chez Salvetat, « Salvetat s’engage ! » : C’est le slogan sur la nouvelle étiquette.
                  Plus écolo, la nouvelle bouteille contient 50 % de plastique recyclé (RPET) !
                  Fantastique ! Elle est presque incolore et elle paraît plus fine…
                  Eh oui ! La contenance est passée de 1,25 l à 1,15 l. La mention « format généreux » a été supprimée.

                  La bouteille de Salvetat passe de 1,25L à 1,15L

                  Bon, le pack de six sera plus facile à transporter, mais il faudra en acheter 8,7 % fois plus souvent. Je n’ai malheureusement pas relevé les prix avant/après. Ça reste une eau bon marché et agréable à boire.

                  1. Avatar photo

                    La mention était même « Format généreux, comme les gens du Sud ! »… Les gens du Sud ne seraient plus généreux ?

                    Par contre, l’étiquette a été agrandie en hauteur pour mieux masquer le rétrécissement sur la circonférence.
                    Bref, des pratiques détestables qui se multiplient.

                    PS1 : La Salvetat reste mon second choix, après Cristaline (toujours en 1,5 L), pour sa neutralité/son équilibre, mais également pour son prix, mais les choses changent… j’imagine que sa composition n’a pas été modifiée.

                    PS2 : Ajout d’un addenda. ;-)

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                      Bon, pour le prix, j’ai la réponse avec une photographie prise hier dans un supermarché Carrefour où les prix de l’eau sont pour moi normaux/habituels.
                      Résultat, pour la Salvetat, une augmentation de plus de 18 % du prix au litre !!!
                      J’ai mis à jour mon addenda avec cette nouvelle information.

                      1. Avatar photo

                        Pas d’accord avec votre calcul. À vue de nez, 10 ml de moins pour une bouteille de plus d’un litre, ça ne peut pas faire 18 % de volume en moins/de prix au litre en plus.

                        Plus précisément et parce que je n’aime pas beaucoup parler en pourcentages, le rapport des volumes (à prix constant) de 1,25/1,15 vaut 1,087. Ramené à la taille moyenne de la bouteille 1,20 le facteur 0,087 devient 7,25 %. Disons plus de 7 % d’augmentation déguisée du prix.

                        1. Avatar photo

                          Désolé, un prix au litre qui passe de 0,368 € à 0,435 €, le calcul de la hausse est de : 0.435/0.368, soit 1,182 de coefficient. L’augmentation est donc bien de 18,2 %
                          Par contre, à la bouteille, on passe de 0,46 € à 0,50 €, soit une hausse de 8,7 %, mais comme la quantité d’eau a diminué de 8 %, il y a donc un effet double effet « Kiss Cool ».
                          Je maintiens mes chiffres.

                          TOUJOURS rapporter au litre ou au kilo pour faire des comparaisons !

                          PS1 : Je ne fais pas du « à vue de nez », je fais de vrais calculs !

                          PS2 : Avec de pareilles méthodes de calcul, vous êtes un bon client pour vous faire avoir… Mais je sais que les Français sont brouillés avec les pourcentages.

                          PS3 : Pour obtenir le prix au litre, c’est 0,46 €/1.25 dans le premier cas, et 0,50 €/1,15 dans le second, on obtient donc 0,368 € vs 0,435 €.

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                            J’ai supprimé mon premier commentaire après avoir lu votre addendum sur l’augmentation du prix. Je ne conteste plus !

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                              Eh non, vous ne pouvez pas le supprimer, puisque je lui ai (déjà) apporté une réponse.
                              Le supprimer provoquerait à 100 % ;-P la disparition du mien, qui est explicatif/démonstratif.

                              Restons-en là, d’autant que je pense que beaucoup de personnes ont besoin de ce genre de démonstration « mathématique ». ;-)

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                  Bonjour et merci pour votre article très informatif !

                  En Belgique, nous avons l’eau la moins chargée en sodium (3 mg/L) et pourtant elle n’est pas fade : la super eau de SPA ! Mais puisque vous aimez les bulles, elle est malheureusement gazéifiée.

                  Par contre, nous avons une eau encore meilleure, également très peu chargée en sodium (8 mg/L), et c’est la merveilleuse eau de BRU ! Et elle est naturellement pétillante. Goûtez-la, vous m’en direz des nouvelles !

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                    J’ai probablement dû en boire lors de quelques séjours en Belgique (Wallonie), pour bien accompagner les meilleures frites de ma vie.
                    Par contre, en trouver dans l’ouest de la France doit être particulièrement difficile.

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                  Bonjour, Bon au finale ça serait la cristalline qui s’en sort le mieux ?
                  Sauf que comme mentionné il y a plusieurs source, et la mienne n’est même pas dans la liste d’ici
                  J’ai la source Roxane du Luxembourg

                  Et voilà ce qu’elle contient, du mieux comme du moins bon, qu’en pensez vous ?

                  Composition Crisatlen Roxane

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                    Oui, c’est bien la Cristaline qui s’en sort le mieux.
                    Mais, comme souligné à plusieurs reprises dans mon billet, ses annexes, et dans les commentaires, c’est une marque, et c’est à la source, toujours mentionnée sur la bouteille, qu’il faut se fier : CRISTAL-ROC.
                    La plupart des bouteilles Cristaline contiennent de l’eau de cette source.
                    Vous pouvez aussi jeter un œil du côté des marques de distributeur (MDD), on en trouve aussi sous les marques Leclerc et Carrefour, toujours en 1,5 litre, et à un prix similaire.

                    PS : J’en pense que votre Cristaline « Roxane » est très proche de la Cristaline « Cristal-Roc ». Elles sont presque interchangeables au niveau de la composition. ;-)

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                  Bonjour, le rosé, comme la moyenne des vins, contient 87 % d’eau environ (pour un 13°).
                  N’oubliez donc pas de vous hydrater, avec modération bien sûr !
                  Mais, plus sérieusement, l’eau des vins est essentiellement de l’eau de pluie.
                  Quid de sa composition ? Car évidemment les éléments indésirables sont seulement présents dans l’alcool du Vin…
                  Balbu 13

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                    Je ne suis pas vigneron, mais quand même… Je suppose que votre post est une plaisanterie, l’eau de pluie se charge des sels minéraux contenus dans le sol avant d’être absorbée par les racines de la vigne, d’où l’importance du terroir ! Monsieur PF il faudrait ouvrir un autre fil de discussion sur le vin, car ici nous sommes hors sujet !

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                      Non, pas vraiment hors sujet.
                      L’eau contenue dans le vin ne compense pas la déshydratation causée par l’alcool, même à 13°.
                      Boire de l’eau est donc une bonne idée, et nous retombons sur le sujet de ce billet.
                      Et si les mots contenus dans vos deux posts (vin, vigne, vigneron, rosé, terroir, etc.) peuvent amener des gens par les moteurs de recherche et les pousser à boire plus d’eau que de vin… ;-)

                      Cela dit, pour le vin, le problème ne vient pas de l’eau de pluie et de ce qu’elle devient sur les vignes, mais surtout de tout ce que l’on ajoute à différentes étapes.

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                      Bonjour,
                      Bien sûr que c’était une plaisanterie,
                      il n’empêche…
                      En voilà une autre, mais parfaitement authentique celle-là et avec encore plus d’eau dans mon vin:
                      lors de mon premier séjour en Laponie , j’ai la surprise de constater qu’il n’y a pas de vin dans les grandes surfaces. Des gondoles entières de bières de toutes sortes. Explication: la vente de boissons alcoolisées titrant plus de 5° est interdite et ne peut être proposée que dans les « boutiques d’alcool » propriétés de l’état Finlandais. Là on trouve tout…
                      Mais, en cherchant bien, je déniche un quart de huitième de gondole, caché, avec quelques bouteilles de vin à 4°5 ( donc 95,5% d’eau, vous suivez ? ) j’en achète une: très buvable ! mais la surprise est ailleurs: « mis en bouteille à Férals, 11— France  » dans l’Aude! je rapporte l’étiquette en France: du vin bon à 4°5, je suis preneur ! J’appelle Férals :  » ah non, Monsieur! on n’a jamais entendu parler de ça ! »
                      je bois de l’eau…

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                  Bonjour,

                  J’écris ce message dans un premier temps pour dire que je trouve votre blog énorme (dans le bon sens du terme). Je l’ai découvert durant le début de cette année civile, et pour cause : je faisais des recherches sur cette *aloperie de recensement INSEE !

                  Alors me voici sur cette non moins énorme page dédiée à une analyse comparative pour le moins exhaustive des eaux gazeuses que j’ai découverte vers le printemps dernier. Je n’ai pas tout lu… et je ne pense pas le faire un jour ! Mais j’ai lu une bonne partie et je me suis servi de la fonction Ctrl F (^F).

                  Je voulais commencer par une question à laquelle vous ou une autre personne lisant ce message pourrez peut-être répondre : avez-vous constaté une différence de goût entre le moment où PERRIER est passé de « renforcée au gaz de la source » à « adjonction de gaz carbonique » ?

                  Je demande, car je ne buvais pas d’eau gazeuse au moment où cette marque était dans le premier cas de figure, d’où l’absence de point de comparaison.

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                    Voici mon classement, forcément subjectif :
                    1) Orezza, la corse que j’ai d’ailleurs découverte suite à un commentaire d’un intervenant ci-dessus.
                    2) Celtic, une eau gazeuse d’Islande qui se rapproche de la 1ère place. Elle esquinte mon porte-monnaie, donc j’achète rarement… et puis de toute façon, il n’y en a plus en rayon physique en ce moment.
                    3) Vichy, qui devance de peu Saint-Yorre… peut-être plus « légère ».
                    4) Saint-Yorre, cet apport de sodium est le bienvenu quand je transpire abondamment après le sport… Mais peut-être que c’est justement cet aspect salé qui la fait chuter de mon podium par rapport à l’excellente Vichy-Celestins.
                    5) Perrier verte, les bulles sont bien dynamiques. Mais après avoir dégusté moult marques, je commence à percevoir la différence entre les renforcées gaz de la source et leurs homologues avec adjonction de gaz carbonique. Ce qui fait que Perrier verte est assez nettement éjectée de mon podium.
                    6) Chateldon, qui est très réputée, mais qui m’a un peu déçu, elle a un côté fade et en regardant l’étiquette je n’arrive pas à savoir ce qui pourrait lui manquer… peut-être des bulles trop fines ? Je ne l’ai goûtée qu’une seule fois, peut-être un second essai pour y voir plus clair ?
                    7) San Pellegrino, ça passe, mais bof, quelconque, à la limite de l’insipide.
                    8) Perrier bleue, fines bulles, fines bulles, OK, mais… un ensemble bien fade je trouve. Le plastique y serait pour quelque chose ? Je ne sais pas si c’est une excuse, car Vichy et Saint-Yorre la battent à plate couture… même s’il s’agit d’un autre registre (riche en sodium) et donc en fonction des sensibilités de chacun il faut l’avouer.
                    9) Badoit rouge ; j’aime pas Badoit, je ne sais pas à quoi ils jouent ; mais je trouve que le côté eau plate avec des bulles est trop marqué. Je suppose qu’il en faut pour tous les goûts, donc ils se positionnent sur ce type de caractéristiques gustatives.
                    10 ) Badoit verte, pire que la rouge, je ne ferais pas l’erreur une seconde fois et c’est l’ultime recours.

                    Pour l’Ogeu, conditionnée dans du verre, elle serait dans mes souvenirs au mieux au niveau de Perrier bleue, et au pire au niveau de Badoit, donc plutôt en queue de classement. Je n’ai même pas envie de faire une seconde dégustation, c’est dire !

                    Hors catégorie : les fontaines eau gazeuse gratos. Ben de l’eau plate avec adjonction quoi… se rapprocherait plus de la 11e place… mais elle n’a pas la prétention d’être payante, elle, au moins !

                    1. Avatar photo

                      Tout cela est très subjectif et donc très personnel. Entre le flacon, le goût, les bulles…
                      Ici je me concentrais sur la composition.

                      La Châteldon est une eau que l’on ne trouve plus que dans les restaurants.
                      J’ai eu le plaisir d’en consommer une bouteille récemment, dans les Marais de Brière.
                      Tout môme, vers 1970, j’ai eu le privilège de la boire à la source, en la recueillant dans une petite timbale en étain : elle était tellement ferrugineuse que les rochers sur lesquels elle s’écoulait étaient… rouillés !
                      Un délice qui n’a rien à voir avec le côté « bouteille », même belle — c’est le cas, elle est élégante — et en verre.

                      Pour ma part, je retiens essentiellement le côté « neutre », et je privilégie la source Castel Roc qui est aussi généralement la moins chère (en marque Cristaline ou en MDD).
                      Par contre, je me suis fait à la gazéification de l’eau du robinet. J’ai enfin trouvé le tour de main, et je suis plutôt satisfait, car cela m’évite de transporter des packs et de me retrouver avec plein de cadavres de bouteilles en « PET ».

                      1. Avatar photo

                        Bonjour PF, nous avions débattu sur le sujet…

                        « Par contre, je me suis fait à la gazéification de l’eau du robinet. J’ai enfin trouvé le tour de main, et je suis plutôt satisfait, car cela m’évite de transporter des packs et de me retrouver avec plein de cadavres de bouteilles en ”PET” »

                        Alors, vous vous y mettez aussi. Mais n’y a-t-il que le système Sodastream sur le marché ? Un peu de concurrence serait bénéfique aux consommateurs. Autrefois, il y avait d’élégants « siphons à eau de Seltz » avec des petites cartouches de CO2 pour un litre d’eau, trop chères et peu pratiques. La bonbonne de Sodastream est un bon compromis, à mon avis.

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                          Oui, Sodastream est un bon compromis, avec tout un écosystème pas trop mal pensé.
                          Même les bouteilles, il faut les changer tous les deux ans (+ avoir au moins deux cartouches en rotation)…

                          Pas de concurrence à ma connaissance, mais je ne suis pas certain qu’il y aurait de la place.
                          Et le coût est savamment calculé pour que « ça passe ».
                          L’argument écologique n’est pas mauvais non plus.

                          Bref, pour le moment je ne fonctionne quasiment plus qu’avec ça question « eau pétillante ».
                          La machine est cachée dans un placard, même pas besoin d’être reliée au secteur, et les cartouches ont l’air de tenir les 60 litres annoncés, même si je n’ai pas vérifié méthodiquement.
                          Au début, j’étais extrêmement déçu, mais j’ai bien pris le geste qui va bien : appui long sur le bouton jusqu’à un « pschitt » particulier qui indique que le gaz ne va plus dans la bouteille. Et il faut enlever la bouteille du support tout en la rebouchant le plus vite possible (le nuage de CO2 est bien visible dans le haut de la bouteille).

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                            Vous pouvez vous passer de Sodastream, il existe une solution alternative trouvée dans Wikipedia :
                            « Appareil à deux corps de pompe et à deux saturateurs, pour la fabrication de l’eau de Seltz »
                            Pas de connexion au secteur ni à internet.

                            Machine à eau de Seltz

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                    Afin de conclure, j’ajoute que, paradoxalement, je ne suis pas un grand buveur d’eau, quelle qu’elle soit (ni un grand buveur tout court d’ailleurs !). En fait, je considère la gazeuse supérieure à la plate. Je pense que cela doit principalement venir des vertus des bicarbonates.

                    Cela ne veut pas dire que j’en bois régulièrement non plus. Elles peuvent m’être utiles ponctuellement, comme par exemple à l’occasion d’un repas copieux de fête de fin d’année, ça me fait plaisir de m’abreuver de mon « Top 4 » ou disons « Top 3 », car il faut retirer Icelandic qui m’est introuvable.

                    Je suis bien loin des recommandations officielles en matière d’eau, je considère en obtenir suffisamment via mon alimentation.

                    Pour en revenir à Vichy et Saint-Yorre, je me demande si le fait que je ne mange presque jamais industriel/préparé à l’avance, etc. fait que j’ai peu l’occasion d’avoir du sel. Et donc, le fait de boire ces eaux riches en sodium font que mon organisme est content lorsqu’il en a. Comme quoi, les goûts de chacun peuvent varier en fonction des contextes…

                    Un de ces jours, je ferai un jeûne d’environ une semaine en ne buvant rien que Vichy ou Saint-Yorre, et je ferai aussi l’expérience avec Orezza. Et Chateldon, qui sait ? Quand je vois que le médecin personnel de Louis XIV disait que « Chateldon vous guérira, et en 6 semaines vous aurez des effets positifs », ça aiguise ma curiosité…

                    Si des amateurs d’eau gazeuse souhaitent faire des économies : essayez les fontaines eau gazeuse gratuites (je ne sais si toutes les grandes villes en sont pourvues, cela m’étonnerait). Je pense que ça doit être le même principe que Sodastream… en version gratuite. Maintenant, comme j’ai dit… certains vont peut-être ressentir ce côté eau plate + bulles. Je n’ai pas toute la composition en tête, mais celle où je vais parfois m’approvisionner affiche un résidu sec d’environ 450, un peu comme Perrier.

                    1. Avatar photo

                      Pour ma part, j’ai appris à me passer totalement de la salière, et j’évite aussi les produits qui contiennent trop de sel, eau comprise.
                      Il faut dire qu’avec une insuffisance rénale depuis fin 2018, j’ai vraiment été sensibilisé au sujet.
                      Idem pour le sucre, je n’en rajoute quasiment jamais.

                      Oui, l’eau de Châteldon a une belle histoire/réputation.
                      Dommage que Châteldon (63, Puy-de-Dôme) — commune située à 20 km de Vichy — soit le lieu de naissance de Pierre Laval, et que le « positionnement » de cette source/eau soit aussi dû au maréchal Pétain…
                      Pourvu qu’Emmanuel Macron ne s’occupe jamais d’eau de source…

                      PS : Pour Sodastream, je mets le maximum de gaz, et je fais macérer la bouteille 24 heures au frigo, et je trouve le goût très neutre et les bulles très fines.

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                    Vous allez faire plaisir à PF, étant un lecteur ayant laissé un sacré commentaire en trois parties.

                    Sur l’eau gazeuse, quand j’en ai envie d’un verre, de l’eau plate, un peu de citron et du bicarbonate de soude ou du jus de fruits et du bicarbonate de soude (alimentaire) et je rote comme un bébé…

                    Sur l’INSEE, organisme public dont les membres sont rémunérés avec les impôts des concitoyens et les impôts des entreprises (enfin celles qui en payent), les renseignements/données/chiffres ne servent qu’aux élus/politiques pour apporter de l’eau dans leur moulin et noyer les citoyens lambda, car ils sont souvent hors normes/erronés/faussés/en un mot des contre-vérités…


                    Réalité contre l’Insee : quand un économiste dévoile le grand mensonge autour du pouvoir d’achat (Sputnik France — Sur YouTube, le 26/10/2018)

                    NOMBRE DE PAUVRES : LE GRAND MENSONGE DE L’INSEE ! (Mediapart.fr — Le blog de Brigitte Pascall Blog, le 17/11/2019)

                    Bref, l’INSEE nous gabe en étant « droit dans ses bottes » (au garde-à-vous) devant l’État, son employeur. L’INSEE nous insémine de faussetés.

                    Gaber : verbe transitif vieux qu’il faut prendre au sens de tromper, abuser, frauder, voire confusion, désordre (en général) pour noyer le citoyen lambda…

                    « Ni la contradiction n’est marque de fausseté, ni l’incontradiction n’est marque de vérité. »
                    Pascal (Blaise) 1623-1662, Pensées, VI, 384
                    Incontracdiction = absence de contradiction.

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                    Merci pour le qualificatif d’« énorme (dans le bon sens du terme) » :-)
                    Oui, avec le recul, et au fil de l’eau ;-) et des années, ce blog est devenu assez imposant.

                    Concernant Perrier, je n’en consomme que rarement, et essentiellement en terrasse, avec de la menthe ou du citron, alors difficile de se rendre compte du changement dans ces conditions.
                    Par contre, s’agissant d’une marque qui a une notoriété à conserver question bulles et « goût », compte tenu de la discrétion de la manœuvre, il est à parier qu’ils ont absolument tout fait pour que le changement ne soit visible que sur l’étiquette.

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                    Bonjour,

                    Merci à tous pour vos réponses.

                    C’est vrai que j’ai fait ma pipelette. Il faut dire que les sujets relatifs à la nutrition m’intéressent depuis relativement longtemps. Je me voyais mal écrire un seul commentaire, car j’ai estimé que la lecture s’en trouverait considérablement alourdie.

                    Quelques ajouts après des omissions de ma part malgré trois commentaires :

                    — Je n’ai pas d’avis sur Rozanna, Salvetat, Cristaline et bien d’autres… car je n’ai pas essayé.

                    — Erratum : mon numéro 2 ne se nomme pas « Celtic », mais Icelandic. Comme son nom l’indique, elle provient d’Islande. Je viens de l’apercevoir à Leclerc. Elle n’est même pas naturellement gazeuse, mais avec adjonction. Alors est-ce qu’elle était si bonne que ça ou est-ce que la canicule de 08/2020 a faussé mon opinion du fait que j’étais heureux de cet apport liquide ? Faudra que j’essaye à nouveau pour voir si Vichy n’est pas en position de dauphine. À signaler un résidu particulièrement bas, pas le nombre en tête, mais il n’y a pas plus de deux chiffres.

                    Et maintenant des réactions de réactions :

                    — Mon opinion sur le sel : trop de sel, c’est dangereux. Pas assez de sel, c’est problématique. Ça peut paraître bateau comme synthèse. Pourtant, il existe des aliments qui ne sont que néfastes, et ce quelle que soit la dose : viennoiseries, barres chocolatées, sucre blanc (d’ailleurs ils ne sont même pas des aliments ou des minéraux, car ils sont artificiels de A à Z). Je pars du principe que l’organisme est bien fait, il ne manquera pas d’avertir le principal intéressé d’un excès/déficit de sel. Il faut aussi bien choisir ce dernier. Exit le chlorure de sodium raffiné, place à du vrai sel. Guérande par exemple, entre autres.

                    — Chateldon : étonnement, j’en vois en rayon. J’ai vu à Auchan et… Franprix, tiens ! Auchan la vend environ 70 centimes plus cher. Paradoxalement, l’Auchan en question est situé dans une zone à CSP « mixte », tandis que le Franprix en question est dans une commune plutôt « très riche ».

                    Vous l’avez compris « énorme » était ma manière de qualifier un blog autant quantitatif que qualitatif.

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                      Pour la Châteldon, vous avez de la chance d’en trouver en GMS…

                      D’ailleurs, sur Wikipédia il est écrit ceci :

                      « Avec un rendement de seulement trois millions de bouteilles par an, l’équivalent de la production journalière d’autres marques d’eau minérale de la région, la Châteldon est une eau rare. Présentée comme un “grand cru” mais aussi comme l’“eau du Roi”, distribuée dans des bouteilles en verre, elle est d’abord apparue sur les tables des restaurants de prestige et dans les rayonnages des épiceries fines. Plusieurs personnalités hollywoodiennes ayant fait son éloge, elle est également devenue l’“eau des stars” selon les médias, autrement dit un produit de luxe.

                      Depuis quelques années, cependant, elle est de plus en plus souvent distribuée en grande surface et proposée dans des restaurants de quartier. »

                      Concernant votre eau islandaise, les impressions gardées en mémoire sont parfois compliquées/trompeuses.
                      Le contexte joue énormément (magasin de luxe, restaurant, hôtel, etc.), l’ambiance (sympathique ou pas), ainsi que le flacon (verre ou PET) et son étiquette.
                      Honnêtement, en aveugle, s’y retrouver doit être (très) difficile.

                      Pour le caractère « énorme » de ce blog, la modestie ne m’étouffant pas grâce à l’eau pétillante que je bois, je ne vais pas vous contredire. ;-)

                      PS : Sur le site de la commune de Châteldon (avec l’indispensable accent circonflexe, à cause du château), je viens de trouver une jolie phrase que Fagon, Médecin du roi, disait à Louis XIV…
                      « Les eaux de Châteldon guériront votre Majesté quelquefois, la soulageront souvent et la consoleront toujours. »

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                  Bonjour,
                  Bravo pour cette enquête et son suivi.
                  Je l’ai lue jusqu’en bas, addenda compris.

                  Un petit regret cependant ou une suggestion (à moins que je n’ai pas eu les yeux en face des trous !!!) : Il n’est pas possible de récupérer (PDF, odt,…) le super tableau pour un usage perso, comme le prendre pour aller faire des achats aux commerces et autres du coin et l’importation est de mauvaise qualité.

                  Je reviendrai voir les MAJ régulièrement.
                  Merci encore.

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                    Si, vous pouvez le récupérer, mais c’est (volontairement) un format « image » (PNG).
                    Vous cliquez sur le tableau pour l’agrandir, et vous faites ensuite (clic droit ou pression longue) « Enregistrer l’image sous ». Vous pouvez ensuite l’imprimer.

                    Si vous ne l’agrandissez pas, vous pouvez aussi faire « Enregistrer la cible du lien sous… ».

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                  Je me demande comment vous avez fait vos calcules, exemple: st yorre: 1708 mg/L ( mg devient g?) de sodium donne plus que 4 g de sel par litre??!! La meme erreur continue…

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                    Relisez, simple règle de trois, en partant de la composition d’un sel de table La Baleine sur la base de ce que l’on nous désigne comme sodium/sel sur les étiquettes des bouteilles.
                    Pour moi, le sujet est définitivement enterré, il en a suffisamment été question ici.
                    Attaquez-vous aux lobbies agroalimentaires et à la « réglementation » si vous voulez comprendre à votre manière.

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                    C’est à vous de le déterminer — avec l’aide des éléments fournis — en fonction de votre santé et de vos attentes.
                    Comme je l’ai dit/souligné à plusieurs reprises dans ce fil, l’eau la plus « neutre » du panel est la source Castel-Roc, disponible sous la marque Cristaline (vérifier la source sur la bouteille, car ils en ont plusieurs) ou en MDD (Marque de Distributeur, notamment Carrefour et Leclerc).

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                  Bonjour, avez-vous vu que Vernière a changé de composition et est passée de « eau naturellement gazeuse » à « adjonction de gaz carbonique » ?

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                  Merci pour cette étude et toutes ces informations, j’apprécie également votre humour.
                  Je suis tombée par hasard sur votre blog et je le trouve très bien, instructif, dérangeant (dans le bon sens du terme), drôle, intelligent…
                  Bref, je vous souhaite une très belle continuation et continuerai de vous lire avec plaisir !
                  Une lectrice agréablement surprise.

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                    Bienvenue ici.
                    Comme quoi les bulles — surtout pétillantes — peuvent être utiles dans la vie.
                    Rare d’avoir un retour sur le côté « humour » (forcément un peu grinçant), effectivement souvent présent (mais rarement au premier degré), et cela me fait donc plaisir.
                    Bonne lecture, et merci pour votre post/message fort sympathique.

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                  Un article qui a demandé un taf d’enfer… et qui déchaîne les passions, à voir la loooonnnngue liste de commentaires, j’avoue ne pas les avoir tous lus, mais j’y reviendrai de temps en temps, par conscience et/ou déformation professionnelle.
                  La mafia agroalimentaire a fait main basse sur ce produit vital pour la vie, l’eau, du coup, comme pour infiniment de choses qu’on est censé ingurgiter pour notre bien, l’eau, embouteillée, bien sûr, est devenue un produit de « santé », un truc qui soigne même, ou compense nos manques — ahhhh le magnésium, en réalité bien assimilé que lorsqu’il est associé avec d’autres composants comme la vitamine B6 non présente dans l’eau — selon les messages plus ou moins subliminaux des pubs dédiées, pour que ce soit plus vendeur.
                  En réalité nous n’avons réellement besoin que de 2, 2,5 à 3 litres maximum par jour de liquides selon les individus, leur corpulence, le bon fonctionnement de leurs reins et leurs capacités personnelles d’absorption des ingrédients cités comme bénéfiques, pour le fonctionnement de notre merveilleux corps et son hydratation, toutes boissons confondues, mais il faut y inclure également les aliments particulièrement hydratants comme les concombres, certains fruits très juteux (non, pas les bananes ;-))), les bouillons et autres soupes, les tisanes, les cafés bus tout au long de la journée ou le thé pour les amateurs, les tisanes, la camomille du soir etc.
                  Donc, si nous nous hydratons majoritairement avec l’eau du robinet, on peut encore l’assainir avec une carafe filtrante ou, mieux, du charbon Binchotan, plus écologique et bien moins cher à l’usage, celui des partisans du zéro déchet, là aussi il faut le choisir de qualité, on en trouve facilement dans les Biocoop.

                  Pour conclure, dans un monde où l’on vous dit un jour, tout, et le lendemain, son contraire, avec cet argument souvent pur marketing « C’est bon pour votre santé ! », l’idéal est de s’hydrater avec des eaux très peu minéralisées, des eaux de source, pas forcément les plus chères, les mieux sont celles conseillées pour les bébés, et contrairement à l’injonction de certains médecins, diététiciens et autres spécialistes de votre hygiène de vie, il ne faut pas vous noyer dans des litres de flotte même pour une détoxification, ce phénomène de mode qui n’a aucune raison d’être si vous avez une alimentation et un mode de vie équilibrés, en vous forçant à boire au-delà des quantités précitées, ça fatigue inutilement ces filtres que sont nos reins, d’où de la rétention d’eau quand ils n’en peuvent plus, à moins d’être sous diurétiques, médicaments, comme beaucoup, qui donnent soif, artificiellement… Le Soda-stream c’est tentant, je n’ai pas encore sauté le pas, et j’observe pour l’heure les proches qui ont investi dans ce matériel, pesant le pour et le contre…

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                    SodaStream ? Pour ma part j’ai franchi le pas et je suis globalement satisfait, même si le coût de revient est de l’ordre de l’eau « gazeuse » en bouteille.
                    Au moins, finie la corvée des packs d’eau et de la pollution au PET et le casse-tête des eaux qui peuvent être presque toxiques pour l’organisme.
                    Bon, l’eau du robinet, ça n’est pas non plus la panacée.

                    Oui, gros boulot pour ce billet, mais c’est globalement le plus lu/bu du blog.
                    Petite confidence… J’avais prévu de faire le même pour des tablettes de chocolat noir.
                    J’en ai acheté une quarantaine, toutes différentes, j’ai fait les photos/scans des emballages…
                    Fort logiquement, j’ai tout mangé… Mais je n’ai jamais fait mon article !

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                      En fait, l’article et les tests sur les 40 tablettes de chocolat noir, c’était juste pour avoir une bonne excuse pour satisfaire le péché mignon de gourmandise sans culpabiliser, pas vrai, Philippe ?
                      Alors, il y aussi le fait que c’est du magnésium, bon pour la santé, c’est sous cette forme chocolatée que je le préfère également, quant à sa théobromine, elle aurait des vertus antidéprime, antifatigue, en stimulant le système nerveux, mais vous le saviez déjà, sans doute ! J’ai un faible pour le Valrhona, mais il y a quelques merveilleux chocolatiers artisanaux dans le coin, vous devez sûrement les connaître :-))

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                        Non non, l’intention était bien de continuer dans le même registre « comparatif », avec les compositions.
                        Mais, plutôt que de rédiger mon article, j’ai trouvé plus cool d’ouvrir ces tablettes… Et après on ne maîtrise plus trop la situation !

                        Le chocolat noir (le « vrai », très riche en cacao) est aussi bourré de potassium, et il faut faire attention, car à haute dose, ça peut être dangereux.

                        Oui, dans le coin il y a de bons chocolatiers, dont un particulièrement réputé dont le nom commence par un G.

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                          G ? Oh là là, le choix y est difficile, tout y est tentant et d’un raffinement extrême, pas seulement leur célèbre création pour faire honneur à leur région : le « Cœur vendéen ».
                          Et puis il y a le Musée du Chocolat, projet de visite avorté, suite à la crise Covid. J’attends qu’on nous rende notre liberté de circuler sans passe-droit… Ça risque d’être long comme c’est parti…

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                            Il suffit de prendre l’un de leurs coffrets « assortiment » en allant au plus simple, le contenu — le plus important — étant le même.
                            Le « Musée du Chocolat », appartient et a été créé par « G » en 2014…
                            Bon, au point où nous en sommes, autant citer ce chocolatier : Gelencser (depuis 1956).

                            Ça me fait penser qu’il va falloir que j’y aille bientôt, j’ai un cadeau à faire…

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                              HUMMMMMM, coffret Rosy, et les griottes au kirsch, les préférées de ma mère, la qualité vaut le prix et on n’en mange pas tous les jours, tout comme on ne boit pas du Champagne tous les jours, même si on aimerait (peut-être qu’on se lasserait d’ailleurs et qu’on n’apprécierait plus autant)…

                              Pour le Musée, c’est un peu comme pour les avis des internautes sur les articles en vente en ligne, j’avais lu quelques ressentis de visiteurs sur Tripadvisor, et bien entendu, il y en a toujours pour trouver le prix exorbitant par rapport à la prestation, la visite nulle, le musée trop petit, etc., etc.
                              Je regrette d’avoir attendu, d’autant qu’il y a une dégustation des produits de ce chocolatier avec un petit bol de ses chocolats offert dès l’achat du billet d’entrée : on n’est pas volé, arnaqué, j’ai d’ailleurs bien aimé la réponse de Patrick Gelencser à une certaine isa3329…

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                                Oui, c’est « cher » — quoique, dans les 88 € le kilo (pour les « pralinés croustillants » et « ganaches fondantes ») — mais honnêtement ça se déguste en petite quantité (chaque « bonbon au chocolat » fait dix grammes).
                                J’en ai eu jusqu’à deux coffrets — des « 36 pièces » — dans un tiroir (au-dessus de celui attribué au café), et je me suis surpris à ne pas dépasser deux à trois par jour.

                                Du coup, quand j’ai un cadeau à faire, la solution est toute trouvée.

                                Bon, on va se retrouver avec un référencement « eaux gazeuses au… chocolat » ! Google est tellement c..

                                Pour le « Musée », le problème, c’est qu’il est adossé au « laboratoire », et que ça fait un peu hangar, et la situation n’aide pas à se dire que c’est une visite « gastronomique ». Je préfère de loin aller en « boutique ». En plus, il y a de jolis gâteaux à admirer.
                                Cela dit, je ne l’ai jamais visité.

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                        Non, désolé, vous ne m’aurez pas !;-)
                        En plus, dans le lot, il y avait du bon, comme du pire (et en la matière ils savent faire).

                        En plus, je suis devenu incompatible avec le chocolat noir, ou l’inverse.
                        Bon, éventuellement une petite « bouchée », de temps en temps, mais fabriquée par de vrais chocolatiers/artisans.

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                          Je suis amateur de chocolat noir, seulement noir. Je lis la composition au dos de l’emballage et je trouve trop souvent huile de palme et matière grasse animale (= beurre), donc j’écarte.
                          J’achète Lindt et Auchan, mais je n’ai pas fait de recherches approfondies.
                          Bon, on sort du thème eaux minérales gazeuses, néanmoins utiles pour faire passer la crise de foie d’après les excès de chocolat.

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                    Bonjour,

                    Cela faisait bien longtemps que je n’étais pas revenu sur le blog de Grinçant.
                    Et la je vois dans la rubrique  » commentaires récents  » celui de Perez :
                     » Bonjour,
                    Pourquoi l’eau Quezac n’affiche pas son PH ?
                    Merci.  »

                    Je ne sais pas pourquoi ils ne l’affichent pas. Je suppose que la législation ne doit pas l’obliger à le faire, je ne vois que ça.
                    Cependant, j’ai vu un jour sur un site un PH de 5,8 pour la Quézac.
                    Or, nous sommes plutôt dans un PH acide donc peut-être que cela n’arrange pas leurs affaires de le mentionner.
                    Au passage, depuis que j’ai essayé une douzaine de marques d’eaux gazeuses, voici mon constat global : je ne veux plus boire aucune eau gazeuse ( ni eau plate d’ailleurs ). Ni les bulles fortes, ni les fines bulles ; ni les naturelles gazeuses, ni les avec adjonction de gaz carbonique ; ni les très salées / salées / peu salées ; ni les très minéralisées/ moyennement minéralisées / faiblement minéralisées.

                    C’est comme les candidats à l’élection présidentielle en fait : je les hais absolument tous de la dite droite à la dite gauche en passant par le dit milieu sans oublier les dit sans étiquettes ou même les dits persécutés qui n’ont pas obtenus leurs 500 parrainages.

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                  Bonjour,

                  J’apprécie beaucoup votre passion, c’est intéressant de vous lire. Je trouve que votre démarche de comparaison et d’observation appréciable. Essayer de concevoir la quantité de sel dans un bouchon, c’est une démarche scientifique. Etant scientifique moi même je suis touché de voir que des gens s’y essaient. On voit par contre que vous n’êtes pas formé à cela, (ce qui n’est pas grave et ne vous interdit pas de réfléchir et d’investiguer, au contraire ;-) ) mais cela vous amènent à faire des erreurs qui faussent lourdement vos résultats. Je vous rassure tout de suite, il n’y a pas 4 g et quelques de sel par litre de St Yorre et autres eaux que vous prenez en exemple, c’est d’ailleurs facile de s’en convaincre, réalisez votre expérience et mettez votre bouchon de sel dans 2 litres d’eau déminéralisée et goutez. Pour rappel, l’eau de mer c’est 35g/L, donc pour comparer, si vous prenez un verre, vous mettez 10% d’eau de mer et 90% d’eau déminéralisée, vous êtes toujours en dessous 4g de sel par litres, pas besoin de faire l’expérience pour savoir que l’eau va être salée. L’erreur que vous faites se situe sur le point de départ, le Sodium ca n’est pas la même chose que du sel. Le sel c’est une molécule de 2 ions : le sodium (Na+) et le chlorURE (Cl-) , ( je mets un un point d’accent, du chlorURE c’est important pour la suite), attachés ensemble (NaCl), cela donne du sel. Effectivement le sodium et le chlorure n’ont pas la meme masse moléculaire et le sodium représente 40% du poids du sel que vous faites justement remarquer, ce qui implique que le chlorure représente les 60% restant du poids. Le problème se situe dans ce point, vous prenez en référence ce 40% et vous l’extrapolez pour avoir la quantité totale de sel. Ca n’est pas une mauvaise idée de départ mais ça n’est pas vrai ici, et je vais illustrer avec un exemple. Disons que pour faire un sandwich jambon+pain. Vous avez besoin des deux ingrédients, une baguette de pain et une tranche de jambon. Disons que le jambon représente 10% de la masse du sandwich, il faut quand même toujours respecter le ratio 1:1 c’est à dire une baguette pour une tranche de jambon. Que se passe-t-il si vous avez 10 tranches de jambon mais seulement 3 baguettes? Vous ne pouvez faire que 3 sandwich et pourtant si vous pesez, il y a beaucoup plus de pain que de jambon en terme de poids. C’est exactement le problème ici, il y a en fait dans l’eau mentionnée plus de molécules de sodium que de chlorure, et en raisonnant en masse c’est difficile de l’appréhender, tout comme pour les sandwichs; si on raisonne en kg de pain et jambon ca complique les choses. Donc la quantité de sel ici va être limitée par la quantité de chlorure. Si vous reprenez votre étiquette de St Yorre, vous voyez qu’il ya 0,322g de chlorure. A hauteur de 60% ca nous fait donc 0,53g de sel par litre. D’ailleurs après vérification, ils le mentionnent sur l’étiquette, pour ne pas faire l’erreur, à côté de la valeur du sodium, si vous êtes attentif, vous allez voir une petite astérisque qui vous ramène vers l’indication: « équivaut à 0,53g de sel (chlorure de sodium). Le sodium n’est pas la même que le chlorure de sodium qui est le nom exact du sel, tout comme le chlorURE (cl-) n’est pas la même chose que le chlore (Cl2) qui n’est pas la même chose que la JAVEL (NaCLO ) !!! En buvant du chlorure vous n’êtes pas en train de boire de la javel, ou du chlore piscine. On appelle le chlore de piscine abusivement du chlore, mais c’est en fait du Ca(ClO)2, donc en buvant les ions chlorures dans votre eau, vous n’êtes pas en train de boire du chlore de piscine. Si on suivait le même raisonnement, c’est le carbone qui constitue majoritairement les protéines (c’est à dire la viande) et l’huile, quand vous mangez un steak cuit dans un filet d’huile, vous n’êtes pas en train de manger un crayon à papier. En conclusion ca n’est pas que les éléments microscopiques qui constituent un objet et qui détermine sa nature, mais la manière dont ils sont agencées ensemble.

                  Amitiés

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                  Merci Philippe pour ce blog très instructif et très ouvert.
                  Depuis peu installé en Ardèche, je découvre quelques-unes des eaux gazeuses « locales ».
                  Goûté et plus ou moins appréciés car souvent trop riche en sodium :
                  – Ferrugineuse Incomparable
                  – Reine des Basaltes
                  – Vals
                  – Ventadour
                  – Vernet

                  Un lien très intéressant (plein de photographies des sources) sur les eaux minérales ardéchoises :
                  http://eaux-minerales-oubliees.over-blog.com/article-35697816.html
                  Merci

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                    @Misti. J’ai vécu à Privas de mars 1980 à juin1984 et un ami ardéchois m’avait fait connaître la source de Rompon où j’allais me ravitailler trouvant l’eau excellente. Mon ami allait en chercher également et quand j’y allais pour me ravitailler je lui demandais des contenants pour lui ramener l’eau de cette source. Est-ce qu’elle coule toujours cette source? De l’époque où j’y étais elle déversait un peu d’eau légèrement « pétillante » mais il fallait prendre un godet et remplir ses contenants. Certainement qu’elle s’est encore tarie…
                    Dans le lien que vous mis en ligne, cette source de Rompon (ce n’est pas son vrai nom mais j’ai eu l’habitude de la nommer ainsi) est présente. J’avais déjà vu ce lien il y a quelques temps et je l’avais parcouru longuement.

                    « Oublier ses ancêtres, c’est être un ruisseau sans source, un arbre sans racines. »
                    Proverbe chinois.

                    « Qu’est-ce qu’un fleuve sans sa source ? Qu’est-ce qu’un peuple sans son passé ? »
                    Victor Hugo, artiste, écrivain, poète, romancier (1802 – 1885)

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                  Après l’électrolyse de l’eau, dans les résidus obtenus de certaines bouteilles, une fois séché, j’obtiens de la matière qui est aimantable. C’est curieux de pouvoir promener sur une feuille de papier blanc un résidus aimanté provenant de l’eau que l’on boit, mais est ce sain, de quoi sagit-il et certaines eaux en sont elles exempt ?

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