Après « La belle au chapeau blanc et les algues vertes », je reviens pour (re)faire le tour du lac où se trouvait la belle.
Le niveau de l’eau a baissé, et bien évidemment le phénomène s’est amplifié.
Je m’arrête à hauteur d’un « sénior » qui tenait un smartphone, et je lui demande :
– Vous photographiez, ou vous pêchez ?
S’ensuit un échange ubuesque…
– Là, je photographie, mais normalement je pêche.
– Mais vous n’avez pas peur, avec ces algues vertes ?
– Ah mais non ! C’est normal, c’est le phénomène naturel de « chlorophyllie », quand l’eau baisse…
– Mais c’est quand même dû à de la pollution par des produits très toxiques, pesticides, nitrates, phosphates, saloperies diverses des éleveurs/agriculteurs…
– Remarquez, je pêche du poisson, mais je ne le mange pas, car je n’ai pas confiance !…
Bref, il y a un peu de logique, mais le cerveau a quand même l’air atteint…
Je vous montre en six photos l’état du lac — destiné à la production d’eau « potable » — qui n’en est plus qu’à moins de 40 % de « remplissage » (soit environ 1,4 million de m³) :
Et je continue ma marche sur ce (normalement) beau site qui morfle — comme beaucoup d’autres — à cause de l’inconséquence et de l’avidité d’individus que je ne puis que qualifier de sombres ordures…
Puis, à un moment, je tombe sur un oiseau que j’adore…
Un héron cendré !!!
Il se déplace lentement, les pattes dans cette mixture verte :
Mais il a comme une chose bizarre autour du cou…
Et ça n’a pas l’air joli du tout !
Attention aux âmes sensibles, mais c’est la triste réalité…
Une affreuse blessure !
Et je pense qu’il s’agit d’une… balle de fusil qui a fait ces dégâts !!!
(Dites-moi si je me trompe.)
À moins que ça ne soit une attaque de crocodile…
Il a fini par s’envoler péniblement, mais je pense qu’il ne vivra plus très longtemps.
Triste planète qui part à vau-l’eau.
L’être humain est vraiment pathétique.
Vignette : « Un héron qui patauge dans une marée verte, et ça n’est pas tout… » © PF/Grinçant.com (2018)
© PF/Grinçant.com (2018)
Pour corroborer votre billet, un article qui date de 2010 qui mentionne que cela dure depuis 40 ans, et des chiffres, des chiffres, pour une région voisine de la votre… Cela fait peur, mais beaucoup se cachent la face, car c’est le profit à outrance qui engendrent d’autres facteurs (élevages intensifs de cochons, de poules/poulets, entraînant lisier, nitrates, pollution des sols, des sources, des nappes phréatiques, disparition des poissons, des oiseaux, insectes, etc.) :
Algues vertes et pollutions de l’eau — Les conséquences environnementales de la filière porcine en Bretagne (PartageDesEaux.info — 03/02/2010)*
Il ressort que trop de population concentrée en des lieux n’est pas favorable à l’épanouissement de la santé… Il n’y a qu’à regarder les grandes métropoles traversées par des cours d’eau et des fleuves (la Seine, le Gange, l’Hudson, etc.) :
EN IMAGE – Ce jeune indien se baigne dans une eau verte très polluée (RTL.fr — 07/04/2017)
Par contre, les moustiques et autres insectes et bactéries y trouvent leur bonheur pour apporter maladies et déboires à l’être humain et à son environnement naturel.
« Je crois que ce que l’on appelle “expérience”, n’est souvent que de la fatigue inavouée, de la résignation, du déboire. » André Gide (1869-1951), Journal, 26 déc. 1921.
*{Nota PF/modération – 19h35 : C’est une « reprise » :¬/, l’article d’origine est « Qui arrêtera la prolifération des algues vertes ? », d’Agnès Rousseaux — BastaMag.net — 06/10/2009.
Exceptionnellement, je laisse votre lien, car il y a d’autres ressources sur l’EAU.}
Les algues que je montre ne sont pas les mêmes.
Et je me demande si ça n’est pas encore plus grave, puisqu’il s’agit de lacs artificiels (celui-là a été mis en service en 1972) destinés à la production d’eau « potable ».
Ces nappes vertes ne sont qu’un « symptôme », et je ne crois pas un instant que ce qu’ils appellent « usine de traitement » arrive à se débarrasser de toutes ces saloperies.
Quant aux « analyses », il faut déjà les trouver, et ensuite les… croire !
Bonjour,
Ce héron a sans doute subi une mesure de rétorsion de la part d’un pêcheur/chasseur.
En effet, ces gens considèrent les occupants naturels de nos campagnes comme des concurrents : les hérons bouffent les poissons des pêcheurs, et les renards bouffent les lapins des chasseurs. C’est À EUX ! Non mais !
Bonne journée.
Oui, il y en a qui « pêchent » tout en ne mangeant pas leurs prises, car ils n’ont pas « confiance ».
D’autres, peut-être les mêmes, qui considèrent que les hérons et autres cormorans sont des nuisibles, car ils leur piquent « leurs » poissons.
Et ces malheureux oiseaux qui sont condamnés à s’alimenter avec des poissons toxiques, et que l’on maltraite/blesse/tue seulement parce qu’ils vivent/se nourrissent alors qu’ils sont partie intégrante d’un véritable écosystème, contrairement à l’homme (enfin ce qu’il est devenu, femmes comprises)…
Ceux qui « pêchent en ne mangeant pas leurs prises » sont généralement ceux qui pratiquent la pêche dite « sportive » ; c’est-à-dire qu’ils pêchent avec un hameçon (l’épuisette seraient trop périlleuse pour ces individus) s’auto-congratulent lorsqu’ils ferrent un poisson, font des selfies avec leurs prises, et rejettent à l’eau les poissons blessés, qui pourront refaire l’expérience avec un autre malotru.
D’après ce que je vois sur vos photos, il n’y a absolument aucune plante aquatique dans ces étangs artificiels, donc aucune oxygénation et pas plus de phyto-épuration.
Il est vrai, que si des roseaux, des joncs, des iris d’eau, de la menthe d’eau, du trèfle d’eau ou autres nénuphars venait à s’implanter, les pêcheurs sportifs devraient fournir un effort insurmontable pour pêcher !
Sans oublier que pour ces gens, il est aussi pratiqué le ré-empoissonement juste avant l’ouverture de la saison pour qu’ils puissent s’adonner à leur sport favori, et bien-sûr il est interdit de critiquer cette démarche ; sachant qu’il y a un problème similaire avec la chasse et l’élevage de bêtes dites sauvages et lâchées juste avant l’ouverture, bêtes qui n’ont pas peur de l’homme et que l’on peut approcher comme un chat domestique.
Effectivement, il y a très peu de « plantes aquatiques »…
Peut-être est-ce aussi dû à la variation des niveaux, c’est même fort probable.
j’ai quand même des exemples avec des nénuphars (et leurs grenouilles), des roseaux, etc., mais c’est quand le niveau est « stable ».
Quand j’étais jeune, je pratiquais la pêche, je montais moi-même mes hameçons/bas de lignes, je remontais la rivière en pêchant un peu comme à la mouche.
Et je m’arrêtais quand j’en avais assez. D’ailleurs, le gros de ma pêche, je l’offrais à un vieux monsieur du bourg qui, en retour, me servait des verres de… gnôle « maison »… J’avais dix/douze ans !;¬)
Faire des lois, c’est beau, c’est bien… Mais après ?…
La loi du 3 janvier 1992 hisse l’eau au statut de patrimoine commun à tous et confère aux biotopes aquatiques le caractère d’unités particulières à gérer en conséquence : « L’eau fait partie du patrimoine commun de la nation. Sa protection, sa mise en valeur et le développement de la ressource utilisable, dans le respect des équilibres naturels, sont d’intérêt général. L’usage de l’eau appartient à tous dans le cadre des lois et règlements ainsi que des droits antérieurement établis. »
Ceci est tiré d’un dossier ÉNORME — toujours en construction, semble-t-il — où l’eau, la faune et la flore constituent cette étude/approche d’une région de France avec des faits qui se sont déroulés ailleurs. Je laisse le soin à l’administrateur, PF, de décider d’arranger à sa manière ce dossier, de l’agrémenter, de l’ôter si nécessaire… En effet, aucune solution n’est apportée pour l’eau verte, mais de sombres inquiétudes apparaissent avec des changements dans cette faune et flore…
Les inventaires mutés du Morvan — Comment expliquer ces nombreuses espèces synchrones déréglées ? (seclin.tourisme.free.fr)
Une citation exprime bien (pour moi) l’échange ubuesque racontée par PF : « Vivre est la chose la plus rare. La plupart des gens se contente d’exister. » Oscar Wilde (1854-1900)
@Pamphletaire
J’aime beaucoup vos commentaires étayés généralement en conclusion d’une citation judicieuse.
Vous me rappelez un autre contributeur (que je vois moins hélas en ce moment à savoir @universel.
Vous avez indéniablement bien choisi votre pseudo et votre prose « grinçante » est tout à fait délicieuse.
À l’image de spécialistes es-pamphlets que furent La Bruyère et La Fontaine par exemple.
Des grands Hommes que vous citez régulièrement, force est de constater, alors que les sujets de colère se multiplient, que la Société des Humains n’en produit plus guère ou/et n’y prête qu’une oreille distraite.
Pourquoi ? Je n’ai pas la réponse, l’Histoire peut être un jour — si cette race perdure — nous en donnera des ébauches de raison et nous en livrera les clés.
Pour revenir au sujet et à votre dernière citation :
Les lois n’engagent que ceux qui y croit et décident de s’y conformer sans réfléchir, malheur à celui qui s’érige en opposant qui sera ostracisé, vilipendé et jugé (très souvent) comme réactionnaire, populiste ou autre.
Et sur votre citation, je me permets de rappeler que (nonobstant ses dénégations et cet oubli chez la majorité) l’Homme appartient au règne animal (c’est un mammifère), et de facto son mode de fonctionnement « intelligent » n’en diffère que fort peu.
Ainsi, on trouve des « chefs de meutes » autodéclarés ou proclamés, une très large majorité de suiveurs à divers degré de résignation, et enfin les vilains petits canards qui s’éloignent de la meute ou refusent de s’agréger docilement.
Selon le fameux principe de Pareto, certes empirique, mais oh combien avéré par les faits, nous pouvons dire dans le cas d’espèce 80 % de suiveurs, et 20 % de non-suiveurs répartis en 10 % de chefs de meutes et 10 % de « vilains petits canards ».
Qui a conscience de ce que représente l’eau douce ?
Qui a intérêt à ne pas lui reconnaître cette vertu et nécessité ?
Que pèsent les opposants à cette violation du caractère inaliénable d’une telle ressource naturelle servant l’intérêt de Tous les êtres vivants, dont l’Homme n’est qu’une constituante, pour le plus grand malheur de toutes les autres espèces animales et végétales ?
Répondre à ces questions donne la solution.
Il y a chez certains humains un pouvoir de nuisance poussé à son paroxysme qui laisse pantois pour une espèce qui se dit « intelligente » et dotée d’un esprit de raison et d’analyse.
Espèce où les intérêts particuliers des chefs de meutes prennent le pas sur les intérêts collectifs.
En un mot, l’Homme se comporte par ses « chefs » de meutes comme un parasite benoitement suivis pas les suiveurs et faisant fi des « rebelles ».
Il est vrai qu’il est toujours plus aisé de suivre que de s’opposer, surtout quand cette majorité vous sort bien souvent comme argument de sa profonde réflexion : « Mais que pouvons-nous y faire ? »…
Les algues vertes et tout un tas d’autres « merdes » n’ont pas fini de proliférer sous l’ère de ce qui est, pour ma part, celle de la décadence humaine gouvernée par l’argent roi et le profit matériel au détriment du vivant.
PS : Et grrr encore pondu un pavé, moi… PF va finir par me fiche à la porte.
Oui, Universel a presque disparu…
J’espère qu’il se porte bien malgré tous les dangers qui rodent, et même nous cernent.
Concernant l’eau, encore une petite photo prise récemment au cours de mes pérégrinations…
Ouvrage (lac + barrage) « départemental »…
Propriété, une intercommunalité…
Exploitant ?… VEOLIA EAU !!!
Veolia Eau = Vol la eau … en sous-entendu du nom ?
Comme les dividendes ne sont jamais assez gras, on va bien avoir une petite augmentation d’une manière ou d’une autre, pour une raison plus ou moins fallacieuse.
Et, lorsque le tour de passe passe ne fonctionnera plus, une petite faillite bien organisée, afin de se décharger de la dette (imitation de l’article 11 des faillites des USA).
Sont créatifs pour pomper les sous !
J’ai arrangé/habillé le lien.
C’est un peu « old school », mais c’est édifiant/impressionnant, et, en effet, « ÉNORME ». :¬/
La connerie humaine n’a pas de limite avec l’argent : Syngenta, géant suisse de l’agrochimie est au cœur d’une affaire d’épandage de semences enrobées d’insecticides neurotoxiques dans le Lot-et-Garonne, dont Fipronil et Imidaclopride, 6 000 fois plus toxiques que le DDT… Mais l’agriculteur ne savait pas devant le tribunal… La disparition de la société chimique avant d’être appelée devant le tribunal… L’enquête a débuté par les apiculteurs qui ne comprenaient plus la perte de leurs abeilles… C’est du passé (1999-2002), mais il ne faut pas oublier les mensonges, les pressions et tout ce qui a contribué à une pollution/dégradation du sol, etc. Il faudrait faire bouffer ces « engrais » (dénommés par l’agriculteur) aux dirigeants de la firme et autres personnes qui ont participé de près ou de loin à l’enfouissement de ces produits.
Semences toxiques : les manœuvres de Syngenta pour échapper à la justice (LeMonde.fr — Par Martine Valo, le 19/10/2016)
Ce ne serait que justice à défaut de vengeance…
La « justice » et le « législateur » (vendu) sont complices…
Un ajout, car je suis sidéré. Des lois sont établies par du droit national, européen, international à s’y perdre, et en plus une décision judiciaire nationale étant violée par un tribunal commercial international, on peut se dire que ceux qui ont de l’argent peuvent acheter les juges et la justice, à défaut mettre en place des « juges privés » dans des tribunaux pas « clairs »… Politique, ploutocratie, justice et pourriture font bon ménage dans notre société contre les citoyens lambda…
Pollutions : une amende historique contre le pétrolier Chevron annulée par un tribunal privé international (BastaMag.net — Par Olivier Petitjean, le 18/09/2018)
« J’appelle ploutocratie un état de société où la richesse est le nerf principal des choses, où l’on ne peut rien faire sans être riche, où l’objet principal de l’ambition est de devenir riche, où la capacité et la moralité s’évaluent généralement (…) par la fortune, de telle sorte, par exemple, que le meilleur critérium pour prendre l’élite de la nation soit le cens. »
Renan (1823-1892), L’Avenir de la science, Œuvres complètes, t. III, p. 1060
Cens : (nom masculin) — Quotité d’imposition nécessaire, sous certains régimes, pour être électeur ou éligible. (Suffrage censitaire)
Eh non, tout cela a été soigneusement organisé, et maintenant ils le mettent en œuvre.
Ajoutez à cela le « secret des affaires », qui vient d’ailleurs d’être tout juste utilisé (dossier d’AMM caviardé) dans le scandale du Lévothyrox « nouvelle formule ».
Le but de tout cela est mis noir sur blanc dans tous les traités inter-continentaux, notamment le Tafta et le Ceta.
Le Tafta n’a même plus d’utilité puisque le Ceta est déjà opérationnel à titre provisoire (comprendre définitif avec nos politiques de l’UE), car les entreprises US peuvent installer une entité au Canada pour exporter en UE via le Ceta.
Ces traités ont imposé des tribunaux privés afin de protéger le business des multi-nationales vis-à-vis des états, et obliger à un changement de loi (modification, voire nouvelle loi) si nécessaire.
Seul compte le « Deep State » mondial, le peuple est un figurant uniquement.
Ajoutons à cela le « Secret des Affaires » qu’ils sont en train de bétonner à mort, et la boucle est bouclée.
Pas du tout, je m’insurge en faux !!!
La démocratie triomphe partout !
Les USA sont hyper démocratiques, la France aussi, l’Allemagne idem !!!
Ce sont des modèles vertueux que nous devons suivre, surtout quand ils sont aux ordres de la Finance pour… euh… travaillant pour le bien-être des peuples !
Vous êtes des médisants, et pis c’est tout !
Je suis pas crédible ?
Ah zut, je me disais bien aussi, malgré ces petites pilules roses que me fournit Bayer/Sygenta, que je suis toujours aussi peu réceptif à la pensée unique véhiculée par tous ces enf… ;)
Bon, je note parvenir à avoir une pointe d’humour désormais, certes sarcastique, mais quand même :)
Allez, hop, je sors, vais me rejeter une petite pilule !
Photo prise avant-hier, 21/09/2018 :
En haut à gauche, il y a un panneau, et surtout une première bouée, le tout indiquant qu’il s’agit d’une zone « protégée », car… FRAYÈRE À BROCHETS !
Bien que cela soit de l’eau stagnante, ce n’est pas rassurant en la voyant dans cet état/couleur alors que c’est peut-être son état naturel, mais cela ne me dit rien qui vaille n’ayant pas fait d’études biologiques…
« L’eau est la condition première indispensable à toute manifestation vitale, comme à toutes manifestations des phénomènes physicochimiques. »
Claude Bernard (1813-1878), Introduction à l’étude de la médecine expérimentale, II p. 170
« L’eau se trouve être la richesse économique par excellence; elle est, pour les hommes, plus richesse que la houille ou que l’or. »
Jean Brunhes (1869-1930), la Géographie humaine, t. I, p. 68
Il est dommage que peu de personnes se soucient de leur environnement pour le garder intact… Par contre, des sociétés telles que Bayer, Hoffmann-La Roche, Monsanto, Sanofi, Syngenta que j’ai découvertes récemment, et autres firmes omises / industriels omis fabriquent des « bombes / poisons à retardement » qui mettent en danger l’humanité…
« En 1962 est publié le livre Printemps silencieux de Rachel Carson, qui soutient que les pesticides, surtout le DDT et les PCB (polychlorobiphényle), empoisonnent la faune et l’environnement, et mettent en danger la santé humaine » (Wikipédia)… Il aura fallu combien d’années pour que ces produits soient interdits et que d’autres, encore plus puissants, naissent pour détériorer l’humain et son environnement ?…
Encore un coup d’épée dans l’eau quant à mon commentaire ?
Non, l’eau n’est pas « stagnante », car c’est en bas d’un déversoir, même si la concentration de « verdure » se fait à proximité de la berge.
Et je rappelle que c’est une zone définie/balisée comme « frayère à brochets »…
Un commentaire n’est jamais un « coup d’épée dans l’eau »…
Sachez qu’il contribue déjà au référencement sur des mots qui ne figurent pas forcément dans le texte principal. ;¬)
Dans la zone dite « des 3