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Planète

Le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt, moi je sors le bazooka

Vous voulez que je vous parle de quoi ?
En ce moment, je ne sais plus.
Difficile d’être positif, et pas envie de sombrer dans le négatif.
Alors je vais recommencer avec la… lune !
Ce matin, 7h46, je lève les stores…
Et que vois-je, pile en face ?
Une magnifique pleine lune !
Qui continue son manège, comme si de rien n’était.
Qui se fout bien du Covid et des taré(e)s qui nous tourmentent.
Qui, malgré ses « phases », n’est pas cyclothymique.
Une jolie lune qui m’adresse ses salutations matinales.
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Feignasses de Tournepierres !

En Macronie, vous le savez, il faut bosser, bosser, bosser, jusqu’à en crever.
Et pour pas un rond, ou le minimum possible.
Vous êtes prié(e)s de disparaître — d’une façon ou d’une autre — avant la retraite.
Et en cas de chômage, c’est ceinture, sans les bretelles.
Récemment, la « ministre de l’industrie » — petit “m et petit “i — Agnès Pannier-Runacher a fait une déclaration confondante de stupidité, bien dans l’air du temps :

« J’aime l’industrie parce que c’est l’un des rares endroits où l’on trouve encore de la magie au XXIe siècle. La magie de l’atelier où on ne distingue pas le cadre de l’ouvrier, pas l’apprenti de celui qui a trente ans d’expérience, où l’on ne distingue pas celui qui est né en France de celui qui est arrivé par l’accident d’une vie. »

Alors, au taf, au turbin, pour vivre dans le monde merveilleux de la « magie » macronienne et de ses copains/soutiens milliardaires parasites patentés !

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À l’heure où le soleil se couche

Moi, c’est marrant, mais quand je me couche, j’ai une drôle de tête.
L’épuisement de la journée, la possibilité de ne pas se réveiller le lendemain.
La perspective d’une nuit avec des insomnies.
Bref, un spectacle que l’on pourrait juger pitoyable.
Mais il y en a un qui est radieux même quand il se « couche ».
Ou alors il crée des ambiances particulières, magiques.
C’est le soleil !
Récemment, de chez moi, j’ai eu droit à un Spectacle gratuit pour paria sans « pass ».
Et encore plus récemment, il m’a offert un nouveau cadeau.
Un instant furtif, à saisir, naturel même si cela pourrait être une œuvre d’art.
Quoique, quel « artiste » pourrait égaler cela ?

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Spectacle gratuit pour paria sans « pass »

Il y a des moments qu’il faut savoir saisir.
Et même « occupé », il faut rester aux aguets.
C’était mardi 14/09/2021, en début de soirée, et j’étais au téléphone.
Et, machinalement, je suis allé sur le balcon pour regarder au loin.
Quelque chose avait inconsciemment attiré mon attention.
Je me suis alors précipité vers l’une de mes sacoches pour me saisir d’un appareil photo.
Téléphone DECT coincé entre l’épaule gauche et l’oreille correspondante…
Tout en continuant ma conversation, sans rien dire de ce que je voyais…
Je m’acharnais à faire quelques photographies du spectacle qui s’offrait à moi.
Il faut dire que l’appareil était récalcitrant pour la mise au point, car la scène lui semblait floue.

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Marre des étiquettes indécollables !

Nous sommes tous des voleurs, c’est bien connu !
Notamment dans les grandes surfaces, comme si nous n’avions que cela à faire, à décoller/recoller/inverser des étiquettes pour payer le juste prix…
Là, petite boutique « Arts de la table », pour acheter des couteaux à steak.
Faisant la gueule devant des « coffrets » dont le contenu me semblait tout droit venu de Chine…
Eh oui, la « coutellerie » « à la française » n’est plus ce qu’elle était !…
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Comme un Sanderling dans la tempête

Celui-là, j’ai réussi à le photographier vendredi dernier.
À courir, au rythme des vagues.
Tantôt en les longeant, en bord d’écume.
Tantôt en les poursuivant, au rythme du flux et du reflux.
Gracile, agile, mobile, à picorer ce que les flots lui amènent.
Une vingtaine de centimètres de long, et une cinquantaine de grammes.
Il vient du cercle polaire arctique pour hiverner presque au chaud.

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Remplacement de trois vénérables objets intimes

Ça me fend presque le cœur, mais je viens de les mettre au rancard, enfin non, en « réserve ».
Des objets utilisés au quotidien, intimement, électriques, et aussi électroniques.
Des appareils normalement soumis à l’obsolescence programmée, mais il y a des exceptions, la preuve.
Non, ça n’est pas salace, et le titre n’est pas « putaclic ».
Cela me donne l’occasion de faire un comparatif, de dire pourquoi je les remplace, et de dire si les différences sont si monumentales malgré les années qui les séparent.

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Des vœux plein la vue

Encore une année qui s’efface.
Et celle-ci a été bien tenace.
Pour ce qui me concerne, probablement la plus marquante de ma vie.
Qu’elle se termine est à cet instant ma plus pressante envie.

« Quand la santé va, tout va ! »
Eh bien justement, ça a déconné — aussi — sur ce point, gravement.
« Vous ne seriez pas venu, vous seriez mort ! »
M’a-t-on dit à l’hôpital, foi de spécialistes.

On m’a tellement perfusé que ma vue est devenue trouble.
Presque impossible de visualiser mes écrans.
« La cataracte », m’a déclaré lapidairement un ophtalmo de l’hosto.
Sauf que ce diagnostic-là était celui d’un rigolo.

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Grinçant.com a encore déménagé !

Grinçant — Un convoi exceptionnelAh, la relation du blogueur avec son serveur dédié !…
Je parle d’une machine entièrement affectée au blog.
Comme une extension de l’humain, avec sa propre vie, qui doit fonctionner, et « servir » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, inlassablement et assurément
Depuis le 28 juillet 2016, Grinçant.com tournait sur sa propre machine, dans le rack 56D19 d’un datacenter situé à Roubaix, en France.
Processeur Intel Xeon, 4 cœurs/8 threads, 3.4 GHz, 32 Go de RAM et stockage SSD 2×240 Go en RAID 1.
Serveur qui ronronnait sous Linux Debian 8, distribution dite « Jessie », PHP version 5.6 et MySQL.
Mais, à vrai dire, j’avais un deuxième compagnon, dédié au stockage.
Toujours à Roubaix, dans un autre rack.
Une machine deux fois moins puissante, encore un Xeon, mais avec « seulement » 16 Go de RAM, dotée de deux disques durs classiques de 2 To configurés en « miroir » RAID 1.
Rien que pour les deux processeurs, le fameux TDP cumulé (« Thermal Design Power ») — consommation/rendement électrique — était affiché à 217 watts.
Je sais que le calcul est discutable, mais disons que, rien que pour l’aspect CPU, ces deux machines consommaient au moins 156 KW par an !

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La connerie humaine n’est pas que verte

Pauvre héron

Après « La belle au chapeau blanc et les algues vertes », je reviens pour (re)faire le tour du lac où se trouvait la belle.
Le niveau de l’eau a baissé, et bien évidemment le phénomène s’est amplifié.
Je m’arrête à hauteur d’un « sénior » qui tenait un smartphone, et je lui demande :

– Vous photographiez, ou vous pêchez ?

S’ensuit un échange ubuesque…

– Là, je photographie, mais normalement je pêche.
– Mais vous n’avez pas peur, avec ces algues vertes ?
– Ah mais non ! C’est normal, c’est le phénomène naturel de « chlorophyllie », quand l’eau baisse…
– Mais c’est quand même dû à de la pollution par des produits très toxiques, pesticides, nitrates, phosphates, saloperies diverses des éleveurs/agriculteurs…
– Remarquez, je pêche du poisson, mais je ne le mange pas, car je n’ai pas confiance !…

Bref, il y a un peu de logique, mais le cerveau a quand même l’air atteint…

Je vous montre en six photos l’état du lac — destiné à la production d’eau « potable » — qui n’en est plus qu’à moins de 40 % de « remplissage » (soit environ 1,4 million de m³) :

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