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Photos

Avec des photographies, toujours originales

Oiseau blogueur ?

Un oiseau blogueur en 2025 ?

Dans cette réserve ornithologique, ils étaient au loin, très au loin.
Depuis la plateforme d’observation, même avec de bonnes jumelles, difficiles de les voir.
Je parle des oiseaux, pas des humains.
Eux, ils « défilent », regardant des planches montrant des espèces qu’ils ne verront pas.
Et éloignant les volatiles qui cherchent la paix et le respect de leur vie privée.
J’ai quand même réussi à photographier une grande aigrette, et une avocette élégante.

Sur le petit chemin de retour, j’entends un chant très aigu.
Il vient de la haie d’arbustes, sur ma droite.
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Cabriolet Burton (calandre)

La team Burton

Non, ce jour-là, je n’ai pas rencontré Beetlejuice.
Et encore moins Edward aux mains d’argent.
Mais je tiens peut-être la trame d’un film.
Si Tim passe par là, et si ça l’intéresse…

Premier rôle/acteur, le paon.
Il est là, à vivre sa vie, à parcourir cette terrasse de restaurant.
En fait il y en a deux, mais l’autre se fait discret.
Quoique, à entendre ses criaillements…
J’ose une demande à la serveuse.
« Vous avez du magret de paon ? »
Difficile de me répondre non, mais elle l’a pourtant fait.
« Oh non, nous ne ferions pas cela à Léon ! »
J’apprendrai toutefois que c’est affectueux.
Et que « ça ne coûte pas cher ».
Car on en trouverait, « vivants », à vingt euros la bête.
Peut-être une idée originale pour étoffer la carte…
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Fléchage "Sentier du bout du monde"

Au bout du monde

Hier après-midi, météo un peu chagrine.
Un lieu où je n’étais pas allé depuis près de quatre ans.
J’emmenais un petit groupe pour qui c’était une découverte.
De mémoire, j’ai retrouvé les deux barrières en chicane.
Mais je n’ai pas reconnu l’endroit tellement la nature avait repris ses droits.
Après un moment d’hésitation, j’ai décidé de continuer.
Vingt mètres plus loin, il faut tourner à droite.
Pour prendre le « Sentier du bout du monde »
C’est son vrai nom, et il y a même une pancarte pour l’attester.
Sentier que je redoutais pour le retour tellement il est pentu.
Mais, même dans ce sens, la question se posait.
Fallait-il continuer ?
Eh oui, nous l’avons fait !
Après tout, il n’y avait que deux cents mètres à parcourir dans ces conditions.
Et finalement, c’était très amusant comme « début ».
Pour une randonnée de dix kilomètres au total.

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Meute de randonneurs en club

Qui dérange qui ?

Je dois être devenu complètement asocial.
Le choc en arrivant sur ce parking !
L’allée que j’empruntais avec mon véhicule était obstruée.
Bloquée par une « meute », ou un troupeau.
Pas par des moutons, quoique, mais par des humains.
C’est tout juste s’ils ont daigné me laisser le passage.
Certains m’ont montré que je les dérangeais franchement.
Mais qui dérange qui ?

Je venais là pour randonner « tranquillement », et nous n’étions que deux.
Aller par la forêt, retour par la plage, dix kilomètres dans le sable.
Et ce groupe imprévu…
Sur la photo, j’en dénombre environ trente-cinq.
Mais ils étaient plus nombreux, il y en avait d’autres entre les véhicules.
Et à quatorze heures pile, ils se sont dirigés vers… la forêt !
Dans un brouhaha dérangeant, avec des « gilets jaunes » pour les encadrer.

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L'arbre aux cigognes

L’arbre aux cigognes

Quelque part en France, et ça n’est pas en Alsace.
Et en fait, ils sont trois, ces arbres.
De loin, on pourrait croire qu’ils sont envahis par le gui.
Certes, il y en a, mais la plupart de ces « boules » sont d’un autre genre.
Des enchevêtrements patiemment et savamment fabriqués.
Par de majestueux oiseaux qui élisent domicile ici.
Des nids, et encore des nids, ces arbres sont des « collectifs ».
Pas de béton, pas d’architecte, pas de Le Corbusier.
Et tout le monde semble vivre en harmonie.
Mieux que dans nos tristes « cités ».

Ciel gris, journée tristounette.
Et les cigognes claquettent.
Une occasion en or pour les écouter.
Et apprendre que, pour habiter ici, ça n’est pas si facile…

France oblige, elles sont soumises à tout un tas de contraintes.
Et en voici, pêle-mêle, quelques-unes.
Pour avoir le droit de résider sur l’une de ces branches, il faut :

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Deux chevaux et deux cavalières

Les pudeurs de la cavalière

Randonnée en bord de rivière.
Tout semble être en parfaite harmonie.
Deux chiens « mascottes » et inconnus nous accompagnent.
Peu de monde en ce lieu très fréquenté le week-end.
Quelques pêcheurs à la truite, tous bredouilles.
Je me retourne, et au loin, je vois deux chevaux.
Accessoirement, ils sont montés par deux cavalières.
Ils arrivent vers nous et sont à une soixantaine de mètres.
Je vise avec mon appareil photo, et effectue mon cadrage en zoomant.
Je m’arrête à 277 mm de focale alors que je peux atteindre 600 mm.
Mon appareil est discret, mon « bazooka » est resté à la maison.
Puis je déclenche pour une première photo.
J’espérais en faire d’autres en les laissant s’approcher.
Normalement, elles devraient continuer à longer la rivière jusqu’à la prochaine passerelle.
Mais non, je vois un changement de comportement.
Les chevaux s’arrêtent, les cavalières semblent tergiverser.
Puis elles bifurquent pour traverser sur un passage juste à leur hauteur.
Nous piquant l’un de nos deux chiens « mascottes » qui les préfère à nous.

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Lac et barrage de La Goulpinette

La Goulpinette, à la source du lac

Je connais bien ce plan d’eau, et nous allons l’appeler « Lac de la Goulpinette ».
Sur le Net, il est mieux d’utiliser des pseudos.
Près de 100 hectares de surface.
Environ 7 millions de mètres cubes de capacité.
Soit 7 milliards de litres d’eau.
Pour le vider, il faudrait plus de 200 000 gros camions-citernes.
J’en ai souvent fait le tour, soit 13 à 16 kilomètres, selon le parcours.
Il est alimenté par plusieurs petits cours d’eau.
Mais le principal est la Goulpinette, un « ruisseau ».
Et le lac et son barrage portent son nom.

Avant-hier, je randonnais dans une forêt.
Celle-là, je la connais bien aussi.
Environ 60 hectares.
Avec de nombreuses allées.
Parfois, hélas, elle est un peu « déplumée ».
Mais l’homme y est pour quelque chose, bien sûr.
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Mon bridge Sony RX10 III

Ambiance toxique : la photo mystère

Récemment, j’ai vécu une randonnée bien toxique.
La trahison, c’est inoubliable, surtout en photo
Non, il n’y avait pas d’algues vertes qui auraient dégagé du sulfure d’hydrogène.
Pas de nuage suspect à l’horizon.
Pas d’événement connu et récent style Tchernobyl.
Mais la toxicité était bien là, et elle était humaine.
Mais jusqu’où ces mauvaises ondes peuvent-elles aller ?

En fait, il s’est passé un événement remarquable pour moi.
J’étais venu avec mon Sony RX10 Mark III, l’un de mes appareils photo numériques.
C’est mon plus polyvalent — une sorte de couteau suisse de la photo —, et je le possède depuis février 2019.
Je n’ai pas acheté le Mark IV, car le gap technique ne justifiait pas l’écart de prix (+55 %).
Et, ce qui m’intéressait, c’était l’objectif, qui était identique.
Je m’étais dit que je passerais ensuite au Mark V.
Oui, mais voilà, sale coup de Sony, il n’est jamais sorti, et je pense qu’il ne sortira jamais.

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Joyeux Noël

Joyeux Noël !

Noël 2024…
Je ne suis pas le seul à l’avoir constaté.
Pas de musique « festive » dans les enseignes de la grande distribution.
Et, ici, pas de chants de Noël dans les rues, même commerçantes.
Quant aux éclairages et autres animations, c’est la dèche.
Un « marché de Noël » tout rikiki, voire inexistant.
Des commerçants qui font visiblement la gueule.
Un père Noël, dans sa « maison », qui n’y croit plus.
Des enfants, désordonnés, plus que jamais « rois ».
Des « parents », désabusés, qui regrettent le mésusage de la contraception.
Non, l’ambiance n’y est pas/plus, c’est le moins que l’on puisse dire.

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