Je change de marécage !
Nous grenouillons plus que jamais dans un marécage bien putride.
Marécage politique, marécage sociétal.
C’est bien glauque, bien puant, fétide et moche.
Avec des risques bien plus grands que la dengue, car il y a carrément des dingues.
Des risques bien plus grands que les virus, car il y a des « vaccins » encore plus dangereux.
Des monstres bien plus dangereux que des zombies, car il y a des Macron, des Castex, des Véran.
Et question « zombies », il y a des moutons, plein de moutons, à tondre et à sacrifier.
Dans tout ça, je recherche un peu de beauté, d’humanité, du bon sens et de l’intelligence, mais c’est en vain.