De quoi puis-je vous parler ?
Du Covid-19 ? Du confinement ? Du couvre-feu ? Des « vaccins » ?
Que puis-je vous montrer ?
Des masques ? Des bâtonnets pour RT-PCR ? Des flacons ? Des seringues ?
La tête à Macron ? La tête à Castex ? La tête à Véran ? La tête à Bachelot ?
Autant demander à un proctologue des photos prises à l’occasion de ses auscultations.
Si la France était un fion, ce serait un gros plan sur ses hémorroïdes.
Non, je préfère vous livrer du « léger », et même de l’interdit en ce mercredi 14 avril 2021.
Pour moi, comme d’hab, pas de masque, et bien sûr à plus de dix kilomètres de mon domicile.
Je ne dis rien, même pas de légendes, seulement quelques photos.
Quelque chose que vous ne devriez même pas voir, car normalement vous ne savez plus que ça existe…
© PF/Grinçant.com (2021)
De bien belles photos prises sur le vif et qui montrent les trois éléments clés de la vie (encore faut-il les voir, en prendre conscience de ces éléments) : le soleil, l’air et l’eau…
Juste deux liens pour de courts articles qui sont en adéquation avec les premières phrases de votre brève et qui montrent « complotistement » ou la réalité qu’on veut nous cacher/masquer (c’est dans le vent ce mot) et c’est récent :
Covid-1984 : les données Sentinelles montrent un taux d’incidence en baisse à 29/100.000 en semaine 14 ! (LeLibrePenseur.org — 15/04/2021)
Les masques jetables bleus contiennent du graphène, un toxique semblable à l’amiante qui détruit les poumons (WikiStrike.com — 14/04/2021)
NB : votre cinquième ligne m’inspire « des têtes à couper »…
« (…) après avoir promené un regard de mépris et de domination sur la foule, il (Danton) dit au bourreau : “Tu montreras ma tête au peuple; elle en vaut la peine.” »
Chateaubriand (François René, vicomte de) 1768-1848, Mémoires d’outre-tombe, t. II, p. 21
Et n’oublions pas la terre.
J’observe que sur la huitième photo le « rapace » fait plutôt bon ménage avec la cigogne, ce qui est impensable avec l’équivalent chez l’humain.
Des « têtes à couper » ? Avec quelques sévices avant, pour leur rendre la pareille.
Le supplice de la roue, puis les laisser agoniser à la vue du public…
Quant au rapace et à la cigogne, cela signifie qu’il n’est pas un prédateur pour elle.
Magnifiques photos printanières !
En plus, les deux ne sont pas dans le même couloir aérien. ;-)