Chronique matinale d’un samedi confiné
Vendredi, premier jour du deuxième confinement.
En fin de journée, je me suis tapé les 17 pages de l’imbitable décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020.
Signé Jean Castex « Premier ministre », Olivier Véran « ministre des solidarités et de la santé », Gérald Darmanin « ministre de l’intérieur » et Sébastien Lecornu « ministre des outre-mer ».
Notez les minuscules aux titres/fonctions — “minus” (habens) —, ça ne s’invente pas.
Des gens qu’il ne faudra pas oublier le moment venu, et d’ailleurs je me demande pourquoi ce moment n’est pas déjà là.
Un condensé de charabia liberticide, des mesures ciselées par des manipulateurs pervers narcissiques psychopathes pour nous massacrer, nous détruire physiquement et mentalement.
Des trucs de faux-culs notoires, de traitres à la Nation, de fous furieux et d’enfoirés hors catégories.
Le tout guidé par leur « maitre », le jupitérien Macron, marionnette allumée à la poudre de perlimpinpin mode sarbacane.