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La mascarade du Covid-19 : Illégalité et terrorisme d’État

Nous vivons des moments extrêmement troublants, inquiétants, et même dramatiques.
Et il serait temps que les Français se réveillent.
Car la situation est délétère, tant pour nos libertés que pour notre santé.
Sinon, jusqu’où iront-ils, ces fous furieux ?
La loi n° 2020-856 du 9 juillet 2020 organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire stipule en son article premier :

« I.-A compter du 11 juillet 2020, et jusqu’au 30 octobre 2020 inclus, hors des territoires mentionnés à l’article 2, le Premier ministre peut, par décret pris sur le rapport du ministre chargé de la santé, dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19 : »

Cet alinéa étant suivi d’une série d’items.
D’abord, les « représentants du Peuple » que sont les députés ont confié toutes les clefs au « Premier ministre » concernant le Covid-19, et ce jusqu’au 30/10/2020. Puis ils ont pu tranquillement aller se faire bronzer pendant que l’on asphyxiait les Français tout juste sortis d’un « confinement ».
À quoi servent ces gens sinon à nous trahir ?
Ensuite, soulignons que seul le « Premier ministre » est expressément mandaté pour « lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19 », et ce uniquement par décret(s).
Il en ressort que :

  • Les ministres n’ont aucun pouvoir en la matière, et pourtant ils font croire le contraire, notamment avec les fameux « protocoles » (écoles, entreprises).
  • Idem pour les préfets qui ne se gênent pourtant pas pour rédiger des arrêtés à tour de bras, histoire de se faire bien voir et faire pleuvoir des amendes à 135 euros.
  • Idem également pour les maires qui sont nombreux à faire/imposer n’importe quoi localement, mais là pour des amendes encore plus mesquines à 38 euros.

Tout cela est ILLÉGAL !
Pire, il s’agit de semer la PEUR, et même de TERRORISER ! Et quand c’est volontaire, on appelle cela du TERRORISME !
L’objectif ? Il y en a probablement plusieurs, et je vous laisse les deviner.
Ce qui est certain, c’est que la méthode est dégueulasse, tordue et lâche.
Il s’agit en effet de nous pourrir la vie et de limiter autant que faire se peut les recours.
Dans un imbroglio sans nom et une cascade d’illégalités, les Français sont en effet contraints d’attaquer localement chaque décision, ce qui est mission quasiment impossible, le tout devant des juridictions souvent lâches et inféodées à ceux-là mêmes qui abusent du système.
Pire, tous ces actes illégaux sont pris pour argent comptant par les « forces de l’ordre » qui sanctionnent avec zèle et sans réel(s) fondement(s).
Mais aussi par les commerçants qui interdisent leurs magasins à ceux qui refuseraient de s’autoasphyxier en portant un masque. Ils vont même jusqu’à reporter les (fausses) « responsabilités » sur leurs salariés, jouant sur la cascade hiérarchique, avec des sanctions à la clef.
Vacherie supplémentaire, le chef d’entreprise est « chez lui », il rend donc presque légales des choses à la base illégales, un comble !

Bref, tout le monde flippe, tout le monde terrorise tout le monde.
Cette situation serait créée par Machiavel, ce serait machiavélique et nous pourrions presque en rire, mais là c’est tellement grotesque que cette hystérie relève du ridicule, de la bêtise, de l’aveuglement.
Et franchement, se faire manipuler par des marionnettistes aussi minables, ça n’est pas reluisant.

Français, Françaises, combien de temps allez-vous encore accepter que l’on se foute ostensiblement à ce point de vous et de vos enfants ?
D’autant qu’il y a carrément harcèlement, humiliation et mise en danger de votre santé, de vos activités et même de votre vie, le tout au nom d’un motif maintenant clairement totalement bidon.

© PF/Grinçant.com (2020)

15 commentaires sur “La mascarade du Covid-19 : Illégalité et terrorisme d’État”

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    En plus de tous ces points, les commerçants ont tendance à généraliser l’obligation de prouver que le sac de courses est vide au moment du passage en caisse, et certains n’hésitent pas à mettre la main dedans pour vérifier.

    1 – Ils n’ont jamais eu légalement ce droit.
    2 – Les vols, comme ceux qui passent un pack de bière en le poussant au sol avec la complicité de la caissière, et la caméra de surveillance qui ne voit rien pour certains cas.

    Un gérant d’un Intermarché qui m’a alpaguée alors que j’ai refusé à la caissière de fouiller dans mon sac (petit sac en textile de 30×30), s’est plaint des vols nombreux, et serait prêt à mettre un vigile derrière chaque client, si ce dernier accepte de payer sa surveillance 50 €… Je lui ai rappelé que le plus grand voleur est le gérant du supermarché (entre le gérant et le client), sinon c’est la centrale d’achat.

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    La nuit portant conseil, j’ai changé/développé le bloc de fin qui était auparavant constitué de cette seule phrase : « Français, Françaises, en ce moment, pouvez-vous vous regarder dans une glace sans avoir envie de gerber ? »

    En effet, la prise de conscience est préférable à la culpabilisation, arme déjà lourdement utilisée par les « nuisibles » dans cette affaire.

    Avec autant de mots, ça n’est plus vraiment une « Brève », mais tant pis, ça le reste dans mon esprit.

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      La culpabilisation est la pire des choses, car elle amène des idées négatives ; et la loi de l’attraction en ajoute au passage, ce qui devient une spirale sans fin.

      Dépression, suicides sont alors au rdv…et ça fait les affaires des êtres machiavéliques qui dirigent le pays.

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        Là, je souhaitais « secouer » en utilisant l’image du miroir. Si les gens se regardaient, avaient un (vrai) choc et se reprenaient !…

        La prise de conscience ? Allons-y, mais vu ce qu’ils ont déjà avalé, je ne sais pas quand elle va venir.

        PS : Ce miroir vaut aussi pour moi, j’ai honte de vivre cette période digne — à sa façon, mais elle est parfaitement mortifère — des plus noires de l’histoire.

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          Les personnes en partie éveillées, et qui ont un cerveau qui fonctionne, acceptent malgré tout une grande part de cette mascarade, notamment les tests.

          Test d’une gamine de 2 ans, où le médecin traitant suspectait une angine, ET qui a imposé un test Covid-19 au préalable du soin… résultat négatif, et diagnostic erroné puisqu’elle a fait une réaction de type allergique, et plus rien 24 heures après.

          Une connaissance qui est architecte a accepté de se faire tester à cause d’un contact qu’elle avait eu 1 semaine au préalable avec 1 personne, en extérieur, sur un terrain avant ouverture de chantier…

          Du temps du BCG et du test périodique avec un timbre, le résultat attendu était une réaction, donc test positif = immunité ; avec le Covid-19 c’est l’inverse, les cas positifs sont priés de se faire soigner : en Nouvelle-Zélande, ces personnes sont enfermées dans des camps (type FEMA) et ne pourront ressortir que si test négatif, ce qui est totalement impossible pour quelqu’un d’immunisé.

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            J’ai eu le Covid-19 en mars 2020 — c’est sûr à 95 % —, probablement le 12/03, premiers symptômes le 17/03. Durée 21 jours.
            Début juillet, on a ajouté à mes analyses habituelles une « Sérologie Covid »… Résultat ? Négatif !
            Ah oui, les « anticorps » disparaitraient — ce qui ne veut pourtant pas dire que l’on n’est pas immunisé — au bout de deux à trois mois, donc ce test n’a servi à rien.
            Et puis ce labo (un gros) n’aurait pas utilisé des tests « certifiés ».
            Dixit mon Néphrologue : « On ne tient compte du résultat que s’il est positif ! »

            Le 10 juillet, lors de mon admission aux Urgences, on m’a fait un PCR… « Comme on envisage de vous opérer, c’est obligatoire ! »
            Expérience très désagréable. Je pense que les zozos qui font la queue pour ça sont masochistes.
            Test négatif. On m’a hospitalisé, mais on ne m’a pas opéré.

            Bilan, à ce jour, je cumule une sérologie et un PCR, et je ne suis pas plus avancé.
            D’autant qu’un PCR négatif un jour pourrait être positif s’il était fait le lendemain. Sans même parler de la fiabilité douteuse du machin (nombreux « faux », positifs comme négatifs).

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    Le trouillonavirus fonctionne bien. Les confinis mettent la muselière dans la voiture, même s’ils sont seuls dans l’habitacle. Certains se musèlent par peur de se faire taxer 135 € pour respirer normalement, beaucoup le font par bêtise ou esprit moutonnier. Personnellement, ce couillonavirus me fait faire des économies : je fais les achats alimentaires strictement nécessaires. L’accès à une boutique avec l’affichette « masque obligatoire », est rédhibitoire.
    Le test PCR, avec un écouvillon de 15 cm dans chaque narine pour faire un prélèvement, est dangereux. Il peut percer la barrière hémato-encéphalique très mince, et ainsi laisser une faille par où pourront entrer les microbes et bactéries qui iront se loger dans le cerveau. Pourquoi un test salivaire ne suffit-il pas, alors qu’il faut un masque pour soi-disant se protéger du virus ? Les mesures imposées ne sont pas médicales, mais politiques.

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      Non pour l’histoire de la « barrière hémato-encéphalique ».
      J’ai subi un PCR et on se demande comment on peut monter aussi haut, mais ça reste très éloigné du cerveau, à moins d’être complètement anormal.
      Cela dit, quand l’on voit les comportements actuels, on peut avoir de sérieux doutes sur la localisation du cerveau d’une grande partie de la population.

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        Ce test PCR aurait jusqu’à 40 % d’erreurs… donc il ne devrait pas être utilisé.

        De plus, il est impossible de savoir ce qui peut être placé sur l’écouvillon afin de le déposer au fond de la fosse nasale.

        Quant à imaginer tester régulièrement les gens, c’est du jamais vu y compris lorsque la grippe est plus sévère certaines années.

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          Je reprends le mot « mascarade » du titre.

          Ce PCR m’a été fait aux Urgences, et il fallait comprendre qu’il était indispensable pour être opéré.
          Tests valides ou pas, ils « suivent un protocole/des directives » comme des toutous.

          Je vois mal comme je pouvais m’y opposer.
          D’un autre côté, je peux parler du délice de la chose en connaissance de cause.
          Vu comment il m’a été — minutieusement et sadiquement — fait, j’ai de sérieux doutes sur ceux réalisés sur des personnes « debout », voire assises au volant de leur voiture.
          Donc, tests foireux et prélèvements tirés par les cheveux, ça nous fait un joli tableau de la situation !

          PS : Petite satisfaction, avec une sérologie négative et un PCR négatif, je plombe les statistiques qu’ils aimeraient voir encore plus « négatives ».

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    La folie(1) répandue par l’État étant la cause, voici une conséquence…
    Un lycéen sauvagement agressé à Saint-André car contaminé au Covid… (ZInfos974 — Par Ludovic Grondin, le 03/09/2020)

    (1) Folie : Par exagération. Courant. État d’exaltation intense où le contrôle du comportement semble avoir disparu. — Remarque. Cet emploi, non scientifique, est proche de la notion psychiatrique de « manie ». Des moments, des instants de folie. Il était pris de folie. Folie générale, collective : comportement exalté, violent, irrationnel d’un groupe.

    « L’amour, dans l’état social, n’a peut-être de raisonnable que sa folie. »
    Rivarol (Antoine, dit le comte de) 1753-1801, Fragments et Pensées philosophiques, notes, p. 308.

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      Je reviens d’une virée dans ma ville — où le masque n’est pas obligatoire — pour faire quelques photos avec une focale fixe/standard.
      Dommage que je ne sois pas parti avec un téléobjectif, car j’aurais pu saisir des scènes hallucinantes/consternantes.
      J’ai préféré me consacrer aux fleurs, une façon de rendre hommage aux jardiniers de la commune qui travaillent… masqués !

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    KEG@29/09/2020.com : « Ma révolte est stérile et ne peut endiguer le raz de marée de l’indifférence générale…face au néo nazisme. Je m’en veux de ne pouvoir faire plus et je me sens désemparé ! » (Le blog de Keg)
    — Avoir honte d’être impuissant ou c’est l’impuissance de la honte qui nous paralyse. Et si nous nous étions trouvés en Allemagne vers 1930, aurions-nous étés nazis par lâcheté ou par conviction ? Et dans l’expérience de Milgram, jusqu’où eussions nous poussé le curseur en volts, au-delà du seuil de létalité ? Oseriez-vous répondre (déjà pour vous-mêmes et face à vous-mêmes) ?

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      @Keg
      « Commentaire » déplacé ici par la Modération (moi, entre autres rôles).
      Initialement posté sur : La santé, chiffres ou réalité ?

      Nous sommes à la limite du spam, et cela déroge à mes CGU (cas « Commentaires inutiles et/ou opportunistes, notamment ceux comportant des liens à des fins de référencement. »)
      En vous remerciant d’être moins opportuniste.
      À bon entendeur, salut.

      PS : Je vous ai déjà prévenu le 26/09/2020 à 13h42.

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