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BRÈVES

Édito ou humeur, mais du court

Par monts et par veaux

Oui, je sais, il semblerait qu’il y ait une faute dans le titre.
En fait, il est partiellement mensonger, voire un peu putaclic.
Là où je suis allé, il n’y avait pas de monts.
En revanche, j’étais bien par vaux, le pluriel de val.
Et, mieux, j’ai bien vu des veaux.
Alors que les humains sombrent de plus en plus dans la noirceur et la bêtise.
Oubliés les masques-muselières, les « élections » et les missiles possiblement « nucléaires ».
Ici, c’est l’insouciance et le carpe diem.
Aucune prise de tête, même si l’on rumine, de l’herbe plutôt que des idées noires.
Pas d’infox, nous sommes plus dans la détox.
Une vache et au moins dix veaux, dans une scène harmonieuse, ça vous dit ?
Pas la même ambiance qu’une crèche ou une garderie.
Le tableau inspire la sérénité, même si tout cela risque de finir — aussi — en boucherie.

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Le blogueur serait-il amoureux ?

Encore une absence !
D’autres priorités que d’écrire.
Une affaire de cœur diront certains.
Et ils auront peut-être deviné.
Mais il faut bien descendre de son nuage.
Pour découvrir sa voiture couverte de sable du Sahara.
Pour voir des clients encore masqués à la boulangerie.
Pour voir des gens terrorisés quand ils me repèrent, moi, le sans-muselière.
Pour voir ce que me propose YouTube.
« Une bombe nucléaire pour ce week-end ? »
Pour tenter de lire quelques actualités.
Mais ça n’est que du sordide, du glauque, de l’intox.

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De la patience, mais en salles d’attente…

Ah, les salles d’attente, je les adore !
Malheureusement, je fréquente essentiellement les « médicales ».
Vous savez, celles où l’on ne se parle plus.
Celles où chacun semble absorbé par son smartphone.
Celles où l’on ne dit que rarement « Bonjour » en entrant, et encore moins « Au revoir » en en sortant.
Celles où l’on peut observer les « patients » qui ne se donnent que rarement la peine de se mettre sur leur trente-et-un.
Celles où l’on éprouve des frissons à chaque fois que quelqu’un est appelé : Est-ce mon tour ?
Celles où l’on éprouve des déceptions quand l’on comprend qu’il faudra encore attendre.
Celles où l’on regarde sa montre quasiment toutes les minutes.
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Après la « crise du Covid », la « guerre », et encore Macron en pompier incendiaire !…

Les « gentils », nous, les Français, les Américains, et accessoirement les Ukrainiens.
Et le « méchant », Vladimir Poutine, un ex du KGB, président — plutôt aimé par son peuple malgré qu’il soit qualifié de dictateur — de la fédération de Russie depuis le 26 mars 2000.
Pas un petit minet issu d’une banque d’affaires, et président uniquement par collusions, trahisons et… affairisme. De la même catégorie qu’un Justin Trudeau (dictature du Canada), c’est vous dire…
Macron nous fait chier depuis près de 5 ans, en fait plus, mais plus ou moins dans l’ombre, merci François Hollande.
Et il a carrément déclaré vouloir « emmerder » une partie des Français — normalement des concitoyens —, ce qu’il a fait avec sa clique de raté(e)s.
Que fait Poutine ? Il s’occupe des « russophones » maltraités par le régime ukrainien…
En plus, il protège la Russie contre les manœuvres des Américains via l’OTAN et ses inféodés/toutous de service.
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De la grotte du Père de MONTFORT à la crotte de Martin HIRSCH

Après avoir vu l’arbre « remarquable » nommé « Les Cinq Jumeaux ».
Je vous emmène un peu plus loin dans cette troublante forêt, celle de Mervent, en Vendée (85).
Là, un peu plus bas, il y a la « Grotte du Père de MONTFORT ».
Un lieu où s’est retiré à trois reprises — pour « prier dans la solitude » — « Saint » Louis-Marie GRIGNION (1673-1716).
Sur le parking, la pancarte indique :

« Dès 1701, il se met au service des 400 pauvres de l’hôpital général de Poitiers puis à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris (5 000 pauvres), comme aumônier.
Il est chassé de cette institution pour ses manières trop peu conformes avec la façon d’exercer le sacerdoce à l’époque. »

Cela me fait un peu penser au professeur Christian PERRONNE que l’on a sali et à qui on a enlevé sa « chefferie » — service des maladies infectieuses et tropicales — à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches.
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Et maintenant, j’ai mon pass vaccinal !

Deuxième dose (Pfizer/BioNTech) le vendredi 11 février 2022 — 9h30.
— Sept jours après, vous aurez votre pass vaccinal valide !
— Ça nous fait vendredi 18 ou samedi 19 ?
— Ah, ça je ne sais pas !

Si elle sait piquer, la pharmacienne n’a pas tous les éléments pour compter.
Alors j’ai utilisé TAC Vérif — l’application des collabos qui « contrôlent », normalement interdite aux personnes « normales » — pour en avoir le cœur net.
Et ce matin à 8h30 — donc le 18/02 —, mon pass « vaccinal » apparaissait comme « VALIDE » !
Pas moyen de s’y opposer, c’est automatique, mathématique et même algorithmique.
Je peux toujours déchirer la version papier, il sera toujours là, actif.
Et ce serait hypocrite, car je peux toujours le réimprimer.
Le genre de truc qui me brûle les mains.
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La photo apaisante du jour

Samedi 12 février 2022, en début d’après-midi.
En plein hiver, mais comme une ambiance printanière.
Dans ce superbe pays qu’est la France.
Un pays qui ne demanderait qu’à être tranquille.
Un pays où nous pourrions/devrions vivre dans la sérénité.
Mais un pays qui est devenu invivable.
À cause de quelques crevures opportunistes.
À cause de traîtres à la nation de la pire espèce.
À cause de gens qui ne veulent qu’une chose, nous spolier et nous emmerder.
Alors, dans cette ambiance délétère et putride…
Je suis tombé en arrêt devant cette scène reposante.
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Messages d’inquiétude

Merci aux personnes qui m’ont adressé un petit mail teinté d’inquiétude face à un blog bien silencieux ces derniers temps.
J’ai répondu presque toujours la même chose :

« Merci de vous inquiéter.

Je vais, disons… au mieux ! (Dans le contexte qui est le mien et dont vous devez avoir connaissance si vous me suivez.)

J’ai fait comme une pause, doublée du syndrome de la page blanche. »

Pas de copié/collé, message adapté au cas par cas, mais l’idée est là.
Ah, le fameux « syndrome de la page blanche » !
Il faut dire qu’il est tenace celui-là, surtout en ce moment !
Et pourtant, j’aurais mille choses à dire — et donc à écrire, enfin normalement —, mais je suis comme paralysé par la consternation.
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Pénurie et alarme dans le caleçon

Mi-novembre, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je ressors un caleçon de la machine à laver avec une grande déchirure sur le devant.
Le genre de découpe bien travaillée, comme faite au cutter.
Est-ce l’œuvre de l’une de mes merveilleuses pinces à chaussettes pour conserver les paires en paires ?
Toujours est-il que je suis atteint psychologiquement par cet événement, et que je me mets en quête d’un remplaçant.
C’est du Leclerc, marque Tissaia, et c’est vendu par lot de deux à 9,95 €.
Le coton est soi-disant « bio », et le style me convient, car c’est « cool » et confortable, notamment pour dormir.
Je déteste les trucs moulants/collants pour les hommes-ersatz qui se rasent, voire s’épilent de partout.
Je fonce à l’hyper Leclerc n° 1, il y en a, mais seulement en tailles 2, 5 et 6 alors qu’il me faut du 4.
Je décide de suivre le dossier avec attention, et de passer par les caleçons à chaque visite dans le magasin.
Mais je vois le « stock » en rayon s’épuiser rapidement, jusqu’à atteindre seulement trois lots, et plus qu’en taille 6, genre pour catcheur.
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Des fèves à vous faire gerber la galette des rois

Troisième galette « frangipane » de l’année.
La première, j’étais le roi, la fève était plutôt mignonne, et mon invitée l’a emportée.
La seconde, j’étais encore le roi, et j’ai failli hurler devant la fève.
La troisième, je m’en occupe en ce moment en mode « solo », donc je suis forcément le roi.
D’ailleurs, je suis tombé sur la fève en la découpant, donc elle a été immédiatement retirée.
Mais que se cachait-il donc dans cette frangipane soi-disant « Bio » ?
Doctor Strange ! De quoi accompagner mon Soldat de l’Hiver de la fois précédente.
Mais comment peut-on faire de telles horreurs ?
Qu’est devenue cette jolie tradition ?
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