11 novembre, journée super triste.
Il pleut, enfin ici, et il faut pleurer.
Il y a encore une « commémoration ».
Celle des millions de morts de la « Grande Guerre ».
Sortie des bleuets, devoir de mémoire obligatoire .
Encore un nouveau monument, l’Anneau de la Mémoire.
François Hollande est de sortie, c’est une gourmandise pour lui.
Mémorial international de Notre-Dame-de-Lorette, à Ablain-Saint-Nazaire (62).
Les noms de 580 000 soldats morts dans le seul Nord-Pas-de-Calais y sont gravés.
Il faut le rappeler, en permanence, et ça n’est que la première année de commémoration !
Nous rappeler quoi, au fait ?
Que cette guerre a été causée par des gens plus ou moins consanguins ?
Un peu comme maintenant, même s’ils ne sont plus du même sang.
Consanguinité politique de tarés qui peuvent nous mener à ce genre de désastre.
Rappel de la peur aussi : « Regardez jusqu’où NOUS pouvons VOUS mener ! »
Mais d’autres dangers nous guettent.
Vendredi 7 novembre, il y a encore eu une belle sortie d’Emmanuel Macron.
Notre ministre de l’Économie/ex-banquier d’affaires était (encore) chez Bourdin.
J’ai attendu que quelqu’un la relève, mais non, rien.
Alors je réagis, car je trouve que ce qu’il a dit est assez énorme…
« On a abîmé l’épargne salariale, qui est une belle idée, qui est une idée forte.
Qu’est-ce que c’est l’épargne salariale ?
Ça permet à ceux qui constituent le collectif de l’entreprise d’être autour de la table et d’avoir les mêmes intérêts que le patron.
Et vous savez, il y a l’un des grands patrons français qui disait : “Quand les salariés sont les actionnaires, je ne pense plus de la même façon !”
…
Pour les salariés français, c’est aussi important parce que c’est ça l’investissement productif dans le pays. C’est-à-dire que ça défend, ça protège nos entreprises. »
(Extrait Emmanuel Macron chez Bourdin Direct– BFMTV 07/11/2014 – Durée : 1’44)
Vous l’avez compris, l’actionnariat fait tout, et le travail n’est rien !
Les salariés, de plus en plus esclaves, doivent « épargner »…
Pour financer leur outil de travail et alléger le « risque » des gros actionnaires.
Et Emmanuel Macron n’aime pas qu’on le traite de « banquier » !
J’en ai fait une crise de Macronite aiguë, et je ne sais pas si ça se soigne.
Et en parlant santé, je me souviens de ma dernière visite chez le médecin.
– Et la prostate ?
– Quoi, la prostate ?
– Ben, ça va ? Il faudrait qu’on fasse une PSA…
– C’est quoi, Peugeot-Citroën ?
– Non, une analyse de sang, un dosage, ça permet de voir…
– De voir quoi ?
– Ben pour la prostate, vous avez passé la cinquantaine…
– Oui, et alors, pourquoi m’inquiéter, pourquoi créer le doute ?
– Ben non, c’est pour le lever. On verra ça la prochaine fois…
Mais c’est que je le vois venir ce con !
À la cinquantaine, un mec ne devient plus qu’une prostate !
Le lobby pharmaceutique est encore passé par là !
Son doigt, il peut se le fourrer… dans l’œil !
Au lieu de ressortir rassuré, on sort inquiet…
Récemment, j’ai entendu un spécialiste, qui parlait de ça.
Bien sûr, il vendait son bouquin, mais ce qu’il disait était intéressant.
Pour lui, il y avait beaucoup trop d’opérations inutiles de la prostate.
Et qu’il avait vu des hommes mourir de leur belle mort à 99 ans…
Alors qu’ils avaient un cancer de la prostate depuis longtemps.
Confirmation que l’on opère souvent pour un oui ou pour un non.
Et que le remède peut être pire que le mal.
Ce qu’ils appellent « cancer », c’est aussi la vie de nos cellules.
Et ça n’est pas forcément une catastrophe.
Sauf à être un coffre-fort à vider sur une table d’opération ou aux rayons X.
Par contre, le mauvais jus, le stress, l’inquiétude…
Ça, c’est mauvais, très mauvais pour la santé !
Genre Hollande, Valls, Sarkozy, Fillon, Jouyet…
Ou ces commémorations, ces cérémonies, ces défilés…
Pour nous rappeler les boucheries, les tueries expresses, la grande menace.
Et justement, toujours chez Bourdin, en ce matin de 11 novembre…
Un autre toubib, oncologue réputé, venait vendre (aussi) son dernier bouquin.
David Khayat, qui officie à la Pitié-Salpêtrière.
Remarquez, je préfère qu’il nous évite d’entrer à l’hôpital en nous faisant lire…
Plutôt que de faire comme d’autres, qui font tout pour nous y envoyer.
Séquence 1, les plus gros dangers…
Les fumeurs qui bronzent en mangeant du saumon au cadmium vont adorer…
On se demande pourquoi l’État ne crée pas une taxe Sécu sur les poissons gras.
Mais tout cela ne serait-il pas causé par l’homme ?
La solution, diversifier les sources d’intoxication et suivre les saisons !
(Extrait David Khayat chez Bourdin Direct– BFMTV 11/11/2014 – Durée : 3’57) – Séquence 1, « Plus gros dangers »
Séquence 2, vitamines à l’excès et omégas 3…
Et devinez, encore la PROSTATE !
Comme une obsession : 8 citations en moins de 2 minutes !
À se demander si mon généraliste n’aurait pas raison…
Qui veut un doigt, une analyse PSA et un prélèvement de la prostate ?
(Extrait David Khayat chez Bourdin Direct– BFMTV 11/11/2014 – Durée : 3’09) – Séquence 2, « Prostate »
Quand je vous dis que ce monde est anxiogène.
Mais, ce qui m’inquiète le plus, c’est la Macronite !
C’est insidieux, vicieux et douloureux.
Pour se soigner, il faut devenir actionnaire/rentier/banquier d’affaires.
Et trouver un médecin spécialiste des Rothschild et des fonds… de pension !
Vignette : Gui sur arbre, Macronus prostatis © PF/Grinçant.com (2014)
© PF/Grinçant.com (2014)
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François Zéro le saigneur de l’anneau…
Bien vu dans ce contexte ;-)
Le meilleur investissement c’est de maintenir sa santé, une banalité a priori, pas tant que ça, depuis des décennies nos brillants docteurs en médecine ne prennent que des cours de maladies, aucun de bonne santé : ça n’existe plus ! Les cours, pas la santé…
Tout passe par la nourriture, vous voulez vivre vieux, mangez comme vos vieux, c’est simple. Pour les curieux, je leur conseille d’écouter, ou de visionner les interventions d’un certain Dr François Plantey sur le scandale du Cholestérol, ou le malaise des médecins.
Les examens intrusifs, prostate, ou mammaire, etc. sont reconnus comme nuisibles, comme leur prescripteurs, comme le système.
En gros, depuis des siècles, les médecins savent (enfin, savaient) identifier des symptômes rien qu’en observant, et en écoutant leurs patients, statistiquement, 90 % des cas sont résolus. Si le praticien ouvre son gros cartable, et sort quelques instruments simples, un stéthoscope, un chrono, un petit marteau, une torche, etc. le taux monte à 95 % c’est énorme !
Bien sûr, tout ça est désormais impossible, les 10 mn programmées par visite rendent impossible de faire ce vrai travail, et ce n’est pas la faute du toubib.
Toute la panoplie des analyses en tout genres, les scanners, IRM, rayons divers, font gagner au max 3 %, c’est ridicule ! C’est à dire que les lobbies, et donc tout le système nous font claquer des milliards pour ces foutus 3 %.
Exception faite des urgences, qui elles font un boulot remarquable, avec des moyens simples sur le principe, de l’eau, de l’air, des sels, etc.
Je pourrais continuer sur ce thème…
Grinçant a tout à fait raison de faire le parallèle entre ces abrutis de VRP des labos, et les non moins tarés de politistes, économistes, ou autres journalistes, trop d’istes-ériques, à fuir.
Conservez votre intimité intacte, chassez les idées de leur manipulation, et repassez-vous les carrés magiques ;-)
« En gros, depuis des siècles, les médecins savent (enfin, savaient) »
Oui, enfin « savaient »…
Ils ont l’air d’avoir beaucoup perdu et de compter énormément sur les « visiteurs médicaux » qui ne sont que des commerciaux dénués de tous scrupules.
Quant aux « 10 minutes », rien ne les oblige à consacrer aussi peu de temps et à bâcler un RV, sauf l’appât du gain. Donc, c’est un peu/beaucoup la faute du toubib, enfin à mon sens.
J’en connais qui consacrent de 20 à 40 minutes à leur patient, mais peut-être ont-ils une vision obsolète du serment d’Hippocrate ?
Il faut écouter son corps sans sombrer dans l’hypocondrie.
Les médecins, en prescrivant des examens coûteux, complexes, et souvent avec des délais importants font que l’on se fait du mauvais sang jusqu’à l’acte…
Et une fois rassuré, ils nous font rentrer dans la spirale de ces examens à réitérer, et donc dans une angoisse permanente.
Lorsque l’on fait une fixation sur quelque chose, on finit par le/la voir arriver…
Pour cette histoire de prostate, je suis stupéfait par l’attitude du Professeur Khayat.
J’ai bien recompté, citer 8 fois ce mot en moins de deux minutes, en l’associant au mot cancer, c’est forcément pour générer de l’inquiétude.
Dans le meilleur des cas, c’est pour qu’on achète son bouquin, sinon, c’est pour entrer dans la spirale infernale…
Il faut retrouver une certaine sérénité, et écouter son corps…
C’est une merveille qui nous guide et sait nous lancer des alertes.
Nul besoin de tous ces bracelets « connectés » à la con qui n’ont que pour seul but de renseigner Big Brother et de faire du fric tout en portant atteinte à notre intimité.
Quant aux parallèles faits dans ce billet, on pourrait penser que j’ai bu trop d’eau du canal d’Ille-et-Rance, mais ça se tient, et je pourrais encore développer ;-)
En parlant de carrés magiques, je vais chercher un carré de chocolat noir, c’est excellent pour la santé.
Vous avez bien résumé le plan de manipulation, action, réaction, solution. Vous seriez prêt(e) à tout gober après ce manège.
Les praticiens, ont, pour la plupart, perdu pied dans leur propre manège, ils renvoient, par exemple, certains cas, de « spécialistes » en « spécialistes », et à l’arrivée, ils sont tous paumés…
À leur décharge, les 10 mn « imposées » le sont par le système, pas de leur fait. C’est la condition sine qua non pour qu’un généraliste vive de sa profession. Système dû à Michel Debré, c’est pas tout récent.
Un sondage ancien, paru dans leur propre revue professionnelle, relatait que 67% des médecins étaient prêts à changer de métier du jour au lendemain. C’est dire l’ampleur de leur malaise.
Le serment d’Hippocrate a été, lui-même modifié, on va dire Hippocrate 2.0 pour reprendre cette manie stupide du n+1.0 !
Le chocolat noir est une bénédiction ;-)
Ah, au fait, en fin d’interview/promotion chez Bourdin, le Pr Khayat conseillait (encore pour le cancer de la prostate, notamment), de la… Grenade !
Les gendarmes ont voulu rendre service à Rémi Fraisse sur le site du barrage de Sivens en lui en envoyant une…
Résultat du traitement : « IL EST DÉCÉDÉ LE MEC ! LÀ, C’EST VACHEMENT GRAVE. »
Comme quoi, les conseils de grands pontes médicaux peuvent être à prendre avec des pincettes ;-)
Après la Journée de la Gentillesse d’hier, c’est aujourd’hui, 14/11, la Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID, « 190 associations », autant de chevaux de Troie dans 150 pays) et soutenue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)…
C’est dire à quel point les lobbies pharmaceutiques ont du pouvoir…
Une journée d’intox mondiale au service de leurs portefeuilles, avec des seuils bidon pour faire sombrer dans la « maladie » des millions/milliards d’individus.
Comme s’il n’y avait pas d’autres priorités, genre « Journée Mondiale de Mobilisation Contre Ebola », ou « Journée Mondiale contre les Traîtres Politiques ».
Les industries agroalimentaires peuvent continuer à nous intoxiquer.
Bande de fumiers !
En fait, ces journées c’est comme les prospectus de promotions des boîtes aux lettres, ou dans les commerces, les banques, etc.
L’OMS qui vient de censurer son propre rapport !
Vous faîtes bien de rappeler le principe des seuils bidons, ou comment devenir malade quand on va bien, pour pas cher, enfin, pour eux…
Pour le diabète, taux de glucose « normal » :
Avant 1990 : 1,4 g
1990 : 1,26 g
2006 : 1,06 g
Soit un abaissement de près de 25 % de la « norme ».
Pour le cholestérol, la « norme » a été abaissée de 3 à 2,8 puis 2,4 et enfin 2 g/L.
Bref, de quoi faire basculer à chaque fois des individus par millions dans la maladie, pour leur prescrire des statines, pourtant si controversées.
Par contre, on tolère/encourage de plus en plus de saloperies dans notre bouffe industrialisée…
Oui, le glucose, le cholestérol, on pourrait rajouter la tension, paramètre chéri des praticiens pour des prescriptions « à vie ».
La tension varie en permanence, peut se contrôler naturellement, comme le rythme cardiaque, tiens, celui-là n’a pas (encore) de norme. Les sportifs, comme nos poilus, l’ont géré sans les lobbies.
Les rayons de laitages à rallonge sont une catastrophe à tous les niveaux de la chaîne, les producteurs, les intermédiaires nuisibles, les distributeurs nuisibles, les process de transformation nuisibles aussi. Pas grave, la pub corrige tout ça, la vache regarde les trains passer en piétinant une bonne herbe saturée de vert, la laitière habillée comme nos arrières-arrières grands-mères qui touillent avec une cuillère en bois d’arbre, dans un chaudron qui ferait pâlir un antiquaire. La réalité, je préfère ne pas la rappeler.
Les caillots qui obstruent les vaisseaux ne sont pas constitués de cholestérol, mais à 95% de calcium. le cholestérol participe, entre autres, à la souplesse, et la lubrification de ces mêmes vaisseaux, en plus de satisfaire notre cerveau (une boule de cholestérol). Normal, donc, qu’« on » entretienne la disproportion, gavage de calcium, produits à 0%, trop bons pour la santé, etc.
L’ostéoporose ? Une vaste farce, les japonaises, et chinoises, une toute petite fange de la population mondiale, possède le taux mondial le plus bas d’ostéoporose. Au fait, un détail, elles ne boivent pas de lait, et consomment rarement ses dérivés.
Tout ça paraît dans les revues corporatistes, au bon sens du terme, des praticiens qui ne doivent pas les lire, ni les comprendre, sinon comment expliquer ?
Enfin, un grand nombre de « poilus » sont tombés à zéro de tension.
Cela dit, il avaient aussi des raisons de faire des crises cardiaques.
Les praticiens n’hésitent pas à prescrire des médicaments « à vie » sans l’expliquer au « patient ».
Le jour où il veut arrêter, on lui dit « Ah mais attendez, vous ne pouvez pas, vous risquez de mourir ! ».
Un simple bêta-bloquant générique donné à quelqu’un de 25 ans, en supposant qu’il décède à 80, c’est déjà minimum 4 000 € d’assurés pour la chaîne pharmaceutique, sans parler du coût de renouvellement des ordonnances (1 fois par trimestre, ça nous fait 5 000 € de plus pour le généraliste au tarif conventionné).
Bon, pour les Panier de Yoplait, je crois que je vais arrêter.
J’avais trouvé un substitut, mais ça reste du laitage.
Vous avez fait un remarquable lapsus que je n’ose mettre en valeur ou signaler… J’espère que personne ne le verra ;-)
Je l’avais loupé ! mais comme la boule de cholestérol corrige pratiquement automatiquement les fautes de ce genre du moment que la première et la dernière lettre sont correctes, on zappe quand on lit trop vite.
Merci de l’avoir fait remarquer, je trouve ce lapsus plus que remarquable !
C’est presque un jeu que de le trouver ;-)
Ouh la ! Si c’est ce que je vois, une lettre en moins, c’est la honte…
Je vais avoir affaire aux yakuzas, sumos, et autres triades 8-/
De quoi je vais avoir l’r ?
Vite, la machine à remonter le temps ;-)
Pour vos laitages, Grinçant, gardez-les en évitant la vache qui produit son lait seulement pour que son veau prenne 500 kgs par an. C’est pas fait pour nous. De plus, même les grands animaux ne consomment pas leur lait à l’âge adulte, éléphants, rhinocéros, gorilles, tigres, etc.
Le lait cru est à privilégier, brebis, chèvre, et pourquoi pas vache si c’est du fromage, on est dans le pays.
Oui, voilà comment se mettre à dos 1 351 millions d’habitants (人們) + 127 millions 人々, sachant que plus de 90 % lisent se blog ;-)
Cela dit, je ne pense pas que le traducteur Google fasse bien la nuance dans ces langues.
Bien vu pour la répartie ;-)
Pour le lait, un auteur de livre conseillait de ne boire du lait que de bêtes plus petites que soi à l’âge adulte…
En fait je déteste… Seule une longue psychothérapie m’avait permis de tolérer les Panier de Yoplait ou assimilaits ;-)
Je confirme, superbe lapsus clavis nous dévoilant les désirs inconscients d’Universel !
Enfin qu’il se rassure, pas de quoi être traîné dans la boue ici ou là-bas… :D
Entièrement d’accord sur l’abus et le danger des examens qu’on nous somme presque de faire tous les ans.
Pour la petite histoire, on avait décelé chez moi lors d’une échographie une masse dans le foie. Le radiologue indique sur son compte-rendu qu’une I.R.M. serait souhaitable pour en déterminer la nature exacte.
La machine de guerre est lancée. On m’enfile dans le tunnel où le pic-vert s’en donne à cœur joie. A la fin de l’examen, je suis pressée car je dois me rendre au boulot et il est déjà 8:30. Je récupère vite fait le C-R auprès de la secrétaire et file sur mon lieu de travail.
Une fois arrivée, j’ouvre l’enveloppe. Et bang, je me prends un coup sur la tête quand je lis tout en bas que le diagnostic n’est pas en faveur d’une tumeur bénigne ! A faire confirmer cette fois par un scanner. Je m’effondre littéralement dans les bras de mon patron qui vient d’entrer pour nous saluer. Tous mes potes ont la larme à l’œil et moi je craque.
On le sait tous, cancer du foie si jeune, ça nous laisse à peu près 6 à 9 mois. En plus, j’ai une collègue du même âge qui vient d’en mourir.
Je suis en mode survie désespérée en attendant le 3ème examen, scanner qui a lieu 2 semaines plus tard. Là, c’est l’anneau qui m’attend (oui, ça rejoint l’origine de ce billet !). Un infirmier m’injecte le produit de contraste (auquel je n’avais pas eu droit lors de l’IRM) sans me dire quoi que ce soit, à part « Ne bougez plus ».
Il se barre derrière la vitre blindée pour y rejoindre ses 2 confrères et à peine 2 minutes plus tard, je sens que je chauffe de l’intérieur puis très vite j’ai l’impression de m’auto-consumer. Je brûle littéralement comme dans les cas de combustion humaine spontanée.
C’est insupportable et je me mets à hurler « Arrêtez tout, je brûle ! ». L’infirmier revient en me disant « C’est normal que ça chauffe un peu, c’est dû au produit de contraste ».
Et moi de rétorquer : « Si je vous dis que je brûle, je brûle, je sais encore faire la différence ! »
– « Calmez-vous, ça va passer et s’atténuer très rapidement, l’examen n’est pas terminé. »
Des envies de lui sauter à la gorge m’envahissent mais je résiste en lui disant « Restez là tant que ça ne se passe pas ». Il obtempère et on attend. Effectivement l’intensité de la chaleur commence à baisser au bout de quelques minutes, et l’examen se poursuit.
Quand je pars me rhabiller, je suis hors de moi. Un quart d’heure à poiroter, je me dis que c’est foutu. Le radiologue arrive enfin et me dit : « Ça va, pas de vascularisation donc il ne s’agit pas d’une tumeur maligne. Enfin, pas pour l’instant mais il faut surveiller de très près et refaire un scanner tous les 6 mois pour vérifier l’évolution ».
C’est ça Ducon, j’en parlerai à mon cheval. Si tu crois que tu vas m’irradier tous les 6 mois, tu te fourres le doigt dans l’œil. Et là, à coup sûr je vais le choper ton foutu cancer.
Je me suis refusée à tout examen depuis et je vais à peu près bien, merci.
Le pire, c’est qu’ils répandent (aussi) l’angoisse avec ce genre d’acte maintenant fait pour un oui ou pour un non.
Il faut aussi faire « tourner » le matériel pour l’amortir/le justifier.
Bref, la santé, c’est aussi devenu un « système ».
DIABÈTE Club, bienvenue à Babette
À lire au ralenti, avec plein de degrés, pire qu’un thermomètre médical ;-)
Au fait, en parlant livres et « promotion » par les médias…
On voit souvent des « responsables politiques » trouver des éditeurs facilement et publier ce qu’ils sont censés avoir écrit.
Et là, plane le secret sur le tirage et les invendus…
Cécile Duflot a récemment lâché le morceau : en général 300 à 1 000 exemplaires vendus !
Mais ne parlerait-elle pas du tirage, en fait, avant pilonnage des invendus ?
Soyons rassurés, là elle en revendique mollement 15 000 pour son second bouquin (Fayard).
(Cécile Duflot à la « Team Toussaint » – iTélé, le 12/09/2014-9h00)
Normalement donc, de 3 à 10 par département, grand max… Ou rachetés par l’auteur ou le parti…
L’on peut donc légitimement se demander pourquoi ces gens « publient » des bouquins ;-)
PS : Ni Khayat, ni Trierweiler ne sont concernés par cette remarque.
D’autant que la « santé » se vend très bien, surtout lorsque l’on met sur sa couverture, en bandeau, « TOUS MES NOUVEAUX CONSEILS ANTICANCER » et que l’on publie chez Odile Jacob, avec la promo qui va avec. Et les anciens, on se les procure comment ? C’est gratuit pour sauver nos vies ?
Quant aux histoires de caniveaux et de mauvais cul…
ben voila, moi aussi j’ai recu (50 ans et 3 semaines) mon courrier de la cpam pour le test, le doigt c’est eux qui vont se le mettre ;-)
Oh, moi je n’ai rien reçu, c’est mon généraliste qui veut prendre des initiatives !
Cela dit, je l’ai revu, et il n’a pas osé réaborder le sujet ;-)
Par contre, si c’est la CPAM qui vous le demande, c’est une injonction, donc vous devez y passer, d’autant que c’est gratuit.
Un conseil : prenez un tout petit toubib, avec des petites mains.
Pour les adeptes de Tim Burton, évitez quand même Edward aux mains d’argent.
Plus rien ne nous appartient !
Peut-être parce que je suis traité pour le diabète, tous les ans depuis je reçois mon vaccin pour (ou contre) la grippe que je n’ai jamais fait d’ailleurs
je suis considéré comme une personne à risque, à risque pour qui, pour quoi?
pour les labos certainement, un bon client pour écouler leurs substances, donc un risque de perte pour eux, c’est mon avis, car je ne suis pas un risque pour le reste de la société
Quelqu’un qui ne joue pas leur jeu, qui ne respecte par leurs injonctions, qui ne se fait pas piquouser sur simple lettre de la CPAM devient dangereux pour le système.
Vous enrayez leur superbe mécanique qui fait que vous ne vous appartenez plus, ni votre corps ni votre esprit.
Chaque individu est un marché en or pour ces gens.
Et un marché ne doit pas s’échapper.
Ils n’ont strictement aucun intérêt à ce que vous soyez en bonne santé.
Le but est de vous faire tenir le plus longtemps possibles, mais de guingois, et sous substances ;-)
Afin d’elire domicile dans une ehpad, a 2000€ /mois minimum, lol, je prefere mourrir de mon vivant que sous leur « therapie », je ne suis pas un cobaye
Dans les EHPAD du responsable de Korian-Medica et des Banques alimentaires, le ticket d’entrée visé est au minimum de 100 à 110 euros par jour…
En fait, vous n’intéressez pas monsieur Jacques BAILET pour l’une de ses résidences de luxe, mais seulement pour son autre « pôle », le SAMU social.
Les gueux et les sans-dents, ça rassure ses clients, alors autant faire un groupe « intégré ».
À nous de les désintégrer.
Vu ce soir(première pour moi), publicité pour le dépistage du cancer du sein, on voit une femme qui enlève son tee shirt et montre ses seins, a quand une pub pour le dépistage du cancer de la prostate, du cancer de l’éterus ;-)
Remarquez, on nous montre bien plus vulgaire avec la tête de nos politiques.
Il est vrai qu’un anus bien rasé, même flatulent, est plus présentable et mérite plus de respect.
Surtout si on lui fait porter la cravate pour ressembler aux autres têtes de nœud ;-