Feignasses de Tournepierres !
En Macronie, vous le savez, il faut bosser, bosser, bosser, jusqu’à en crever.
Et pour pas un rond, ou le minimum possible.
Vous êtes prié(e)s de disparaître — d’une façon ou d’une autre — avant la retraite.
Et en cas de chômage, c’est ceinture, sans les bretelles.
Récemment, la « ministre de l’industrie » — petit “m” et petit “i” — Agnès Pannier-Runacher a fait une déclaration confondante de stupidité, bien dans l’air du temps :
« J’aime l’industrie parce que c’est l’un des rares endroits où l’on trouve encore de la magie au XXIe siècle. La magie de l’atelier où on ne distingue pas le cadre de l’ouvrier, pas l’apprenti de celui qui a trente ans d’expérience, où l’on ne distingue pas celui qui est né en France de celui qui est arrivé par l’accident d’une vie. »
Alors, au taf, au turbin, pour vivre dans le monde merveilleux de la « magie » macronienne et de ses copains/soutiens milliardaires parasites patentés !