Là, en bordure de trottoir.
Et même dans un caniveau.
Comme une petite peluche de Noël.
Le poil orné de gouttelettes de rosée.
Mais l’air un peu recroquevillé.
La queue raide, la tête castagnée.
Il n’ira pas bien loin comme il est.
« LIDL garantit une fraîcheur irréprochable de ses produits, grâce à un approvisionnement quotidien du rayon fruits et légumes de ses magasins. »
C’est écrit sur le site internet de l’enseigne, et ne parlons même pas des spots TV « On est mal patron ! »…
Encore à la recherche de clémentines corses, je pénètre dans l’un de ces magasins malgré ma volonté de leur faire gagner le moins d’argent possible (L’enfer, en pire, chez Lidl) et de préserver mon précieux temps de vie — Les files d’attente Lidl (J’ai testé) — de consommateur décroissant.
Et que vois-je ? Quatre cartons de « Clémentines corses » « Saveurs de nos régions », Catégorie I, « Fine de Corse », Calibre 2, emballées à Lucciana :
Tout le monde l’a constaté, on se fout de nos gueules au rayon « beurre ».
Une « crise » parfaitement organisée, avec le consommateur en otage.
L’exportation serait privilégiée par le réseau de production, car plus « rentable » : imaginez une seconde que cela soit étendu à tous « nos » produits !
Et ils veulent que l’on achète « français » et « local » après de tels coups tordus !
Bref, du beurre, on peut aussi s’en passer, même si on ne sait plus trop quoi mettre sur les tartines.
Après un passage par du St-Hubert Bio (margarine plus ou moins évoluée), j’ai cherché à remettre un peu de beurre dans les épinards congelés.
Et je m’étais rabattu sur un qui fleure bon le terroir du fait de son nom marketing : « BONS MAYENNAIS »
En effet, devant des rayons vides, j’ai découvert cette marque — nouvelle en rayon —, et le 2 décembre 2017 j’étais reparti avec une plaquette de 250 grammes à 1€69 :
Drame à Millas, dans les Pyrénées-Orientales.
Un autocar scolaire coupé en deux par un TER.
Et, une fois de plus, une « conférence de presse » totalement hallucinante et désespérante, suintante de désorganisation, d’improvisation, d’exhibition et de maladresses.
« On s’occupe de tout, braves gens »…
Déjà, procureur compris, on nous parle de “bus” (engin urbain) au lieu de “car”… Quand ça commence comme cela, peuvent-ils faire la différence entre des barrières ouvertes ou… fermées ?
J’ai aussi entendu un abruti de journaliste/pigiste dire que les barrières étaient « évidemment fermées »…
Lire la suite »TER contre car scolaire, qui gagne ?
Pour moi, c’est fini les magrets !
Au miel, poêlés, c’est terminé.
Pour moi, c’est fini les foies gras.
Poêlés, ou tartinés en canapés.
Qu’il s’agisse d’oies ou de canards.
Et justement, après les cygnes…
J’ai eu droit à des jeux de canards.
Après ça, pas envie d’en dévorer.
Ils sont si bien là où ils sont !
Voilà peu, je voulais vous faire saliver avec une chose toute simple, et c’était dans cette Brève : Clémentines corses et chocolat noir.
En fait, ma démarche — honnête et sincère, car c’est bon — s’avère presque criminelle à la lumière de quelques informations “récentes”, enfin pour moi, modeste consommateur…
L’un des meilleurs chocolats noirs — celui d’Équateur — serait en fait bourré de cadmium, un métal lourd toxique pour la santé.
D’autres sites en ont parlé, toujours ce 8 décembre 2017.
Hier, samedi 9 décembre 2017, le trafic de ce blog a subi une baisse majeure que je n’arrive pas à expliquer rationnellement :
– 30,56 % par rapport au samedi 11/11/2017, pourtant jour férié (Armistice)
– 21,88 % par rapport au samedi 18/11/2017, jour des Aude
– 10,71 % par rapport au samedi 25/11/2017, jour des Catherine
– 25,68 % par rapport au samedi 02/12/2017, jour des Viviane
Soit une chute de 22 % par rapport à la moyenne des quatre précédents samedis.
Je passe souvent devant ce garage perdu en pleine campagne lors de marches régulières dans cette zone à proximité d’un cours d’eau.
Et, à chaque fois, la porte est fermée.
De quoi laisser place à l’imaginaire…
Mais que cache-t-il, que contient-il ?
Je ne sais pourquoi, je l’appelais « Le garage de Jack »…
Il aurait pu s’agir du Monsieur Jack de Tim Burton, afin d’y préparer un Étrange Noël qui approche.
Ou bien de Jack London, vu que tout est en bois — hors toiture en tôle —, après L’Appel de la forêt.
Lire la suite »Le garage de Jack
Voilà du « Street art » à dédicacer à François Hollande.
Lui qui, au lieu de se cacher, ose encore ramener sa gueule.
Et même faire des « conférences » rémunérées.
Comme un retour d’ascenseurs à peine voilé.
Peut-être même des dentistes font-ils partie de son audience.
Au lieu de soigner la patientèle sans « arracher » systématiquement.
Hier, alors que la France fondait en larmes à l’annonce du décès de Johnny Hallyday, mort à Marnes-la-Coquette plutôt qu’à Los Angeles où il résidait normalement.
Dans un bureau états-unien, un chevelu roux — coiffe naturelle ou synthétique, je ne sais —, assis au milieu des sapins de Noël clignotants, signait un document devant les caméras.
Acte qui pourrait être anodin, mais il s’agit en fait de déplacer l’ambassade américaine d’Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, et par la même occasion de reconnaître, de fait — acte unilatéral digne d’un dé-faiseur de pays —, cette ville particulière comme capitale, dans un contexte dangereux et cruellement fragile et cynique de « partage » avec la Palestine.
Acte à l’emporte-pièce, probablement d’un dingue.