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PF/Grinçant.com

Ça n’est qu’un petit étang en forêt (photo)

Une “Brève”, pour essentiellement une photo.
Celle-là, je l’ai bien « teasée » hier, en racontant quelques péripéties.
Il s’agit d’un simple étang situé en forêt.
Je le connais bien, j’y suis allé quelques dizaines de fois.
Il est presque rectangulaire, 480 mètres de périmètre pour une surface de 1,5 hectare.
Je l’apprécie, car je le trouve reposant.
Et à la bonne période, je suis presque sûr d’y trouver des libellules.
Dimanche, j’en avais déjà publié deux photos prises avec mon petit drone.
Mais j’étais insatisfait, et je voulais le photographier à la verticale, comme si j’étais un oiseau.
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“Mayday”, les aventures d’un drone : pelleteuse et cockpit en rade

Drone : Vol à vue impératif !Période dronesque pour moi !
Et quand je suis accroché à une idée, je n’en démords pas.
Samedi, j’avais fait mon premier (vrai) vol en forêt, à une croisée des chemins.
Hier, mardi, j’ai décidé d’y retourner, avec deux idées en tête.
La première était de le faire grimper au maximum légal en France, soit 120 mètres.
Et la seconde était de prendre une meilleure photo d’un étang à proximité.
120 mètres d’altitude pour un drone censé pouvoir monter jusqu’à 4 000 mètres, c’est frustrant.
Mais bon, de toutes les manières, on doit le « garder à vue », et ce petit engin de moins de 250 grammes devient vite invisible.
Me voilà donc reparti pour faire mes 4 kilomètres à pied pour rejoindre mon « spot ».
La chaleur est presque écrasante, comme si mon sac à dos ne suffisait pas à me tasser.
Une fois arrivé, j’installe ma petite piste de décollage/d’atterrissage de 50 centimètres de côté en plein milieu de cette « croisée ».
Et je me mets à l’ombre d’un arbre pour piloter un peu à l’abri de la chaleur.
Et c’est parti, décollage pour les cieux, ou presque !

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Inauguration – Premier vrai vol avec mon drone

PF, maintenant télépilote de dronePour mon anniversaire (31 mai), je me suis offert un drone.
Un tout petit, un DJI Mini 2.
249 grammes affichés sur la carlingue.
En réalité, 238 sur la balance, batterie, carte microSD et étiquettes d’identification comprises.
Je pèse 355 fois plus, rien de moins — imaginez la taille du truc si je devais voler (en altitude) —, et sans parler de mon nouveau sac à dos.
Un petit engin qui vole à presque 60 km/h.
J’ai tout fait dans les règles, pris toutes les précautions.
Enregistrement sur AlphaTango et obtention d’un numéro en tant qu’exploitant d’UAS (aéronef sans pilote).
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Happy Birthday PF, et bon vol !

Un drone pour filmer et photographier (et s'amuser)Jour d’anniversaire : cinquante-neuvième année !
Eh oui, dans ce pays on « commémore » tout, alors je me commémore moi-même !
Et pourtant, ça n’est pas dans mes habitudes — quoique — de me livrer à ce genre d’attention.
Oui, mais voilà, depuis l’apparition/la découverte de mes problèmes de santé, je vois la vie autrement.
Chaque jour qui passe, chaque année mobile qui passe, chaque anniversaire devient presque un évènement à savourer.
Comme pour celui qui a sauté du haut d’un immeuble sans en savoir le nombre d’étages et qui se dit : « Jusque là, tout va bien ! »
Mes dernières analyses de mai révèlent un état étonnamment stable — DFG « surprise » à 17 (vs 14 en mars) —, et je ne vais pas m’en plaindre.
Je suis plus que jamais « sérieux », et je vois la vie définitivement d’un autre œil.
La vie, et les gens aussi : j’éradique tout ce qui peut être nuisible/toxique, enfin dans la mesure du possible, car il y a des impondérables.
Mardi dernier, lors d’une randonnée, j’ai assisté à cette scène :

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Un chêne en cours de viabilisation

Vous connaissez certainement « mon chêne ».
Découvert/adopté le 11 septembre 2016, lors d’une randonnée « solo » de 20,8 km.
Le coup de foudre, mais seulement de loin.
Ça n’est que plus tard que j’ai osé le photographier.
Et seulement l’année suivante que je m’en suis approché, ne serait-ce que pour le toucher.
Ensuite, je l’ai souvent montré à des gens que j’emmenais en randonnée.
En général, personne n’était indifférent en le voyant, même de loin.
Tranquille, dans ce qui est une prairie.
À proximité d’une rivière qui a ses caprices et qui a dû à maintes reprises le faire émerger des eaux.
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Une cabine pour la connasse

Deux ascenseurs, un de cinq places, et un de sept.
Celui de cinq est en panne depuis maintenant une semaine.
La société en charge de la maintenance a mis une affichette, et basta.
Je-m’en-foutisme ou pénurie de pièces/composants ? Ou les deux ?
Du coup, tout le monde doit se partager, si possible intelligemment, une seule cabine.
Je viens de descendre pour mon courrier, et en sortant je vois deux femmes masquées qui attendent la cabine.
En allant à ma boîte, j’entends la plus petite et plus âgée demander : « Vous montez ? »
Et l’autre lui répond, les bras croisés : « Non Non ! »
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Trahison #3 : Abandon de la Monture A par Sony Photo

À vrai dire, je faisais plus que m’y attendre, mais là ça semble définitivement confirmé.
Enterrement de première classe en toute discrétion, et même avec de la lâcheté.
« Nous continuerons à faire vivre la monture A » avais-je lu de la part de Sony…
Tu parles ! Business is Business, et quand l’on tient des « otages »…
Une « monture », en photo, c’est ce qui permet de changer les objectifs sur un boîtier.
Chaque marque a la sienne, histoire de rendre les clients bien captifs.
Certes, il existe bien des bagues d’adaptation, mais on y laisse souvent des fonctions/performances au passage.
La monture A — « A-Mount » en anglais — a été créée par Minolta, en 1985.
En 2003, Konica fusionne avec Minolta, et l’on parle aussi de monture « Konica Minolta ».
En 2006, Sony, un « électronicien », rachète un « opticien »… Konica Minolta !
La « Monture A » passe donc chez Sony qui développe toute une gamme sous sa marque.
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Trahison #2 : ViewRanger vs Outdooractive

Mes lecteurs assidus le savent, je randonne.
Il fut même un temps où j’organisais des randonnées « publiques ».
Autant je peux partir à l’intuition, le nez au vent.
Autant une randonnée « sérieuse » se prépare.
Et pour cela, j’ai un outil magique : une tablette avec puce GPS, et une appli ad hoc.
Je peux faire une « reconnaissance », et enregistrer mon tracé pour en faire ensuite un circuit/une route.
Je peux aussi préparer une « route » en « Off », sur cartes numériques, ou en récupérer une « publique » au format GPX. Sur le terrain, il n’y a plus qu’à suivre ce que m’indique ma tablette (bien sûr, il y a des aléas)…
Le couple tablette/appli, c’est aussi un outil de sérénité et de sécurité…
Besoin de faire un « point » ? L’outil magique est là, et ma position est visualisée précisément sur une carte IGN au 1/25 000e !
Randonnée terminée ? J’obtiens un bilan : distance parcourue, vitesse moyenne, dénivelé cumulé, etc.
L’appli que j’utilise ? ViewRanger !
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Trahison #1 : Logitech casse l’Harmony

Harmony, c’est c’était une gamme de télécommandes « universelles » de la marque suisse Logitech.
Un concept un peu particulier pour celles avec un « hub » (Harmony Hub).
Un petit boîtier qui fait l’interface entre les différents appareils à piloter.
Un système né en 2013, avec une base de 270 000 appareils reconnus à ce jour.
Une gestion possible avec une télécommande physique (système radio, même pas besoin de viser en infrarouge), ou bien avec une application, sur smartphone ou tablette.
La possibilité de travailler avec des « actions » ou des « scénarios ».
Une seule commande peut tout déclencher/arrêter/paramétrer, y compris sur plusieurs appareils, et dans le bon ordre (paramétrable).
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Love, Death and Robots : une série épatante !

Le week-end dernier, météo pourrie, alors je me suis fait une séance « ciné ».
Enfin, « ciné » car je fais salle noire et que je m’installe confortablement devant mon écran 4K avec le son qui va bien.
J’en avais entendu parler dans une « critique », alors je me suis décidé.
Des courts-métrages d’animation « pour adultes » (tous estampillés « 18+ ») mélangeant différents styles (du dessin animé à l’image de synthèse) et genres (science-fiction, fantastique, horreur, comédie).
Deux saisons : la première de dix-huit épisodes, et la seconde de huit épisodes.
Chacun dure entre sept et dix-huit minutes.
C’est sur Netflix, il faut être abonné, même pour un seul mois, pour au moins regarder ça.
Je « débarque » un peu, car la diffusion a débuté en 2019.
Et il n’y a pas de « cohérence » — en dehors du thème/titre —, vous pouvez regarder dans le désordre.
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