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Deux photos ridicules de votre blogueur préféré

Eh oui, j’ai encore changé la photo de ma trombine sur le blog (“De l’auteur” et dans “À propos”) !
Je sais que certaines personnes s’en sont rendu compte.
Prise le 10 février 2021, pour fêter des résultats d’analyses biologiques/médicales qui venaient de tomber, et publiée le 12.
Non pas que je sois égocentré — quoique, il faut bien l’être un peu pour bloguer —, mais une certaine façon — confidence — de visualiser mon état et de l’afficher à mes ennemis qui préféreraient me voir totalement décati, ce qui serait normal compte tenu de mon IRT.
J’ai cependant hésité pour choisir la bonne. Il y en a même une qui a été publiée de manière assez furtive, avec un café à la main (une de ce style avait déjà illustré le blog deux mois et demi), mais je me suis ravisé.
Et il y en a deux autres qui me tentaient bien.
Mais la censure — c’est tendance — est passée par là, ou plutôt l’autocensure.
En ces temps troubles, il vaut mieux arborer un masque plutôt qu’un couteau entre les dents ou une spatule de cuisine à la main.
Des photos qui auraient pu me valoir une descente du GIGN pour intentions terroristes — surtout avec la spatule —, ou une véritable visite chez le Dr Maboule, psychiatre de son état.
Je ne résiste quand même pas à les publier, mais dans une simple Brève, ce qui limitera le ridicule qui tue malheureusement/heureusement (choisissez en fonction de votre estime de vous) encore moins que le Covid-19 :

PF/Grinçant, un couteau entre les dents (10/02/2021)

PF/Grinçant, une spatule de cuisine à la main (10/02/2021)© PF/Grinçant.com (2021)

2 commentaires sur “Deux photos ridicules de votre blogueur préféré”

  1. Avatar photo

    J’ai saisi pourquoi le port des masques est obligatoire pour le peuple… C’est pour dissimuler un couteau entre les dents derrière le masque afin de s’entretuer lors d’une échauffourée… Trèfle de plaisanterie comme dirait un lapin dans un carré de luzerne, avec ces ustensiles de cuisine, le couteau et l’écumoire à fente ou spatule, vous avez l’allure d’un critique gastronomique qui va en découdre avec la malbouffe, tel un Jean-Pierre Coffe…

    « Si la critique est juste et pleine d’égards, vous lui devez des remerciements et de la déférence; si elle est juste sans égards, de la déférence sans remerciements; si elle est outrageante et injuste, le silence et l’oubli. »
    d’Alembert (Jean Le Rond d’), 1717-1783, Apologie de l’étude.

    1. Avatar photo

      À vrai dire, si j’ai bien envie d’en « découdre », ça n’est pas avec la cuisine/malbouffe.
      Des claques avec la spatule, et le couteau pour faire des sushis, du hachis, du tartare ou du carpaccio, mais je ne dis pas avec quoi/qui pour éviter au GIGN une intervention inutile.

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