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Psychologie

Psychologie

Comme une vie sans pépins ni piquant

Ou comme un cerveau sans neurones actifs/efficients, de plus en plus la norme.
Ou comme un oiseau sans plumes.
Ou comme un chat qui ne ronronne pas.
Ou comme un homme sans couilles, là encore de plus en plus la norme.

On trafique tout, on dénature tout.
On crée de nouvelles « normes », dramatiques.
Les OGM, les additifs/vaccins, les humeurs, les différences…
Tout doit tendre vers le factice, le « transparent », le trucage, l’inutile.

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Faisait moche

Petit hélicoptère par temps mocheAvant-hier, Odile a contribué pour la première fois ici, sur le billet « Matin enchanteur ».

Commentaire bien particulier, surtout sur un blog nommé « Grinçant » :

« Ce qui est merveilleux, c’est d’être assez simple et pur pour ressentir la profondeur d’instants incrustés dans la banalité, d’être assez naïf pour en témoigner publiquement au risque de passer pour un pauvre con ravi, et de trouver les mots simplissimes, mais plus puissants que la poésie littéraire, la poésie de la vie.
Très touchant celui qui aime le héron, un homme au cœur pur. »

Figurez-vous que cette naïveté-là, je prends, et plutôt deux fois qu’une. Et j’assume !

Alors, en écho, aujourd’hui, je ne vais pas écrire, je ne vais pas trouver de mots, simplissimes ou sophistiqués.

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Faire la différence

Encore une petite phrase toute bête, toute simple, qui m’a interpellé.
Du genre à vous ramener à l’essentiel, VOUS/MOI, et à mettre le doigt là où ça fait mal.
Une phrase plus que jamais détournée à notre époque, dans/par notre société.
Suivisme, assistanat, perte d’identité, doute : les individus ne savent bien souvent plus qui ils sont ni où ils sont.
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La complainte de l’inconnue du quai SNCF

Je vous préviens, toxines à haute dose.

Mais, si vous êtes bien dans votre tête, lisez ça en mode “rap”, cela devrait vous amuser, voire vous ébahir.
Si vous êtes mal, cela devrait vous montrer à quel point il faut en sortir, surtout si vous en êtes à ce stade avancé, au point de polluer même des inconnu(e)s.
Et, si vous êtes suicidaire, merci de ne pas lire ce qui suit.

Hier, vendredi, à l’heure où certains couples se refont le temps d’un week-end…
Je trouve deux messages sur mon répondeur Orange.
D’un numéro de portable inconnu, d’une voix féminine plutôt jeune, mais geignarde.

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Du boulet en randonnée

Nous n’étions que deux, dans l’attente du troisième.
Pour une randonnée réputée un peu difficile, 16 km, une boucle autour d’un lac, mais avec un parcours agrémenté de montées/descentes plutôt corsées.
Les prévisionnistes météo annonçaient 28, maximum 29°C.
Normalement, je n’attends pas – le fameux « quart d’heure charentais » –, mais là, si, j’ai attendu pour le covoiturage. Une seule voiture, c’est mieux pour préserver la planète.
Le téléphone sonne au bout de douze minutes « Mais vous êtes où ? »… Pas loin, vraiment… « Ah ben oui, c’est là où je viens jouer à la pétanque… »
Trop tard, le boulet est embarqué.

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Automédication randonnées

Traitements naturelsComme une mauvaise grippe.
Normalement, je devrais rester au lit.
À cuver antibiotique et anti-inflammatoire.

Mais j’ai aussi ma thérapeutique.
Profiter de la vie, d’offrandes de la nature.
Quitte à se forcer, se motiver, se violenter.

Dimanche, 15 bornes, et ça n’a pas été facile.
J’avais des accompagnatrices, il fallait assurer.
Lundi, 10 bornes, solo, libre, pour parfaire le traitement.

Des choses qui font du bien…
Qui valent tous les médicaments…
Et c’est tout simple, croyez-moi !

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Reportage spécial : Le bolide de la Sarthe

Poste de pilotageAlors que je dégustais un petit sablé.
Adossé à ma voiture tranquillement garée.
Sur ce parking en terre battue de la Sarthe.
J’attendais la douce Penelope.
Pour une grinçante interview.

Et subitement, dans un rugissement d’enfer…
Surgit un bolide sensuel et exubérant.
Un monstre mécanique tonitruant.
Mais avec une gueule d’ange.
C’était le carrosse de Penelope.

Ici nous sommes près du Mans.
Avec son fameux circuit et ses célèbres 24 Heures.
C’est une voiture de collection.
Prêtée par son mari, amateur de grosses cylindrées.
Le joli cœur de Penelope en palpitait.

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Le coq sanguinaire

L’avantage de marcher/randonner, c’est que l’on fait des rencontres parfois curieuses, voire d’actualité.
Au détour d’un chemin, des volailles en libre circulation, pas à la X. Beulin.
Très vite, elles détalent.

Mais un coq se trouve isolé, à errer dans l’herbe, à proximité d’un mur.
Il a l’air bizarre, voire un peu louche, et il me regarde en coin.
Est-ce sa couleur naturelle ou ses plumes sont-elles éclaboussées ?
Et sa tête, a-t-elle aussi été arrosée, ou bien s’est-elle plongée au milieu de viscères lors d’un drôle de festin ?

Cela a pourtant bien l’air sanguin, voire sanguinaire.

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L’angoisse de la carotte moisie

Carotte des sables qui germeElles étaient quatre.
Dans ce petit pochon.
Éventré pour les aérer.
Mais ça n’a pas suffi.

Quatre carottes « des sables ».
Des petites, tout juste majeures.
Mais solidaires, là, dans le noir.
À patienter, pour un triste sort.

Sans doute lavées, puis épluchées à vif.
Pour être cruellement râpées.
Ou bien ébouillantées, blanchies.
Un comble pour ce bel orange.

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Le joyeux Noël de Titine, reine d’un soir

Fin 2016, Titine, c’est son affectueux diminutif, crie sur tous les toits qu’elle a touché une grosse somme d’argent, qu’elle va changer, et qu’elle va faire le bien autour d’elle.

Pour le réveillon de Noël elle a voulu acheter toutes les victuailles : cette année, c’est la reine qui régale !

Elle a invité neuf personnes dans l’appartement de l’une de ses copines qui vient de décéder d’un AVC, mais dont elle a les clefs. Elle lui aurait dit, bien avant le tragique événement : « Titine, tu peux faire ce que tu veux chez moi, même si je suis absente »

Le réveillon de Noël touche à sa fin un peu sur la faim, car c’était finalement frugal, et l’alcool était un peu frelaté, tout comme l’ambiance d’ailleurs.

Puis arrive le moment normalement heureux des cadeaux.

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