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Nature

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“Mayday”, les aventures d’un drone : pelleteuse et cockpit en rade

Drone : Vol à vue impératif !Période dronesque pour moi !
Et quand je suis accroché à une idée, je n’en démords pas.
Samedi, j’avais fait mon premier (vrai) vol en forêt, à une croisée des chemins.
Hier, mardi, j’ai décidé d’y retourner, avec deux idées en tête.
La première était de le faire grimper au maximum légal en France, soit 120 mètres.
Et la seconde était de prendre une meilleure photo d’un étang à proximité.
120 mètres d’altitude pour un drone censé pouvoir monter jusqu’à 4 000 mètres, c’est frustrant.
Mais bon, de toutes les manières, on doit le « garder à vue », et ce petit engin de moins de 250 grammes devient vite invisible.
Me voilà donc reparti pour faire mes 4 kilomètres à pied pour rejoindre mon « spot ».
La chaleur est presque écrasante, comme si mon sac à dos ne suffisait pas à me tasser.
Une fois arrivé, j’installe ma petite piste de décollage/d’atterrissage de 50 centimètres de côté en plein milieu de cette « croisée ».
Et je me mets à l’ombre d’un arbre pour piloter un peu à l’abri de la chaleur.
Et c’est parti, décollage pour les cieux, ou presque !

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Inauguration – Premier vrai vol avec mon drone

PF, maintenant télépilote de dronePour mon anniversaire (31 mai), je me suis offert un drone.
Un tout petit, un DJI Mini 2.
249 grammes affichés sur la carlingue.
En réalité, 238 sur la balance, batterie, carte microSD et étiquettes d’identification comprises.
Je pèse 355 fois plus, rien de moins — imaginez la taille du truc si je devais voler (en altitude) —, et sans parler de mon nouveau sac à dos.
Un petit engin qui vole à presque 60 km/h.
J’ai tout fait dans les règles, pris toutes les précautions.
Enregistrement sur AlphaTango et obtention d’un numéro en tant qu’exploitant d’UAS (aéronef sans pilote).
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Un chêne en cours de viabilisation

Vous connaissez certainement « mon chêne ».
Découvert/adopté le 11 septembre 2016, lors d’une randonnée « solo » de 20,8 km.
Le coup de foudre, mais seulement de loin.
Ça n’est que plus tard que j’ai osé le photographier.
Et seulement l’année suivante que je m’en suis approché, ne serait-ce que pour le toucher.
Ensuite, je l’ai souvent montré à des gens que j’emmenais en randonnée.
En général, personne n’était indifférent en le voyant, même de loin.
Tranquille, dans ce qui est une prairie.
À proximité d’une rivière qui a ses caprices et qui a dû à maintes reprises le faire émerger des eaux.
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Je change de marécage !

Nous grenouillons plus que jamais dans un marécage bien putride.
Marécage politique, marécage sociétal.
C’est bien glauque, bien puant, fétide et moche.
Avec des risques bien plus grands que la dengue, car il y a carrément des dingues.
Des risques bien plus grands que les virus, car il y a des « vaccins » encore plus dangereux.
Des monstres bien plus dangereux que des zombies, car il y a des Macron, des Castex, des Véran.
Et question « zombies », il y a des moutons, plein de moutons, à tondre et à sacrifier.
Dans tout ça, je recherche un peu de beauté, d’humanité, du bon sens et de l’intelligence, mais c’est en vain.

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C’est vraiment le printemps, la preuve en photos !

PF/Grinçant en haut de la Pierre aux Fées1er mai 2021, jour de la « fête du Travail »…
C’est pour moi le moment de « bosser » !
Alors que je me rends compte que je suis moins prolixe sur ce blog.
L’occasion de vous refaire un billet « photos ».
En fait, un billet de printemps !
Il fut un temps où je parcourais — à pied — jusqu’à 90 km par semaine.
Mais ça, c’était « avant ».
Avant mes problèmes de santé et mon hospitalisation d’octobre/novembre 2018.
Depuis, c’est une bagarre de presque tous les instants, pour grappiller…
Grappiller un peu de tout : des bons moments, du lâcher-prise, de l’espérance de vie.
Et de remporter quelques « challenges personnels ».
Et, depuis ce 20 mars 2021 — jour du printemps —, je me rends compte que j’en ai remporté au moins trois.
Importants pour moi, très symboliques.
Bon, OK, en 8 randonnées et en 32 jours, je n’ai fait « que » 92 km.
Mais ça n’est finalement pas si mal, d’autant que le terrain n’était pas toujours facile.
Allez, je vous emmène avec moi en 66 photographies…

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Quelques photos du jour — 14 avril 2021

De quoi puis-je vous parler ?
Du Covid-19 ? Du confinement ? Du couvre-feu ? Des « vaccins » ?
Que puis-je vous montrer ?
Des masques ? Des bâtonnets pour RT-PCR ? Des flacons ? Des seringues ?
La tête à Macron ? La tête à Castex ? La tête à Véran ? La tête à Bachelot ?
Autant demander à un proctologue des photos prises à l’occasion de ses auscultations.
Si la France était un fion, ce serait un gros plan sur ses hémorroïdes.
Non, je préfère vous livrer du « léger », et même de l’interdit en ce mercredi 14 avril 2021.
Pour moi, comme d’hab, pas de masque, et bien sûr à plus de dix kilomètres de mon domicile.
Je ne dis rien, même pas de légendes, seulement quelques photos.
Quelque chose que vous ne devriez même pas voir, car normalement vous ne savez plus que ça existe…

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Mes premières photos en pose longue avec filtre ND (rivière)

Filtre ND1000En septembre 2020, je vous ai bassiné avec ce billet : Filtres photo ND et prise de tête
En expliquant qu’un problème a priori simple pouvait être compliqué.
Les commentaires — au nombre de zéro — m’ont été très utiles pour trancher.
Mais ça n’est pas pour autant que j’ai abandonné l’idée.
J’ai finalement pris des décisions, tant techniques que financières.
Et malgré la complexité du moment et les nombreuses ruptures de stocks.
J’ai enfin reçu mes fameux filtres moyennant une jolie petite dépense.
Ensuite, il m’a fallu trouver un étui, ce qui n’a pas non plus été simple.
Mais ça y est, j’ai mon kit !
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Le calvaire de la guêpe

C’était dans la nuit de lundi à mardi.
Un bruit bizarre, qui s’arrêtait et reprenait.
Qui variait de style et d’intensité.
Je n’arrivais vraiment pas à identifier ce que cela pouvait être.
Il faut dire que dans ces immeubles, les bruits peuvent venir de loin, par le béton ou la VMC.
J’ai pensé à un appareil qui peinait, qui se grippait.
À plusieurs reprises je me suis levé pour aller prendre de l’eau fraiche dans le réfrigérateur.
Le mardi matin, après un moment de silence, le bruit a repris, puis il s’est à nouveau arrêté.
À cet instant, je me suis dit : « Et si c’était chez moi ? »
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Un bien curieux mécanicien

Je m’impatientais presque sur ce parking perdu au milieu de nulle part.
Nous n’étions que deux voitures, l’autre étant garée tout au bout.
La troisième, je l’attendais, mais la personne était en perdition.
Les coordonnées GPS que j’avais fournies n’étant d’aucune aide si on ne sait les rentrer.
Alors, pour passer le temps, j’observais, au loin.
Et sous cette voiture sagement garée à l’écart, j’ai repéré une chose bizarre, immobile.
Serait-ce une pierre ou une pièce tombée du véhicule ?

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La gadoue et la cochonne

Les pieds dans la gadoueMa dernière randonnée datait du 15 janvier.
13,3 km autour d’un lac qui m’a semblé gigantesque tant il est biscornu.
Celle-là, cela faisait des mois que je me disais : « Je ne suis pas assez en forme pour la faire… »
Et, effectivement, oh ! Qu’elle a été pénible !
260 mètres de dénivelé, normalement ce n’est rien, sauf quand on est affaibli et rouillé.
Mais l’effort a été récompensé.
Deux nouvelles photos trônent sur mes murs.
Un coucher de soleil, et une vue du lac avec des frayères à poissons.
Un bout de nature en plus à mon domicile.
Des photos de 2021 pour bien démarrer 2021.
Et un rappel sur la souffrance qui peut aussi être source de bonheur.

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