Lâcher-prise
25 décembre 2014, c’est Noël.
Le petit Jésus est encore né !
Jour de fête.
Il faut tout oublier.
Après s’être pris une belle bûche.
Il faut se désintoxiquer.
S’aérer, respirer.
Marcher et admirer.
Lire la suite »Canal d’Ille-et-Rance, morceau d’hiver (photos)
Besoin de se vider la tête ?
Besoin de prendre l’air ?
Besoin d’évacuer ?
Vous êtes sur le bon canal !
Fin septembre, je vous avais fait un billet photographique.
« Jeu de carrés sur un canal historique »
Plutôt bien accueilli comme format !
Comme si cela correspondait à des attentes.
Lire la suite »Canal d’Ille-et-Rance, morceau d’automne (photos)
Ah, le travail !
Indispensable pour se tuer à la tâche.
Pour être « socialisé ».
Pour se croire utile.
Tout le monde ne peut mourir en héros.
Carbonisé en Falcon 50, à Moscou.
En percutant un engin de déneigement.
Au milieu de vapeurs d’alcool et de kérosène.
Tout le monde ne peut pas être dans une tour.
À la Défense, pour mieux « attaquer ».
Dans un quartier dit d’Affaires.
Où elles sont, il est vrai, si nombreuses.
Lire la suite »Balade de santé dans un parc d’activités (photos)
Des fois, je les hais, je les déteste.
Les vieux, les vieilles.
C’est triste à dire, c’est dur à dire.
Des fois, ils semblent le mériter.
Peut-être même qu’ils le méritent vraiment.
Corps rabougris, regards aigris.
Certes, la vie est faite de hauts et de bas.
D’exploits et de trahisons.
D’amours et de haines.
Mais il y en a qui semblent insupportables.
Comme s’ils n’étaient plus que de mauvaises cellules.
Part des anges envolée, si elle a existé.
Après toutes ces émotions.
Le terrorisme et tout ça.
Les discours de Hollande.
Le retour de Sarkozy.
Il faut tout faire pour s’oxygéner.
Ne pas se laisser piéger.
Continuer à vivre, se changer les idées.
Chercher le bonheur, s’émerveiller.
Lire la suite »Jeu de carrés sur un canal historique (photos)
Pierre-feuille-ciseaux.
Vous connaissez ?
Ça nous vient de Chine, fin de la période Ming.
En passant par le Japon, pour que le tissu devienne feuille.
On y joue encore.
Même pas besoin d’accessoires.
Les mains et les doigts suffisent.
Mais il y a plein de variantes.
Pour se détendre un peu.
Dans ce monde de brutes épaisses.
D’abrutis notoires, d’opportunistes destructeurs.
Un vrai jeu permet des remises en place, à défaut de remises en cause.
Samedi 2 août, le jour le plus chargé de l’année 2014.
Grand chassé-croisé sur les routes.
Bison Futé l’avait classé noir.
Du carburant consommé au ralenti.
Du carburant consommé à l’arrêt.
Gabegie et pollution.
Bref, une consommation au kilomètre très élevée.
Des réservoirs qui se vident sans avancer.
Des ravitaillements qui font mal aux portefeuilles.
Lire la suite »Prix coûtant sur les carburants et totems farceurs
Anniversaire de ce blog.
Voilà deux ans que naissait le premier billet nouvelle génération.
Du Grinçant, qui parle de tout et de rien.
Toujours avec les mêmes intentions, le même ton.
L’À propos évoque un parallèle avec des billets de 1992/1993.
Est-ce mieux, est-ce pire ?
Le constat est désolant, c’est pire, bien pire !
Jamais la nullité ambiante n’a atteint un tel niveau, généralisé.
Enfin, c’est mon avis du haut de mes cinq décennies, et même d’un peu plus.
Je viens même de fêter un nouvel anniversaire.
Et, à chaque fois, j’espère en trinquant que la prochaine année sera meilleure.
Cette fois-ci, je me suis abstenu pour calmer les démons.
Lire la suite »Deux anniversaires, des bancs, des fraises, une érection d’arbre
Dernier billet publié le 27 avril 2014 à 12:07.
Depuis, plus rien, nada.
Aujourd’hui, à la même heure, ça fait 12 jours.
288 heures, 17 280 minutes.
Du temps à lâcher-prise.
Du temps à ne pas se poser de questions.
En fait, un autre moment de questionnement, mais vide.
Un regard hagard sur l’info qui défile, débile.
Toujours aussi peu inspirante.
De plus en plus nulle.
Le nivellement par le bas.
Et de cette nullité naît la stérilité.
Curieuse journée que ce 30 mars.
Une heure de moins.
C’est le passage à l’heure d’été.
Tournée des horloges et des montres.
Mais aussi des appareils électroniques de toutes sortes.
Il y en a tant que cela fait perdre du temps.
Oh malheur ! Surtout ne pas allumer la télé !
Faute de voir ces courtisans de circonstance.
Au deuxième tour des élections municipales.
Ils squattent les bureaux de vote.
Pour se faire photographier, filmer.
En train de voter pour eux-mêmes.