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Humour

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Un chat-fantôme ?

Sur le banc du chat, parlons “politique”

Me revoilà dans ce parc où j’avais rencontré Natacha.
Sur ce même banc, sous ce même hêtre.
Et, à peine posé, la patte du chat m’effleure l’avant-bras.
— Dis, c’est bien toi qui tiens le blog Grinçant.com ?
— Oui, c’est bien moi !
— J’ai remarqué que tu ne parlais plus de politique…
— Effectivement, ça me soûle et je sature !
— Mais là, sur ce banc, tu pourrais me confier ce que tu en penses ?
— J’imagine que c’est encore un jeu ?
— Oui, tes phrases doivent toutes se terminer phonétiquement en « ique », comme « politique »…
— Bon, OK, si ça t’amuse, mais tu vas être servi, je te préviens !
— Je t’écoute…
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Un chat-fantôme ?

Sur le banc du chat

J’étais assis sur un banc.
À l’ombre d’un frêne.
Dans ce parc désert.
Moi qui cherchais un peu de compagnie.
Quelqu’un avec qui discuter.
De tout et de rien ou pour refaire un peu le monde.

C’est alors que je sentis comme une présence.
À côté de moi, il y avait un chat.
Il posa une patte sur mon bras et me parla.
— Dis, tu veux jouer avec moi ?
— Ça dépend, c’est quoi le jeu ?
— Il faut que tu me dises des phrases qui se terminent par « chat »…

« Qu’est-ce qu’il en a pris un coup, mon pouvoir d’achat !
Les politiques ne méritent que des crachats.
C’est de la quincaille de téléachat !
Ta photo est sur Snapchat. »

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L’enfer de la machine à café à grain

Je parle de celles « expresso » avec broyeur intégré.
Dans le genre « je deviens esclave du matériel », c’est presque le top !
Bon, c’est vrai, c’est très agréable au quotidien, mais quel boulot !
Ça me fait penser à un chat, il faut l’alimenter, le soigner, et changer la litière.
J’ai choisi une Philips, comme ça, au feeling, et aussi pour sa simplicité.
Et d’ailleurs, ce mois-ci, elle sort première d’un comparatif « 60 millions ».
Avec une belle note de 16,1 sur 20 !
Mais, voilà tout ce qu’il faut faire…

Se procurer du (bon) café en grains

Ça, c’est presque la partie la plus agréable.
Je suis un habitué d’une brûlerie locale.
Et qu’est-ce que l’odeur est sympa !
C’est un budget, mais c’est plus économique que les dosettes/capsules.

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2 vases et un Poulpican

La chance va tourner, j’ai mon Poulpican !

De retour de la poterie de Nesmy (Vendée, 85) avec trois objets.
Deux petits vases, et un… Poulpican (ou Poulpikan) !
Un petit « génie » malicieux et bienveillant, un porte bonheur.
Un être de légende, un farfadet, un korrigan, un follet, un elfe…
Il faut faire un vœu, allumer une bougie et la placer à l’intérieur…
Et quand elle s’éteint, le vœu est exaucé !
Bon, je pense qu’il s’agit, là aussi, d’une légende.
Mais bon, je viens de commander des bougies électroniques.
Récemment, une amie a allumé un cierge pour moi.
Je vais voir si c’est aussi efficace.

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L’Extra Crisp pour Cookeo, ou le test de QI ultime par Moulinex

Un accessoire que je reluquais depuis un certain temps pour mon multicuiseur Cookeo…
L’Extra Crisp de Moulinex, un « couvercle » magique censé permettre de faire — notamment — des frites avec très peu d’huile.
Il n’existe qu’en noir, dommage pour mon Cookeo+… blanc !:-/
J’ai profité d’une remise de 30 % sur le site de Moulinex.
Voilà l’engin devant moi, dans son carton…
« FACILE À UTILISER : posez, programmez, savourez ! », c’est écrit sur le côté.
« Ecran digital intuitif », c’est écrit sur le dessus.

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Visite au château fort de Gilles de Rais

Allez, après une petite balade en forêt, je vous emmène au château fort.
Je ne vous dirai pas duquel il s’agit, à vous de deviner.
Simplement quelques indices…
Fief de plusieurs seigneurs, et d’un aussi devenu grand saigneur.
Ici, c’était le siège social du sinistre Gilles de Rais.
Qui devait cuisiner ses victimes avec des ustensiles qui n’accrochent pas.
Les habitants de la commune ont en effet « Teiphaliens » comme gentilé.
Le château a été érigé au XIIe siècle et a connu bien des tourments.
Je m’arrête là, car vous devriez avoir trouvé.

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Juin-Juillet 2022 en sept balises

Décidément, je fais dans la discrétion.
Depuis le 15 juin, mon pommeau de levier de vitesse chauffe toujours autant.
J’ai bien vécu quelques aventures, mais je n’ai même pas envie de les conter.
Idem pour la photographie, mes capteurs et mes obturateurs sont en pause.
Quelques photos quand même à mon inoffensif tableau de chasse, mais rien de remarquable.
Alors je vais rester dans l’ordinaire et broder autour de sept d’entre-elles.Lire la suite »Juin-Juillet 2022 en sept balises

Une astuce pour rendre mes kiwis mangeables ?

Mangez des kiwis, vous n’aurez jamais mal aux glaouis.
Mangez des kiwis, vous verrez, c’est inouï.
Mangez des kiwis après le méchoui.
Mangez des kiwis, fini le cambouis.
Mangez des kiwis pour être plus épanouis.
Mangez des kiwis pour avoir une mine réjouie.
Mangez des kiwis pour retrouver l’ouïe.
Mangez du kiwi, à l’intérieur c’est joli.
Pour manger du kiwi, pas besoin d’aller au Malawi.

Des kiwis, j’en ai encore sept, dans un bol en inox.

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Par monts et par veaux

Oui, je sais, il semblerait qu’il y ait une faute dans le titre.
En fait, il est partiellement mensonger, voire un peu putaclic.
Là où je suis allé, il n’y avait pas de monts.
En revanche, j’étais bien par vaux, le pluriel de val.
Et, mieux, j’ai bien vu des veaux.
Alors que les humains sombrent de plus en plus dans la noirceur et la bêtise.
Oubliés les masques-muselières, les « élections » et les missiles possiblement « nucléaires ».
Ici, c’est l’insouciance et le carpe diem.
Aucune prise de tête, même si l’on rumine, de l’herbe plutôt que des idées noires.
Pas d’infox, nous sommes plus dans la détox.
Une vache et au moins dix veaux, dans une scène harmonieuse, ça vous dit ?
Pas la même ambiance qu’une crèche ou une garderie.
Le tableau inspire la sérénité, même si tout cela risque de finir — aussi — en boucherie.

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Pénurie et alarme dans le caleçon

Mi-novembre, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je ressors un caleçon de la machine à laver avec une grande déchirure sur le devant.
Le genre de découpe bien travaillée, comme faite au cutter.
Est-ce l’œuvre de l’une de mes merveilleuses pinces à chaussettes pour conserver les paires en paires ?
Toujours est-il que je suis atteint psychologiquement par cet événement, et que je me mets en quête d’un remplaçant.
C’est du Leclerc, marque Tissaia, et c’est vendu par lot de deux à 9,95 €.
Le coton est soi-disant « bio », et le style me convient, car c’est « cool » et confortable, notamment pour dormir.
Je déteste les trucs moulants/collants pour les hommes-ersatz qui se rasent, voire s’épilent de partout.
Je fonce à l’hyper Leclerc n° 1, il y en a, mais seulement en tailles 2, 5 et 6 alors qu’il me faut du 4.
Je décide de suivre le dossier avec attention, et de passer par les caleçons à chaque visite dans le magasin.
Mais je vois le « stock » en rayon s’épuiser rapidement, jusqu’à atteindre seulement trois lots, et plus qu’en taille 6, genre pour catcheur.
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