Deux petites boîtes d’origine espagnole, de 125 grammes chacune, contenant normalement de bons fruits que j’ai connus sauvages dans mon enfance.
Là, c’est simple, ça n’a aucun intérêt, aucun goût, et probablement pas de macronutriments et micronutriments utiles ou même inutiles.
Voici les « fruits » dont il s’agit…
Après le discours — à gerber — de Donald Trump de jeudi dernier, au cours duquel il annonçait que les États-Unis se retireraient des Accords de Paris sur le climat — pour lesquels je n’ai pourtant aucune sympathie tellement c’est de la marchandisation du droit de polluer —, je suis tombé en arrêt devant ce qui me semble symbolique de son état d’esprit à la « America first ».
Dans une province bien française, sur un parking bien public, j’ai pu photographier (son propriétaire devait être fier s’il m’observait) ce gros bouzin à défriser toute personne un peu soucieuse de la planète, du bien commun et de l’avenir de nos enfants.
Elles étaient là, les tomates, appétissantes pour une fois.
Étiquetées « Tomates noires ».
Je les ai tâtées, elles étaient mûres à point.
Je les ai senties, elles étaient odorantes, parfumées.
Je me suis laissé tenter, pour essayer.
Et quelle surprise ! Un vrai régal !
En plus, elles se conservent très bien, même pas au frigo.
Je viens de trouver un article pour donner une seconde vie à un vieil ordinateur.
C’est en ligne, sur Internet.
Aussitôt repéré, aussitôt commandé.
Il est affiché comme « En stock », une aubaine !
En plus, la livraison est offerte, tant mieux.
Lire la suite »Pas de livraison pour l’Ascension avec GLS
Aujourd’hui, je prends une année de plus.
Pour être précis, j’entre dans ma cinquante-cinquième année.
Les « cadeaux d’anniversaire » sont de plus en plus fréquents de la part des sites marchands qui tirent sur toutes les ficelles, dont la sympathie et l’empathie.
Je pense en recevoir beaucoup aujourd’hui, mais le premier mail du jour, reçu à 6h45, m’a défrisé avant même de passer au shampoing et au sèche-cheveux :
Bon, l’ordonnance de référé tant attendue vient de tomber, je l’ai obtenue par fax.
Il en ressort que si la “diffamation” a été écartée, le “dénigrement” (?) a lui bien été retenu à mon encontre, entraînant de facto d’autres décisions comme la suppression des contenus sous astreinte (1 000 € par jour) dès signification.
On dit souvent que l’on ne peut commenter une décision de justice, je vais donc m’abstenir, même si l’envie et les arguments ne me manquent évidemment pas.
Dans ce type de procédure — Référé heure à heure —, l’Appel n’est pas suspensif, même si l’ordonnance est tombée au bout de 56 jours.
En arrêt au rayon chaussettes, il devient de plus en plus compliqué de faire son choix entre :
Nous n’étions que deux, dans l’attente du troisième.
Pour une randonnée réputée un peu difficile, 16 km, une boucle autour d’un lac, mais avec un parcours agrémenté de montées/descentes plutôt corsées.
Les prévisionnistes météo annonçaient 28, maximum 29°C.
Normalement, je n’attends pas – le fameux « quart d’heure charentais » –, mais là, si, j’ai attendu pour le covoiturage. Une seule voiture, c’est mieux pour préserver la planète.
Le téléphone sonne au bout de douze minutes « Mais vous êtes où ? »… Pas loin, vraiment… « Ah ben oui, c’est là où je viens jouer à la pétanque… »
Trop tard, le boulet est embarqué.
Le mois de mai a toujours été important — c’est mon mois de naissance, et aussi celui de ma fête — pour ce qui me concerne, mais celui-ci particulièrement.
À titre national/international, voici ce que j’en retiens à cet instant :
Compte tenu de la tournure des événements et de la gueule du gouvernement Macron 1, je décide de retirer tout l’argent de mon compte bancaire, histoire de provoquer un « Bank Run » (panique bancaire) à moi tout seul.
Le premier distributeur venu fera l’affaire, c’est un vieux machin de marque NCR avec pour proxénète de dernier rang La Banque Postale.
J’insère ma carte et lui demande la totale, soit 150 euros.
Même pas le choix des billets, il m’en crache cinq d’un air dédaigneux.
Un peu surpris par la tournure des événements, car je pensais avoir un minimum le choix dans la composition du pactole, je les regarde interloqué.
Deux billets de 50 euros, mais différents. Deux billets de 20 euros, mais différents. Un billet de 10 euros esseulé qui ne prêtera pas le flanc au doute.
Lire la suite »Tronches de billets de banque, politiques et euros