Blanchiment ou recyclage de médicaments ?
L’affaire TEVA, avec un somnifère vendu à la place d’un diurétique, donne sacrément à réfléchir.
Du zopiclone 7,5 mg (le somnifère), dans la boîte du furosémide 40 mg (le diurétique), comment est-ce possible ?
Tout simple, pourvu que l’on se pose les bonnes questions.
Ce qui n’est visiblement pas le cas dans cette affaire.
Ils continuent à dépiauter les deux lots concernés (Y175 et Y176, environ 3 000 boîtes), mais rien à faire, il n’y a que des plaquettes de furosémide dans les boîtes de… Furosémide !