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Finance

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Parking d’une petite financière de province

En général, c’est discret, une « Financière ».
Mais là, en passant par hasard devant, ça interpelle un peu.
Apparemment il y a des bureaux, et du monde dans les bureaux.
Le genre d’endroit où l’on se demande ce que l’on peut bien y faire.
À part brasser de la thune façon prédation, façon « Système ».
Juste après, un gros portail, pour protéger une cour intérieure.
Là, ça fait un peu glauque, un peu « prison ».
Mais bon, ça n’est pas grave, ça n’est que le parking.
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Rejet bancaire d’ultra-pauvre

Pièce de 2 € en "négatif" pour LBP et FreeJe n’en suis pas revenu quand Sophie m’en a parlé.
Je connaissais pourtant le rejet d’un prélèvement Free à 19,99 € par La Banque Postale.
Mais là, ça dépasse tout.

Elle tire le diable par la queue, celle de devant, et celle de derrière.
Elle est désespérément au “chômedu”, même plus « indemnisée », sans réel espoir d’en sortir (cause occulte, l’âge).
Elle a un malheureux abonnement téléphonique à 2 euros chez Free, celui qui lui permet d’appeler deux heures au maximum par mois, et surtout d’être appelée.
Mais bon, le téléphone ne sonne pas vraiment, et surtout pas pour un job, même en CDD ultracourt.
Et le SMS est tombé du 1664 (comme la bière), le 19 octobre, sur son vieux smartphone de pauvre acheté sur Le Bon Coin.
Copie d’écran impossible, alors je l’ai photographié :

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Tronches de billets de banque, politiques et euros

Distributeur de billets (DAB)Compte tenu de la tournure des événements et de la gueule du gouvernement Macron 1, je décide de retirer tout l’argent de mon compte bancaire, histoire de provoquer un « Bank Run » (panique bancaire) à moi tout seul.
Le premier distributeur venu fera l’affaire, c’est un vieux machin de marque NCR avec pour proxénète de dernier rang La Banque Postale.
J’insère ma carte et lui demande la totale, soit 150 euros.
Même pas le choix des billets, il m’en crache cinq d’un air dédaigneux.
Un peu surpris par la tournure des événements, car je pensais avoir un minimum le choix dans la composition du pactole, je les regarde interloqué.

Deux billets de 50 euros, mais différents. Deux billets de 20 euros, mais différents. Un billet de 10 euros esseulé qui ne prêtera pas le flanc au doute.

150 € en cinq billets variés

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Rejet de prélèvement Free à La Banque Postale, racket et jackpot

Enseigne lumineuse LA BANQUE POSTALE« FRAIS IRREGULARITES ET INCIDENTS DU MOIS DE 12/2016 », c’est la mention sur mon relevé de compte courant en ligne à La Banque Postale.
Ça y est, l’écriture scélérate est passée au pointage de ce matin. Datée du 31/01/2017, passée dans la nuit, « en batch ».
C’est en fait un rejet de prélèvement de l’opérateur Free Mobile.

Petite histoire…

En décembre, je me suis livré à des opérations un peu compliquées en téléphonie (il faudrait que je vous explique), et j’ai zappé un truc, le prélèvement de Free à 19,99 €…
Comme ce compte fonctionne en « flux tendu », il manquait 15,81 € quand l’opération s’est présentée, entre Noël et le Jour de l’An…

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Gros merdier avec la Corée du Sud

Faillite d’Hanjin Shipping.
1er armateur sud-coréen.
4,79 milliards d’euros de dettes.
Lâché par les banques.
Plus de 140 navires à vau-l’eau.

STX Offshore & Shipbuildin en redressement judiciaire.
4ème plus grand constructeur naval mondial.
4,2 milliards d’euros de dettes.
Entreprise sud-coréenne lâchée par les banques.
STX Saint-Nazaire dans le lot.

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La Banque Postale et l’encaissement des chèques en 2016, à J+1 et des broutilles

Coin remise chèques avec horodateur en libre-serviceC’est l’histoire d’un gars qui a un compte à La Banque Postale.
À découvert, mais « dans les clous », même s’il faut le remettre à flot au moins tous les 30 jours.
Il a un chèque à encaisser. Oh, ce n’est pas bézef, mais il repassera au moins en positif. Et ça lui fera des agios en moins.
Mardi 9 février 2016, il s’en va donc guilleret à son bureau de poste (principal) préféré pour le remettre à l’encaissement.
Dans l’espace « Libre Service », là où il doit tout faire lui-même.

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Requins transgéniques, opérateurs et LBO

Antennes 4G en haut d'un pyloneUn « petit » bouffe un « gros »…
Numericable a « racheté » SFR fin 2014.
Uniquement une histoire de gros sous.
Vivendi voulait du « cash », coûte que coûte.

Derrière, il y a la « holding » de Patrick Drahi.
Altice, une société basée au Luxembourg.
Mais ce rachat s’est fait par « LBO » (13 milliards).
« Leveraged Buy-Out », achat à effet de levier…

En fait, par un endettement massif de « l’acheté ».
Grosse magouille purement financière.
Encore « coûte que coûte », c’est SFR qui paye.
Ou plutôt les clients, d’une façon ou d’une autre.

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On optimise les bâtiments et le foncier à la BPO

Vue panoramique d'un ancien site de la Banque Populaire de l'Ouest (BPO)Locaux d’une grande banque.
Ça a l’air désert alors qu’il y avait 250 personnes.
Plus que quelques voitures de service sur l’un des parkings.
Même les enseignes ont été enlevées, ou effacées.

C’était grand, mais jugé insuffisant.
Pour l’esthétique, ça se discute.
Là, c’est vide de chez vide.
Comme si une catastrophe était arrivée.

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La Finance et les banques doivent bien se marrer

Un banquier nommé ministre de l'Économie, c'est en France« Mon ennemi, c’est la Finance », avait-il déclaré !
« Il », c’est François Hollande, un soi-disant « socialiste ».
Il a abusé tout le monde, il s’est foutu de tout le monde.

Et là, ce spectacle de plus en plus pathétique.
Une déchéance à n’en plus finir.
Un jeu de chaises musicales minable.

Encore un balai de prétendants.
Une valse d’intrigants.
Des chantages honteux, pour un maroquin.

Une République qui n’en est définitivement plus une.
Une gabegie sans nom.
Un ridicule qui ne tue plus.

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