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Photos

Avec des photographies, toujours originales

Il y a le Covid au lac

Le lacMême le lac perd la boule !
Habitué de ce lieu, je l’ai retrouvé dans un drôle d’état.
Il faut dire qu’une sciatique m’en avait tenu à distance.
Mais, pour ces retrouvailles, drôle d’ambiance.
Comme si tout était déréglé, anormal, irréel.
Heureusement, même dans ses errances, la Nature reste belle.
Ce qui n’est pas le cas de l’homme, pitoyable à l’état de lopette.
Mais il faudrait presque se demander si cette folie n’impacte pas tout.
Je commence à me poser sérieusement la question…

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Au parc floral, à la recherche d’un lotus encore en fleur

Demain, anesthésie générale.
Morphée va m’accueillir dans ses bras.
J’espère qu’ils ne sont pas trop velus.
Au moins, je vais vous foutre la paix.
Dans ces conditions, impossible d’écrire un billet.
Ou de pondre le moindre commentaire.

J’ai de la chance, ce sera sans intubation.
En ce moment, on s’habitue à respirer en manquant d’oxygène.
C’est l’un des nombreux avantages du masque.
Pragmatique, j’ai envisagé le non-réveil.
Je voulais donc avoir de belles images dans la tête.
Aussi, j’ai fait une escapade dans un parc floral.

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On a les objectifs qu’on peut

Décidément, dimanche 30 août, acquisition d’un objectif photo, un zoom, via Le Bon Coin.
Et hier, 2 septembre, rebelote, encore un autre, mais ce coup-ci une focale « fixe ».
Un 50 mm, tout ce qu’il y a de classique, mais avec une grande ouverture, f1.4 pour les connaisseurs.
Comme on dit, avec ce type d’optique, obligation d’utiliser les pieds pour zoomer.

Et aujourd’hui, je me suis décidé à faire une petite virée « photo » dans le centre-ville.
Choix difficile… Lequel de mes deux nouveaux bébés allais-je monter sur mon boîtier ?
Eh bien figurez-vous que j’ai choisi le « standard » !
Finalement pas envie de zoomer sur des faces de rats masquées.

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Pauvre vache !

En zoomant sur elle, hier, j’ai eu froid dans le dos.
Mon Dieu, toutes ces mouches !
Ça me fait penser, pêle-mêle :

  • À nos palais de la République envahis par des opportunistes bâtons merdeux.
  • À ces opportunistes bâtons merdeux entourés d’autres parasites.
  • À mes boîtes mail assaillies par le spam.
  • À mon smartphone envahi par les SMS non sollicités et les appels indélicats.
  • …/…

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Mémoires d’hôpital, quand les choses les plus simples deviennent un vrai bonheur

Courant juillet, une semaine complète d’hôpital : Hospital for me ! / Sorti !
Entré un vendredi, et je n’avais rien mangé depuis le samedi.
Et devinez, privé de repas, et surtout en « restriction hydrique totale » !
Pas le droit de boire, que des perfusions.
Et pour m’alimenter, tintin.
Qu’est-ce que j’ai pu fantasmer sur la pastèque et la pizza abandonnées dans mon réfrigérateur !
Idem pour mon eau gazeuse bien fraiche, avec une pointe de sirop 0 %.
Et mon expresso italien, avec mon tiroir dédié aux dosettes !
J’aurais pu tricher, et me rendre la nuit à la fontaine à eau, dans le couloir, ou boire au robinet du lavabo.
Voire aller au supermarché voisin, avec mon caleçon, ma chasuble et mon porte-perfusions.
Mais non, je n’ai rien fait de tout cela, j’ai joué le jeu, d’autant que c’était pour mon bien.
Et puis sont arrivés quelques petits événements…
De quoi faire de grands bonheurs !

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Quand le tournesol regarde le Soleil, l’idiot regarde…

Canicule…
Atmosphère étouffante.
Masques obligatoires pour aller chercher de quoi se sustenter.
Finis les sourires, que des regards hagards de moutons zombifiés.
Et pourtant, la vie doit continuer.
Même si tout cela tape sur le système, le moral.

Pour ma part, je suis confronté au syndrome de la page blanche.
Ou plutôt de l’écran blanc, et en 4K ça fait un grand vide question pixels.
Un clavier qui m’appelle au secours : « Help, touche-moi STP ! »
Il est RGB, il me lance des signaux lumineux, des vagues, des arcs-en-ciel.
Mais quand l’esprit est à sec, il est à sec, comme les nappes phréatiques.

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Des étangs dans la forêt

Votre serviteur a passé une partie de son enfance au « Pays aux 3 254 étangs ».
Je parle de la Brenne, dans l’Indre (36).
C’est maintenant une réserve naturelle.
Mais le petit gosse passait plutôt son temps à pêcher le chevesne dans la rivière, à la « volante ».
Un peu comme la pêche de la truite à la mouche, mais en plus rustique.
Comme ce poisson est plutôt plein d’arêtes, j’avais pris l’habitude d’apporter mes prises à un vieux Monsieur.

Il habitait au centre du village, dans un petit rez-de-chaussée aux murs noircis.
Pour me remercier, il me servait de l’eau-de-vie de prunes « maison », de la dure, de la forte, de la vraie.
À huit ans, je buvais, en douce et modérément, des trucs réservés aux adultes.

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Le coup de la nacelle : Quand les pompiers s’envoient en l’air !

J’habite en hauteur.
Et quelle ne fut pas ma surprise, de bon matin, en ouvrant mon store principal, de tomber sur les… pompiers !
Venaient-ils me secourir ?
À priori, je n’avais rien demandé.
Ou alors venaient-ils récupérer un chat perché ?
En fait, ils s’entrainaient, avec un jouet dont rêveraient beaucoup de gamins, même en miniature.
Exit la « grande échelle » !
Maintenant c’est le « bras élévateur automatique articulé » — ou « Bras Élévateur Aérien » (BEA) —, avec une nacelle.

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La randonnée de tous les dangers

La vache !Mardi, j’avais prévenu dans un commentaire :
« Là, je pars risquer ma vie dans une randonnée d’une quinzaine de kilomètres où tout peut m’arriver. ;-)
Pas de masque, mais ma petite trousse EDC à la ceinture. »
Je croyais plaisanter, mais je l’ai presque risquée, ma vie.
Dans cet endroit, j’ai déjà fait jusqu’à 24 kilomètres en un après-midi, à pied bien sûr.
Mais c’était avant mes problèmes de santé.
En plus, le confinement m’a vraiment plombé physiquement.
Là, j’en ai fait seulement 14, et j’ai bien cru crever !
Une rando comme celle-là, je ne la souhaite à personne.
Jugez plutôt…

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Psychose covidienne, même dans le Lot ou en Corrèze

Le Covid-19 serait partout !
Le danger rôde.
Il est surtout dans les têtes.
Et je me demande ce qui est le plus petit, un coronavirus ou un neurone.
Mais des neurones azimutés, ça peut créer une sacrée épidémie.
Au fait, quel est le plus intelligent, un virus ou un neurone ?
La question reste ouverte.
En attendant, c’est le concours Lépine de la dingomanie.
Même dans les coins les plus reculés de France.
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