Des billet/articles, du vrai contenu « grinçant », souvent illustré
Terrain en pente.
Qui domine ce chemin.
Protégé par une clôture.
Dimanche, 16 h 03.
Frustré, je venais de rater un écureuil.
Qui n’avait pas voulu se laisser photographier.
Et là, une bestiole inattendue.
Immobile, le dos tourné.
À regarder le sol.
Oh, que je suis content !
Depuis le temps qu’il me narguait.
Combien de fois l’ai-je entendu ?
Mais hélas jamais vu.
En forêt, son cri reconnaissable.
Me grillait régulièrement.
Mettant aux abois ce qui ne l’était pas.
Réduisant à néant mes espoirs photographiques.
Comme seule preuve, j’avais une plume.
Que je conserve soigneusement.
Comme un trophée, une vengeance.
Ou pour mettre en valeur des champignons.
J’en vois plutôt souvent.
D’habitude de couleur plus discrète.
De cette bagnole qui évoque les casseurs de pierres.
Signe des temps, les bagnards peuvent être emblème.
Pour rouler dans un engin improbable pour bobos friqués.
Exhibitionnistes probablement en quête de reconnaissance indue.
En attendant, ça pompe de l’essence, et ça pollue.
Ça pompe de l’argent en France pour en envoyer chez les Allemands.
Ce qui n’empêche pas la Deutsche Bank d’être en situation de faillite totale.
Bigre, c’est un peu mort ici !
Mais où est donc passé le boutiquier ?
Ah, le voici, il revient !
Après une curieuse expérience.
Comme un voyage ultime.
Comme un isolement, un repli.
Pourtant, je l’avais déjà fait.
Mais là, c’est encore plus déconcertant.
Celui d’un séjour en « zone blanche ».
Ils l’ont arrêté, le « terroriste » Salah, petite frappe.
« L’homme le plus recherché d’Europe »
Après l’avoir laissé s’enfuir.
Lors d’une perquisition ratée.
Mais là, il a été « donné » par un ami…
Il avait renoncé à se faire péter à Paris.
Épargnant, finalement, des vies.
C’est cynique, mais c’est ainsi.
Il a pleuré, chialé, demandé de l’aide, Salah Abdeslam.
Pour finalement se retrouver en famille, en Belgique.
À l’heure où l’on ne vend plus.
Mais où les gens s’entretuent.
Même en bradant sur Le Bon Coin.
Au fait, le Vaporetto à 10 €…
Annonce publiée le 21 février….
Est toujours en vente ce 14 mars !
Et que l’on ose vendre des « boules de mousse »…
Et même maintenant des « œufs d’autruche »…
À 25 ou 35 euros la bête chez le fleuriste pour bobos…
Le consommateur doit être de plus en plus con.
Enfin, vu des grandes enseignes.
Ou vu des industriels de l’agroalimentaire.
On le méprise, on l’insulte.
On le gave, on l’intoxique.
On lui fait bouffer de l’improbable.
Mais, s’ils le font, c’est que ça marche…
« Que voulez-vous, il y a de la demande ! »
Disent-ils en chœur…
Lire la suite »Jours toqués, fraises de mars, poulet gonflé à l’eau
Sortie, alors que les météos s’y opposaient encore.
Temps splendide qui se moque des annonces anxiogènes.
Par contre, sur le parcours, il y avait de tout.
De bonnes ondes, comme des mauvaises.
Autant s’arrêter sur les bonnes, non ?
Sur plus de cinq cents photos en une vingtaine de kilomètres…
Sans même chercher la signalétique, mais seulement ce qui m’interpellait.
Voici quelques images, à considérer comme positives ou négatives.
Même si elles peuvent être neutres avec un peu de lâcheté.
Et je me pose une question : Pourquoi avoir pris ces photos ?
Une chose est certaine, j’en ai fait des légendes !
Lire la suite »Signalétiques, bonnes et mauvaises ondes en bord de Vilaine
Nouveau week-end, fin de semaine 7.
L’indispensable balade en forêt.
Oui, mais quand, samedi ou dimanche ?
Et si les prévisions météo pouvaient aider ?
Apporter une aide à la décision ?
Direction les chaînes dites « d’info en continu »…
BFMTV qui se dit « 1ère chaîne d’information ».
Et iTélé qui se dit « La chaîne d’information en continu ».
Tellement toxiques que je ne les regarde presque plus.
Mais, pour la météo, ça devrait bien le faire…
Lire la suite »BFMTV et iTélé, ou comment se plomber la météo, et la vie
Je vais vous parler des Bryophytes.
De la mousse végétale, bien verte.
De celle que l’on trouve en forêt.
Essentielle pour la nature.
Pour purifier l’air.
Pour stocker et restituer l’eau.
Un monde fascinant, la Bryologie.
Des coussinets qui abritent toute une faune.
De la beauté en miniature.
Touchez, regardez, admirez.
Mais laissez en place, c’est précieux.
C’est même vital, surtout pour la forêt.