À l’instant, je viens de relever ma boîte aux lettres.
En arrivant au rez-de-chaussée, un homme et une femme attendaient devant les deux ascenceurs.
L’ascenseur le plus grand arrive, l’homme entre et invite la femme à faire de même.
« Non, je prendrai le suivant ! »
Curieusement, elle ne prend pas celui que je venais de quitter, le « petit ».
Je reviens avec une lettre à la main, le « suivant » — le même ascenseur, le plus grand, un sept personnes de capacité — revient et ouvre ses portes.
Elle entre…
Je lui demande poliment : « Je peux ? » (entrer)
Et la réponse a été exactement celle que j’attendais :
« Non, je monte toute seule, j’ai laissé le monsieur avant monter seul ! »
Je précise que cette foldingue asociale qui fait sa loi ne portait même pas de masque.
Cela me rappelle deux anecdotes lors de mon entrée aux Urgences de l’hôpital, le 10 juillet dernier…
Anecdote 1
Sept heures du matin.
Une infirmière fait la « régulation ».
C’est elle qui autorise ou non l’accès au guichet administratif pour s’enregistrer.
Devant ce guichet, un homme, sexagénaire, avec un air constipé.
À trois mètres de lui, à distance également du guichet, sa « compagne ».
Une blondasse d’une cinquantaine d’années, au cul haut perché bien moulé dans son jean.
Ses mocassins à paillettes rehaussent son air précieux.
Lui ne dit rien, c’est elle qui parle.
Rien que pour une histoire d’adresse, ça prend bien cinq minutes.
Elle s’approche, répond, s’éloigne, et refait ça à chaque question.
La fiche d’admission est imprimée, le gars va pouvoir passer dans le « sas » des Urgences.
Et là, la poule demande : « Il va sortir à quelle heure ? »
Elle a l’air dépitée d’obtenir comme réponse : « Ah ça je ne sais pas, aujourd’hui on est débordés ! »
Mais l’histoire n’est pas finie…
Une fois enregistré, je retrouve le gars dans une espèce de couloir qui sert de salle d’attente.
Il a l’air de s’impatienter.
Et au bout de même pas dix minutes, il se lève, et quitte la salle.
Et je l’entends dire à l’infirmière de régulation : « Finalement, je vais aller voir mon médecin traitant ! »
L’infirmière l’oblige à remplir une décharge de responsabilités.
Anecdote 2
Quand le gars était encore là, une femme à l’air pas aimable vient nous rejoindre.
L’ordre de passage était donc normalement le suivant : le gars (avant qu’il ne parte), moi, et elle.
À un moment, elle se lève comme une furie et referme la porte qui donne sur le couloir d’accès aux salles de soins.
Une aide-soignante l’interpelle en lui disant : « Mais ça nous permet de surveiller, au cas où quelqu’un aurait un malaise ! »
Peu importe, la duchesse a frappé, la porte restera fermée, nous enlevant en plus un petit courant d’air salvateur.
Puis une « col jaune » — une aide-soignante — arrive et lui parle…
« Qu’est-ce qui t’arrive ma cocotte ? »
La « cocotte » minaude en faisant mine de souffrir, et l’autre lui dit : « Je vais voir ce que je peux faire… »
À ce stade, le gars précédent était parti retrouver sa pouffe à paillettes.
J’étais donc normalement le prochain à passer coté « Urgences médicales/Soins ».
Mais l’aide-soignante revient et dit à ma voisine : « Suis-moi ! »
Et les voilà en train de passer par la porte que l’autre avait fermée.
Je venais de comprendre que l’on m’avait grillé ma place !
Comportement pathétique s’il en est, surtout aux Urgences !
7h30, finalement je franchissais cette fameuse porte pour ensuite entrer dans le box numéro six.
Et je suis tombé sur une adorable urgentiste qui s’est parfaitement occupée de moi.
J’espère que l’autre connasse est tombée entre les mains d’un boucher !
J’aurais bien d’autres choses à raconter sur cette journée.
Car cet endroit, ce jour-là, était une véritable cour des Miracles !
Mais bon, ce serait trop cruel.
Vignette : « Le masque, attribut de connerie. »
© PF/Grinçant.com (2020)
La devise de la France « Liberté, Égalité, Fraternité » a disparu de la société… Pour beaucoup de personnes c’est « chacun pour soi » ou/et « moi en premier »… La déchéance est incrustée dans les mœurs de la majorité des citoyens au vu de leur conduite…
« Aujourd’hui, dans la décroissance, dans la déchéance des mœurs politiques et privées, nous sommes littéralement des assiégés. »
Charles Péguy (1873-1914), la République… , p. 219
« Les mœurs et les manières sont des usages que les lois n’ont point établis, ou n’ont pas pu, ou n’ont pas voulu établir. Il y a cette différence entre les lois et les mœurs, que les lois règlent plus les actions du citoyen, et que les mœurs règlent plus les actions de l’homme. Il y a cette différence entre les mœurs et les manières, que les premières regardent plus la conduite intérieure, les autres l’extérieure. »
Montesquieu (Charles de Secondat, baron de La Brède et de) 1689-1755, l’Esprit des lois, XIX, XVI.
C’est pire que jamais.
Le coup de la nénette et de l’ascenseur, je le voyais venir gros comme une maison.
Si j’étais entré, qu’aurait-elle fait ? Elle aurait été porter plainte pour harcèlement sexuel ou mise en danger de la vie d’autrui ? Tout devient possible/envisageable !
Quant à me griller ma place aux Urgences, je n’en suis pas revenu.
L’attitude de cette aide-soignante a été inadmissible en « arrangeant le coup » pour sa copine.
Je propose un article qui m’a paru d’une évidence, et pourtant je n’avais pas mesuré ce risque !
Lecteurs, oubliez la théorie de la conspiration et découvrez la connerie radicale des mutants à masque en rab qui vous entourent en vous faisant les yeux ronds. Redécouvrons donc Carlo Cipolla et ses cinq grandes lois de la stupidité (NicolasBonnal.com — 13/08/2020)
Il n’est jamais trop tard ;-)
« Combien y en a-t-il ? Personne ne sait. Voir la Loi 1. »
Moi je mêlerais bien le principe de Pareto à tout ça.
Et optimisé le principe de Pareto… soit 90/10.
C’est ce que je me dis tous les jours, et je pousse encore plus loin la portion congrue. :-/
Probable lorsqu’on voit le nombre de bourricots se balader avec un masque en rue alors qu’aucune contrainte de ce type n’existe pour l’instant dans le département (19).
Département 19 ?
Je vois déjà un point commun (numérique) avec le Covid-19. ;-)
Rien que ça, ça doit amplifier la trouille chez certain.
La Suède n’a pas confiné et si on retire le bashing, il reste très peu de décès. C’est là-bas qu’il faudrait demander l’asile.
La Norvège, la Finlande, le Danemark et les Pays-Bas n’ont pas imposé le masque au motif qu’aucune étude scientifique ne prouvait son utilité.
J’ai bien peur que demander l’asile pour un Français relève de l’impossible.
Qui voudrait intégrer des gens qui acceptent aussi facilement l’humiliation et qui exacerbent ce qu’il y a de pire chez l’être humain ?
Je vais en rajouter une, et ce n’est pas une anecdote.
Pour avoir une idée de la teneur des mensonges diffusés en continu au plus « haut » niveau (de stupidité), je vous conseille d’aller faire un tour sur https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees et d’essayer les options proposées (France, votre département, etc.) et surtout « décès à l’hôpital » en promenant le curseur de la souris sur la courbe en fonction des jours, c’est 0, 0, 0, 0…
Bon ce n’est pas un site de complotistes, ou plutôt si puisque l’on parle de propagande institutionnelle !
Qui a dit plus c’est gros plus ça passe ?
En récompense à votre contribution, je vous propose de regarder (et surtout écouter) une très jolie femme* suisse à qui on a fait fermer sa boutique — un magasin de chaussures — à Genève.
Elle parle aussi de la France…
(« Politique et aberrations, les soutiens se multiplient » — Ema Krusi, sur YouTube, le 15/08/2020)
* Je sais, j’ai un petit faible pour Alexandra ;-)
Et esthétiquement ça changera de D. Raoult, et de Me(s) Di Vizio et Brusa.
Merci !
J’écoute Ema toutes les semaines dans l’info en questions sur YT et c’est de là que j’ai extrait mon lien précédent.
Moi aussi, je veux bien aller faire la guerre avec Alexandra et Ema ;-)
Dire que nous avions commencé avec un léger différend au sujet d’Alexandra. ;-)
Bon, c’est toujours pas une anecdote, mais c’est toujours une femme docteur :-)
Crise du coronavirus en France : épidémie terminée versus panique organisée. Pourquoi ? (Nicole Delépine pour France Soir, le 31/07/2020)
France-Soir commence à me plaire, ça fait plusieurs tribunes que j’observe et qui ne subissent pas l’omniprésente censure.
Oui, mais elle reste cantonnée à la section « Opinions/Tribunes ».
Nicole Delépine ? (Et d’ailleurs le couple, son mari étant aussi médecin, avec les mêmes opinions.)
J’avais mis une de ses vidéos (percutante) ici, le 07/04/2020.
D’ailleurs, le « système » fait tout pour lui créer des problèmes.
Toujours pas une anecdote, c’est plus profond et tellement vrai !
« C’est la preuve d’un esprit faible et basique que de vouloir penser comme la majorité des gens simplement parce que la majorité est majoritaire. La vérité ne va pas changer parce qu’elle est ou n’est pas prise en compte par la plupart des gens. »
Giordano Bruno – Philosophe et théologien (1548-1600)
La « majorité », c’est génial pour faire croire qu’une dictature est une démocratie.
Le pire, c’est que l’on rend majoritaires des petites minorités.
Nos « élections » en sont de plus en plus la preuve.
Alors, en plus, quand une (vraie) majorité est du mauvais côté… :-/
De toutes les manières, cette « crise » permet de démontrer plus que jamais que les gens ne réfléchissent pas/plus, de quoi invalider tout ce qui est fait — dans tous les domaines — sur la base de la « majorité » et/ou des « sondages ».
La plupart des gens n’ont plus d’esprit critique parce que leur cerveau est piraté !
Bonjour,
Tout d’abord, merci d’accepter un commentaire qui demande un petit développement — sinon mille excuses pour le dérangement.
Le « covid-19 » : c’est l’éternelle semence du mal, comme celle de la misère et de la guerre que l’on trouve systématiquement dans le sillage de la Finance mondiale.
Là est l’une des causes principales de la souffrance actuelle de l’humanité.
Il semble évident que l’arrêt du mouvement « Gilets Jaunes » est lié à l’apparition de cette « mascarade ».
Comment expliquer autant de moyens, autant d’action et de planifications, autant de volontés, surtout, de nos pseudo-élites mondiales pour attenter à nos libertés, eux qui dans l’ordre des choses n’ont jamais déployé autant d’énergie pour lutter contre tous les immenses fléaux contemporains que sont la drogue, la guerre, la violence en général, l’ignorance, la débauche, etc.
S’il s’agissait, comme nos pseudo-élites le disent, de préserver notre santé, c’est un point de vue tout à fait paradoxal avec l’état de délabrement incroyable dans lequel la santé publique a été volontairement mise depuis des décennies par ce même « Système » politique.
Origine de la finance mondiale :
Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie.
La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire (pouvoir législatif). Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux.
Le véritable pouvoir auquel sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvré depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers (et à terme à l’esclavagisme).
Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois. »
Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisée à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
Aussi, la France, comme les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London.
En réalité, les États occidentaux n’existent plus, car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États.
Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
Les cartes sont actuellement dans les mains des populations civiles : ces dernières ont enfin, phénomène unique dans l’histoire, la possibilité de reprendre leur destin en main ; ce qui signifie, très précisément, qu’elles ont la possibilité de réinstaurer des gouvernements politiques en lieu et place des ersatz actuels entièrement aux mains des puissances financières.
Les peuples auront ce qu’ils méritent : ils recevront, s’ils acceptent de se prendre en charge (en contrepartie d’un peu de courage) des fruits extrêmement bénéfiques… mais l’accepteront-ils ?
Là est la question…
Profitons de ce texte pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond.
Rappelons enfin que, dans les temps les plus anciens, les hommes n’étaient distingués entre eux que par la connaissance (qui était la base même du pouvoir) ; ensuite on prit en considération la naissance et la parenté ; plus tard encore la richesse en vint à être considérée comme une marque de supériorité ; enfin, dans les derniers temps, on ne juge plus les hommes que d’après les seules apparences extérieures.
D’où, aujourd’hui, le mensonge gouvernant le monde, et source de toutes les erreurs sociales, c’est-à-dire des injustices, et la cause de tous les désordres et dysfonctionnements de nos Sociétés.
Cordialement.
Lien : Livres de Femmes, Livres de Vérités — Introduction (sur BlogSpot.com)
Je vous en prie, pas de « dérangement ».
Actuellement, j’observe beaucoup plus de lâcheté et de bêtise que de courage. De quoi rendre pessimiste. :-/