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Société

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Faut-il manger ces figues fraiches ?

Une peu par curiosité, j’y suis allé, dans ce grand centre Leclerc.
Notamment pour voir comment ils avaient condamné les rayons « non essentiels ».
Par des chaines en plastique avec des maillons blancs/rouges en alternance.
Là, je le sais, c’est masque obligatoire, et j’ai mis un « chirurgical » tout neuf.
Ne serait-ce que pour ne pas être lapidé à coup de boîtes de conserve ou de bouteilles pleines par les clients.
Ça me fera donc environ vingt minutes dans la semaine avec un masque.
Avant de filer vers l’enclos des automates — il y avait la queue aux caisses classiques —, je suis passé par le rayon fruits et légumes.
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Drôle de hasard musical

Le temps est magnifique dehors, mais c’est dehors, et c’est quasiment interdit.
Mon balcon nouvellement peint en blanc me ramène de la lumière.
J’ai enfin pu reprendre mes marques, et j’y ai réinstallé mon petit salon de jardin.
En face, au loin, mais pas si loin, je sais qu’il y a l’océan.
Mais il est interdit d’y aller, c’est à nettement plus d’un kilomètre.
Je rumine au sujet de cette dictature qui n’est pas que « sanitaire ».
Qui nous empêche de vivre, qui nous confine.
Qui masque des enfants de onze ans et plus.
Et comme ça passe, c’est maintenant au tour des enfants de six à dix ans.
Tout le monde ou presque semble collaborer.
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Un collabo dans le hall

L’échafaudage est toujours devant mon balcon.
Et j’entends un bruit de nettoyeur haute pression.
Malgré la pluie, je décide de descendre pour voir où en est le chantier.
Arrivé dans le hall, je me dirige vers la sortie principale.
Et j’entends un type, la soixantaine avancée, qui me dit : « C’est fermé ! »
Il y a effectivement un ouvrier à l’extérieur qui semble faire barrage.
— Il faut prendre la sortie arrière !…
Je passe à côté de lui en le remerciant, et me dirige vers cette fameuse sortie.
 Mais il faudra faire tout le tour de l’immeuble car c’est barré à droite !
Marrant ça, il semble savoir où est ma voiture, sinon je ne comprends pas le sens de la remarque.
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Pseudo courage d’un masqué-confiné, content de l’être

J’utilise le masculin, car curieusement je pense qu’il s’agit d’un homme.
Ce matin, 1er novembre 2020, à 8h34, je reçois ce mail via le formulaire de contact du blog :

« De : Musescore <musescore(at)hotmaij.fr></musescore(at)hotmaij.fr>
Sujet : Bravo

Corps du message :

Bravo pour vos bravos et votre autosatisfaction
Qu’y a t il de positif à grincer si ce n’est s’user les dents.
On peut dire que ça les aiguise.
Mais avoir la dents dure contre tout ce qui bouge n’enleve de les milliers de morts.
Il faut mourir de quelque chose. Alors allez embrasser un malade et immunisez vous. »

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Chronique matinale d’un samedi confiné

Vendredi, premier jour du deuxième confinement.
En fin de journée, je me suis tapé les 17 pages de l’imbitable décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020.
Signé Jean Castex « Premier ministre », Olivier Véran « ministre des solidarités et de la santé », Gérald Darmanin « ministre de l’intérieur » et Sébastien Lecornu « ministre des outre-mer ».
Notez les minuscules aux titres/fonctions — “minus” (habens) —, ça ne s’invente pas.
Des gens qu’il ne faudra pas oublier le moment venu, et d’ailleurs je me demande pourquoi ce moment n’est pas déjà là.
Un condensé de charabia liberticide, des mesures ciselées par des manipulateurs pervers narcissiques psychopathes pour nous massacrer, nous détruire physiquement et mentalement.
Des trucs de faux-culs notoires, de traitres à la Nation, de fous furieux et d’enfoirés hors catégories.
Le tout guidé par leur « maitre », le jupitérien Macron, marionnette allumée à la poudre de perlimpinpin mode sarbacane.

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J’ai ma dispense de port du masque !

Ah la vache, qu’est-ce que les choses sont compliquées !
Il y a une volonté manifeste de nous pourrir la vie.
Et comme beaucoup de gens ont la pétoche.
Personnel médical compris, par crainte des ARS*.
Mais aussi du Conseil dit de l’Ordre, et l’on se demande bien de quel ordre…

Mon médecin traitant n’avait pas voulu se mouiller, et me l’avait refusé le mois dernier.
Mais là, le préfet fait sa crise d’identité et de prurit démocratique.
Il a rendu obligatoire le port du masque en tous lieux « publics » — donc aussi à l’extérieur — sur la côte.
Puis, la semaine dernière, partout sur le territoire de la préfecture.
Et à partir de demain… dans tout le département !

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À Kerhinet, les masques tombent

Organisation d’un rendez-vous galant sur Nantes ou ses environs…
Vous le savez probablement, le masque, ça n’est pas du tout ma tasse de thé.
En cherchant dans la PQR, j’apprends que le préfet de Loire-Atlantique (44) a décidé d’étendre son port obligatoire — en extérieur — à toute l’agglomération nantaise « Nantes Métropole », soit pas moins de vingt-quatre communes.
Comme il est hors de question de cautionner un tel délire, je cherche une alternative à proximité.
Et je pense alors à la jolie cité de Guérande.
Mais le port du masque était obligatoire « intra-muros » du 17 juillet au 15 septembre 2020…
Qu’en est-il maintenant, première décade d’octobre ?
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Ah non, la machine ne le prendra pas… votre billet !

Je dois avoir une amie trafiquante de fausse monnaie…
« Dis, tu n’aurais pas des pièces, je dois aller en ville et c’est pour l’horodateur, je n’ai qu’un billet ? »
Me voilà en train d’explorer le fond de mon porte-monnaie pour en sortir deux pièces de deux euros, et je complète avec de la pièce jaune à cannelures sur le bord.
Les bons comptes faisant les bons amis, je récupère un billet de cinq euros en échange.
Oui, mais voilà, je n’ai plus de quoi donner un pourboire — de trois à quatre euros — à ma coiffeuse préférée !…
Une obsession donc : transformer ce billet en monnaie…
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Une consultation médicale sidérante : Comment ne pas perdre confiance ?

Nous vivons une époque formidablement inquiétante.
Et les tarés à la tête de ce pays ont vraiment tout bousillé.
Ce qui est fait avec ce « Covid-19 » rend fou, fait perdre toute raison.
Je reste accroché à mon dernier rendez-vous avec mon médecin traitant.
Cette « consultation » me hante tant elle était irréaliste, sidérante.
Pourtant, je l’aime bien ma toubib, mais là elle était en vrac.
C’était le 24 septembre dernier, petit florilège…

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Obsolescence forcée, ça sent le pâté pour ma Xantia

Encore une fuite de LHM, le liquide grâce auquel fonctionne presque toute l’hydraulique de cette voiture !
Suspension, mais aussi freinage, assistance de direction, et même embrayage.
Ce système génial, qui était un point fort du véhicule devient un point faible en vieillissant.
Déjà, la dernière fois, mon mécano avait eu toutes les peines du monde pour se procurer une petite pièce en plastique — une sorte d’Y — qui était fendue.
Mais là, c’était autre chose, j’avais repéré la fuite — heureusement du goutte à goutte — un peu à l’avant du pédalier.
Date de première mise en circulation : 05/07/1999, l’une des dernières Xantia fabriquées à Rennes.
Eh oui, elle a plus de vingt-et-un ans la bougresse, et « seulement » 250 500 km — réels — au compteur !
Pour les kilomètres, elle devrait pouvoir en faire le double, voire le triple, mais pour les années, c’est une autre histoire, ça sent même le pâté !

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