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Lâcher-prise

Lâcher-prise

Première balade de printemps en mode “Proxi-Macro”

Chat qui observeAllez, encore un.
Un billet à rallonge, plein de photographies.
Le genre qui ne sert pas à grand-chose, sauf à faire du bien.
Mauvais pour le référencement, mauvais pour Google.
Généralement peu ou pas de commentaires, mais c’est vu/lu.
Et c’est une façon de grincer en prônant le lâcher-prise.

Bien, hier, en ce début de printemps, accalmie météo.
Je décide de sortir pour une « rando » d’environ onze kilomètres.
Mais je m’impose un truc bien particulier…
Ne pas regarder loin, seulement autour de moi.
Il y a tellement de choses à voir/découvrir !
Il suffit d’observer, de scruter, de s’ouvrir…

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Drôle d’année 2017

Les habitué(e)s l’auront probablement remarqué, mais, en cette fin d’année, rien — ou presque — sur ce blog pour marquer le coup.
Même pas un bandeau décoré façon festive, ni des flocons (de neige ou d’avoine) défilant sur votre écran — pour innover et me différencier d’autres “blogs” ou de sites marchands ;-) —, ni même une vidéo de rouge-gorge chantant, ou à minima un simple encart pour vous souhaiter un « Joyeux Noël » ou une bonne fin d’année.

De toutes les manières, je sais que cette période n’est pas joyeuse pour tout le monde — et encore moins heureuse —, alors à quoi bon faire dans l’hypocrisie.

De plus, pour votre serviteur et son blog, 2017 a été une année particulièrement horrible et bizarre. Presque de quoi réinventer la Loi de Murphy, dite « de la tartine beurrée ».
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Comme un bloc de cadeaux de Noël 2017

Ma bible de Noël 2017, c'est un blocLa photo de cet arbre me conviendra en guise de sapin de Noël.
Il est très bien là où il est, à résister aux tempêtes et à contrer un terrain pentu.
Pas de guirlandes ni de boules, mais un curieux bloc à son pied.
Un calendrier, avec toutes les dates, mais le jour correspondant à entourer.
Comme une liasse d’ordonnances pour équilibre et santé.
Sur chacune d’elles, une citation, une pensée, voire une vérité.

Il manquait quelques pages, mais j’ai pu en feuilleter trois cent quarante.
En cette période de Noël, je les ai lues et relues, comme des cadeaux.
Et j’ai choisi ce qui me convenait le mieux, celles que j’aurais aimé faire miennes.
Je vous livre donc ma sélection, il y en a trente-neuf.
Plus une pour arrondir — avec un peu de triche — à quarante.
En espérant que vous en ferez bon usage, car c’est précieux, et à méditer.

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Sous le signe des cygnes

Tête de cygneRécemment, nous avons parlé cygnes à l’occasion d’une “Brève” sur un corps de petit verdier au milieu des mégots.
Certains d’entre eux disparaîtraient de vilaine manière…
S’ils sont tués pour les consommer, il est certain que cela fait un beau poulet : environ 8 kilogrammes de viande — si mes calculs sont bons — pour un oiseau de 10 kg.
Bien évidemment, quelle que soit la destination post-mortem des cygnes abattus, c’est parfaitement odieux, puisque la population mondiale, toutes espèces confondues, serait d’à peine 2 millions d’oiseaux.

Jeudi dernier, est passé sur la TNT un film anglais — Hott Fuzz — assez délectable, avec, comme vedette animale, un… Cygne !
Décidément !

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Une fleur d’hibiscus au Cap Fréhel

La construction de Fleur d'Hibiscus à Fréhel, modeste mais réelleL’hibiscus, c’est sa fleur préférée.
Je vais donc la désigner ainsi.
Il m’arrive parfois d’être plutôt bien accompagné.
Tout le contraire d’un boulet de rando.
Attitude zen et positive, avec du vrai lâcher-prise.
En ce lieu magique de Bretagne.
Avec un ciel bien breton de mi-septembre.
De la joie, de la bonne humeur, et quelques efforts.
Les grands espaces, la nature, l’air marin.
Et de l’humain qui ne gâche rien, pour une fois.

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Blogueur grinçant, mais fainéant

Notre divin “président” s’est adressé aux « fainéants, cyniques, extrêmes »
C’est marrant, je me sens un peu de tout cela.
Et finalement, ça me rassure.

Cependant, je viens de m’apercevoir que « fainéant » pouvait nuire à mon blog !
Hors cinq « Brèves », mon dernier billet date du 8 août dernier !
Trente-sept jours à « fainéanter », quelle honte !

Alors j’ai décidé de me soigner, pour entrer dans le « moule ».
Pour mieux piétiner mon voisin, mon prochain…
Pour speeder en permanence…

Mais comme je fais les choses à ma manière, je ne sais si le but sera atteint.
En effet, comme souvent, j’ai choisi un lieu, et du temps.
Pour me ressourcer, pour écouter.

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Faisait moche

Petit hélicoptère par temps mocheAvant-hier, Odile a contribué pour la première fois ici, sur le billet « Matin enchanteur ».

Commentaire bien particulier, surtout sur un blog nommé « Grinçant » :

« Ce qui est merveilleux, c’est d’être assez simple et pur pour ressentir la profondeur d’instants incrustés dans la banalité, d’être assez naïf pour en témoigner publiquement au risque de passer pour un pauvre con ravi, et de trouver les mots simplissimes, mais plus puissants que la poésie littéraire, la poésie de la vie.
Très touchant celui qui aime le héron, un homme au cœur pur. »

Figurez-vous que cette naïveté-là, je prends, et plutôt deux fois qu’une. Et j’assume !

Alors, en écho, aujourd’hui, je ne vais pas écrire, je ne vais pas trouver de mots, simplissimes ou sophistiqués.

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Matin enchanteur

Ce matin avait tout pour être ordinaire.
Mais, contre toute attente, il fut enchanteur.
Des moments simples, des choses simples.
Probablement question de regard aussi.
D’empathie, de lâcher-prise.

Mais je fais ce que beaucoup se refusent.
Ou disent ne pas pouvoir s’offrir.
Le manque d’argent est difficilement recevable.
Alors on avance le manque de temps.
Encore et toujours le manque de temps.

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La complainte de l’inconnue du quai SNCF

Je vous préviens, toxines à haute dose.

Mais, si vous êtes bien dans votre tête, lisez ça en mode “rap”, cela devrait vous amuser, voire vous ébahir.
Si vous êtes mal, cela devrait vous montrer à quel point il faut en sortir, surtout si vous en êtes à ce stade avancé, au point de polluer même des inconnu(e)s.
Et, si vous êtes suicidaire, merci de ne pas lire ce qui suit.

Hier, vendredi, à l’heure où certains couples se refont le temps d’un week-end…
Je trouve deux messages sur mon répondeur Orange.
D’un numéro de portable inconnu, d’une voix féminine plutôt jeune, mais geignarde.

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