Le chat s’en moque
Il est là, sur son rebord de fenêtre.
À contempler, à laisser filer le temps.
À me regarder, de l’autre côté de la rive.
Ou à attendre qu’un bateau arrive.
Pour observer le jeu d’écluse.
Pour qu’il passe, au fil de l’eau.
Aventures dartyniennes garanties à tous prix
Le commerce devient fou !
Le client est dur à attraper.
Et aussi dur à fidéliser.
Alors, autant éviter de le perdre.
En évitant de faire n’importe quoi.
Mais, chassez le naturel, il revient au galop.
Il faut faire attention à tout.
Chercher les pièges systématiquement.
Chez le fabricant, la marque.
Mais aussi chez le distributeur.
Je vais vous compter trois expériences d’achat.
En moins d’une semaine.
Dans le même magasin.
« Le Contrat de Confiance »…
En l’occurrence DARTY.
Un petit coin de forêt magique, a posteriori
J’ai un peu raté la magie du lieu.
Je ne faisais qu’y passer.
Pour marcher, profiter de la nature.
Et puis, comme une impulsion.
Je me suis arrêté, un bref instant.
Un arbre plein de mousse à ma gauche.
Ça n’était pas pour contempler.
Non, c’était pour photographier.
Juste une fois, à cet endroit.
D’avril, ne pas en perdre le fil… (Photos)
Fin de mois…
Presque fini, avril.
On va bientôt s’en battre les cils !
Beaucoup regardent l’avenir avec angoisse.
Et n’osent pas se retourner sur les angoisses passées.
Pourtant, le passé existe, mais il faut bien l’utiliser.
Pour ne pas reproduire les mêmes erreurs.
Ou pour en tirer le meilleur, la quintessence.
En évitant de regretter le temps qui passe, qui use.
Mai arrive, et c’est un joli mois.
Surtout pour moi d’ailleurs.
Alors, autant enterrer avril dès maintenant, le 29.
Définition gouvernementale de la DIGNITÉ
Stéphane Le Foll, vous connaissez ?
Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt.
Mais aussi Porte-parole du gouvernement.
L’agriculture est à la dérive pour de multiples raisons.
L’agroalimentaire est une boîte noire qui nous intoxique.
La forêt, vous devez le savoir, j’y vais de temps en temps.
Reste « Porte-parole du gouvernement ».
Il y a le mot « parole », et qui plus est, il la « porte ».
Donc, il doit savoir ce qu’il dit.
Connaître le poids des mots…
Les prononcer à escient…
C’est bien le minimum à ce poste !
Pizza mexicaine à haut risque
Hier soir, retour dans un centre commercial.
Histoire de vérifier ce qui est interdit.
Dès l’entrée, sans discussion possible.
Et tant qu’à être là…
Pour optimiser le bilan carbone…
Autant repartir avec quelque chose !
Direction l’hyper, rayon traiteur.
Ou plutôt le rayon « rôtisserie ».
Pour les poulets à consommer impérativement sous 24 heures.
Crime ou délit dans un centre commercial
Rendez-vous dans un centre commercial.
Nouveau pour moi.
L’occasion de le découvrir.
Avec son hyper et sa quarantaine de magasins.
Pardon, de « cellules commerciales »…
Et, tant qu’à faire, toujours les mêmes enseignes.
Il fait chaud, il fait lourd.
La pollution, le soleil sur le bitume du parking.
Ça doit être pire dans l’« aérien » de six cents places.
Là, devant, il y a la cafétéria.
Plutôt crever que d’y entrer pour boire un coup !
Maintenant, je boycotte…
Petits élus obsessionnels et folie des grandeurs
En juin dernier, je vous parlais bancs.
En joli béton, avec dessus bois.
Il y en avait beaucoup, presque un par maison.
Chacun était accompagné d’un bac avec arbuste.
Mais ça n’était qu’une partie de la rue !
Elle continue vers le centre de la commune.
Avec la « place » de la médiathèque au milieu.
Il y avait donc de quoi continuer le délire…
Récemment, je suis repassé dans cet endroit.
Et là, stupéfaction !
Des bancs, des bancs et encore des bancs…
Toujours en béton, avec dessus bois.
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Clash en perspective, la forêt s’en moque
Je suis allé dans cette forêt pour discuter.
Elle est belle, apaisante.
Non pas pour parler aux arbres.
Mais pour faire le point, avec quelqu’un.
Son chien nous accompagnait.
Trop content de prendre le grand air.
Puis, très vite, il a disparu.
Comme un signe de discorde.
Sa maîtresse a décidé de retourner au parking.
L’odorat devrait l’y faire retourner.
Moi, j’ai continué, au cas où il aurait fait de même.
Mais nulle trace de ce satané chien !
Pénurie ou foutages de gueules ?
Il paraît qu’en France tout va bien.
Que c’est reparti, finie la « crise ».
Il faudrait croire de faux chiffres de « croissance ».
La vie est belle.
Tout est merveilleux.
Et surtout, STOP au « French Bashing » !
Oui, mais Vivarte va quand même virer 1 900 personnes.
La Halle aux Vêtements, la Halle aux Chaussures…
Mais aussi André, Kookaï, Caroll, Minelli, Naf Naf, Besson, etc.
Plus de 5 000 magasins sous une vingtaine d’enseignes/marques différentes.
Des magasins qui se phagocytent, qui s’entredévorent.
Business model foireux, sauf pour les « financiers ».