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Photos

Avec des photographies, toujours originales

Ne serait-ce pas en Bretagne ?

Après la devinette sur La Rochelle, en voici une autre…
Six photographies, six lieux différents.
Le tout en trois jours de pérégrinations, du 17 au 19 octobre 2022.
Oui, c’est en Bretagne, mais où exactement ?
En légendes, quelques indices.
Outre le fait que cela soit situé — sauf une* — dans le département « où se finit la Terre ».
Qui trouvera pour les six, même s’il n’y a rien à gagner ?

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Mais quelle est donc cette ville ?

Qui le devinera ?
Même s’il n’y a rien à gagner.
J’y étais hier, 28 septembre 2022.
La date est importante, notamment pour l’ambiance et la météo.
Une ville très connue, avec des photos « cartes postales » que tout le monde prend.
Bien sûr, j’ai pris des clichés de ce genre, mais je vais vous les cacher.
Plutôt vous montrer quelques détails, quelques curiosités.
Et voir si quelqu’un arrive à trouver.
C’est en France…

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Visite au château fort de Gilles de Rais

Allez, après une petite balade en forêt, je vous emmène au château fort.
Je ne vous dirai pas duquel il s’agit, à vous de deviner.
Simplement quelques indices…
Fief de plusieurs seigneurs, et d’un aussi devenu grand saigneur.
Ici, c’était le siège social du sinistre Gilles de Rais.
Qui devait cuisiner ses victimes avec des ustensiles qui n’accrochent pas.
Les habitants de la commune ont en effet « Teiphaliens » comme gentilé.
Le château a été érigé au XIIsiècle et a connu bien des tourments.
Je m’arrête là, car vous devriez avoir trouvé.

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Petite balade en forêt

Découverte d’une nouvelle forêt.
Environ 350 hectares, pas de quoi se perdre.
Théâtre de combats pendant la Révolution.
Puis un vrai coupe-gorge, car repaire de brigands.
Maintenant, on s’y balade en sifflotant.
Moi, en guise d’arme, j’ai mon appareil photo à la main.
Sans oublier mon fidèle couteau suisse à la ceinture !
J’ai choisi de partir avec un unique zoom 70-200 à grande ouverture (f2.8).
Vision/regard « téléobjectif » de rigueur…

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Juin-Juillet 2022 en sept balises

Décidément, je fais dans la discrétion.
Depuis le 15 juin, mon pommeau de levier de vitesse chauffe toujours autant.
J’ai bien vécu quelques aventures, mais je n’ai même pas envie de les conter.
Idem pour la photographie, mes capteurs et mes obturateurs sont en pause.
Quelques photos quand même à mon inoffensif tableau de chasse, mais rien de remarquable.
Alors je vais rester dans l’ordinaire et broder autour de sept d’entre-elles.Lire la suite »Juin-Juillet 2022 en sept balises

De l’ennui des équidés dans leur pré

Il est là, au milieu des pâquerettes.
Une silhouette improbable.
Hirsute et sombre question poils et crins.
L’air têtu, buté, voire borné.
On dirait presque un animal préhistorique.
Il a probablement bien vécu.
Un peu au bout du rouleau.
Mais il a une belle vie.
Pas besoin de voter.
Pas besoin de s’avilir.
Pas besoin de gerber.
Mais peut-être s’ennuie-t-il, ce petit poney ?

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Par monts et par veaux

Oui, je sais, il semblerait qu’il y ait une faute dans le titre.
En fait, il est partiellement mensonger, voire un peu putaclic.
Là où je suis allé, il n’y avait pas de monts.
En revanche, j’étais bien par vaux, le pluriel de val.
Et, mieux, j’ai bien vu des veaux.
Alors que les humains sombrent de plus en plus dans la noirceur et la bêtise.
Oubliés les masques-muselières, les « élections » et les missiles possiblement « nucléaires ».
Ici, c’est l’insouciance et le carpe diem.
Aucune prise de tête, même si l’on rumine, de l’herbe plutôt que des idées noires.
Pas d’infox, nous sommes plus dans la détox.
Une vache et au moins dix veaux, dans une scène harmonieuse, ça vous dit ?
Pas la même ambiance qu’une crèche ou une garderie.
Le tableau inspire la sérénité, même si tout cela risque de finir — aussi — en boucherie.

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De la patience, mais en salles d’attente…

Ah, les salles d’attente, je les adore !
Malheureusement, je fréquente essentiellement les « médicales ».
Vous savez, celles où l’on ne se parle plus.
Celles où chacun semble absorbé par son smartphone.
Celles où l’on ne dit que rarement « Bonjour » en entrant, et encore moins « Au revoir » en en sortant.
Celles où l’on peut observer les « patients » qui ne se donnent que rarement la peine de se mettre sur leur trente-et-un.
Celles où l’on éprouve des frissons à chaque fois que quelqu’un est appelé : Est-ce mon tour ?
Celles où l’on éprouve des déceptions quand l’on comprend qu’il faudra encore attendre.
Celles où l’on regarde sa montre quasiment toutes les minutes.
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De la grotte du Père de MONTFORT à la crotte de Martin HIRSCH

Après avoir vu l’arbre « remarquable » nommé « Les Cinq Jumeaux ».
Je vous emmène un peu plus loin dans cette troublante forêt, celle de Mervent, en Vendée (85).
Là, un peu plus bas, il y a la « Grotte du Père de MONTFORT ».
Un lieu où s’est retiré à trois reprises — pour « prier dans la solitude » — « Saint » Louis-Marie GRIGNION (1673-1716).
Sur le parking, la pancarte indique :

« Dès 1701, il se met au service des 400 pauvres de l’hôpital général de Poitiers puis à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris (5 000 pauvres), comme aumônier.
Il est chassé de cette institution pour ses manières trop peu conformes avec la façon d’exercer le sacerdoce à l’époque. »

Cela me fait un peu penser au professeur Christian PERRONNE que l’on a sali et à qui on a enlevé sa « chefferie » — service des maladies infectieuses et tropicales — à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches.
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Le Penseur de Rondin des Cinq Jumeaux

Le Penseur de RondinCurieuse scène, là, au bout de cette allée forestière.
Un arbre dit « remarquable ».
Il a été nommé « Les Cinq Jumeaux » à cause d’une malformation/déformation.
Mort sur pied en 1996, il a été sculpté par Sébastien KRAMP entre 2005 et 2007.
Mais en ce mois de février 2022, tout est en vrac, ou presque.
Initialement perché en haut d’un tronc, il y avait cet homme.
Maintenant, il est dans un coin, comme puni, à réfléchir en haut de son poteau.
Malicieusement, je le surnomme « Le Penseur de Rondin ».

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