Oui, je sais, il semblerait qu’il y ait une faute dans le titre.
En fait, il est partiellement mensonger, voire un peu putaclic.
Là où je suis allé, il n’y avait pas de monts.
En revanche, j’étais bien par vaux, le pluriel de val.
Et, mieux, j’ai bien vu des veaux.
Alors que les humains sombrent de plus en plus dans la noirceur et la bêtise.
Oubliés les masques-muselières, les « élections » et les missiles possiblement « nucléaires ».
Ici, c’est l’insouciance et le carpe diem.
Aucune prise de tête, même si l’on rumine, de l’herbe plutôt que des idées noires.
Pas d’infox, nous sommes plus dans la détox.
Une vache et au moins dix veaux, dans une scène harmonieuse, ça vous dit ?
Pas la même ambiance qu’une crèche ou une garderie.
Le tableau inspire la sérénité, même si tout cela risque de finir — aussi — en boucherie.
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