Enfin, j’espère.
Que 2019 passe aux oubliettes ! Une année globalement particulièrement glauque, malsaine, pourrie.
Le problème de la pourriture, c’est qu’elle s’étend. L’application de la théorie du ruissellement. Ou les scories mycosiques qui tombent des « premiers de cordée » autoproclamés.
Le cynisme à son apogée. La bêtise à son apogée. La volonté de nuisance à son apogée. Le parasitisme et l’opportunisme à leur apogée.
De quoi clore une décennie décadente, sauf que, vieux débat, la nouvelle commence le 1er janvier 2020 ou bien 2021 ? Mathématiques ou sémantique, on risque d’en prendre pour une année de plus, c’est selon.
Mais bon, il faut positiver, et penser au plus important, à savoir vous et vos proches, bien sûr après avoir fait le tri ! À une époque où la notion d’ami(e)(s) n’a quasiment plus de signification — Merci les réseaux dits « sociaux » —, retrouver le sens des (vraies) valeurs humaines est essentiel.
Vous le savez peut-être si vous me lisez régulièrement, j’ai de gros soucis de santé, et, récemment, à un poli « Comment allez-vous ? », j’ai répondu que je détestais maintenant cette question, car il m’était devenu difficile d’y répondre. Et il en est de même pour les vœux… Entre la simple formule de politesse et la sincérité, il peut y avoir un gap important.
Pour ma part, et je sais plus que jamais de quoi je parle, je vous souhaite sincèrement — à vous qui me lisez avec bienveillance, pas aux autres — essentiellement une bonne SANTÉ, ainsi que de vous entourer de bonnes ondes. Que 2020 soit un cocon de bonheur, de simplicité et de limpidité.
J’aimerais vous en dire plus, mais je vais ressortir mon (feu, forcément) petit rouge-gorge rencontré en décembre 2015 sur l’Île de Bréhat : écoutez ce qu’il vous dit, retenez-en le meilleur, et mettez-le en œuvre pour cette nouvelle année 2020, et votre vie n’en sera probablement que plus belle !
PS : « Vœux » publiés assez tôt ce 31 décembre 2019, notamment pour vous recommander de ne pas écouter les insincérités « présidentielles » — uchronie macronique pour 2020 — à venir.
© PF/Grinçant.com (2019)
Meilleurs vœux à l’ensemble des patriotes et lecteurs de Grinçant.
La santé avant tout, beaucoup de sous et le reste on s’en fou… Prompt rétablissement à tous ceux qui sont malades, qui souffrent pour pouvoir lutter contre les oligarques qui nous mènent en bateau pour nous saborder.
Que 2020 soit plus resplendissante que 2019 et moins bien que 2021…
Le problème, c’est que ces « oligarques » en veulent à la fois à nos sous, ET à notre santé, ne serait-ce que par le stress/les mauvaises ondes qu’ils/elles génèrent à escient.
Dans tous les cas : « Carpe diem » ;-)
De retour de la petite fête de famille pour le réveillon et surtout l’anniversaire de fifille (28 ans la fifille !)
je souhaite à tous les lecteurs du blog et à M. Grinçant une bonne et heureuse année 2020.
Comme disait un ami : »ça mange pas de pain » !
Haut les cœurs et bon courage, je crois qu’il en faudra !!
Oui, « Haut les cœurs », et du courage, il en faudra, effectivement.
Nous y voilà, une année est passée, nous entamons une nouvelle, bissextile qui plus est.
Je ne suis pas fan, tout comme vous, de cette tradition des vœux dont nous savons pertinemment qu’ils sont souvent donnés par pure politesse.
Le seul que je puisse souhaiter c’est celui de santé et nous pouvons le souhaiter tous les jours.
Pour le reste ma foi que dire ? Que les parasites dégagent et s’étranglent dans leur morve ? assurément… et le plus vite sera le mieux.
Bien amicalement
PS Merci pour ce joli chant d’oiseau qui nous laisse une ode à la liberté dans la tête, puisse-t-elle se traduire dans les faits ;)
Pour la « morve », ça ne devrait pas être trop difficile, car il y a un bon paquet de « morveux » — et de « morveuses »* — dans cette bande… Qu’ils/elles s’en étouffent/étranglent, c’est moins certain, car ils/elles ont plutôt la technique pour dégueulasser le pays avec.
Oui, ce petit rouge-gorge m’est revenu comme une évidence en me demandant comment illustrer mes « vœux ».
Il est relié à ce billet de février 2016, car je l’avais déjà utilisé pour la nouvelle année : Le rouge-gorge de Bréhat s’en va
Je vois que l’espérance de vie de cette espèce est de 13 mois — raison pour laquelle j’ai marqué « feu » —, et il doit bien se marrer de là-haut s’il se souvient de moi. Mais ce petit moment était vraiment magique.
*Je suis particulièrement étonné par le comportement de la plupart des « femmes » LaREM que l’on nous montre sur les plateaux TV.
J’en viendrais presque à apprécier une Nadine Morano, c’est dire. :-/
Etrangement…(!), ces jours de fête, obligatoires pour certains, m’ont laissée complètement indifférente. J’ai même ressenti une liberté de ne pas me comporter comme tout le monde!!
J’ai assisté à la frénésie acheteuse de toutes ces personnes prêtes à dépenser sans compter et j’ai pensé que notre société qui nous pousse à consommer inutilement toujours plus, avait de beaux jours devant elle.
A propos de ce mignon rouge-gorge, au moment où j’écris ces quelques lignes, j’ai le même sur la terrasse , pas timide pour deux sous, il observe par la baie vitrée et il m’enchante tous les jours. Un vrai bonheur de simplicité et de vraie vie.!!
Bonne année à tous.
Ce charmant petit oiseau a beau avoir la gorge rouge, il n’a même pas besoin de cache-col.
Le mien nous a intercepté en randonnée sur un chemin de l’Île de Bréhat en décembre 2015. Le froid ne le gênait visiblement pas, et j’ai eu curieusement le réflexe de saisir en vidéo (je ne filme que très rarement) son petit discours… Un enchantement !
Pour approfondir le « lien » qui nous lie à ce petit phénomène, nous l’avons surnommé « petit merdouilloux » !! Pendant des jours, il nous a maculé les chaises de jardin et les vitres des fenêtres avec ses fientes et ses coups de bec. Il était littéralement pathétique avec tout son petit cinéma pour marquer son territoire! Il copine tant bien que mal avec une bergeronnette, le couple de merles et les moineaux du coin. La concurrence est rude et aucun ne se fait de cadeaux quand il s’agit de picorer. Bon sang, que c’est reposant d’observer tout ce petit monde se démener et finalement partager…..dans une certaine mesure!
La vie est belle, lorsque nous analysons ce qui est simple. Cela serait bien si les humains faisaient de même et aller à l’essentiel…….
Pourtant, avec leurs 16 à 22 grammes, ils ne sont pas vraiment en position de se montrer insouciants compte tenu de leurs prédateurs ne serait-ce que naturels.
Et, effectivement, ils partagent/cohabitent plutôt pas trop mal.
Si le comportement des animaux était identique à celui de l’homme, ce serait un enfer absolu.
@PF: « Si le comportement des animaux était identique à celui de l’homme, ce serait un enfer absolu. »
Bah en même temps c’est déjà l’enfer.
Est il absolu ? Je ne sais
Mais tout comme le froid, nul besoin de descendre à – 273° pour mourir de froid.
Donc, que l’enfer soit absolu ou pas ne change rien au fait que nous sommes déjà en enfer par le comportement de certains (pas besoin de détailler, ils sont facilement identifiables) et nul besoin des animaux, qui subissent eux aussi l’enfer dû aux mêmes que ceux précités.
Il paraît que la nature se venge tôt ou tard, le plus tôt serait le mieux qu’elle engloutisse bien vite toutes ces raclures.
Tiens voila j’ai fait un vœu du coup ;)
Oui, vous avez bien fait un « vœu », et s’il pouvait être exaucé en 2020, dès janvier si possible… ;-)