Les « vacances », et c’est la canicule.
Je respecte à la lettre les conseils/directives de nos “édiles” — ministre de la Santé / de l’Intérieur / Premier ministre, etc. — en restant cloîtré chez moi, stores baissés, ventilateur en furie et réfrigérateur rempli d’eau gazeuse bien fraîche.
Pour passer le temps, je me suis rabattu sur Netflix — honte à moi —, et après avoir dévoré la série Lucifer, je suis tombé sur l’ovni « La Casa de Papel »…
Moi qui ne peux supporter une série française, je me suis dit qu’une espagnole relevait du sadisme.
Eh bien non ! Quel plaisir !
En fait, ce qui m’intéresse, c’est l’aspect photographique/cinématographique, et, croyez-moi, il y a de belles trouvailles, du beau boulot !
Bien sûr, il y a des moments très « série », mais parfois, et même souvent, il y a de véritables surprises.
Règle des tiers (w), du centre, du milieu, dérogation aux règles, tout y passe…
Gestion des plans, du flou, du bokeh (w)…
Un régal !
Bon, je viens juste de finir la première saison — 13 épisodes —, soit 610 minutes, et je me demande comment ils vont bien pouvoir trimballer deux mille quatre cents milliards d’euros en billets de cinquante, mais ça, finalement, je m’en fous !
© PF/Grinçant.com (2019)
(w) Lien Wikipédia
Dans la saison 2, je suis sûre que vous allez savourer le passage où le professeur justifie ses actes (la BCE en prend pour son compte !!).
Prenez bien soin de vous ! C’est toujours un plaisir de vous lire !!
J’ai abrégé votre nom afin de vous rendre plus « anonyme », sans pour autant vous attribuer un nom de ville. ;-)
Oui, effectivement, j’ai apprécié cette « justification » qui était plutôt bien vue.
Et s’il n’y avait que la BCE dans ce cas… :-/
Merci pour vos bonnes ondes :-)