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Vie

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Un coronavirus qui me fait grincer, j’ai testé

Alerte, suspicion de Covid-19 !
Où ça ?
Chez Grinçant, bien sûr !
Bon, l’auteur (“PF”), pas le blog…
Sur le papier, j’ai tout pour lui plaire, à ce virus.
Puisque les « comorbidités » peuvent le transformer en drame absolu.
Diabète ? J’ai, mais stabilisé par un traitement.
Hypertension ? J’ai, mais plus ou moins régulée par trois médicaments.
Affaiblissement des défenses immunitaires ? J’ai, bien sûr !
Le pire, c’est mon insuffisance rénale qualifiée de « terminale ».
Plein de médicaments me sont interdits, et notamment les antibiotiques.
Alors le mot d’ordre est « PRUDENCE ABSOLUE » !

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Lâcher-prise et lâcher d’eau de février

L'œil de février 2020Plus personne dans la rue, ou presque, pour manifester !
Plus personne pour commenter/contribuer sur le blog !

Alors je prends mes aises, je me barre !
Début février, la météo redevient arrangeante, il faut en profiter.

Trois lieux différents, en trois fois.
Un peu de marche, environ 22 km au total.

Avec mon éternel sac.
Et mon précieux appareil photo.

Pour faire un billet qui n’apporte rien en référencement.
Pour faire un billet qui n’apporte rien en traffic.

Bref, un billet qui pourrait être  parfaitement… INUTILE !

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Joyeuse tranche de vie au salon de coiffure

Début d’une nouvelle année, je décide de me faire rafraichir la tignasse.
J’entre un peu en avance dans le salon de coiffure, c’est un « mixte ».
Ma coiffeuse habituelle est seule, et elle termine une cliente.
J’ai mes habitudes, je m’installe dans le coin d’attente.
Et je me demande quel sera mon choix pour des « extensions »…
L’année s’annonce joyeuse, donc autant mettre de la couleur !

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Quand vint 2020, ce ne fut pas vain — Vœux

Enfin, j’espère.

Que 2019 passe aux oubliettes ! Une année globalement particulièrement glauque, malsaine, pourrie.
Le problème de la pourriture, c’est qu’elle s’étend. L’application de la théorie du ruissellement. Ou les scories mycosiques qui tombent des « premiers de cordée » autoproclamés.
Le cynisme à son apogée. La bêtise à son apogée. La volonté de nuisance à son apogée. Le parasitisme et l’opportunisme à leur apogée.

De quoi clore une décennie décadente, sauf que, vieux débat, la nouvelle commence le 1er janvier 2020 ou bien 2021 ? Mathématiques ou sémantique, on risque d’en prendre pour une année de plus, c’est selon.

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“Vanlife”, ne tirez pas sur cette ambulance

Je ne sais pourquoi, mais je suis devenu friand de vidéos sur la « vanlife ».
Je ne parle pas des camping-cars — fabriqués/vendus comme tels — qui squattent les (beaux) lieux qualifiés de « spots » au point de les défigurer.
Ni de ceux qui naviguent de parking en parking, parfois même de centres commerciaux, probablement par goût de la promiscuité ou par dépendance de la société de consommation.
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Comme autant de petits cercueils déjoués

Dimanche matin.
Avant, ça n’était qu’un « rituel ».
Mais maintenant c’est devenu un jeu…

Alors que je cherchais des pistes sur des effets indésirables…
Une ophtalmo m’a répondu sèchement, pour évacuer le problème :
« De toutes les manières, si vous ne prenez pas vos médicaments, vous mourez ! »

Alors, le dimanche matin, je « joue ».
Je prends ma « case » du matin, et transfère le reste dans un pilulier bleuté.
Puis j’aligne les boites — vides — de mon « semainier », ouvertes, devant moi…

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Pénurie de médicaments, mais à quoi jouent les labos ?

Gélule d'Amlodipine 10 mg des labos MylanJe tends mon ordonnance — longue comme le bras — à mon pharmacien préféré…

Il fait la moue et me dit :
— Pour l’Amlodipine, j’ai un problème, il ne me reste qu’une boîte de 5 mg, et uniquement de 30 gélules. Et je pense qu’il va être difficile de trouver le complément…
— Mettez-la-moi de côté, et voyez ce que vous pouvez faire, je reviens cet après-midi.
Je suis habitué à repasser, car il n’a jamais tout en stock, mais je commence à en avoir marre de cette rengaine anxiogène quant à la pénurie/rupture de stocks.
Ma prescription est de 10 mg par jour, là il m’annonce que j’aurais juste de quoi tenir 15 jours !…

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Histoire de ma FAV, un thriller qui finit mal

Ma fistuleInsuffisance rénale « terminale » diagnostiquée en octobre 2018.
Sortie de l’hôpital le 9 novembre — presque un an jour pour jour — après vingt-et-un jours qui m’en ont paru cent.
Vie bien évidemment bouleversée, et épée de Damoclès permanente dans le dos, enfin à priori.
Engagement dans un « parcours greffe », avec des examens à n’en plus finir…
Mais surtout, « au cas où », on essaye de me convaincre d’accepter une opération particulière pour que je sois « prêt » si la dialyse s’avère indispensable.
Cette opération, c’est une « FAV », pour « Fistule artério-veineuse ».
Cela consiste à relier une artère à une veine qui va « s’artérialiser » avec un débit similaire, permettant ensuite de l’utiliser comme point de ponction/de détournement en dialyse. Bref, un truc pas sympathique du tout, d’autant que je n’en veux pas, de la dialyse.
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Grisailles à 180°

Ralentissez !Une belle journée prise en étau par la grisaille.
Un lac presque asséché malgré toute cette pluie.
Comme si tout ne tournait pas rond.
Alors, autant en rajouter.
Enlever les couleurs pour tout passer en gris.
Partir avec un objectif improbable pour photographier.
S’approcher de frayères à poissons avec un… “fisheye” !
Bon, c’est pour le clin d’œil, car elles sont aussi à sec.

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Des petites joies du jour

Après « Et si cela avait été ma dernière randonnée ? », je me dois de rassurer.
J’en avais fait une toute petite (5 km), la semaine dernière.
Et aujourd’hui, je me suis lancé dans une de 6,5 km qui, au final, en a fait… 11 !
Les joies des richards qui s’approprient des pans entiers de notre France.
Les joies des clôtures et des portails au nom de la « protection », officiellement de la nature, mais en fait de la… « propriété » !
Les joies des dernières cartes IGN (numériques) en décalage avec la réalité du terrain.
Bref, j’y étais habitué, “avant”, et j’ai finalement joyeusement retrouvé ce genre de joies.

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