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Psychologie

Psychologie

Des petites joies du jour

Après « Et si cela avait été ma dernière randonnée ? », je me dois de rassurer.
J’en avais fait une toute petite (5 km), la semaine dernière.
Et aujourd’hui, je me suis lancé dans une de 6,5 km qui, au final, en a fait… 11 !
Les joies des richards qui s’approprient des pans entiers de notre France.
Les joies des clôtures et des portails au nom de la « protection », officiellement de la nature, mais en fait de la… « propriété » !
Les joies des dernières cartes IGN (numériques) en décalage avec la réalité du terrain.
Bref, j’y étais habitué, “avant”, et j’ai finalement joyeusement retrouvé ce genre de joies.

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L’autel de mon arbre

Vous le savez probablement, j’ai trouvé « mon Arbre »…
Problème, il fait moche, et je sors — hélas — de moins en moins.
Alors il me manque, terriblement.
J’ai bien une lampe fabriquée avec des douelles — en chêne — de vieille barrique, mais cela ne le remplace pas.
Le couper et le ramener chez moi serait une mauvaise solution, d’autant qu’il couvre presque 600 m² au sol…
Même lui enlever un bout d’écorce me ferait mal aux tripes.
Alors j’ai trouvé une (bonne) solution !

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Drôle d’ambiance

Le temps passe, passe.
Et, au-delà des problèmes de santé, force est de constater qu’il y a comme un je ne sais quoi qui ne va pas.
De la morosité, du spleen, voire du dégoût.
D’où un syndrome de la page blanche, ou de l’écran vierge, du clavier déserté.
Et du blog livré à lui-même, assurant seulement la maintenance technique, le minimum vital quoi.

Mais force est de constater aussi que je ne suis pas le seul.
Rita a décidé de partir vivre en Inde, marre de la France !
Valérie est en stand-by, tentative de changement de vie dans un monde en inertie.
Une blogueuse que j’affectionne semble également en panne.

Mais la vie continue, on s’y accroche.
Dans une ambiance que je trouve de plus en plus glauque.
Dans une France qui me donne de plus en plus la nausée.
Dans un climat malsain, voire toxique.

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Sur mes chemins de décembre, bizarroïdes

Alors que l’épuisement est plus rapide.
Et pendant que l’ambiance vire au sordide.
Je fais tout pour rendre les choses plus limpides.

Pour changer de Macron et de son teint livide.
Je fuis le vide en continuant à être mon guide.
Constatant avoir pris un peu de bide et quelques rides.

Rien de mieux pour rester lucide.
Que d’aller dans des zones humides.
En quête de tout ce qui semble fluide.

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Un pilulier désirable pour effets indésirables

Case de pilulierAprès un bivouac de 21 jours à l’hôpital, le traitement médical !…
Le réfractaire aux médicaments, le réfractaire aux soins est résigné.
C’est fou comme l’on s’adapte dans certaines situations !
Presque devenu un rat de laboratoire.
Outre une injection par quinzaine contenant du hamster…
Des pilules, des gélules, des comprimés, de la poudre…
Au total, onze médicaments différents et presque simultanés !
Chaque jour, vingt-cinq trucs à avaler, plus deux sachets !

J’ai beau être organisé, j’ai été dépassé par les événements.
Désarçonné que j’étais devant ma palanquée de boites et tubes.
À devoir extraire des opercules des substances diverses.
À ne pas en oublier tout en évitant le surdosage.
À me demander comment faire en déplacement.
Et je me suis dit : « Il m’en faut un ! »
Un quoi ? Ben un pilulier !
Et même un gros, un « semainier » !

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Mes coulisses d’une étape du Tour de France 2018

J’y étais ! Où ça ? À une étape — la seconde — du Tour de France cycliste 2018 !
J’ai dit que je me foutais de la Coupe du monde de foot…
Eh bien c’est pareil pour le cyclisme et le Tour de France !
Par contre, je regarde parfois, à la TV, car on y découvre la France vue d’hélico.
C’est aussi un spectacle curieux, avec un public qui — à mon avis — ne lit pas ce blog.
Là, j’avais l’opportunité d’aller y jeter un œil, pour l’arrivée du jour à La Roche-sur-Yon, en Vendée (85).

Arrivée prévue aux environs de 17h30…
Et devinez à quelle heure j’y suis allé… À 10h00 !
Bien sûr, c’était avec mon air débile, et surtout un appareil photo.
Je voulais voir l’organisation, les moyens techniques, notamment télévisuels.
Et aussi saisir quelques scènes, quelques tronches, un peu de l’ambiance de préparation.
J’avoue ne pas avoir été déçu, car c’est assez impressionnant !

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“C’est quoi ces délires, Grinçant ?”

Entendu dans la vie réelle, par rapport à certaines publications récentes sur ce blog…
Le genre de billet avec des photos, et une histoire autour.
Est-ce l’histoire qui est illustrée, ou les photos qui sont enrobées ?
Visiblement, ça semble « décalé », et même ça ne passe tout simplement pas.
Visiblement, il y a de moins en moins d’imagination, de rêve dans les têtes et les cœurs.
Visiblement, les « degrés » de compréhension se résument au premier, au singulier.
Et tout ce qui est singulier devient plus que jamais anormal, voire inquiétant.
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Mort d’un smartphone

Comme un acte manqué, c’était jeudi 31 mai.
Je me suis arrêté pour prendre une photo d’un truc qui m’énervait, et, en revenant à ma voiture en courant, j’ai entendu un objet tomber par terre…
J’ai alors vu mon smartphone faire une glissade devant moi, sur le macadam, écran côté bitume.
Une fois sa course effrénée stoppée, je me suis baissé pour le récupérer.
Légère appréhension en le retournant…
Mauvaise surprise, écran fêlé/brisé !

J’ai appuyé sur le bouton habituel pour le réveiller, et l’écran s’est illuminé…
Mais, rien à faire, le « tactile » ne répondait plus !

Voilà ce que c’est que de se presser sans raison.
Voilà ce que c’est que de ne pas verrouiller son étui de ceinture.

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Balade bucolique dans un cimetière

Drôle d’alternative à une randonnée.
Une balade « bucolique » dans un cimetière.
Alors que je suis totalement agnostique.
Et que ce cimetière ne représente rien pour moi.
Sinon un cimetière « de ville », ordinaire.
Un cimetière où j’étais quasiment le seul « vivant ».

Ce jour, entre 18h15 et 19h30, je m’y suis promené.
Presque sacrilège, je photographiais !
Si vous regardez, c’est inspirant.
On y parle beaucoup d’anges.
Les salauds semblent ne pas y être.
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