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PF/Grinçant.com

FNAC et LDLC, je bloque, à la limite du spam !

Logos FNAC/LDLCTrop, c’est trop ! Surtout quand ça n’est pas judicieux !
Je viens de faire un rapide bilan, sur les six derniers mois — en fait exactement 180 jours —, mon « Top 10 » des mails « commerciaux ».
Et dans ce « Top », hier, je me suis désinscrit, rageusement, des listes de deux de ces « émetteurs », ou plutôt de ces « envahisseurs ».
Je ne comprends pas ces techniques marketing exagérément agressives, et surtout en mode « bourrin ».
Et au passage, mon exaspération est telle qu’ils risquent de ne plus me voir comme client.
Mon bilan semestriel (depuis le 1er septembre 2019) :

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Juan Branco, un mec qui a des cojones

Après B comme…
B comme… Branco, Juan, l’avocat.
Presque tous les « médias » s’excitent sur lui suite à l’histoire de bistouquette de Benjamin. Et un tel acharnement, assorti d’une volonté manifeste de le piéger, a éveillé ma curiosité.
Ma première réaction a été de le voir comme un petit… branleur ! Mais plutôt sympathique.
Et j’ai entendu dire qu’il avait défendu des Gilets jaunes.
Puis qu’il avait lutté contre Hadopi, avec la Quadrature du Net, si vous connaissez.
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Panne, et syndrome inconscient du gilet jaune

C’était maintenant il y a un peu plus d’un mois, ma Xantia me faisait une crise de jalousie.
Dans l’ordre, voyant “Batterie”, puis “Freins, danger” assorti de “STOP”.
Progressivement, sur une quinzaine de kilomètres, perte de la direction assistée, puis perte de la suspension hydraulique, et enfin, plus de freins du tout !
Arrêt au frein à main/frein d’urgence, à deux heures du matin, dans la nuit noire, sous la pluie, sur le bord — heureusement praticable — d’une route départementale.
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Marre des étiquettes indécollables !

Nous sommes tous des voleurs, c’est bien connu !
Notamment dans les grandes surfaces, comme si nous n’avions que cela à faire, à décoller/recoller/inverser des étiquettes pour payer le juste prix…
Là, petite boutique « Arts de la table », pour acheter des couteaux à steak.
Faisant la gueule devant des « coffrets » dont le contenu me semblait tout droit venu de Chine…
Eh oui, la « coutellerie » « à la française » n’est plus ce qu’elle était !…
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B comme…

B comme Biroute…
B comme Bistouquette…
B comme Braquemart…
B comme Branlette…
B comme Bérézina…
B comme… Benjamin !…
Mais quel bordel, avec tous ces branleurs qui méritent plus qu’une branlée !

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Rendez les déjections canines utiles !

Voilà une idée qu’elle est bonne !
Une borne pour déjections canines à côté d’une… boîte aux lettres !
Vous avez le distributeur de petits sacs, et ensuite le choix…
Soit vous mettez le tout dans la « poubelle », en levant le couvercle…
Soit vous aplatissez la chose, et vous glissez votre pli dans la fente de la boîte aux lettres de La Poste qui n’a forcément pas été installée là par hasard :

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Grue à tour sur porteur mobile

J’en veux une !
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours été fasciné par ce genre d’engin.
C’est plutôt rare, et je viens d’en croiser une.
C’est une Liebherr, et d’après mes recherches ce serait une MK 88.
Tenez-vous bien, cet engin se déploie automatiquement et peut atteindre une hauteur sous flèche de près de 60 mètres !
À portée maximale, ça ne peut pas porter plus de 2 tonnes, mais c’est assez pour me soulever.
48 tonnes en ordre de marche.
Et sur la route, ça atteint le 80 km/h… Bon, j’imagine que c’est après avoir replié tout ce barda !
Ça commence comme ça, positionnement en une quinzaine de minutes :

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Expérience d’achat — Content de dépenser plus

Bagage caine SamsoniteBesoin d’un bagage « Cabine »…
Je décide de privilégier le commerce local autant que possible.
Après un bref tour d’horizon, exit un magasin de bagages situé dans un centre commercial pour motif de manque de convivialité.
J’opte pour les Galeries Lafayette de cette ville de province, et ce sera d’ailleurs une occasion pour découvrir le lieu.
Ambiance morose, quasiment pas de clients.
Je prends l’escalator pour aller au premier étage.
Au fond, dans un coin, je repère quelques valises.
Oh, vraiment pas un grand choix !
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Comme un Sanderling dans la tempête

Celui-là, j’ai réussi à le photographier vendredi dernier.
À courir, au rythme des vagues.
Tantôt en les longeant, en bord d’écume.
Tantôt en les poursuivant, au rythme du flux et du reflux.
Gracile, agile, mobile, à picorer ce que les flots lui amènent.
Une vingtaine de centimètres de long, et une cinquantaine de grammes.
Il vient du cercle polaire arctique pour hiverner presque au chaud.

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