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Société

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De la patience, mais en salles d’attente…

Ah, les salles d’attente, je les adore !
Malheureusement, je fréquente essentiellement les « médicales ».
Vous savez, celles où l’on ne se parle plus.
Celles où chacun semble absorbé par son smartphone.
Celles où l’on ne dit que rarement « Bonjour » en entrant, et encore moins « Au revoir » en en sortant.
Celles où l’on peut observer les « patients » qui ne se donnent que rarement la peine de se mettre sur leur trente-et-un.
Celles où l’on éprouve des frissons à chaque fois que quelqu’un est appelé : Est-ce mon tour ?
Celles où l’on éprouve des déceptions quand l’on comprend qu’il faudra encore attendre.
Celles où l’on regarde sa montre quasiment toutes les minutes.
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Après la « crise du Covid », la « guerre », et encore Macron en pompier incendiaire !…

Les « gentils », nous, les Français, les Américains, et accessoirement les Ukrainiens.
Et le « méchant », Vladimir Poutine, un ex du KGB, président — plutôt aimé par son peuple malgré qu’il soit qualifié de dictateur — de la fédération de Russie depuis le 26 mars 2000.
Pas un petit minet issu d’une banque d’affaires, et président uniquement par collusions, trahisons et… affairisme. De la même catégorie qu’un Justin Trudeau (dictature du Canada), c’est vous dire…
Macron nous fait chier depuis près de 5 ans, en fait plus, mais plus ou moins dans l’ombre, merci François Hollande.
Et il a carrément déclaré vouloir « emmerder » une partie des Français — normalement des concitoyens —, ce qu’il a fait avec sa clique de raté(e)s.
Que fait Poutine ? Il s’occupe des « russophones » maltraités par le régime ukrainien…
En plus, il protège la Russie contre les manœuvres des Américains via l’OTAN et ses inféodés/toutous de service.
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De la grotte du Père de MONTFORT à la crotte de Martin HIRSCH

Après avoir vu l’arbre « remarquable » nommé « Les Cinq Jumeaux ».
Je vous emmène un peu plus loin dans cette troublante forêt, celle de Mervent, en Vendée (85).
Là, un peu plus bas, il y a la « Grotte du Père de MONTFORT ».
Un lieu où s’est retiré à trois reprises — pour « prier dans la solitude » — « Saint » Louis-Marie GRIGNION (1673-1716).
Sur le parking, la pancarte indique :

« Dès 1701, il se met au service des 400 pauvres de l’hôpital général de Poitiers puis à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris (5 000 pauvres), comme aumônier.
Il est chassé de cette institution pour ses manières trop peu conformes avec la façon d’exercer le sacerdoce à l’époque. »

Cela me fait un peu penser au professeur Christian PERRONNE que l’on a sali et à qui on a enlevé sa « chefferie » — service des maladies infectieuses et tropicales — à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches.
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Et maintenant, j’ai mon pass vaccinal !

Deuxième dose (Pfizer/BioNTech) le vendredi 11 février 2022 — 9h30.
— Sept jours après, vous aurez votre pass vaccinal valide !
— Ça nous fait vendredi 18 ou samedi 19 ?
— Ah, ça je ne sais pas !

Si elle sait piquer, la pharmacienne n’a pas tous les éléments pour compter.
Alors j’ai utilisé TAC Vérif — l’application des collabos qui « contrôlent », normalement interdite aux personnes « normales » — pour en avoir le cœur net.
Et ce matin à 8h30 — donc le 18/02 —, mon pass « vaccinal » apparaissait comme « VALIDE » !
Pas moyen de s’y opposer, c’est automatique, mathématique et même algorithmique.
Je peux toujours déchirer la version papier, il sera toujours là, actif.
Et ce serait hypocrite, car je peux toujours le réimprimer.
Le genre de truc qui me brûle les mains.
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La photo apaisante du jour

Samedi 12 février 2022, en début d’après-midi.
En plein hiver, mais comme une ambiance printanière.
Dans ce superbe pays qu’est la France.
Un pays qui ne demanderait qu’à être tranquille.
Un pays où nous pourrions/devrions vivre dans la sérénité.
Mais un pays qui est devenu invivable.
À cause de quelques crevures opportunistes.
À cause de traîtres à la nation de la pire espèce.
À cause de gens qui ne veulent qu’une chose, nous spolier et nous emmerder.
Alors, dans cette ambiance délétère et putride…
Je suis tombé en arrêt devant cette scène reposante.
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Messages d’inquiétude

Merci aux personnes qui m’ont adressé un petit mail teinté d’inquiétude face à un blog bien silencieux ces derniers temps.
J’ai répondu presque toujours la même chose :

« Merci de vous inquiéter.

Je vais, disons… au mieux ! (Dans le contexte qui est le mien et dont vous devez avoir connaissance si vous me suivez.)

J’ai fait comme une pause, doublée du syndrome de la page blanche. »

Pas de copié/collé, message adapté au cas par cas, mais l’idée est là.
Ah, le fameux « syndrome de la page blanche » !
Il faut dire qu’il est tenace celui-là, surtout en ce moment !
Et pourtant, j’aurais mille choses à dire — et donc à écrire, enfin normalement —, mais je suis comme paralysé par la consternation.
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Pénurie et alarme dans le caleçon

Mi-novembre, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je ressors un caleçon de la machine à laver avec une grande déchirure sur le devant.
Le genre de découpe bien travaillée, comme faite au cutter.
Est-ce l’œuvre de l’une de mes merveilleuses pinces à chaussettes pour conserver les paires en paires ?
Toujours est-il que je suis atteint psychologiquement par cet événement, et que je me mets en quête d’un remplaçant.
C’est du Leclerc, marque Tissaia, et c’est vendu par lot de deux à 9,95 €.
Le coton est soi-disant « bio », et le style me convient, car c’est « cool » et confortable, notamment pour dormir.
Je déteste les trucs moulants/collants pour les hommes-ersatz qui se rasent, voire s’épilent de partout.
Je fonce à l’hyper Leclerc n° 1, il y en a, mais seulement en tailles 2, 5 et 6 alors qu’il me faut du 4.
Je décide de suivre le dossier avec attention, et de passer par les caleçons à chaque visite dans le magasin.
Mais je vois le « stock » en rayon s’épuiser rapidement, jusqu’à atteindre seulement trois lots, et plus qu’en taille 6, genre pour catcheur.
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Des fèves à vous faire gerber la galette des rois

Troisième galette « frangipane » de l’année.
La première, j’étais le roi, la fève était plutôt mignonne, et mon invitée l’a emportée.
La seconde, j’étais encore le roi, et j’ai failli hurler devant la fève.
La troisième, je m’en occupe en ce moment en mode « solo », donc je suis forcément le roi.
D’ailleurs, je suis tombé sur la fève en la découpant, donc elle a été immédiatement retirée.
Mais que se cachait-il donc dans cette frangipane soi-disant « Bio » ?
Doctor Strange ! De quoi accompagner mon Soldat de l’Hiver de la fois précédente.
Mais comment peut-on faire de telles horreurs ?
Qu’est devenue cette jolie tradition ?
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Sidération, consternation, prostration

Décidément, j’avais bien raison de faire des « Non-Vœux pour 2022 ».
D’autant que je ne me souhaitais rien à moi-même, c’est dire.
Et j’ai embrayé sur un seul texte, « La bave du chien noir ».
À lire au second degré : en plus d’être une anecdote, c’est une ellipse, une allégorie.
Je ne veux rien aux chiens, bien sûr, même s’ils sont souvent à l’image de leurs maîtres.
Quinze jours sont passés sur 2022, finalement assez tourmentés.
Je traîne une crève depuis fin décembre, mais ça n’est pas du « Covid », enfin a priori.
Donc je reste enfermé, comme un grand, privé de photographie, privé de randonnées.
J’avais aussi un challenge — impossible — à remporter, mais je l’ai perdu.
Alors j’ai reçu le 8 janvier 2022 une enveloppe que j’attendais en cadeau de Noël 2021.
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La bave du chien noir

C’était le 21 novembre 2021.
Sentier de randonnée récupéré sur le Net et transféré sur ma tablette.
Pas grand intérêt, des chemins et des petites routes de campagne, histoire de faire treize kilomètres.
En plus, la météo était grisâtre, tristounette, et même avec du crachin à certains moments.
J’étais accompagné d’une amie, et nous discutions au fil des pas.
C’est en dépassant ce chien, sur la gauche, que j’ai compris.
Un chien noir, ordinaire, une vingtaine de kilos, tapi sur le talus.
Mais il avait un regard spécial, vicieux, malsain, retors.
Dès qu’il fut derrière nous, il se leva, et se montra d’une grande agressivité.
En aboyant et en montrant les crocs, en se baissant comme s’il allait attaquer.
Devant, à environ quatre-vingts mètres, sur la gauche, il y avait une maison, avec une voiture garée.
J’ai compris que j’avais raté un embranchement, et que nous aurions dû tourner un peu plus tôt.
Pas de panneau « propriété privée », pas de barrière, non, juste ce chien noir.

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