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Médecine

Médecine

Boîte de Galvus vendue comme neuve

Pharmacie : Je ne suis ni Cyclamed ni une poubelle

Plus de cinq ans de fidélité à cette pharmacie…
Avant-hier, je passe ma « commande » par mail, comme d’habitude
Le renouvellement de mon traitement pour le mois.
Hier matin, je vais récupérer mon petit sac, il était prêt.
À l’intérieur, neuf boîtes de médicaments.
Pour un total de 301,76 euros.
En plus d’être fidèle, je suis un « bon » client !

Une fois chez moi, je m’attelle au rangement de tout cela.
J’ai un tiroir dédié où tout est soigneusement ordonné.
Mais je tombe en arrêt devant l’une des boîtes.
Du Galvus, un antidiabétique, et là c’est le « princeps ».
Tiens donc, on ne m’a pas donné le générique « Vildagliptine » ?
Ma foi, je préfère.
Sauf qu’il y a comme un problème…

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Bouddha rieur - Soyons zen

Analyses de sang : 40 % de mauvais résultats, c’est… génial !

Mi-janvier, j’avais une « Protéine C réactive » (CRP) un peu en dehors des clous (56).
Je devais faire une prise de sang de contrôle/suivi début février.
Mais, comme j’ai eu l’exérèse d’un kyste le 3 février, j’ai décalé ce contrôle.
En effet, je savais que cette intervention, même mineure, pouvait influer sur la CRP.
J’avais de grosses analyses (de routine, plus ou moins mensuelles) prévues pour « mi-février ».
J’avais décidé de les faire le jeudi 13 février.
« Préservation du capital veineux », il faut que je préserve mes veines, une directive en Néphrologie.
En effet, on ne peut me « piquer » qu’à droite, et si possible sur le dos de la main.
Sans parler du côté déplaisant/douloureux, pauvre petite veine !

Hier matin, mardi 11 février, je me suis levé en mauvais état.
Fatigue, bouche pâteuse, avec un goût d’acétone.
Douleur dans l’abdomen.
Je me suis dit « Houlala ! »…

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Ramené de Lourdes : fiole d'eau bénite

Santé : le danger des “soins” et “intentions” ésotériques

Tout d’abord, qui vous parle ?
Un homme, d’un peu plus de 56 ans en 2018.
À ce moment-là, tout, ou presque, lui était tombé sur la tête.
Des « ennuis » à n’en plus finir, et des mauvaises ondes de partout.
De la fatigue et des douleurs, donc visite chez ma généraliste.
Prescription d’analyses biologiques : sang et urine.
Un samedi matin, le laboratoire s’affole pour joindre un médecin du cabinet.
Finalement, ce sera un fax qui sera le plus efficace.
Je suis convoqué immédiatement par une toubib de permanence.
Elle était en totale panique, à la limite de l’apoplexie.
Elle a tout fait pour que j’aille aux Urgences, en… urgence !
J’ai refusé, disant qu’il devait y avoir une erreur.
Et j’ai demandé une prescription pour de nouvelles analyses.
Quatre jours plus tard, j’avais les résultats, ainsi qu’un rendez-vous avec ma généraliste.
Pour m’accueillir, elle me lance : « Vous n’êtes pas encore mort, vous ? »
Petit passage chez moi pour faire mon « package ».
Et me voilà, muni de ma lettre, à l’entrée des urgences.
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Kit pansement pour plaie suturée

Chez le dermatologue : vais-je être recousu ?

Demain matin, je vais chez le dermatologue.
Pour l’exérèse d’un kyste.
Ça a été la croix et la bannière pour obtenir cette petite intervention chirurgicale.
Ma généraliste avait seulement obtenu une « téléexpertise » de l’hôpital.
En envoyant des photos prises au smartphone, et en remplissant un dossier en ligne.

« Si, après traitement de la surinfection, l’aspect clinique confirme le diagnostic kyste sébacé et que le patient désire le retirer, vous pouvez l’adresser à un chirurgien plasticien. »

Alors, c’est ce qu’elle a fait, une lettre d’adressage à un chirurgien esthétique, à la clinique du coin.
Oui, mais sa photo et sa façon de se présenter ne m’inspirent pas.
Alors, je me suis retourné vers le cabinet de dermatologie où j’ai mes habitudes, à 75 km.
Normalement, je dois faire une « exploration » (préventive) par an, mais ils n’en font plus.
Désert médical oblige, ils ne s’occupent plus que de ce qui est « malin », genre mélanome.
Pour moi, c’est donc une exception : Merci docteur !
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Médicaments : mes emplettes du mois à la pharmacie

Ordonnances et médicaments : le jeu du QSP

Je préfère en rire.
Sur la photo, c’est le résultat de ma dernière virée à la pharmacie.
J’avais passé commande par mail — six ordonnances — pour être sûr de tout avoir.
Il y a un peu de tout.

Quinze boîtes, si je compte bien, presque toutes différentes.
Et encore, il n’y a pas tout, il me restait de l’Orocal et du Doliprane.
J’en fais une œuvre d’art.
Un peu comme la Pyramide de Chéops.
Une façon de dédramatiser.
D’autant que je me demande même si je ne pourrais pas me passer de tout ça.

L’occasion, toutefois, de revenir sur la notion de « QSP ».
« Quantité suffisante pour ».
C’est ce qui est écrit sur les ordonnances.
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Hall de l'hôpital : les bornes d'accueil

Mes jeux préférés : Doctolib et les bornes

Être « malade » est de plus en plus compliqué.
Ce matin, je me lève de (très) bonne heure.
Pour me poser un patch sur la main pour une prise de sang.
Il faut au moins une heure pour qu’il fasse un minimum d’effet.
En attendant, je décide de prendre un rendez-vous chez ma généraliste.
Première date disponible, via Doctolib, le 26 février, soit dans 41 jours !

7h00 du matin, dans la nuit hivernale, je suis sur le parking de l’hôpital.
Arrivé dans le hall, je me dirige vers les bornes.
Je m’arrête à la première et ne vois que deux options :

  • « Je veux mettre à jour ma carte vitale »
  • « J’édite mon bulletin de situation »

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Bière qui mouuse = Urine qui mousse ?

Pipi qui mousse, faut que tu tousses

Titre humoristique
Et, pour la photo, je vous rassure, c’est de la bière.

Je viens de regarder une vidéo d’une jeune femme atteinte d’insuffisance rénale chronique (IRC).
Elle est touchante, et ce qu’elle raconte est terrible.
Mais je n’ai pu m’empêcher de sourire, voire de rire en l’écoutant.
Se moquer d’une descente aux enfers, quelle honte, quelle désinvolture.
Mais je n’ai pas pu me retenir, et je lui souhaite de faire de même.
Son DFG (la « clairance ») était à 28, il est descendu à 16, et à 15 c’est le stade « terminal ».
Donc, elle a en perspective, avec horreur, la dialyse, et, éventuellement, la greffe.
Question DFG, j’étais à 108, je suis entré à l’hôpital en urgence à 11 et j’en suis ressorti à 9.
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Le reflet de l'âme ?

Un ophtalmologue si humble

Je m’en souviens encore, douloureusement.
Le 23 novembre 2022, grosse contrariété.
J’ai ressenti une chose bizarre.
Et le lendemain, j’avais presque perdu la vision de mon œil droit.
Mon œil dominant, celui qui me sert, notamment, à photographier.
Et comme je suis un adepte du viseur plutôt que de l’écran…
L’ophtalmologue qui m’a pris en urgence a fait ce qu’il pensait devoir faire.
De délicieuses « injections intravitréennes » qui m’ont presque traumatisé.
À chaque nouvelle consultation, il parlait de « votre œil pourri ».
C’était de l’humour, mais un peu particulier.
Puis il m’a orienté vers une spécialiste de la rétine d’un autre cabinet.
Le 1er août 2023, double opération.
Vitrectomie pour membrane épirétinienne + Implant pour cataracte.
Et depuis, j’ai droit à des visites de contrôle régulières, maintenant semestrielles.

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Borne ticket Centre de prélévement biologique du laboratoire

Alors, j’y vais, à cette prise de sang ?

J’y vais, j’y vais pas ?
Telle était la question du jour.
« Préservation du capital veineux », c’est un mantra pour moi.
Me faire « piquer » le moins possible.
En aucun cas sur le bras gauche (porteur d’une FAV(1)).
Et, si possible, privilégier le dos de la main droite.
Cathéter/microperfuseur bleu, le plus fin, celui pour bébé.

Tous les trois mois, j’ai droit à un prélèvement spécial, pour les « Anti-HLA(2) ».
La recherche des anticorps, pour bien choisir l’organe, pour le fameux « match ».
Et pour limiter les risques de rejet après greffe.
Dans mon cas, je suis dans l’attente d’un rein, compatible et disponible.

D’habitude, j’ai une prise de sang mensuelle pour le suivi de mon état de santé.
Mais là, curieusement, la prochaine n’est que pour janvier 2025.
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Souriez, vous êtes chez le dentiste !

Dentiste : une taxe lapin en nature

Je suis à nouveau dans ce cabinet de dentiste.
Un peu inquiet, voire très inquiet.
Avant de (re)venir, j’ai relu les « commentaires », à son sujet, sur Google.
C’est une catastrophe !
Une note en dessous de la moyenne.
Et des avis/témoignages inquiétants, très inquiétants.
Certains sont tellement extrêmes qu’ils font presque (sou)rire.
Une vraie « tortionnaire » si on les croit.
Et elle ne répond pas pour se défendre.
Des fois que ces avis négatifs viendraient du cabinet voisin, ou d’un autre concurrent.
Mais heureusement, il y a quelques personnes satisfaites.
Qui ne comprennent pas cette descente en flèche presque généralisée.

Pour ma part, je suis mitigé.
Je pense qu’elle pourrait moins me faire souffrir, mais je n’en suis pas sûr.
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