Justice
Alors que cette boulangère continue à vendre ses donuts.
De gouttes décorés de bon matin.
Non pas de sueur, mais de rosée de décongélation.
Et qu’il existe un risque notoire que l’un soit encore de glace.
Causant l’éparpillement d’un dentier chèrement payé.
Y a-t-il un référé pour mise en danger de la dentition d’autrui ?
Alors que ce Président de la République.
Lire la suite »En se référant aux référés, la Démocratie enferrée
Bras armé de l’État, « officier ministériel ».
L’huissier de justice ne fait pas que des constats grassement payés.
Non, il notifie, il signifie, il fait exécuter…
Des expulsions notamment.
Et il saisit vos biens, pour qu’ils soient revendus une bouchée de pain.
Leurs écrits sont réputés inattaquables et il est souvent obligatoire de passer par eux.
Pourtant, certains d’entre eux sont de belles ordures, ou à minima des malfrats.
Leurs cibles privilégiées sont bien évidemment constituées de gens en difficultés, voire dans la détresse.
Auxquels ils veulent faire payer leurs droits/honoraires souvent surfacturés.
Lire la suite »Dictature par huissiers de Justice : UMP et socialistes, même combat de traîtres
L’on nous dit que, sous ce gouvernement, la justice fait au moins son boulot.
Enfin.
Après l’affaire Cahuzac, place à l’affaire Tapie.
Celle de l’arbitrage.
Escroquerie en bande organisée qu’ils disent.
Et l’on va nous égrainer les mises en examen comme les perles d’un chapelet.
Mais des perles sautent au passage, démontrant des entraves.
Protéger son bifteck (ou son minerai) est de moins en moins facile, et l’on peut comprendre certains actes commis pour défendre ses intérêts fondamentaux (notamment au regard de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948), ou tout simplement son honneur.
D’autant que les méthodes mises en œuvre actuellement sont extrêmement sournoises.
On ne tue pas, on n’exécute pas, mais l’on fait tout pour que le « problème » s’élimine de lui-même.
Et quand il s’agit d’êtres humains, nous avons des suicides, éventuellement par immolation.
Une vache, un mouton, lorsque son heure est venue, on l’emmène à l’abattoir, même si la destination finale est souvent le four, le barbecue, la broche.
Bonne nouvelle, Florence Cassez est sortie de sa prison mexicaine pour s’envoler vers la France quelques heures après la résolution prise par la Cour suprême du Mexique qui accorde le renvoi de l’affaire en appel : « Le jugement est annulé, le recours est accordé et la liberté absolue de Florence Cassez est ordonnée ».
Notez bien que cette décision a été prise car trois juges sur cinq ont estimé que ses droits constitutionnels avaient été violés.
Il ne s’agit donc pas d’une décision sur sa culpabilité, ni sur la peine prononcée, ubuesque, de 60 années de prison.
Bravo à son avocat français, Me Frank Berton, ainsi qu’à son homologue mexicain, Me Agustin Acosta.
Bravo également à la diplomatie française qui a certainement joué un rôle important.
Sortie après sept ans de prison effectués sur une sévère condamnation, fondée ou non…
Pouvons-nous maintenant demander à nos diplomates, à nos politiques, de s’occuper de nos prisons françaises ?
Lire la suite »Après Florence Cassez, le tour à nos détenus français ?
Vous le savez, les États sont dépendants des financiers, et notamment des banques.
Tout l’argent a disparu dans des dettes créées de toutes pièces.
Les banques ne financent plus rien…
Et comme elles sont maintenant capables d’entraîner des risques systémiques, elles rackettent les états et leurs citoyens.
Comme on dit, elles sont « Too big to fail », soit « trop grosses pour faire faillite »…
Mais il y a collusion entre ces mondes, à tous niveaux : politiques, financiers, multinationales…
Pour l’individu lambda, ça change quoi ?
Eh bien, il est en bout de chaîne, et c’est lui qui doit souffrir, quoi qu’il arrive…
On le voit bien pour la Grèce, l’Espagne, c’est la spirale infernale.
Pour la France, c’est pareil, sauf que cela ne se voit encore pas assez.
Sauf que nous risquons (presque) tous d’être concernés, et il vaut mieux être prévenus !
Il y a une drôle de bestiole sur le trottoir.
Les passants font tous un détour.
Ils la regardent avec un air horrifié.Lire la suite »De l’humanité des lucanes
Absent est le propriétaire.
Tranquille je suis pour instrumenter.
De sa porte je ne fais qu’une bouchée.
D’un serrurier, les talents je me suis assuré.Lire la suite »Ce n’est que justice
Je fréquente les marches du Palais.
Je forme des magistrats.
Aujourd’hui, le palais de justice de Paris est mon fief.Lire la suite »Jugement sur la Justice