Parlons d’homme à arbre pour plus d’humanité
Quelqu’un, un jour, m’a donné un conseil fou.
Celui de parler à un arbre, si possible dans la forêt.
De manière à entrer en résonance avec lui.
Le toucher, l’étreindre, peau contre écorce.
Curieuse sensation, car il n’y a finalement rien à dire.
Effectivement, il se passe quelque chose.
Douloureux constat pour un cartésien.
Curieuse sensation pour un humain.
Délicate communion pour préparer son lendemain.