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PF/Grinçant.com

Poussez-vous, j’ai ma CMI !

Eh oui, pour dire que ça n’est pas du pipeau, mes problèmes de santé !
Moi qui suis réfractaire à tout ce qui est « système » et autres « commissions », j’ai dû m’y résoudre…

À la MDPH du coin, la réponse a été : « Monsieur, nous avons du retard, le délai d’instruction est de six mois à un an… »
Confronté à une situation nouvelle pour moi, je suis tombé de l’armoire, et ça m’a mis en colère.
Finalement, j’ai obtenu la « décision » en exactement un mois et demi.

Le courrier stipule :

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Voir Clisson et avoir des frissons

Petite virée toute simple.
Un peu de ville, un peu de campagne.
Pas loin de Nantes, il y a cette petite bourgade.
Clisson et ses environs, de quoi éprouver bien des frissons.

Nouvel appareil photo.
Une jolie bête à apprivoiser.
Regard et technique à concilier.
Pour vous embarquer dans mes sensations.

Allez, je vous prends par la main.
Et vous emmène visiter Clisson et ses environs…

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Drôle d’ambiance

Le temps passe, passe.
Et, au-delà des problèmes de santé, force est de constater qu’il y a comme un je ne sais quoi qui ne va pas.
De la morosité, du spleen, voire du dégoût.
D’où un syndrome de la page blanche, ou de l’écran vierge, du clavier déserté.
Et du blog livré à lui-même, assurant seulement la maintenance technique, le minimum vital quoi.

Mais force est de constater aussi que je ne suis pas le seul.
Rita a décidé de partir vivre en Inde, marre de la France !
Valérie est en stand-by, tentative de changement de vie dans un monde en inertie.
Une blogueuse que j’affectionne semble également en panne.

Mais la vie continue, on s’y accroche.
Dans une ambiance que je trouve de plus en plus glauque.
Dans une France qui me donne de plus en plus la nausée.
Dans un climat malsain, voire toxique.

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J’ai fait les soldes !

Ambiance de merde…
Dans ce centre commercial, premier lundi des soldes, j’ai jeté un œil dans divers magasins, comme ça, sans idée/envie particulière (je laisse le singulier).
Des boutiques vides de clients !
Des articles « soldés » moisis/pourris !
Des commerçants qui tirent la gueule.
Je pensais éventuellement à une eau de toilette bien précise, mais le prix est exorbitant, alors je vais faire durer mon fond de flacon.
Direction le Decathlon, je repars avec une paire de chaussures de randonnée — pas « soldées », mais en promotion (-22 %) —, en espérant qu’elles dureront au moins 2 000 kilomètres. De la « marque », mais elles sont fabriquées au… Vietnam !

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À Marseille, question savon, on n’exagère pas

Ah, les arguments commerciaux !
En général, c’est la surenchère.
Les marketeux ne savent plus quoi inventer.
Souvent compliqué, souvent mensonger.
Genre : « 30 % de sel en moins* »
Et c’est l’astérisque qui fait toute la différence…
« *que la moyenne des principaux biscuits du marché. »
Mais là, je tombe sur une recharge de savon de Marseille.

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Des vœux plein la vue

Encore une année qui s’efface.
Et celle-ci a été bien tenace.
Pour ce qui me concerne, probablement la plus marquante de ma vie.
Qu’elle se termine est à cet instant ma plus pressante envie.

« Quand la santé va, tout va ! »
Eh bien justement, ça a déconné — aussi — sur ce point, gravement.
« Vous ne seriez pas venu, vous seriez mort ! »
M’a-t-on dit à l’hôpital, foi de spécialistes.

On m’a tellement perfusé que ma vue est devenue trouble.
Presque impossible de visualiser mes écrans.
« La cataracte », m’a déclaré lapidairement un ophtalmo de l’hosto.
Sauf que ce diagnostic-là était celui d’un rigolo.

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Joyeux Noël petit poney !

Je t’ai croisé hier et je pense encore à toi.
Tu avais l’air triste, mais comme je te l’ai dit, tu devrais être heureux.
Pas de dinde, de chapon, de bûche, de l’herbe, tout simplement.
Pas de Champagne, de mousseux, de vin aux sulfates, seulement un peu de rosée ou à même les flaques.
Pas de vaines dépenses à Auchan, car tu es au champ.
Pas de commande sur Internet, tu es difficile à monter en Amazon.
Pas de père Noël, il préfère les rennes.
Pas de sapin, ni de guirlandes, ni de crèche là où tu crèches.
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Sur mes chemins de décembre, bizarroïdes

Alors que l’épuisement est plus rapide.
Et pendant que l’ambiance vire au sordide.
Je fais tout pour rendre les choses plus limpides.

Pour changer de Macron et de son teint livide.
Je fuis le vide en continuant à être mon guide.
Constatant avoir pris un peu de bide et quelques rides.

Rien de mieux pour rester lucide.
Que d’aller dans des zones humides.
En quête de tout ce qui semble fluide.

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Pathétiques branquignols

Mais comment est-ce possible, une telle nullité ?
On annonce, on annule les annonces, et on annule les annulations.
On continue à se prendre pour des cadors : « l’exécutif a probablement été trop intelligent, trop subtil », dixit Gilles Legendre, président des députés En Marche/LaREM…
Ben voyons, à ce stade, ça ne se soigne même plus, ce devrait être directement l’asile psychiatrique !
D’ailleurs, il y a de quoi se poser de plus en plus de questions sur la santé mentale du « super premier de cordée », jupitérien chapeau pointu à ses heures de « maître des horloges ».
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J’ai encore perdu un abonné Twitter !

Mon compteur était à 40, il est passé à 39…
Mon maximum historique a été de 50.
Et je suis longtemps resté scotché à 42.
Je viens de perdre — encore — un “follower” !
Normal, il y a de moins en moins de choses à picorer ici.
Normal, je ne joue pas le jeu, je ne suis abonné à personne.
Normal, Twitter ne me sert que pour « horodater » mes publications.
Normal, j’ai toujours considéré les « réseaux sociaux » comme une plaie.
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