Ça y est, je suis définitivement zombifié !
Je viens d’avoir ma première injection « Anti-Covid » ce matin à 9h35.
Remarquez, le processus était déjà commencé depuis quelques jours puisque je mange des Haribo (“Rotella” et “Happy Life”) au petit-déjeuner, pour accompagner ma galette “Bio” à la frangipane.
La première d’une série de treize injections dans les six prochains mois.
J’ai fait faire ça à ma pharmacie habituelle.
L’injecteuse était jolie, et elle avait des petites mains froides, jolies aussi.
Du coup, je n’ai quasiment rien senti quand elle a profané mon biceps gauche.
On m’a demandé d’attendre quinze minutes avant de partir.
J’ai eu du « Pfizer Cominarty-30 adulte », ce que j’avais exigé, car 3,33 fois moins dosé en ARNm que le Moderna.
Je me retrouve avec une feuille « Synthèse des données de vaccination contre la Covid-19 ».
Je note dans la section « Patient(e) » l’édifiante mention :
« Le patient éligible, ou son représentant légal, a accepté d’entrer dans le processus de vaccination après avoir reçu toutes les informations nécessaires à son choix éclairé. »
Merveilleuse formule cynique et mensongère pondue par des racailles qui organisent leur intouchabilité et leur irresponsabilité à tous les niveaux.
- Non, je n’ai pas accepté, on m’y a obligé, et ce dans le cadre d’une greffe d’organe à venir.
- Non, je n’ai reçu AUCUNE « information nécessaire », surtout pour un « choix éclairé ».
Nous sommes dans le faux et l’usage de faux ! Ajoutons l’extorsion de consentement, le harcèlement et le chantage, sans oublier l’escroquerie à la Sécurité sociale (et donc aux Français).
Remarquez, il n’y a même pas ma signature sur ce document, seulement celle de l’injecteuse qui ne m’a pas dit si elle engageait sa responsabilité personnelle — civile et pénale — avec ses petites mains froides et son joli minois.
Maintenant, je vais voir si je capte la 5G, si mon smartphone reste accroché à mon bras, et si j’émets bien des codes en Bluetooth.
Prochaine injection (deuxième dose), dans vingt et un jours, le rendez-vous est déjà pris.
Bon, allez, je vais chercher une endive dans mon réfrigérateur pour discuter de tout cela avec elle…
© PF/Grinçant.com (2022)
Triste d’apprendre ça.
J’espère cependant que vous restez et resterez un antivax/complotiste/anticrasse malgré ce camouflet. N’hésitez surtout pas à actualiser l’évolution de votre situation ici même, quitte à balancer vos bourreaux dont les noms doivent circuler…
Bonne chance.
Bien sûr que je reste « antivax/complotiste/anticrasse »…
Et je reste bien sûr « antipass », même si je vais finir par en avoir un que je ne vais même pas utiliser, ne serait-ce que par principe.
Je suis en train de découvrir — et de me voir confirmer — d’autres éléments, de l’intérieur, d’où le ton de la présente Brève.
« Camouflet » ? Je ne sais même pas tant mon cas — assez ultime — fait « désordre » !
PS : Pour « antivax », je parle de cette merde soi-disant « anti-Covid », pas du reste. Et vu que je file vers 13 injections, difficile de me qualifier ainsi. Notez que j’avais fait la grippe en novembre 2019, et surtout le rappel tétanos (3 injections) en avril 2019.
–> « Et je reste bien sûr “antipass”, même si je vais finir par en avoir un que je ne vais même pas utiliser… »
Dois-je comprendre que ce pass n’est pas demandé pour les soins ?
« Dois-je comprendre que ce pass n’est pas demandé pour les soins ? »
Exact pour ce qui me concerne, à condition de savoir faire.
Pas plus tard que pour mon rendez-vous de lundi 17/01/2022, échange avec la secrétaire :
— Votre pass sanitaire Monsieur ?
— Je n’en ai pas !
— Alors votre test PCR négatif et de moins de 24 heures ?
— Je n’en ai pas non plus !
— Ah bon, très bien.
Elle a baissé le nez pour continuer à enregistrer ma présence et permettre ma consultation (programmée).
Dans ma sacoche, j’avais aussi, en réserve :
— Une communication officielle de l’hôpital qui précise : « Un patient n’ayant pas de passe sanitaire valide ne peut se voir refuser l’accès à un soin programmé si l’exigence du passe sanitaire génère un retard diagnostic ou thérapeutique générant une perte de chance. Dans ce cas, le patient est autorisé à se rendre dans son service de prise en charge. » (En fait une reprise d’une « réserve » du Conseil d’État ou du Conseil constitutionnel — je ne sais plus —, lors de la mise en place du pass sanitaire.)
— Un mail de la chef de service — en réponse à l’un des miens où je qualifiais ce pass d’infamie — qui me dit qu’aucun soin ne me sera « nié ».
J’ajoute, que pour d’autres services, je sais comment éviter le « contrôle » (un hôpital, c’est un dédale ;-)…
Pour le CHU — que je ne connais pas —, par contre, c’est une autre paire de manches, et je pense aussi pouvoir me débrouiller sans, mais ça n’est pas encore d’actualité. De toutes les manières, pour eux, l’important, ça n’est pas que j’ai un « pass », mais que je sois « injecté ».
Jusqu’au bout de la Brève, j’espérais le moment ou vous alliez annoncer un potache « Eh non ! Canular ! Je n’ai pas cédé au chantage !!! ». Malheureusement, ce n’est jamais arrivé.
C’est quoi sinon cette histoire de « choix éclairé » sur une simple feuille volante (si j’ai bien compris) ? L’absence de signature du patient, c’est parce qu’il n’y a pas de case prévue à cet effet ou parce que vous avez refusé de signer ? Je crois que c’est la première option, mais je demande, sait-on jamais.
Eh non, le titre n’est pas mensonger.
Pour moi le « chantage » n’est pas pour un café, un « canon », un restaurant, un voyage, un job, mais pour un accès ou non à la greffe d’un organe… « vital » !
Refuser cette possibilité de greffe et me voir crever plus vite serait encore une plus belle victoire pour « eux ». Donc, dans mon cas, je passe sous des Fourches caudines (pas seulement celle-là, hélas, c’est un « parcours ») aussi pour les… emmerder.
De toutes les manières, compte tenu de ce qui (re)démarre pour moi en ce début 2022, c’est presque un épiphénomène.
Là, dans le « pipe », c’est 13 injections « vaccinales », 7 examens/consultations (en fait 8), avant 3 rendez-vous en CHU pour une — éventuelle, ça n’est pas garanti — inscription sur liste d’attente pour un organe — si j’en obtiens un — qui aura 95 % (dans ma tranche d’âges) de chances d’être (déjà) à ARNm.
Non, il n’y a aucun « choix éclairé ».
Et il n’y a pas d’acceptation/validation par une signature de l’injecté(e). Je le savais, mais je viens de le vérifier.
Mieux, la « synthèse » — remise après injection — est ainsi conçue que c’est une chance inouïe pour vous, puisque non seulement on vous présente comme demandeur, mais aussi comme… déclaré — quelle chance — « éligible » !
Ça ne s’invente pas, et c’est stupéfiant. Tout est hors normes/hors des clous/dans une légalité d’un monde parallèle.
Je reviendrai peut-être sur le sujet dans un prochain article.
PS : Mon « injecteuse » — pharmacienne, devenu « prescriptrice » alors que j’avais une ordonnance — m’a posé quelques questions en remplissant un formulaire qu’elle a gardé et qu’elle ne m’a nullement demandé de signer (et dont je n’ai aucune copie).
C’est un peu la double peine, au final.
Des soucis et des angoisses pour une maladie chronique en phase terminale qui nécessite une chirurgie lourde puis un traitement et un suivi à vie, et comme si cela ne suffisait pas, on en rajoute une couche avec cette injection « obligatoire », générant soucis et angoisses supplémentaires, à juste titre, pour des produits expérimentaux qui n’ont pas l’air d’être si immunisants et dont on ne veut absolument pas, c’est de la torture mentale !
Or, on n’a jamais refusé (enfin « on ne DEVRAIT jamais », mais ça aussi, c’était AVANT !) de soigner ou d’opérer un patient atteint du sida, même dans les années sans traitements efficaces, et on n’a jamais exigé non plus que qui que ce soit soit vacciné contre la grippe ou le pneumocoque avant de se décider à le prendre en charge, ce qui se passe est donc très grave.
Au nom du principe de précaution, on nous fait entrer dans une spirale infernale de vaccinations à gogo.
Au bout du compte, nous n’avons plus ni libre arbitre ni choix réel quant à notre santé et notre précieux corps, nous sommes pris au piège de cette monstrueuse machination, et c’est ça qui est intolérable.
Pour ceux que ça peut intéresser et/ou rassurer, il y a sur un site dédié des conseils et des indications sur les produits, les protocoles, qui peuvent atténuer les effets secondaires de ces ARNm, ainsi qu’éviter les formes longues de Covid. Le problème, à mon sens, c’est qu’il faut un sacré budget, ce n’est donc pas à la portée de tout le monde, et va surtout enrichir les labos de compléments alimentaires, mais si c’est vraiment pour une meilleure santé naturelle, celle-ci n’ayant pas de prix, c’est bien connu, ça vaut peut-être le coup d’investir.
https://embellirsasante.fr/vaincre-l-infection-se-detoxifier-du-vaccin-protocoles-du-dr-resimont/
Voilà, je vous souhaite un surplus de gros courage, cher Philippe.
Chaque seconde de notre vie étant précieuse, je vous souhaite également une très belle journée.
Oui, c’est une « double peine », et c’est même de la torture tout court.
Le pire, c’est que cette « obligation » n’est fondée sur rien légalement et que la sanction, si je ne m’y plie pas, sera totalement occulte/cachée et sous la forme du refus d’un organe qui m’aura été pourtant attribué par tirage au sort et pour lequel j’aurais « matché » au niveau compatibilité : sur liste d’attente, mais je pourrais attendre, attendre… le déluge !
Pour vous dire où j’en suis, hier j’ai élaboré une « timeline » pour mes vaccinations, après avoir demandé conseil à ma pharmacienne qui était médusée. Je viens de soumettre ce document à ma généraliste qui me l’a validé tout en me disant que ça allait probablement « me secouer ».
À titre d’exemple, pour la piquouse ARNm, il ne faut pas avoir eu de vaccin dans les quinze jours qui précèdent ni dans les quinze qui suivent… Finalement, je vais me retrouver avec des jours avec trois injections d’un coup.
PS : Pour Engerix B (hépatite B), c’est du 20μg et non du 10μg, et en plus c’est double injection à chaque fois ! « C’est le protocole ! »
Flippant ce tableau, mais, mis à part la pharmacienne médusée, ça n’a pas l’air de beaucoup « secouer » les autres professionnels de la « santé », tous complices, hein ! Et puis « business is business », ça me fait irrésistiblement penser au sketch de Dieudonné — humoriste certes controversé, mais drolatique en sa meilleure époque — sur le délicat sujet du Cancer, et il arrive à en faire quelque chose de totalement hilarant/délirant, même pour ceux et celles qui ont vécu ça de l’intérieur, pour eux-mêmes ou leurs proches : c’est tellement bien vu, ce ponte oncologue, qui va essayer un nouveau protocole, plus destructeur que salvateur sur son pauvre patient, juste parce que ça va lui permettre de changer de bateau, pour un plus beau, un plus gros… Et depuis ça ne s’est guère arrangé, je le crains ! Mais bon, il doit bien en rester quelques-uns qui sont intègres et qui pensent au malade d’abord, disait-elle pour se rassurer ?…
Oui, « flippant », en effet, et c’est une infirmière qui le dit.
Ma généraliste était aussi consternée, surtout qu’elle connait bien ma position sur ces « vaccins anti-Covid » et cette mascarade.
Le pire, c’est qu’il y a des réactions/des choses — qui vont dans mon sens (historique sur le sujet) — que je ne peux pas dire pour ne pas nuire dans ce climat délétère/de collaboration-dénonciation, mais les lignes bougent, et dans le bon sens. ;-)
Hummm, la Vérité se fraie son chemin, avec peine, mais elle est en route, et personne ne pourra l’arrêter.
Pour ma part, j’ai pu constater, indépendamment de toutes les fake news qu’on nous balance avec constance dans les médias mainstream, qu’une majorité de ceux qui ont un schéma vaccinal complet, autour de moi, se chopent le virus. mon frangin. Philippe, qui ne jure que par le gouverne-ment et sa politique sanitaire, vient d’être malade comme un chien. Lui et son épouse, au retour de leur week-end à la mer en Airbnb, restau, etc. Tous endroits où, par la force des choses, il n’y a pas de non-vaccinés, normalement ; mon vieil oncle et sa femme aussi, des anciens du club sénior de ma mère, qui se sont fait injecter pour reprendre leurs activités, sont contaminés pour beaucoup et ont développé la maladie, certains avec hospitalisation !
Cependant, il est bien inutile d’essayer de leur faire comprendre ce qui arrive, il faut qu’ils se rendent compte et en tirent les conclusions par eux-mêmes, ou qu’ils restent dans le déni, ou l’hypnose collective, au choix.
Oui, les lignes bougent en positif, c’est une question de temps avant que le boomerang ne leur revienne en pleine tronche.
Bien sûr qu’il y a une corrélation évidente entre la « vaccination » et le nombre de « cas ». (Guillemets volontaires.)
Déni et/ou hypnose collective, c’est forcément très inconfortable que de se rendre à l’évidence et d’intégrer que l’on a été floué/abusé, surtout dans un domaine aussi grave.
La Vérité finit toujours pas gagner.
Reste à savoir quelles seront les suites de cette énorme mascarade, notamment les criminels en bandes organisées qui nous ont pourri la vie/la santé.
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