La mer, du sable, des algues, des galets, parfois des méduses ou même des bécasseaux sanderling.
Que le ciel soit plombé ou avec un merveilleux soleil, surtout à l’heure dite « dorée » pour les photographes.
Même quand il fait froid, qu’il est agréable de remonter la plage, le nez au vent !
Mais qu’il est désagréable de croiser des objets incongrus, polluants évidents.
En pleine pénurie — artificielle — de beurre, voilà l’agroalimentaire qui se manifeste d’une manière bien inopportune.
« Elle & Vire », « Le Beurre Tendre », « Au sel de Guérande », « Fabriqué en Normandie »…
Et que vient faire ce beurrier en plastique ici, à ce moment et en ce lieu ?
Après la torture des vaches, l’exploitation des éleveurs, le fric dans les poches de profiteurs, le bouchage d’artères, et une fois le contenu disparu, voici le contenant bien polluant.
Combien de temps pour vider ce beurrier ? Combien de temps pour qu’il se détruise naturellement ?
Avons-nous réellement besoin de ce genre d’objet ?
Un emballage « papier » et un beurrier en porcelaine ne sont-ils pas mieux, pour nous comme pour la planète ?
À moins qu’il ne s’agisse d’une publicité, parfaitement volontaire et planifiée ???
© PF/Grinçant.com (2017)
Quand je vois tout ce que vous dénoncez, à juste titre, sans sombrer dans un pessimisme abyssal, je me dis, jusqu’où allons-nous aller dans le je-m’en-foutisme devenu un sport presque national ?
Quand on regarde les infos d’aujourd’hui, avec tous ces gens qui courent dans les magasins, les gares… etc., on peut se demander : après quoi courent-ils ? Le bonheur ?
La consommation décuplée de tout un chacun est étourdissante et conduit au grand n’importe quoi en termes de qualité de vie. Sincèrement, je plains les générations à venir qui subiront les diktats du commerce et de la politique qui se réjouit de cet engouement contagieux.
Le “Bonheur”, ça n’est certainement pas cette société de (sur)consommation.
Ça n’a aucun sens, c’est destructeur, et cela nous fait oublier les vraies valeurs, à commencer par la simplicité.
Oui, les « générations à venir » sont vraiment à plaindre, mais elles ne s’en rendront même pas compte, car elles seront déjà aux « onze vaccins », et donc profondément marquées, jusque dans leurs tripes/leur organisme par cette « société » et le « Système » OGMisés à mort.
J’ai presque le sentiment d’être anormal en faisant un billet sur un beurrier en plastoc d’Elle & Vire échoué sur une plage, mais peu importe, ça a du sens, et le message est là, maintenant il suffit de comprendre et d’agir en conséquence.
Le “colibri” de Noël ;-), qui reste (un peu) optimiste…
Indigestion en vue Mr Grinçant !
Français, quand vous aurez soigné votre gastro ainsi que votre crise de foie, voilà ce qui vous attend.
Le prix du gaz accuse une hausse de 6,9 % au 1er janvier ; l’augmentation va toucher de nombreuses familles et n’était pas attendue à un tel niveau.
Merci qui ?
Passez de bonnes fêtes.
Le “colibri” de Noël a dû ou devra mettre la tête sous son aile.
C’est principalement dû à la TICGN (Taxe Intérieure sur la Consommation de Gaz Naturel) qui augmente de… 43 % !!!
Amusant, puisque le gaz vient principalement de… l’extérieur !
Remarquez, pour une fois qu’il y a encore quelque chose qualifiable de « naturel » (le gaz, pas la taxe)…
Le (vrai) colibri s’en fout, c’est l’air — si possible pur — qui l’intéresse.
Quant à savoir si cet oiseau remarquable peut mettre sa tête sous son aile, je n’en ai aucune idée.
PS : Je vois que votre pseudo bat de l’aile en cette fin d’année optimiste ;-)
Le pire, c’est quand tout ce plastique se retrouve dans l’océan. On en est à former des continents en plastique (Le 7e continent de plastique : ces tourbillons de déchets dans les océans – LeMonde.fr, 09/05/2012).
Hélas, je crois que les choses ne vont pas s’améliorer. Déjà à cause du lapinisme mondial qui fait qu’on va rapidement passer le cap des 10 milliards, alors qu’on était 4 à ma naissance (années 60). Donc, même en polluant moins par tête, on va globalement polluer plus. Et aussi car une partie de la population ne jure que par la consommation à outrance, et que les pays sous-développés ne veulent que copier notre mode de vie et de développement (déprimant quand vous voyez des Chinois vous répondre que, oui, leur développement massacre leur environnement, mais quand ils seront riches ils répareront, comme nous :-())
Le seul point positif, c’est que, contrairement à PF, je pense que la nouvelle génération est meilleure que l’ancienne. Pour prendre un exemple perso, mes parents refusent absolument de trier leurs déchets (problème de mentalité) alors que je pense que c’est entré dans les mœurs des plus jeunes (je peux me tromper, je ne vis plus en France).
Je ne raisonne pas en « meilleur » (ou pas) pour les « générations », mais quelqu’un qui nait sur une planète à 10 milliards d’habitants, avec des « extensions numériques », n’a pas les mêmes repères/réactions qu’un individu comme vous (et moi) né dans les années 60…
L’évolution a du bon, mais seulement si elle est maitrisée et intelligente.
Là, nous allons à vitesse grand V dans le mur, et les « jeunes » (les plus récents) sont nés dans le train, et non sur le quai de la gare où il y a/avait encore certains choix possibles…
Oui, et quel choix reste-t-il maintenant ?
Sauter du train ?
Essayer de le ralentir ?
En tous cas ceux du wagon de tête vont sacrément déguster, et que dire de ceux qui veulent à tout prix les rejoindre ?
Et pour ceux qui sont encore sur le quai, comment leur expliquer que ces trains sont les mêmes qu’il y a des dizaines d’années. Ils sont juste un peu plus confortables. Pas éveiller trop tôt la méfiance du bétail.
Non, les « trains » ne sont pas vraiment les mêmes, car ils sont aussi maintenant virtuels/dématérialisés.
Pour le reste, une indice de 2013 : Plutôt que de lire un billet, allez voir Snowpiercer ! ;-)
Ah, ah, je l’ai vu arriver Snowpiercer ;-D
Bon, le train n’y est pour rien, c’est la plus belle invention technologique pour moi. Son développement, essentiellement grâce à Napoléon III a aussi développé l’usage de la langue française sur tout le territoire, ainsi que plus tard l’électrification, et l’unification de l’heure légale.
La gestion des psychopathes le dénature à travers le tout TGV qui désertifie certains territoires, un comble, et mène accessoirement aux délires dans les gares parisiennes où ça bugue même quand ça marche !
Je rejoins cdg pour les générations des trente glorieuses, un exemple, les fermes, elles sont progressivement devenues des boxons indescriptibles, des décharges, des plastiques abandonnés, des hangars de stockage de chimie poison, etc. En attendant de courir à la banque pour le prochain hangar, le prochain tracteur, la prochaine norme…
Heureusement, une alternative se développe histoire de nous réconcilier avec notre espèce, je conseille vivement le reportage « Le champ des possibles » ainsi que le débat associé en replay sur France 5, il m’a regonflé d’air pur :-)
Quand je parle de « trains » « avec des “extensions numériques” », c’est l’ubérisation, Facebook, Twitter, des trackers partout, la perdition dans des jeux vidéos débiles, le smartphone qui ne sert plus du tout à téléphoner, l’acceptation de la perte de libertés fondamentales, les (11) vaccins de leurs enfants sans moufter, etc.
Et ne parlons même pas le la « Macronisation »… :-/
Alors, après, oui, il y en a à « sauver », notamment dans certaines ZAD… ;-)
Bien sûr, je vise là les générations « récentes » ainsi que les prochaines…
Après, pour les « anciennes », il y a aussi beaucoup de connerie, de lâcheté et d’égoïsme.
PS1 : Ben oui, pour Snowpiercer, c’était sur les rails… ;-D
PS2 : Dans mon enfance, j’avais mon propre réseau ferroviaire, mais c’était du Jouef. ;-)
Lorsque des colonies se développent exagérément, à un certain point, de manière naturelle, elles se détruisent en diminuant drastiquement. D’autres espèces les remplacent.
J’essaie de distinguer le début de cette phase.
Quel(s) fléaux vont nous tomber dessus ? Où ? Comment ?
J’imagine que la nature nous remplacera par les multiples espèces que nous avons quasi éradiquées, mais qui vont en profiter pour se redévelopper.
Excusez-moi, je dis n’importe quoi.
La Nature en a beaucoup sous la pédale, et cela mettra probablement longtemps, très longtemps, à part quelques évènements (très) locaux.
Mais, tout comme “1984” d’Orwell s’avère presque ridicule question « anticipation » par rapport à notre actuel « état », des histoires de zombies vont probablement prendre le relai pour être vérifiées/rejointes…
Si en 40 ans 50 % des animaux ont disparu, combien de temps faut-il pour les 50 restants ? Ce n’est probablement pas linéaire.
Production de miel divisée par 2 en 20 ans en France.
Conclusion : Il faut vite en manger !
Pas une pomme, pas une prune cette année dans mon jardin. Zéro. Jamais vu ! Évidemment à mettre sur le compte du gel.
L’homme en tant qu’individu est intelligent.
En groupe, il ne l’est plus.
C’est moche, mais c’est comme ça !
C’est ce en quoi — aussi — il y a des choses irrémédiables/irréversibles pour les jeunes/prochaines générations.
Et derrière la disparition du miel, il y a la celle de la pollinisation, entre autres à cause du business mortifère de Monsato, Bayer et consorts. Ces derniers vous répondront certainement que le miel c’est inutile, et même polluant.
On en parle ici, notamment en commentaires : Butinage de nectar et de pollen de perce-neige ;-) si les « jeunes » pouvaient lire/regarder…
PS : Non, en général, ça n’est pas « linéaire », mais plutôt « exponentiel »…
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