Ils nous mènent en galère, mais eux étaient dans une barque.
Ce jour-là, drôle d’ambiance autour de ce lac.
Il y avait une visite « officielle ».
Macron et Castex venaient inspecter le comptage des goujons.
Il faut bien qu’ils se mêlent de tout et qu’ils emmerdent même les poissons.
Sauf que la barque s’est retournée et que son contenu a subitement disparu.
Ils ont du talent pour tout transformer en Titanic.
Le maire a aussitôt déclenché la grande alerte.
Tout le monde scrutait au loin.
Mais le lac était désespérément vide, rien ne flottait.
Après tout, qu’ils coulent semblait logique.
Les sapeurs-pompiers sont arrivés avec un camion « Logistique ».
Et même un canot de sauvetage avec un moteur surpuissant.
Mais ils n’enfilèrent pas leurs tenues de plongée.
Ils étaient tous non-« vaccinés » et sans pass sanitaire, donc « suspendus ».
Dans ce contexte, jouer aux cartes était mieux que tenter de secourir.
Une petite pelleteuse fut amenée sur place.
Histoire de creuser deux tombes, au cas où.
Des fois qu’ils auraient été recrachés par un silure.
La compagnie des eaux bloqua même le château d’eau.
Pour éviter l’aspiration éventuelle de ces macchabées potentiellement toxiques
Qui pourraient contaminer les trois mille mètres cubes d’eau potable de ces précieux réservoirs.
Pendant ce temps, je continuais tranquillement ma randonnée.
Me disant, presque en jubilant : « Et si c’était vrai ?! »
J’ai alors demandé à cette grande aigrette si elle n’avait pas avalé ces deux misérables vermisseaux.
Elle me répondit que non, qu’elle avait déjà refusé le « vaccin » et qu’elle évitait tout ce qui lui semblait louche.
Sur le chemin du retour, l’amie qui m’accompagnait m’a montré quelque chose au loin…
« — Tu as vu, on dirait un canard, mais il va drôlement vite » m’a-t-elle dit.
« — Oui, c’est l’heure de l’apéro, il est sans doute pressé de se taper une can(n)ette », ai-je répondu.
J’ai alors pris une dernière photo.
Histoire d’immortaliser un lac dont la couleur de l’eau me semblait maintenant anormale.
Vignette : « Mais dans ce cas, noyade autorisée et même conseillée… »
© PF/Grinçant.com (2021)
Quelle belle fiction ! Un sujet digne d’un roman « fleuve » qui pourrait se transposer dans la capitale, avec une sortie de « Seine », pour les antagonistes concernés, vivement plébiscitée par nombre d’entre nous. C’est beau de rêver, quoique la tournure des événements commence à modifier le plan des acteurs pas encore disparus. Patience……..
Oui, j’ai tagué ça « Histoires » (généralement quand je brode un peu), et toutes les photos ont été prises le même jour, sur la même randonnée.
Vous noterez que j’ai évité toute violence gratuite et facile concernant ces deux crevures (oups !)…
Ah les cons, ils ont uriné dans l’eau, d’où sa couleur qui vous a semblé anormale… Et tant que c’est la couleur et que ce ne sont pas des bilharzies ou bilharzias qui apportent la bilharziose.
bilharzie ou bilharzia : nom féminin. Didactique (zool., méd.). Ver trématode hébergé par des mollusques d’eau, parasite du système veineux de certains animaux et de l’homme, chez qui il provoque des maladies graves (Bilharziose) atteignant le foie, la vessie, l’intestin ou la rate.
On connaît ces Parisiens qui viennent polluer/empoisonner la flore et la faune des campagnes profondes… Je ne suis pas ici pour dire des bêtises et pour preuve :
Comment la bilharziose, maladie tropicale, s’est invitée en Corse (LeFigaro.fr — Par Guillaume Mollaret, le 17/05/2016)
« Il y a en moi, pauvre et simple homme de village, plus de bêtise que de méchanceté (…) »
Courier (Paul-Louis), Pamphlétaire et épistolier français (1772-1825).
“Imprégné de culture humaniste et traducteur des auteurs grecs (Hérodote, Longus, Lucius de Patras et Xénophon) dont il voulut imiter l’élégante clarté, il démissionna de sa charge d’officier et se retira dans son domaine de Véretz (Touraine) d’où il lança ses Pamphlets contre l’ordre, politique et religieux, établi par la Restauration. On peut retenir notamment Pétition aux deux Chambres (1816), Lettres au rédacteur du « Censeur » (1820) et Simple discours de Paul-Louis (…) (1821).
Partant d’épisodes concrets, il manifesta son ironie spirituelle dans de « merveilleuses petites pièces de guerre » (Sainte-Beuve) qui défendaient une bourgeoisie libérale et anticléricale. Il fit l’apologie du genre qu’il a illustré, dans Le Pamphlet des pamphlets (1824).
Le procès qui suivit son assassinat laissa les accusés impunis et le crime sans solution.”
Épistolier = Personne qui écrit beaucoup de lettres. Je lui rends hommage et je vais faire plus attention en raison de sa fin tragique…
Ce (petit) lac a une capacité de 1,8 million de mètres cubes, soit un milliard huit cents millions de litres (de quoi remplir six cents fois les trois réservoirs du château d’eau). Vous imaginez donc à quel point ces deux sinistres individus peuvent être, à eux seuls, nuisibles/toxiques.
Même les poissons ont dû mourir brutalement sans même remonter à la surface.
Très peu présent en ce moment pour cause d’emploi du temps surchargé, j’espère que ça va se calmer un peu courant novembre, mais rien n’est moins sûr.
Et la cause de mon overbookage n’est pas due à la farce des états généraux de la Justice, ceux-ci n’étant qu’un buzz de communicants LREM et de micron, qui semblent adorer les états généraux.
Dommage que nous ne soyons plus dans l’humeur des États Généraux de 1789, il prendrait avantageusement la place de Louis XVI dit Louis Capet, le petit micron.
En attendant, ils sont portés — ces EG — par un ministre mis en examen, c’est quand même le comble… de l’enfumage.
Après ceux de la Santé, du Climat, etc., etc., dont nous voyons les résultats, y’a pas à dire casse-noisette et micron sont les rois dans l’utilisation de la poudre de perlimpinpin alias États généraux.
Ceci étant, sympathiques sont les photos et l’idée de fiction narrative bien trouvée.
Bon, dans la réalité, quand CasseNoisette et Micron sont dans un bateau, c’est la France qui coule et les Français qui écopent…
Hélas, j’ai peur qu’ils restent encore quelques années dans le bateau, avec les conséquences induites qui en découleront pour les citoyens.
Bonne Continuation.
J’ai vu (indirectement) notre « ministre de la justice » pleurnicher dans une séquence BFM-WC du 05/10/2021 :
Voilà sa « défense »…
Quant à Alexandre Benalla, le « procureur » (parquet) n’a requis — le 30/09/2021 — qu’une peine de 18 mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende, alors qu’il encourt normalement jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 euros d’amende.
Pendant ce temps, dans les tuyaux, la bidouille d’un « pass sanitaire » serait passible de 5 ans de prison et de 75 000 € d’amende…
Des « états généraux » ? De quoi donc ? Puisque le mot « justice » n’a plus aucun sens en France.
Quant à ma « fiction narrative bien trouvée », j’ai fait dans le “soft”, puisque la clique au « pouvoir » n’hésite plus à traîner en « justice » tous ceux qui les dérangent, même par de simples affiches plutôt bien vues (cf. Michel-Ange Flori) ou par des propos/actes qui les démasquent.
Bon courage à vous, en mode « surbooké », ce qui ne m’étonne pas.
Je ne sais si c’est le bon endroit pour poster ce qui suit.
Si nécessaire, @PF, je vous laisse le soin de repositionner là où ce serait mieux adapté.
Je ne vais pas m’étendre, je vous laisse juge après lecture.
Vous noterez que mon confrère Me Brusa s’en est également fait l’écho.
Voilà donc à quoi sert le « conseil de défense sanitaire », c’est pitoyable d’entendre tant de mensonges, volte-face, arguments fallacieux, etc., etc.
Et ils sont prononcés devant des « élus » et aucun ne moufte devant tant de violations de l’État de Droit.
Comment pouvons-nous encore apporter quelque crédit à ces pitres supervisés par ce gouvernement et son « président » micron ?
Comment autant de cons-citoyens obéissent encore de manière servile à ces clowns ?
Comment aussi peu de cons-citoyens ouvrent les yeux pour dire STOP, la récréation est finie, rendez-nous notre liberté et cessez de vous comporter en despotes, arrêtez d’assassiner notre démocratie dont vous êtes les fossoyeurs ?
Bonne lecture ici :
CheckNews — Jean-François Delfraissy a-t-il dit que le pass sanitaire ne protège pas ? (Liberation.fr — Par Emma Donada, le 09/12/2021)
Je laisse, c’est très bien là.
Dans mon ascenseur préféré, encore une femme masquée jusqu’aux yeux…
Tellement masquée que je lui ai dit que j’allais la laisser seule…
Et elle m’a répondu : « Oh non, pas de problème, vous pouvez entrer ! »
Bien sûr, comme d’habitude, je n’avais pas de masque.
Je lui ai dit qu’il fallait vraiment qu’ils arrêtent avec cette mascarade…
Et la « masquée » — un exemplaire aimable pour une fois — de me répondre…
« Oh oui, que vous avez raison, c’est du grand n’importe quoi ! »
Ça en est presque désarmant !