Drôle d’année que 2020.
Alors, autant en terminer, et passer à autre chose.
Mathématiquement, ce sera 2021.
Pas évident de présenter des vœux.
Mais c’est la coutume, et ici je n’y déroge pas.
C’est sincère de mon côté, du moins pour vous qui me lisez.
Mais ça n’est pas le cas pour tout le monde.
Des êtres maléfiques font tout pour nous pourrir l’époque et la vie.
Alors il faut chercher ailleurs pour se réconforter, pour y croire.
Pour ma part, j’ai trouvé quelques messagers.
Et je leur laisse la place…
Le renne et son traineau
Prêt à vous emmener là où vous voulez, mais encore faut-il que vous sachiez où aller.
Et cela devient de plus en plus compliqué, entre les frontières fermées, les confinements, les couvre-feux et autres tests obligatoires.
Alors le mieux n’est-il pas de faire avec ce que vous avez, là où vous êtes, et de vous en satisfaire ?
En regardant ce lieu autrement, et en l’améliorant, pour vous sentir bien, chez vous.
Mais si vous souhaitez quand même aller vers d’autres horizons, vous pouvez monter dans ce traineau affriolant pour 2021, en vous laissant porter, mais cela pourrait être vers le meilleur, comme vers le pire.
Le roi des pingouins
Loin de sa banquise, paumé, sur un trottoir sans neige.
Je vous avais montré la scène le 16 décembre.
Il est toujours là, façon OGM avec ses LED et ses plumes de pacotille.
Mais il apporte un peu de fraicheur et de lumière en ces temps glauques.
J’ai vu des enfants enlever leur masque pour être photographiés à ses côtés.
Et ils pouvaient sourire, malgré le fait que l’on tente de le leur interdire.
Alors le roi des pingouins vous dit : Souriez en 2021, et montrez-le !
Le cadeau des pingouins
Peut-être est-ce un « super-frigo » à -70 °C sponsorisé par Pfizer et BioNTech.
Peut-être contient-il le super vaccin à ARN messager si libérateur.
Peut-être, mais nous ne savons pas ce qu’il contient.
Dans tous les cas, si l’on en extirpe une seringue pour vous « vacciner »…
Ce « cadeau » ne vous souhaite pas « Bonne année », mais « Bonne chance » !
L’horizon
Un peu en clair-obscur.
Mais c’est beau, c’est vivifiant.
L’horizon vous dit de regarder au loin.
Et de voir la lumière, celle du soleil comme celle qui est en vous.
L’horizon, pour 2021, vous souhaite de belles perspectives.
L’homme, son chien, et la mer
Que regardent-ils, ces deux-là ?
Qu’attendent-ils, pieds et pattes dans l’eau ?
Ils ne sont pas vautrés dans un fauteuil à regarder/écouter des meRdias.
Ils profitent de la vie et se désintoxiquent.
Les embruns, l’iode, le vent, et même la froidure de l’hiver.
Mais le chien, lui, se fie à son instinct.
Et au grand galop, il quitte 2020 pour aller, joyeux, vers 2021.
La vanne
Ouverte, fermée, ou entre-deux/mitigée.
Entre abondance et restrictions.
Entre malheur(s) et bonheur(s).
Le tout est de doser.
Vous l’avez peut-être oubliée, mais vous pouvez la manœuvrer.
Pour bien régler ce qui se passe dans votre vie.
Pour la régler en fonction du contexte, des événements.
Pour limiter votre empreinte toxique sur le monde, sur les autres.
Cette vanne, pour 2021, vous rappelle qu’elle existe.
L’agneau de sept heures
Vous connaissez certainement la recette, pour un gigot bien fondant, délicieux.
Sauf que là, c’est l’agneau qui a seulement sept heures.
C’était le 30 décembre après-midi.
Un agneau de la période Covid.
Mais il s’en moque de tout ce cirque, de la grande mascarade.
Il profite de la vie, et il ne sait pas que les abattoirs existent.
Il n’a même pas son marquage aux oreilles.
Ni de « passeport santé », même si lui aussi sera tracé.
En attendant, il semble aborder 2021 sereinement.
Et il vous conseille de faire de même pour cette nouvelle année.
Champagne !
Sabler et sabrer le Champagne sont deux expressions différentes.
Mais là, pas de discussion possible, le Champagne est bien « sablé » !
Un drone m’aurait bien été utile pour photographier la scène.
Bien plus utile que ceux utilisés par les « forces de l’ordre » pour nous fliquer/espionner.
Là, c’est une bonne âme pleine de bonnes intentions qui a fait ce grand dessin.
« Bonne Année 2021 »
Avec un complément…
« Et surtout la santé »
Et trois cœurs en prime.
« ❤❤❤ »
Je ne peux vous dire mieux pour cette nouvelle année.
Et c’est un heureux hasard qui me permet de l’illustrer aussi bien…
Vignette : « 2020, année bien barrée »
© PF/Grinçant.com (2020)
Tout mes vœux pour cette nouvelle année.
Merci, pareil pour vous.
En plus c’est votre premier commentaire ici, me semble-t-il : bonne façon de commencer l’année !:-)
Avant qu’un jour, on ai besoin d’un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier !
Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie d’en réaliser quelques-uns.
Mais ils l’ont presque fait, puisqu’ils ont imposé leur « couvre-feu » pour le passage à la nouvelle année (minuit).
Le « visa », c’était leur fameuse « Attestation de déplacement dérogatoire », à condition de pouvoir cocher la bonne case.
Le pire, c’est qu’il y a un dicton qui dit : « On fini l’année comme on l’a commencée… » :-/
Question « rêves », j’ai terminé 2020 en trucidant plein de ces pourris, mais c’était assez inefficace (pire que dans un jeu vidéo FPS), car ils revenaient dans les rêves suivants, ou alors je reprenais là où j’en étais (des increvables, ou genre zombies). Notez bien que je ne parle pas de « cauchemars » malgré le côté scabreux de la chose (surtout pour eux).
Pour ma part, je suis plus dans le « Carpe diem », et j’évite de faire trop de rêves/projets, les soucis de santé m’ayant remis les pieds sur terre.
Mais que les vôtres se réalisent, car cela peut aussi être un moteur dans la vie.
Avec la formule « habituelle » qui prend en ces jours incertains une tournure beaucoup plus solennelle, je vous souhaite une bonne année avec le plaisir de vous lire sans jamais me lasser.
Pour ma part, cette formule « habituelle », je n’ose même plus la prononcer, tant l’expression « tomber de Charybde en Scylla » a plus que jamais de sens, et plus seulement dans la mythologie.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai utilisé les talents d’un(e) « artiste », avec son œuvre éphémère (la marée était montante) sur du sable, pour vous la transmettre.
PS : Vous qui avez « 24 » comme pseudo, regardez donc, si vous le pouvez (Pixar/Disney+), le (superbe) film Soul, car il y est question de… 22 :-)
Je n’ai pas vu le film, mais ce petit personnage « 22 » a l’air bien sympathique !
Quant à mon pseudo « 24 »…… c’est tout simplement le département où j’ai posé mes valises !!!
Oui, notre premier échange ici (18/02/2017) c’était fait sur la base d’un département.
Tout le film Soul est plus que sympathique. À voir absolument, surtout en ce moment.
22 est une âme en quête de sens dans le « Grand Avant ».
PS : La Dordogne (24), un très beau département.
Bonne année à vous et à tous ceux qui passent sur ce blog !
Malgré mon indécrottable optimisme, la photo du « cadeau » m’interpelle, pour moi il fond ou bien il coule !
Il peut très bien fondre en coulant.
Notez que les pingouins ne sont plus sur la banquise, mais sur un trottoir…
Comme dirait un de mes collègues, c’est assez audacieux (en fait, du routage de gueule) de souhaiter une bonne année à quelqu’un tant celle-ci s’annonce merdique. Cependant, je vous présente mes meilleurs vœux, pleins de bonnes vis en acier suédois et de chevilles en nylon qui accrochent !
HS. C’est en lisant vos grinçantes brèves sur la grande distribution que je suis devenu assidu, et j’ai donc souvent l’occasion de penser à vous. Dernière (pensée) en date, à l’occasion du réveillon de la Saint-Sylvestre, j’ai effectué mon dépucelage du « Drive » : interdiction de descendre du véhicule (j’ai aidé la jeune femme à charger les nombreux packs d’eau), dire au revoir de la main sans ouvrir la fenêtre (j’ai souhaité un bon réveillon de vive voix). Avec les gestes blablarrières et la muselière :D
Oui, c’est « audacieux », mais comme ils tentent de tout foutre en l’air, autant entretenir quelques traditions.
Notez bien que j’essaye de rester positif dans mes vœux, mais en orientant vers des choses « simples », avec un peu de poésie au passage.
L’important, c’est de garder le moral et d’ouvrir les yeux (et la bouche, mais ça, c’est une autre histoire).
Meilleurs vœux de Liberté !
À consommer sans modération.
Pareillement.
Autant la protéger et en (ab)user, d’autant que c’est quasiment râpé pour l’égalité, ainsi que pour la fraternité.
Dans un film que je viens de voir et que je recommande, tiré d’une histoire vraie, Rose Island, une avocate qui enseigne en université fait un cours en évoquant le Droit Naturel.
J’ai fait quelques recherches et c’est simplement impressionnant, les anciens (antiques) l’appliquaient déjà !
En synthèse :
— Le Droit de Vivre
— Le Droit à la Liberté
— Le Droit à la Propriété, pas façon milliardaire, celui qui a travaillé pour élaborer, créer, cultiver, etc. détient son résultat
On le nomme le Jusnaturalisme.
Vous voyez, tout cela — ces “Droits” — relève maintenant de la fiction.
Même Orwell s’est gouré dans le titre de son roman phare.
Nous sommes en pleine dystopie.
C’est du Zombienaturalisme pfizerien/modernarien.
Voici une éternité que je n’avais posté pour des raisons personnelles et je ne reviendrai pas dessus.
Comme chaque mois de janvier, avec une recrudescence entre le 1er et le 10, nous sommes abreuvés par des jean-foutre et des hypocrites plus nombreux que les rats dans Paris avec leurs vœux qui me donnent plus envie de leur cracher à la gue… que de leur répondre.
Comme ici l’endroit est encore « soft » de ce point de vue, même si vous avez sacrifié à cette tradition de « merd. », c’est fait de manière intelligente, donc c’est une position à saluer, raison pour laquelle j’y réponds.
Je me vais donc très simplement vous souhaiter pour les 365 jours à venir de 2021, enfin moins puisque nous sommes le 8, une bonne santé, car là est le plus important, le reste ma foi… car c’est quand la santé est altérée que nous sommes nombreux à nous rendre compte que la vraie richesse c’est celle-là.
J’en profite pour vous laisser — ainsi qu’à vos lecteurs — des étrennes, avec une analyse savoureuse du traitement de « l’information » par les meRdias :
Médicaritiques n° 36 en accès libre : « Info en continu… Journalisme à la chaine » (Acrimed.org — 10/2020)
Il suffit de cliquer sur l’image pour accéder au journal en PDF.
Bonne continuation, et bonne lecture, et… à je ne sais pas trop quand :-)
Oui, souhaiter la bonne année en cette période peut sembler déplacé/incongru, voire malhonnête.
J’ai hésité à le faire, et IRL, je m’en passe, hors cas exceptionnels et sincères.
La santé, c’est effectivement ce qu’il y a de plus précieux — et je suis bien placé pour le savoir —, et en plus, c’est ce à quoi on s’attaque en ce moment (au sens large, santé mentale comprise).
Comme Me Beusa le rappelle souvent, selon l’OMS, la santé est « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».
Cela dit, j’aimerais bien avoir la définition du mot honnêteté par la même OMS.
Pour mes vœux, je ne me répète pas, vous les avez déjà lus et vus.
À la revoyure !;-)
Pierre Perret a écrit :
« Mes fidèles loulous,
Un gros panier de vœux à la coque pour cette année nouvelle !
Je vous rajoute en étrennes une chanson tricotée pour vous qui résume en riant tous les malheurs qui nous sont tombés sur la théière depuis un an !
Embrassons-nous en tournant la page. »
C’est facile, mais il fallait les trouver ces paroles…
Et un supplément avec la Bajon :
(La Bajon – Conseiller Scientifique — Sur YouTube, 26/10/2020)
Tourner la page ?
Ils font tout pour qu’on ne puisse pas le faire !
Niveau zéro de la culture et de l’intelligence.
Pour la fermeture des frontières, extrait du Parisien :
Ils ne connaissent même pas la différence entre « zéro heure » et minuit !!!