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Hier, 31 mai, était un jour important.
Peut-être pas pour vous.
Mais pour moi, si.
Et hop, une année de plus !
C’était mon anniversaire.
Inéluctable course du temps.
J’aurais pu fêter ça devant BFMTV ou iTélé.
À contempler Hollande, Valls ou bien Macron.
Ou à compter les conflits sociaux.
J’aurais pu faire la fiesta.
Aller dans un restaurant de chaîne.
Pour du mauvais Champagne avec un gâteau industriel.
J’aurais pu dévaliser les commerces.
Pour m’offrir plein de trucs inutiles.
Faisant la fête aux marchands et aux fabricants.
J’aurais pu demander ou accepter plein de cadeaux.
Mais je devance, je dis non d’avance.
À qui cela ferait-il le plus plaisir ?
J’aurais pu rester sous la couette.
À déprimer pour ce pas de plus vers la vieillesse.
En m’imaginant impotent et parkinsonien.
J’aurais pu faire plein de choses.
Plus débiles les unes que les autres.
Plus inutiles les unes que les autres.
À gerber des agapes.
À calmer des maux de tête.
À ranger des nouveautés inutiles.
En fait, j’ai décidé de m’offrir une parenthèse.
D’un trait de Xantia, de découvrir un nouveau lac.
En espérant que la nature serait bienveillante.
En espérant que la journée serait belle.
Avec une accalmie côté pluie.
Avec un soleil rassérénant.
Avec des bonnes ondes.
Avec de la beauté.
Avec du positif.
Oh que j’ai été comblé !
Avec pour seul compagnon mon appareil photo.
Sans oublier mon couteau suisse, on ne sait jamais.
J’ai eu plein de joies.
Plein de clins d’œil de la nature.
Même les rares humains rencontrés étaient sympas.
C’était mon cadeau, une journée pas grinçante.
Et surtout parfaitement épanouissante et revigorante.
Avec un regard ouvert, plein d’empathie pour le lieu.
La nature sait offrir des joies tant qu’elle peut encore le faire.
C’est surprenant, car il y en a encore et encore.
Un petit oiseau s’en va, un gros arrive.
Les libellules tourbillonnent dans l’éphémère.
L’abeille s’approche des chardons.
Même les ânes sont joyeux.
C’était mon seul vrai cadeau pour cet anniversaire.
Mais il a fait des petits, en format numérique.
Plein de photos, qui valident le ressenti.
Et du coup, je viens de faire une difficile sélection.
Et je vais vous en offrir une trentaine, sans prétention.
Ce sera un peu comme si vous aviez participé à mon anniversaire.
PS : Vous pouvez les retrouver en format « Fonds d’écran » dans la section Goodies du blog ;-)
Vignette : « Comme l’anniversaire d’une fourmi qui vit sa vie au bord du lac » © PF/Grinçant.com (2016)
© PF/Grinçant.com (2016)
Selon les usages et malgré le retard, « bon anniversaire » monsieur Grinçant !
Les gens les plus heureux sont ceux qui se contentent de peu, voire de rien d’autre que des choses simples que le monde nous offre encore. Et quelle joie au fond de nous (je suis comme vous) ce bras d’honneur fait à cette société de consommation à laquelle on a résisté, on a dit non, non aux cadeaux commerciaux inutiles et débiles qui alimentent les caisses des nuisibles.
la vraie valeur ne s’estime pas en euros, mais plutôt en bénéfices (non imposables ceux-là) et en effets produits sur notre corps et notre mental. Les plus beaux cadeaux ne sont pas ceux qui nous vident le porte-monnaie.
+1 !
Et je vote pour les bourricots, adorables bêtes dont initialement il était prévu de s’inspirer de leur intelligence avec le bonnet à 2 oreilles. L’expression a dérivé, c’est bien dommage.
On dresse un cheval, et on éduque un âne dixit les spécialistes. C’est cool un âne, j’ai grandi avec eux et je les retrouve toujours avec plaisir ;-)
Très bon choix pour clôturer l’année et repartir gonflé pour la suivante !
Dans ce cas, je rajoute cette paisible scène, que je trouve fort sympathique, avec une meneuse de bourricots :
Quand je dis que les choses se sont bien agencées…
Cela a clôturé ma sortie, sur mes 683 photos, c’était la… 680ème !
Espérons que cela augure d’une belle nouvelle année pour moi…
Mais aussi pour les fidèles de ce blog, même non synchrones ;-)
Merci ;-)
Le retard était obligatoire, puisque cette date, fondamentale pour moi, était jusqu’alors secrète ici.
Concernant la société de consommation et le système, j’ai donné, j’ai participé, et j’en suis revenu. Je sais donc de quoi je parle.
Je ne puis que conseiller à tout le monde d’évoluer vers la simplicité, les vraies valeurs (qui se perdent), et finalement vers l’essentiel, pour soi, notre entourage, et la planète.
La compagnie des libellules et autres papillons est autrement plus appréciable que celle des nuisibles qui nous bouffent notre vie et notre espace vital, même lorsqu’on fait tout pour les fuir.
Bon anniversaire PF, contente d’avoir découvert votre blog !
Oui les vraies valeurs et la nature, ça c’est la VRAIE vie.
Pas besoin d’artifices ! L’essentiel est d’être heureux et ce n’est surement pas une nouvelle telé ou le dernier iPhone qui va nous procurer du bien-être…
Mais, pour ma génération qui est née dedans, le plus dur est de s’en détacher !
Je me vois bien plus tard à la place de cette meneuse de bourricots ;) vous avez bien de la chance.
Ah oui, je suis d’une génération antérieure à tout ça ;-)
Et ce que j’observe est carrément flippant.
Des scènes comme celles-là ne sont appréciées que par une minorité.
Beaucoup me disent que ça n’est pas « la vraie vie »…
La libellule au corps coloré (n° 6), posée au sol, certains auraient tenté de l’écraser, moi je la regarde dans les yeux, en lui demandant de sourire pour la photographie ;-)
Lors de cette sortie, j’ai croisé une retraitée avec des bâtons de marche et un appareil reflex en bandoulière…
Nous avons parlé nature, philosophie de la vie, et photo. Elle venait des marécages que l’on voit sur la n° 15.
Elle n’avait pas peur de se balader seule, à une époque où des sinistres veulent que tout le monde flippe.
Bref, certaines personnes qui tombent sur ce billet et ce genre d’illustrations doivent se demander pourquoi ce blog s’appelle « Grinçant » ;-)
Mais montrer des bourricots devient subversif en 2016…
PS : Ravi de voir des « jeunes » me lire ;-)
Un an de plus monsieur Grinçant ! Mais avec l’âge, la sagesse en principe arrive à grand pas.
Du coté de chez nous un village porte le nom D’Azinère, je n’y en ai jamais vu aucun âne, mais la tradition veut qu’une école autrefois y enseignait celle-ci ?..
Merci pour votre blog et longue vie à tous deux.
Oui, un an de plus pour moi, et pour le blog c’était le 12 avril dernier, mais je n’ai pas souligné cette date.
Pour la sagesse, mon âge m’y autorise, sans même parler de mon signe double (Gémeaux) qui me permet une certaine latitude ;-)
Quant à mon blog, je ne sais lequel survivra à l’autre…
Et ça, c’est une vraie question :-?
Je me contenterai d’un bref mais néanmoins sincère « bon anniversaire!!!! ».
Puissiez-vous encore grincer longtemps sans jamais rouiller ;-).
Encore merci pour vos articles.
Merci ;-)
De plus, cela fait vraiment plaisir de voir des lecteurs faire leur premier commentaire, justement sur ce genre de billet. Je sais qu’il n’est pas facile de se « déclencher », et c’est même devenu rare… Je note en effet une « implication » (⇓) inversement proportionnelle à la fréquentation (⇑) du blog… :-/
J’ai cherché où mettre/faire partager mon dégoût… J’ai également grandi avec un âne à la campagne et il y avait des lapins, poules et coqs.
Tous les voisins avaient ces animaux de basse-cour, mais c’était à la campagne, éloigné les uns des autres bien souvent. Les chants des coqs indiquaient qu’ils n’étaient pas malades, pas de coronavirus ou autre, et cela ne nous/me gênait pas. C’était en 1964, ayant 10 ans.
Puis les « emmerdements » chimiques, les lois législatives, les décrets gouvernementaux sont arrivés et ont pollué l’environnement et la population/les citoyens lambda. En 2020, cela continue de plus belle, car les Français sont divisés :
1/ Un cas pour exemple, ceux qui sont pour les coqs et ceux qui sont contre les coqs qui chantent et que les juges décident qu’ils ont raison d’être blessés/importunés par ces chants…
Procès du coq Maurice : « Les gens ne supportent plus la campagne telle qu’elle est » (Liberation.fr — Par Chloé Pilorget-Rezzouk, le 04/07/2019)
Nouveau litige autour de chants de coqs, cette fois-ci en Haute-Savoie (LExpress.fr — Le 25/09/2019)
2/ Si ce n’est pas arrivé en France, cela va venir, car « Aux Pays-Bas : la mosquée dit “habituez-vous” aux citoyens qui se plaignent des appels à la prière »…
The Netherlands: Mosque says “get used to it” to citizens who complain about prayer calls (VoiceOfEurope.com — By Michael Lord, 19/05/2020)
3/ Macron qui décide de donner plus de valeur à la communauté musulmane et l’intégration des Français dans cette langue :
France: Macron launches programme to teach Arabic in French schools (VoiceOfEurope.com — By Michael Lord, 17/05/2020)
Avec ces lois, ces décrets pris à contresens de la logique, je suis plus aigri qu’hier et moins que demain. Je relis des passages de « J’ai hâte… » de Jean Fouquet, et je constate que c’est de pire en pire, que les sauvageons qui étaient dans les rues hier ont étudié et ont pris des postes dans tous les domaines donnant raison aux gouvernements et discréditant les citoyens… Je suis amer, très amer…
« Souvent, las d’être esclave et de boire la lie
De ce calice amer que l’on nomme la vie (…)
Las du mépris des sots qui suit la pauvreté,
Je regarde la tombe, asile souhaité. »
André Chénier (1762-1794), Élégies, « Ô nécessité dure ».
Quelle idée d’appeler son coq Maurice.
Ils l’auraient appelé Macron, Castaner ou Véran, il aurait même obtenu des dommages et intérêts pour procédure abusive. Vous savez, avec un « juge », il faut s’attendre à tout, même/souvent au pire.
Je constate de plus en plus qu’avec leur « jurisprudence », ils en rajoutent dans tous les sens à une législation/réglementation déjà intenable.
En attendant, il ne faut pas déprimer, d’autant que les demoiselles sont de sortiedemoiselles sont de sortie.
@PF
Vous répondre brièvement va être difficile, surtout que vous touchez un domaine qui m’est familier ;)
Je vais tenter de faire un résumé, qui, de facto, ne pourra être complet, mais retracera juste les grandes lignes.
D’abord, il faut distinguer les juges.
Vous ne pouvez faire une généralité.
Ainsi, distinguons les magistrats.
Ceux du siège et ceux du parquet.
Ceux du siège,
— Les juges de 1ère instance, des CA, je mets de côté volontairement les juges d’instruction — qui ne jugent pas — et ceux de la CCass qui eux jugent l’application du droit et le respect procédural et non les faits.
Ils sont normalement indépendants, puisqu’ils appartiennent au pouvoir judiciaire.
— Ceux du parquet.
les procureurs et leurs représentants.
Ils sont nommés par le gouvernerrant et donc inféodés à lui dans la majorité des cas. Ils sont peu indépendants puisque « représentants » du pouvoir exécutif.
Ceci étant dit, pour répondre à 2 points :
1 — « Vous savez, avec un “juge”, il faut s’attendre à tout, même/souvent au pire. »
Pour les « fréquenter » souvent et en connaitre certains, je vais mettre un bémol.
Il y a de très bons juges et de très moyens, voire pas bons du tout.
Avec l’habitude vous arrivez vite à les identifier.
Quand un juge vous regarde avec des yeux éberlués lorsque vous évoquez certaines JP et ignore la doctrine, c’est mal engagé, surtout si en plus vous devez le mettre au courant des dispositions législatives en vigueur, ca m’est arrivé.
Soyons clair, ce type de cas se rencontrent essentiellement avec les juges de 1ère instance.
Alors, vous avez raison, en 1ère instance, c’est souvent un peu la loterie au niveau des juges.
Cette loterie est bien moindre devant les magistrats d’appels qui sont majoritairement des gens chevronnés, même s’il y a des exceptions, ou des décisions parfois surprenantes.
Il ne faut pas oublier qu’en 1ère comme en 2ème> instance sont jugés, la forme, le fond et l’adéquation avec le point de droit soulevé.
Il y a donc le pouvoir discrétionnaire et la libre interprétation du juge eut égard à la situation exposée.
Ceci explique, par exemple, qu’une CA peut rendre un arrêt et une autre — ou la même parfois — pour une affaire identique, rendra un arrêt inverse. Ne parlons pas des juges de 1ère instance où d’une ville à l’autre les jugements peuvent aussi être diamétralement opposés.
Conclusion, il ne faut pas hésiter à faire appel pour limiter la « loterie ».
Un bon avocat saura d’ailleurs, au vu du dossier et de la décision rendue, s’il y a lieu ou pas de le faire, d’autant que les coûts ne sont pas si exorbitants que nombreux peuvent le penser.
Enfin, en dernier recours, il y a la CCass qui ne fera « que dire le droit ».
2 — « Je constate de plus en plus qu’avec leur “jurisprudence”, ils en rajoutent dans tous les sens à une législation/réglementation déjà intenable. »
C’est plutôt l’inverse.
La course à la légifération à tout crin est la source des maux.
Une affaire en cours peut subir des modifications en cours d’instruction, d’examen, d’exposé, voire de délibéré, dues aux législateurs qui obèrent grandement le fonctionnement de la Justice.
Les juges sont noyés sous les textes, les facilités procédurales sont à la fois aisées, multiples, mais aussi de plus en plus tendues et décourageantes.
La réforme judiciaire désorganise un peu plus l’ensemble.
Moyens en baisse, personnel idoine, fusion de juridictions, etc., etc.
La justice fonctionnerait mieux si le législateur, en général godillot de l’exécutif, s’en tenait à son vrai rôle et agissait bien comme un organe de séparation des pouvoirs.
Vous noterez que les réformes de la justice s’accumulent à un rythme soutenu, pour ne pas dire effréné, parallèlement aucune réforme de l’exécutif ou du législatif depuis le passage au quinquennat.
Le corollaire, c’est que depuis cette période, la justice se noie.
Je vous laisse en deviner les raisons et le pourquoi.
A qui profite le « crime » ? Répondre à cette question est la clé.
Attention, je ne dis pas que la justice est exempte de tout reproche, je suis bien placé pour le savoir.
Toutefois, je lui accorderais plus de clémence qu’aux deux autres pouvoirs constitutifs de toute démocratie qui se respecte, en vertu de la séparation des pouvoirs.
Cette notion n’est absolument plus affichée et prise en compte en France, et si les juges sont les plus voyants de cette dérive, ils n’en sont pas les premiers responsables, loin s’en faut.
Désolé pour ce pavé ;)
J’ai des arguments.
Mais je demande un report d’audience pour apporter la contradiction. ;-)
@Pamphlétaire
Tout comme vous j’observe et je trouve aberrantes certaines décisions.
Les « cons » qui sont importunés par le chant des coqs, le carillon de l’église du village, le braiment de l’âne, devraient aller vivre au bord des périphériques, des autoroutes, etc., etc.
Ce sont, hélas, souvent les mêmes :
– qui vont vous « gonfler » le samedi ou dimanche avec leur tondeuse ou autres, prendre l’avion à tour de bras — tant pis si vous, vous êtes sur le couloir qu’ils empruntent —,
– vont parallèlement s’émerveiller d’assister à un concert en plein air, une course de F1, etc., etc., mais ne supporteront pas non plus le chant des cigales ou le bourdonnement des abeilles alors que leur chien de type yorkshire ou similaire va vous casser les oreilles à longueur de jour et nuit.
Tous ces gens devraient rester enfermés chez eux (ou pourquoi pas, c’est dans l’air du temps, s’auto-confiner à mater Bfmerde et autres avec entre les deux une émission de « télé-réalité » dont nous constatons pour les unes et les autres la très haute qualité intellectuelle et la grande maturité humaine.
Le faites pas hein !!! Je me moque de ces clowns vous l’aurez compris ;)
Pour autant, je crois que ce n’est pas un problème de division, c’est bien plus pernicieux.
C’est un problème sociétal savamment entretenu, ou l’égoïsme, l’égocentrisme, ont remplacé le vivre ensemble.
Je ne vous dis pas qui, sournoisement, a inculqué ça et le pourquoi cela a été fait, vous les aurez identifiés je suppose.
Jouer sur les travers humains est un art que certains savent utiliser à leur profit.
@Pamphlétaire
Au fait, puisque vous avez grandi avec un âne, en voilà un qui devrait vous plaire. ;-)
Pas que des âneries (12/2016)
Je me sentirais plus en sécurité avec ces animaux et les gallinacés qu’avec Macron, son gouvernement et ses députés, car cela voudrait dire que je vivrais dans un espace de verdure où je ne manquerais pas de provisions pour m’alimenter, que je serais indépendant de la « bonne » société qui nous est imposée, comme par exemple l’intégration dans des « cités » dites de « non-droit ». Serais-je devenu un « hippie » ou un « colibri » de Pierre Rabhi ? Pourquoi vouloir quitter cette « bonne » société même par le rêve alors ? Est-ce que cette « bonne » société serait devenue « mauvaise/dangereuse/nuisible/pernicieuse/malfaisante » ? Telle est la question…
Pierre Rabhi : « Vivre sobrement, c’est une forme de libération » (LeMonde.fr — 03/06/2011)
Plus je connais les gens, plus je respecte les animaux.
« Les animaux menacés d’extinction ont le malheur d’avoir l’homme comme prédateur. » (Mazouz Hacène)
« Un groupe de loups, c’est une horde. Un groupe de vaches, c’est un troupeau. Un groupe d’hommes, c’est souvent une bande de cons. » (Philippe Geluck)
Et pour finir, les « sauvageons » ont-ils été créés par l’Homme/la « bonne » société ?
Mais si vous mangez vos poules ou du pâté d’âne, vous resterez un prédateur.
En parlant de « sauvageons », j’ai vu cette nuit une séquence vidéo sur les « BRAV-M » — Brigades de répression de l’action violente motorisées — contre les Gilets jaunes, et je me demande de quelle engeance ils sont constitués. Bien sûr, quand l’on obéit aveuglément à un préfet Lallement, on a déjà un bel indice.
Ils ne ressemblent ni à des loups ni à des hyènes (mais il y a un peu du pangolin avec leur tenu), il faut presque aller chercher des références dans des films de fiction (Orange mécanique de Kubrick ?).
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