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BRÈVES

Édito ou humeur, mais du court

Décodex, CrossCheck, puante ambiance de censure

Après Les Décodeurs et leur Décodex, une « initative » du groupe/média Le Monde, voici CrossCheck, « A collaborative journalism project », pour faire du “fact-checking” (« vérification des faits ») à grande échelle dans le domaine dit « de l’information ».
Le but étant de « marquer » au fer rouge ce qui serait « faux », et même de le « filtrer », essentiellement sur Facebook. Google serait également dans le coup via son entité « Google News Lab ».
Ce système, censé ne durer « que » jusqu’à la fin de nos élections présidentielles, est annoncé comme « pouvant se prolonger »…
Pour faire le travail de « vérification », CrossCheck s’appuie sur un « réseau » dans le monde du « journalisme » via First Draft.
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Le parasitisme de l’indispensable Penelope

Dans son « interview » opportun(ist)e dans le JDD d’hier, entre autres arguments totalement foireux, je relève :

« N’auriez-vous pu faire cela sans être payée ?
Il avait besoin de quelqu’un qui accomplisse ces tâches très variées. Si cela n’avait pas été moi, il aurait payé quelqu’un pour le faire. Donc on a décidé que ce serait moi. »

Eh oui, mais c’est bien là le problème…
En agissant ainsi, cela prive d’autres personnes d’un emploi, et surtout de revenus, nécessaires, indispensables pour vivre, tout simplement.
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TF1, Les Enfoirés, Grinçant, histoire de trafic

Vendredi soir, à partir de 21h00, c’était la fête sur TF1 : « Mission : Enfoirés », le « gala annuel » des “Enfoirés”, version 2017, soi-disant au profit des Restos du Cœur.
Officiellement une audience de 10,07 millions de téléspectateurs, soit 45,6 % de « part de marché ».
C’était la fête aussi sur Grinçant.com, puisque cette soirée a provoqué une multiplication par 2,4 du trafic par rapport à un vendredi habituel*.
Et comme les CD-DVD étaient en vente dès le lendemain, la « traînée » a continué, avec un trafic multiplié par 1,8 par rapport à un samedi* « ordinaire ». Mais là, c’était plus « linéaire » que la veille…

Bref, de quoi tester un serveur, et pas de restaurant.

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Nécessité ou mesquinerie à deux centimes

Je devais 9,87 €, et je le savais, car j’avais fait le calcul sur mon smartphone.
Pour une fois, peu d’attente en caisse.
L’hôtesse scanne rapidement mes quelques articles que je range dans mon sac en 100 % coton garanti équitable d’une autre enseigne.
Le moment de payer : elle m’annonce bien 9€87, et je choisis de régler en espèces.
Je sors un billet de cinq euros, puis fouine dans la section pièces de mon portefeuille 100 % français en cuir gras vachette pleine fleur.
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Quel enfoiré, ce Godzilla

D’habitude, le week-end est plutôt tranquille ici.
Mais, samedi, il y a eu plusieurs déboulés d’internautes.
Des pics de fréquentation ponctuels, mais impressionnants.
Comme ça, en début de soirée, avec un maximum à 19h47.
C’était en fait la deuxième vague, du moins sous mes yeux : j’avais mon compteur de trafic en temps réel au premier plan sur mon écran d’ordinateur.
Et le billet concerné est très vite passé en tête des « plus lus sur les dernières 24 heures ».
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Xavier BEULIN et les pissenlits

Je sais que ça ne se fait pas, mais c’est justement pour cela que je le fais, même et surtout si c’est politiquement incorrect.
Il est d’usage de parler des morts en bien, rarement en mal.
Mais comme le hasard a fait que j’ai écrit en commentaire, le 12 janvier dernier, en réponse à un agriculteur/éleveur de volailles visiblement en détresse, la phrase suivante :

« Je vais faire dans le bref et le laconique : tant que vous gardez à la tête de l’un vos principaux syndicats un type comme Xavier BEULIN, votre filière n’a aucune crédibilité. Et ça n’est pas aux consommateurs de faire ce ménage-là. »

Je ne retire strictement rien à mes propos et constate simplement que cela s’est fait naturellement.
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Demandes de partenariat grippant et flippant

Ils utilisent les mots « gourou », « génie », « héros », « ninja », « stratège », souvent associés à « SEO »*, « référencement », « réputation »…
Et vous proposent un « partenariat » alors qu’ils ne savent que rarement aligner plus de trois mots correctement, et qu’ils font du grand n’importe quoi à sens unique.

Ce matin, 9h00, encore un mail :

« Nous souhaitons vous proposer un partenariat sous forme d’échange de liens ou d’articles entre (Bip) et grincant.com.
Si vous êtes intéressé, insérez le lien suivant sur votre page d’accueil en pied de page : (Bip)
Ensuite, renvoyez-nous le lien que vous souhaitez voir apparaître sur la page d’accueil de (Bip). »

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Serment d’allégeance aux mutuelles

« A l’initiative de la Mutualité Française, cinq candidats à la prochaine élection présidentielle détailleront le 21 février 2017, au Palais Brongniart, à Paris, leurs propositions en matière de santé et de protection sociale. »

C’est l’annonce/introduction, sur le site mutualite.fr, d’un « événement » qui a pour nom « Place de la Santé », qui se tient aujourd’hui, et relayé par moult « médias », notamment télévisuels.
Comprenez une sorte de « convocation » à laquelle sont annoncés cinq « candidats » aux élections présidentielles (France, 2017), prévus dans cet ordre : Emmanuel Macron, Nicolas Dupont-Aignan, Benoît Hamon, Yannick Jadot, François Fillon.

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Un département de gros bourrins

Je sais, ça n’est pas vraiment cool ce que je vais écrire, mais c’est un constat.
Connaissez-vous les documentaires « J’irai dormir chez vous » d’Antoine de Maximy ?
Ben des fois, il se casse carrément le nez, et il n’arrive même pas à honorer le titre de son émission.
C’était le cas, notamment, à Malte, si ma mémoire est bonne.
Pareil dans les « émirats ».
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La surprenante interview de Bachar al-Assad

Hier, en fin de soirée, je suis tombé par hasard sur un OVNI, en regardant la chaîne LCI.
Quelque chose dont on devrait nous rebattre les oreilles et nous multirediffuser l’intégralité des vingt-six minutes en nous surlignant bien des passages.
Ça se passe en Syrie, à Damas, le 14 février 2017*, dans un petit salon sans trop de prétention, et le « dictateur » local, le président Bachar el-Assad, est interrogé, en « fluent English », par Fabien Namias, pour Europe 1, et Michel Scott pour TF1/LCI.
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