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Billets

Des billet/articles, du vrai contenu « grinçant », souvent illustré

Horloge

Encore un changement d’heure !

Rebelote, on a « perdu » une heure cette nuit.
Passage de l’heure d’hiver à l’heure d’été.
Encore et toujours un test d’asservissement parmi d’autres, de plus en plus nombreux.
Et une logique toujours aussi obscure, avec des « bénéfices » qui restent à prouver.
Mais, comme nous sommes cerné(e)s par les horloges, il faut bien s’en occuper…

Enedis et l’heure d’été

Entre 23h57 et 7h57, j’ai normalement mes huit heures « creuses ».
Mais que s’est-il passé cette nuit ?
Mon « voyant Enedis » s’est éteint à 7h57.
Il n’y a eu, donc, que sept heures creuses cette nuit.
L’eau de mon cumulus devrait donc être un peu moins chaude.

Le changement d’heure et les boulangères

Exceptionnellement, je me suis ravitaillé en viennoiseries.
Curieuse organisation cette fois-ci.
Une « boulangère » à la caisse.
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L'arbre aux cigognes

L’arbre aux cigognes

Quelque part en France, et ça n’est pas en Alsace.
Et en fait, ils sont trois, ces arbres.
De loin, on pourrait croire qu’ils sont envahis par le gui.
Certes, il y en a, mais la plupart de ces « boules » sont d’un autre genre.
Des enchevêtrements patiemment et savamment fabriqués.
Par de majestueux oiseaux qui élisent domicile ici.
Des nids, et encore des nids, ces arbres sont des « collectifs ».
Pas de béton, pas d’architecte, pas de Le Corbusier.
Et tout le monde semble vivre en harmonie.
Mieux que dans nos tristes « cités ».

Ciel gris, journée tristounette.
Et les cigognes claquettent.
Une occasion en or pour les écouter.
Et apprendre que, pour habiter ici, ça n’est pas si facile…

France oblige, elles sont soumises à tout un tas de contraintes.
Et en voici, pêle-mêle, quelques-unes.
Pour avoir le droit de résider sur l’une de ces branches, il faut :

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Deux chevaux et deux cavalières

Les pudeurs de la cavalière

Randonnée en bord de rivière.
Tout semble être en parfaite harmonie.
Deux chiens « mascottes » et inconnus nous accompagnent.
Peu de monde en ce lieu très fréquenté le week-end.
Quelques pêcheurs à la truite, tous bredouilles.
Je me retourne, et au loin, je vois deux chevaux.
Accessoirement, ils sont montés par deux cavalières.
Ils arrivent vers nous et sont à une soixantaine de mètres.
Je vise avec mon appareil photo, et effectue mon cadrage en zoomant.
Je m’arrête à 277 mm de focale alors que je peux atteindre 600 mm.
Mon appareil est discret, mon « bazooka » est resté à la maison.
Puis je déclenche pour une première photo.
J’espérais en faire d’autres en les laissant s’approcher.
Normalement, elles devraient continuer à longer la rivière jusqu’à la prochaine passerelle.
Mais non, je vois un changement de comportement.
Les chevaux s’arrêtent, les cavalières semblent tergiverser.
Puis elles bifurquent pour traverser sur un passage juste à leur hauteur.
Nous piquant l’un de nos deux chiens « mascottes » qui les préfère à nous.

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Lac et barrage de La Goulpinette

La Goulpinette, à la source du lac

Je connais bien ce plan d’eau, et nous allons l’appeler « Lac de la Goulpinette ».
Sur le Net, il est mieux d’utiliser des pseudos.
Près de 100 hectares de surface.
Environ 7 millions de mètres cubes de capacité.
Soit 7 milliards de litres d’eau.
Pour le vider, il faudrait plus de 200 000 gros camions-citernes.
J’en ai souvent fait le tour, soit 13 à 16 kilomètres, selon le parcours.
Il est alimenté par plusieurs petits cours d’eau.
Mais le principal est la Goulpinette, un « ruisseau ».
Et le lac et son barrage portent son nom.

Avant-hier, je randonnais dans une forêt.
Celle-là, je la connais bien aussi.
Environ 60 hectares.
Avec de nombreuses allées.
Parfois, hélas, elle est un peu « déplumée ».
Mais l’homme y est pour quelque chose, bien sûr.
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4 plis postaux de "charity business"

Plis non sollicités : Marre du “Charity Business” !

Je croyais cette époque révolue, mais non, ils se déchaînent !
Harcèlement téléphonique…
Spam/phishing par SMS/MMS…
Spam/phishing par mails…
Comme si cela ne suffisait pas…
Et en ouvrant ma boîte aux lettres, crise de nerfs !
Des « plis » luxueux, avec beaucoup de marketing.
Pour moi, ça a commencé en octobre 2024.
Par une « association de pompiers », et j’ai mis l’enveloppe directement à la poubelle.
Mais depuis, je les garde.
Je m’en amusais, pour… les autres !
Mais il y a une enflure qui a « vendu » mes coordonnées…
Je pense savoir de qui il s’agit, et cela relève de la trahison.
Surtout compte tenu du positionnement officiel de cet « organisme ».
En effet, curieusement, mon adresse est toujours libellée exactement pareil.

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Bouddha rieur - Soyons zen

Analyses de sang : 40 % de mauvais résultats, c’est… génial !

Mi-janvier, j’avais une « Protéine C réactive » (CRP) un peu en dehors des clous (56).
Je devais faire une prise de sang de contrôle/suivi début février.
Mais, comme j’ai eu l’exérèse d’un kyste le 3 février, j’ai décalé ce contrôle.
En effet, je savais que cette intervention, même mineure, pouvait influer sur la CRP.
J’avais de grosses analyses (de routine, plus ou moins mensuelles) prévues pour « mi-février ».
J’avais décidé de les faire le jeudi 13 février.
« Préservation du capital veineux », il faut que je préserve mes veines, une directive en Néphrologie.
En effet, on ne peut me « piquer » qu’à droite, et si possible sur le dos de la main.
Sans parler du côté déplaisant/douloureux, pauvre petite veine !

Hier matin, mardi 11 février, je me suis levé en mauvais état.
Fatigue, bouche pâteuse, avec un goût d’acétone.
Douleur dans l’abdomen.
Je me suis dit « Houlala ! »…

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Alcoolisation et clavier d'ordinateur

Pollution de vie par tous moyens…

Hier, je voulais photographier un paratonnerre.
J’en ai bien trouvé un, en haut d’un château d’eau.
Mais, au smartphone, le résultat aurait été peu exploitable.
Surtout avec un ciel complètement plombé.
Mais peu importe, l’idée était là.

Il y a des gens qui ne pensent qu’à décharger des ondes négatives.
Et vous êtes le paratonnerre.
Ou alors, trop « sympa », vous êtes un véritable aimant à parasites.
Je vise particulièrement les pires, les profils « PN » (pervers narcissiques).
Le genre qui s’accroche, par tous les moyens, et qui vous pompe.
Ils pompent tout, votre temps, votre énergie, votre argent, votre santé.
Leurs « cibles » ne sont que des objets, des « ressources ».
À épuiser, à vider, avant de passer à une autre « victime », tant qu’ils/elles en trouveront.
Et le talent de ces gens est considérable.
Puisqu’ils jouent sur tous les leviers, comme la victimisation.
Et ils ne respectent pas vos limites, quelles qu’elles soient.

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Mon bridge Sony RX10 III

Ambiance toxique : la photo mystère

Récemment, j’ai vécu une randonnée bien toxique.
La trahison, c’est inoubliable, surtout en photo
Non, il n’y avait pas d’algues vertes qui auraient dégagé du sulfure d’hydrogène.
Pas de nuage suspect à l’horizon.
Pas d’événement connu et récent style Tchernobyl.
Mais la toxicité était bien là, et elle était humaine.
Mais jusqu’où ces mauvaises ondes peuvent-elles aller ?

En fait, il s’est passé un événement remarquable pour moi.
J’étais venu avec mon Sony RX10 Mark III, l’un de mes appareils photo numériques.
C’est mon plus polyvalent — une sorte de couteau suisse de la photo —, et je le possède depuis février 2019.
Je n’ai pas acheté le Mark IV, car le gap technique ne justifiait pas l’écart de prix (+55 %).
Et, ce qui m’intéressait, c’était l’objectif, qui était identique.
Je m’étais dit que je passerais ensuite au Mark V.
Oui, mais voilà, sale coup de Sony, il n’est jamais sorti, et je pense qu’il ne sortira jamais.

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Autour du lac, trahsion et intolérance

La trahison, c’est inoubliable, surtout en photo

Dommage, je l’aimais beaucoup, cette photo.
Lorsque j’ai vidé ma carte mémoire, elle m’a tapé dans l’œil.
L’ambiance, la scène, une impression de sérénité.
Et surtout la beauté de la nature, même un peu frigorifiée.

Et pourtant, il y a de mauvaises ondes.
Les voyez-vous, les devinez-vous ?
Elles sont sur pattes.
J’aurais préféré des chevreuils, ou même des sangliers.
Mais, bien sûr, ce sont les humains.
Que se disent-ils ces deux-là, que trament-ils ?

C’était le mardi 14 janvier 2025, en début d’après-midi.
Ma « reprise » après ma chute du 27 décembre 2024.
Elle ne s’est pas trop mal déroulée.
Mais ça aurait pu être mieux.
Question d’ambiance, et surtout d’ondes, de détails.
Nous étions cinq, plus un arbre tombé qui nous a barré le chemin.

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Hall de l'hôpital : les bornes d'accueil

Mes jeux préférés : Doctolib et les bornes

Être « malade » est de plus en plus compliqué.
Ce matin, je me lève de (très) bonne heure.
Pour me poser un patch sur la main pour une prise de sang.
Il faut au moins une heure pour qu’il fasse un minimum d’effet.
En attendant, je décide de prendre un rendez-vous chez ma généraliste.
Première date disponible, via Doctolib, le 26 février, soit dans 41 jours !

7h00 du matin, dans la nuit hivernale, je suis sur le parking de l’hôpital.
Arrivé dans le hall, je me dirige vers les bornes.
Je m’arrête à la première et ne vois que deux options :

  • « Je veux mettre à jour ma carte vitale »
  • « J’édite mon bulletin de situation »

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