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Empoisonnement ou suicide de tablettes Androïd ?

Je suis l’heureux propriétaire de quatre tablettes Androïd.
Heureux, enfin pas vraiment, car elles demandent beaucoup d’attention et de soins, parfois palliatifs.
Bien curieux monde, où l’on se demande comment cela est possible, et s’il s’agit d’empoisonnement ou de suicide. Dans tous les cas, l’envie est forte de renoncer et de les jeter, du fait d’une obsolescence programmée ou de dysfonctionnements plus ou moins ésotériques.

Je m’en vais donc vous conter mes aventures avec ces tablettes, ne doutant pas que de votre côté vous vivez des choses plus ou moins similaires.


Tablette « low-cost » Storex TAB LC7

  • Écran 7 pouces, résolution 800×480
  • Processeur monocœur à 1,2 GHz
  • 512 Mo de RAM, 4 Go de stockage
  • Androïd 4.2.2
  • Achetée 39,90 € en avril 2014

Tablette « low-cost » Storex TAB LC7

Oui, pour le prix, il ne faut pas s’attendre à grand-chose, mais elle était destinée à lire des flux RSS (news) dans le… bain !
Lenteur, mauvais écran, mais ça faisait globalement le job.
Non, elle n’est pas morte noyée. Simplement des mises à jour qui ont eu raison de ses malheureux 512 Mo de RAM…
Et surtout, elle est maintenant « briquée », car bloquée sur l’écran de démarrage Storex…
À ce stade, on peut se demander à quoi ça sert.
Déchetterie !


Tablette Storex eZeeTab 97D11-M

  • Écran 9,7 pouces, résolution 1024×768
  • Processeur double-cœur à 1,2 GHz
  • 1 Go de RAM, 16 Go de stockage
  • Androïd 4.2.2
  • Achetée 119 € en avril 2014

Tablette Storex eZeeTab 97D11-M

Une tablette bien sympa, avec un écran au ratio 4:3, ce qui est plutôt rare. Par contre, dalle de mauvaise qualité.
Un peu lourde (660 grammes), mais plutôt efficace.
Je l’ai principalement utilisée comme « jukebox » à l’époque où j’étais abonné à Deezer.
Oui, mais un beau jour de 2016, bien évidemment hors garantie (d’ailleurs je ne sais même pas si Storex bouge encore), un curieux phénomène…
La mémoire RAM de 1 Go (1 024 Mo) s’est retrouvée à 825 Mo, et le « stockage interne » à seulement 1 008 Mo…
De ce fait, il est devenu quasi impossible d’installer des applications, et encore moins de les utiliser.
Pire, les simples mises à jour de base du Google Play bloquent pour « Espace mémoire insuffisant ».
Un « Recovery Mode » n’a rien changé, le problème semblant bien « physique ».
Bref, voilà une tablette à usage plus que limité, éventuellement utilisable comme… Horloge numérique !


Tablette Haier Pad 781

  • Écran IPS 8 pouces, résolution 1024×768
  • Processeur quadricœur à 1,6 GHz
  • 1 Go de RAM, 8 Go de stockage
  • Androïd 4.2.2
  • Achetée 149 € en juin 2014, avec son « cover », en promo dans une chaîne type « dépôt »…

Tablette Haier Pad 781

Du pur « chinois », totalement assumé !
Mais annoncée à l’époque comme « la tablette la plus fine du monde » (6,5 mm et 290 grammes)…
Très bel objet, dos aluminium brossé, écran lumineux et fluide, puissance au rendez-vous.
Bref, j’ai été emballé au début de son utilisation, et je me suis même fendu de l’un des rares billets que je regrette : Un achat chinois de chez Chinois, le grand bluff
Car, au fil des mises à jour et de l’utilisation, les choses se sont dégradées.
Plantages réguliers, lags/freezes et autres ralentissements…
Les choses empiraient sans raison évidente. Comme un malade qui se voit dépérir sans en connaître la cause.
Puis j’ai découvert sur le Net que j’étais loin d’être le seul à rencontrer ces problèmes…
De fil en aiguille, il est apparu que l’on pouvait la « flasher » (remplacer son logiciel interne) avec le soft d’une ifivemini 3 de 5FNF, un modèle similaire (probablement l’original) d’une autre marque chinoise…
Opération à haut risque, nécessitant de « rooter », avec la possibilité non négligeable de flinguer la tablette, mais me permettant de passer d’Androïd 4.2.2 (Jelly bean) à Androïd 4.4.2 (KitKat).
Et, ô joie, opération réussie !
Novembre 2014 : Seconde vie !!!
Tablette fluide, réactive, performante, un vrai régal !
Bien sûr, aucune mise à jour du noyau d’Androïd par la suite, mais par contre mises à jour de Google et des applis du « Play Store ».
Et rebelote, au fil du temps, les choses se sont dégradées, lentement mais sûrement.
Des ralentissements incroyables, des réveils impossibles.
Une batterie drainée sans raison, des recharges de plus en plus difficiles.
À se demander s’il s’agissait de problèmes « hard » ou « soft », ou bien des deux simultanément.
J’avais toutefois le curieux sentiment que tout cela était voulu/organisé.
La semaine dernière, alors qu’elle était devenue quasiment inutilisable, j’ai presque pris la décision de la jeter, ou de la larguer à la SPT (Société Protectrice des Tablettes).
Mais j’ai eu un doute, un gros doute.
Après avoir désinstallé toutes mes applications payantes, je suis allé dans « Sauvegarder et réinitialiser », puis « Restaurer valeurs d’usine », et j’ai lancé l’opération…
Le robot Androïd a mouliné un certain temps, pour me rendre ma tablette Haier, dans sa version « ifive »…
Et, figurez-vous que j’ai retrouvé une tablette « nickel » !!!
Plus de problème de batterie, de veille/réveil, de vitesse, de plantages…
Et hop, une troisième vie !


Tablette Asus MeMo Pad 7 ME176CX (K013)

  • Écran IPS 7 pouces, résolution 1280×800
  • Processeur quadricœur Intel à 1,33 GHz
  • 1 Go de RAM, 8 Go de stockage
  • Androïd 5.0
  • Achetée 129 € (promo) chez Boulanger, le 18/05/2015

Tablette Asus MeMo Pad 7 ME176CX (K013)

Alors, là, même si ça n’est pas de l’Apple iPad ou du Samsung, avec Asus, j’ai quand même fait dans de la « marque » !
En fait, j’ai acheté cette tablette pour un usage bien précis : m’en servir lors de mes randonnées, notamment en fonction GPS/cartographie…
Bonne taille, bonne puissance, mais écran un peu faiblard question luminosité.
Je croyais Asus sérieux, mais non, je suis toujours bloqué en Androïd « Lollipop » (5.0) : une fois les mises à jour après déballage/mise en route faites, plus rien (ou presque) !
La section « Niveau du correctif de sécurité Androïd » m’indique « 7 décembre 2015 »… Inadmissible, surtout lorsque l’on connaît toutes les failles de sécurité découvertes depuis !
Bref, mais pour moi l’essentiel n’est pas là, puisqu’il s’agit d’un véritable « outil » sur lequel je dois compter – basiquement – une fois dans la nature…
La première année, tout s’est bien passé au fil des sorties et des kilomètres.
Puis, en 2017, j’ai eu des « phénomènes » et diverses anomalies…
Recul de l’horloge deux ans auparavant, comme ça, subitement… Imaginez la gueule de mon logiciel de randonnée en plein travail ! Problème qui est devenu fréquent, mais aléatoire.
Puis… Extinction sans crier gare, avec impossibilité de rallumer la bête sans recharge secteur, mon « Power Bank » de secours n’étant d’aucun réel secours.
En usage plus « classique », encore des problèmes de batterie… Elle est affichée comme chargée, mais rideau à 25 %, voire à 80 % !
Et aussi des lags, des ralentissements…
J’ai même constaté qu’en « veille » (écran éteint) l’horloge ne semblait pas être actualisée, une application d’alarme ne fonctionnement tout simplement pas correctement de ce fait.
Une fois de plus, problème « hard » ou « soft » ? Et à quel niveau ?
J’ai bien pensé la ramener en SAV pour faire jouer la garantie. Mais Boulanger ne la couvrait qu’une année (garantie légale européenne pourtant de deux ans)…
Je me suis aussi dit qu’Asus risquait de me dire que les problèmes ne se produisaient pas chez eux…
Je me suis donc résigné en voyant cette autre tablette partir en quenouille/sucette/vrille, et la période ultime de garantie dépassée…
Mais, puisque ce week-end je venais de ranimer/donner une troisième vie à ma Haier, j’ai décidé de tenter la même opération…
« Sauvegarder et réinitialiser », puis « Restaurer valeurs d’usine »
Et devinez ? C’est reparti comme en quarante !
J’ai réinstallé mes applications utiles/indispensables, rechargé la bête, et elle fonctionne à nouveau normalement !
Seconde vie !


Panaché de tablettes Androïd

Bref, tout cela est louche, très louche.
Et je me demande combien de ces objets partent à la benne suite à des opérations occultes/de l’ombre lors de « mises à jour », ou suite à des combines machiavéliques pour les rendre obsolètes de différentes manières (mémoire, batterie, système périmé, véroles, etc.).

J’ai donc deux tablettes (mes principales) opérationnelles sur quatre.
Mais j’ai bien failli me retrouver avec… Zéro !!!

Vignette : « Tablette dans un cuveau d’évier, prête à la noyade » © PF/Grinçant.com (2017)

© PF/Grinçant.com (2017)

PS : Excusez les traces de doigts sur ces engins, mais je crains que les nettoyer davantage génère encore plus de dysfonctionnements. ;-)

7 commentaires sur “Empoisonnement ou suicide de tablettes Androïd ?”

  1. Avatar photo

    Merci pour ce topo instructif !

    Je retiens qu’android est un système pas fini pour permettre les crottes de s’accumuler jusqu’à l’asphyxie. Je pense que des applications de nettoyage doivent exister, je ne fais pas de pub. Il faut avoir des bases d’informaticien pour ce système afin de s’en sortir.

    Quand le root est possible, ce n’est pas toujours le cas, et pas à la portée de tous, ça résout pas mal de choses.

    Je retiens aussi que les outils embarqués que vous avez utilisés dans le mode recovery si j’ai bien retenu le nom, existent, sont efficaces, mais pas franchement documentés, donc peu accessibles si on ne prend pas le temps de les étudier.

    Enfin, le marché ces tablettes hors ipad n’est pas dynamique, les phablettes vendues un smic n’arrangent pas les choses.

    Pour les 2 ans j’ai eu une bonne expérience avec un atelier national qui prend le relais en accord avec des marques, PSM ;-)

    1. Avatar photo

      Et j’aurais pu rajouter des smartphones Androïd qui, curieusement, présentent des symptômes similaires… :-/

      Oui, il y a des applications de « nettoyage », mais beaucoup sont envahissantes (pub, rappels permanents), avec un manque de visibilité sur ce qui est fait (voyez CCleaner sur PC, avec souvent des dégâts à la clef, sans même parler du virus qui y était « packagé » récemment).

      Pour le root (opération « geek » pas vraiment à la portée de tout le monde), je l’avais effectué sur ma Haier pour la transformer en iFive et lui donner une seconde vie. Mais, depuis, Google a fait sauter (partiellement) le root (soi-disant pour la « sécurité » de l’utilisateur, ben voyons), et je n’ose tenter de le restaurer tant le risque est grand de la briquer, alors même que ça ne m’est plus réellement nécessaire (calcul bénéfices/risques). En attendant, j’ai toujours SuperSU implanté, mais avec un root partiel. :-/

      Le « Revovery » est la solution naturelle lorsque l’on veut faire un « Reset » avant de vendre/donner sa tablette ou son téléphone.
      Mais, en arriver là en « usage » est problématique, puisque tout est éradiqué, applications comme données. Et avec tout ce que l’on accumule au fil de l’eau…
      Et, effectivement, ça n’est pas vraiment documenté.

      Hier, mon smartphone principal refusait de mettre à jour les applis, pour cause de « Mémoire insuffisante », malgré ses 16 Go.
      En fait, il y avait 7,5 Go qui s’étaient accumulés dans le dossier Download/Téléchargements… Certains dossiers subsistent aussi après suppression/désinstallation d’applications.

      Je constate aussi que ces matériels « stagnent » techniquement… Par exemple, mon Asus 7 pouces (écran 1280×800) n’a d’équivalent maintenant qu’avec un écran 1024×600, et à un prix qui a augmenté de 25 %, alors que plus de deux années les séparent, cherchez l’erreur. :-/
      Mettre « un SMIC » dans ce genre de matériel me parait parfaitement idiot. Pour ma part, je considère que c’est du jetable, mal conçu, et avec une obsolescence programmée – de différentes manières, cumulées – à échéance (très) précoce.
      Par contre, certains équipements bien particuliers peuvent justifier « un bras », mais pour un usage professionnel notamment (j’y reviendrais peut-être).

      Oui, un atelier qui prend le relais, mais faut-il encore que ce soit dépannable… Il n’y a qu’à voir les notes iFixit qui vont bientôt passer en négatif…
      Foutue pour foutue, je vais m’amuser à démonter ma petite Storex à 39 €, histoire de voir la gueule à l’intérieur. Ça ne doit pas être triste. ;-)

      1. Avatar photo

        « …je vais m’amuser à démonter ma petite Storex à 39 €… »
        J’ai regardé, c’est totalement impossible, sauf à m’équiper d’une scie circulaire de modéliste pour découper le plastique, et encore…

  2. Avatar photo

    Faut pas se leurrer, tuer un Chinois (Foxcom) ou un Africain (tantale) ça a un prix…

    Plus sérieusement, low cost = outil de production vieillot = plus de déchets
    Puisqu’il y a plus de contrôle de qualité étape par étape le long des chaines de montage. Maintenant, c’est les machines qui produisent les appareils qui subissent des tests de qualité et le client qui teste le produit. On peut aussi se demander la durée de vie pour une chaine de production quand on bosse au micron. Dans tout les cas, les bains de soudure moderne qui sont déjà pas très fiables neufs à cause du taux de précision. Elles sont encore plus merdiques quand les constructeurs produisent leurs produits « promo » ou « d’appel » chez un sous-traitant pour avoir des prix encore plus « canon ».

    Donc, faut pas regarder le prix, faut regarder l’usine de production pour connaitre son outil afin de déterminer sa qualité ou regarder la provenance des composants pour déterminer la politique du constructeur pour le produit choisi. Comme on n’a pas le temps ou l’info nécessaire, il faut se rabattre sur les comparatifs des sociétés de consommateurs.

    Le problème avec les tablettes et tous les autres mini-OS, c’est qu’ils ont la fâcheuse tendance à contenir une foule d’applications « décoratives » ou « inutiles en temps réel » qui ne ferme pas leur processus quand on les ferme et qui donc occupe un espace inutile sur la RAM, ralentissant irrémédiablement la bécane. Dans ce cas, faut arrêter les processus et/ou les services à la main…

    Si on ne veille pas à garder de la RAM libre pour que les programmes bossent, alors l’espace nécessaire à l’exécution du programme est pris sur le disque dur, même si on n’est plus à l’époque où on regardait clignoter les LEDs parce qu’on va mille fois plus vite, on sent que ça rame.

    Pour finir, la RAM a toujours eu un effet mémoire, plus on utilise la RAM, plus des électrons libres vont rester captifs à l’intérieur de la RAM est créer un effet « mémoire », c’est pour ça que même sur un élément entièrement électronique (p.e. un routeur), on est quand même obligé de l’éteindre de temps en temps pour vider l’appareil de toute sont électricité.

    Comme sur les tablettes, on met les appareils en veille, et qu’on peut pas retirer l’accu. Faut éteindre et rallumer le système, peu importe le moyen afin de vider la RAM.

    Voilà, les problèmes que je constate le plus souvent…
    Désolé si ça pique les yeux, j’ai un SBS au bout des doigts.

    1. Avatar photo

      Pas grave pour le « SBS », je corrige (un peu)… ;-)

      Le problème va bien au-delà de vider/libérer la RAM…

      Dans mon billet, pour la tablette Storex 10 pouces, j’explique qu’Androïd, même sans « évoluer » a tellement grossi avec ses « suppléments » (Play Store, clavier, etc.), que la mémoire ne sert plus qu’à ça, et que la tablette devient inapte à lancer une application supplémentaire. Une sorte d’obsolescence qui vient se cumuler aux autres.

      Pour la Haier, depuis sa « réinitialisation-usine » en mode « iFive » (flashée), je puis vous assurer que tous les problèmes sont résolus. Elle est à nouveau fluide, et c’est un vrai plaisir que de l’utiliser. Une belle bête, c’est ce que j’avais pressenti en l’achetant, mais que d’aventures/troubles à surmonter !

      Oui, on peut « tuer » les processus, mais en l’espèce, ça n’est pas la (principale) cause des problèmes constatés.

      Du reste, bien sûr, ce billet sur les tablettes est parfaitement transposable à la majorité des smartphones qui souffrent des mêmes « maux » parfaitement volontaires/organisés.

      PS : Il est parfois très difficile de virer le « superflu », genre « couche constructeur » et autres « applis » en fait principalement destinées à vous espionner, comme si le système de base n’était pas suffisant pour cela.

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        PF/Grinçant.com a dit : “Dans mon billet, pour la tablette Storex 10 pouces, j’explique qu’Androïd, même sans « évoluer » a tellement grossi avec ses « suppléments » (Play Store, clavier, etc.), que la mémoire ne sert plus qu’à ça, et que la tablette devient inapte à lancer une application supplémentaire. Une sorte d’obsolescence qui vient se cumuler aux autres.”

        Réponse : C’est bien un problème de RAM, plus la RAM est pleine, plus le disque bosse, plus le système rame/lague, et comme les programmeurs sont issus du même monde de stressés, il ne finissent pas bien les programmes, ce qui en rajoute.
        Du coup, la tablette tourne en boucle en essayant d’accomplir un stock de tâches qui ne fait qu’augmenter.

        On le voit bien avec l’exemple de la tablette qui affiche de l’espace libre alors que le cache occupe tout le reste, parce que le système ne le voit pas.

        Du coup, il faut bien être attentif à ne pas sur-utiliser la RAM et bien choisir ses programmes.
        C’est le « tout gratuit » qui utilise les ressources à notre insu pour se payer sur la bête.

        1. Avatar photo

          Le problème, c’est que cette tablette Storex eZeeTab 97D11-M n’avait d’origine qu’1 Go de RAM (non extensible), ce qui était suffisant lors de son achat en avril 2014…

          Mais, au fur et à mesure des « mises à jour », même en étant scotché sous Androïd 4.2.2, ce Go est maintenant totalement occupé par « Google » et son « système »…
          Pas moyen de faire de la place (ou alors si peu) pour lancer des applis.
          Donc, cette tablette n’est plus exploitable que pour son OS…
          De plus, les « applis » n’ont cessé de grandir en taille/volume, amplifiant la problématique…
          Bref, la parfaite obsolescence (vite) programmée !!!

          PS1 : Je savais bien qu’1 Go c’était « léger », mais je pensais que ça tiendrait plus longtemps vu l’usage que je comptais en faire (« jukebox »)…

          PS2 : La programmation est maintenant faite avec les pieds, sans la moindre optimisation, sans même parler des bogues et du (volontairement) « pas fini, on verra plus tard avec les mises à jour »

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