Michel-Édouard vous le garantit.
Michel-Édouard vous le certifie.
Il défend votre pouvoir d’achat.
Et tous ses magasins ne pensent qu’à ça.
Avec Leclerc, c’est plus clair, à la vitesse de l’éclair.
Même un notaire vous dirait que c’est clerc.
On se fout vraiment du client.
On le baigne dans le yaourt.
Et c’est plutôt acide comme bain.
Comprenne qui pourra.
Cette stratégie de dingue.
À nous prendre pour des con(ne)s !
Client(e) de packs de 16 (2 kg).
Dans un même magasin…
Le 14/01/2017, en tête de gondole, « promo »…
Et c’est même contingenté…
« Dans la limite de 5 produits par foyer pour cette opération »
Comment « fliquer » sans la carte de l’enseigne ?
0,995 € le kilo !
Le 26/01/2017, la promo est terminée…
Mais les yaourts sont toujours en tête de gondole.
Le prix de référence passe de 2,84 € à 2,85 €…
Mais il y a un sticker -0,60 € !
La preuve lors du passage en caisse…
1,125 € le kilo !
Le 28/01/2017, un samedi de fin de mois…
Le rayon est opportunément vide de ces yaourts.
Mais le pack de 16 est indiqué maintenant à 3,18 €…
Direction la tête de gondole…
Ah, les « Panier de Yoplait » sont bien là !
Mais seulement en pack de 8…
Même chose pour la MDD Leclerc (Délisse) à côté.
2,04 € le kilo !
Mais où sont donc les packs de 16 ?
Ah, en bas du même frigo de tête de gondole !
Et zut, ce sont seulement des packs de 12 !…
2,23 € le kilo !
Alors…
Où sont les packs de 16 ? Repartis dans le stock ?
Des packs de 12 plus chers au kilo que des packs de 8 ?
Pour qui ne ferait pas attention…
En moins de quinze jours…
Sur le plus gros conditionnement disponible…
+ 124 % sur le prix au kilo !!!
Dis donc, Michel-Édouard…
Tu te fous de qui ?
Vignette : « Sa Majesté Panier de Yoplait fait ce qui lui plait » © PF/Grinçant.com (2017)
© PF/Grinçant.com (2017)
Quelques billets en rapport :
Leclerc ne se fout de personne… (enfin si, mais il le fait avec l’aval des pouvoirs publics et d’une majorité de CONSommateurs)
Il indique les prix au Kilo !!
Le client est il si idiot qu’il ne sache lire ?
Il semble que pour beaucoup se soit le cas. Le taux d’analphabètes est donc prodigieusement plus élevés qu’on ne le soupçonne.
Le jour où la grande distribution sera profitable aux acheteurs comme aux fournisseurs ce n’est pas pour demain puisque ce temps est révolu.
La grande distribution c’est plutôt la… grande confiscation.
Confiscation du pouvoir d’achat des producteurs et confiscation du pouvoir d’achat des clients.
Un seul bénéficiaire dont je ne vais pas vous faire l’injure de donner le nom ;)
PS : Arrêtez de manger des yaourts PF, c’est mauvais pour la santé !! Ou alors faites les vous-même, avec du lait et des fruits BIO de préférence et fuyez le lait de vache vous êtes sevré depuis longtemps ;)
Leclerc, comme les autres, ne met le « prix au kilo » que parce que c’est obligatoire…
Sinon, la calculette serait obligatoire pour la moindre comparaison, et je ne vous dis pas l’enfer.
Là, il n’est même pas question d’achat, mais de « reportage » ;-), presque une habitude dans certaines allées où j’ai mes « repères » ;-) même pour des MDD.
Là, c’est un samedi de fin de mois… Les gens avaient probablement en tête les « promos » juste avant.
Le frigo habituel a visiblement été vidé de la marque « de référence », il n’y a que de la MDD.
Et tout a été organisé en tête de gondole pour arnaquer sur les conditionnements, avec, une fois encore, la MDD en « sauvetage » pour les packs de 8.
Qui est responsable de cela : Le commercial « délégué » Yoplait ? Le directeur du magasin Leclerc ? La centrale qui donne des ordres ? Le chef de rayon ? La petite main tremblante qui achalande ? Ou Michel-Édouard lui-même ?
Pratique bien connue dans le monde de la Grande Distribution en parfaite connivence avec le ‘merchandiser’ appliquant les règles de sa direction commerciale, en l’occurrence celui que vous appelez le commercial « délégué » Yoplait.
Sachant que ces règles sont issues des injonctions du Client Leclerc/ou autre sur son fournisseur, ici Yoplait, qui fait pression avec l’arme d’usage : la menace de déréférencement du produit au pire, ou la réduction du nombre de mètres linéaires achetés à prix d’or par le fournisseur lors du référencement.
Sans parler des contributions financières à leurs catalogues, prospectus, opérations tête de gondole, et des R.F.A. (remises de fin d’année) que le fournisseur attribue à son client en fonction du volume vendu sur l’année calendaire écoulée.
Bref, dans tout ça, qui reste le dindon de la farce ? Nous, les consommateurs évidemment puisque toutes ces remises accordées ne sont pas répercutées sur le prix de vente, ou si peu lors des opérations promo.
Et de conclure en parfait accord avec Bob.Mar13 que le lait de vache est à bannir de votre consommation régulière.
Encore un coup de la Sécu avec ses affiches agrafées dans les salles d’attente des toubibs. Quel cynisme !!!!!
Ils veulent notre peau, c’est sûr.
Les commentaires sont fermés.