Mi-novembre, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je ressors un caleçon de la machine à laver avec une grande déchirure sur le devant.
Le genre de découpe bien travaillée, comme faite au cutter.
Est-ce l’œuvre de l’une de mes merveilleuses pinces à chaussettes pour conserver les paires en paires ?
Toujours est-il que je suis atteint psychologiquement par cet événement, et que je me mets en quête d’un remplaçant.
C’est du Leclerc, marque Tissaia, et c’est vendu par lot de deux à 9,95 €.
Le coton est soi-disant « bio », et le style me convient, car c’est « cool » et confortable, notamment pour dormir.
Je déteste les trucs moulants/collants pour les hommes-ersatz qui se rasent, voire s’épilent de partout.
Je fonce à l’hyper Leclerc n° 1, il y en a, mais seulement en tailles 2, 5 et 6 alors qu’il me faut du 4.
Je décide de suivre le dossier avec attention, et de passer par les caleçons à chaque visite dans le magasin.
Mais je vois le « stock » en rayon s’épuiser rapidement, jusqu’à atteindre seulement trois lots, et plus qu’en taille 6, genre pour catcheur.
Lire la suite »Pénurie et alarme dans le caleçon