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Cinéma

Esclavagisme/ségrégation 2020/2021, je me sens Django

Je vais très très peu au cinéma, et même de moins en moins que moins.
Je crois que mes dernières incursions dans une salle dite obscure, c’était pour Snowpiercer, Le Transperceneige, en 2013, et X-Men : Days of Future Past en 2014.
Une histoire mortifère de ségrégation dans un train qui tourne en boucle dans un monde congelé — ça se situe en 2031 — pour le premier, et des mutants pour le second.
Je n’aime pas les odeurs de popcorn, les rires débiles, les gens qui parlent à voix haute pour dire des conneries, les smartphones qui s’illuminent, parfois en sonnant, les pieds qui poussent les fauteuils de devant, les relents d’individus mal lavés.
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Love, Death and Robots : une série épatante !

Le week-end dernier, météo pourrie, alors je me suis fait une séance « ciné ».
Enfin, « ciné » car je fais salle noire et que je m’installe confortablement devant mon écran 4K avec le son qui va bien.
J’en avais entendu parler dans une « critique », alors je me suis décidé.
Des courts-métrages d’animation « pour adultes » (tous estampillés « 18+ ») mélangeant différents styles (du dessin animé à l’image de synthèse) et genres (science-fiction, fantastique, horreur, comédie).
Deux saisons : la première de dix-huit épisodes, et la seconde de huit épisodes.
Chacun dure entre sept et dix-huit minutes.
C’est sur Netflix, il faut être abonné, même pour un seul mois, pour au moins regarder ça.
Je « débarque » un peu, car la diffusion a débuté en 2019.
Et il n’y a pas de « cohérence » — en dehors du thème/titre —, vous pouvez regarder dans le désordre.
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Comment déprimer avec Netflix en plein confinement

J’ai longtemps tourné autour de cette télécommande, celle où il y a une touche dédiée à Netflix.
Je suis abonné, formule « 4K », tarif maximum.
Et finalement, en plein confinement, je me suis rabattu sur ce qui pouvait me sembler intéressant.
Et quelle tristesse ! Je plains les gens en déséquilibre psychologique.

La Plateforme (film)

« Il y a trois catégories de personnes, celles qui sont au-dessus, celles qui sont en dessous, et celles qui tombent. »
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Les X-Men nous abandonnent à Pompidou et Giscard

Les X-Men nous abandonnent à Pompidou et Giscard d'Estaing (Loi de 1973)J’ai la haine contre les X-Men.
Ah, ces putains de mutants !
Ils ne font pas leur boulot à fond.
Ils ne pensent qu’à leurs fesses.
À leurs petits problèmes d’Américains nantis.

Pourtant, ils font bigrement la gueule.
Dans le dernier opus de la franchise.
X-Men : Days of Future Past ça s’appelle.
En français X-Men : Jours d’un avenir passé.
Leur vie ne tient plus qu’à un fil.

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Plutôt que de lire un billet, allez voir Snowpiercer !

Plutôt que de lire un billet, allez voir Snowpiercer !Chers amis lecteurs, vous qui appréciez certains billets ici…

Si vous avez plus de douze ans, ce qui est fort probable…
Allez donc faire un tour au cinéma !

Il y a un film qui donne à réfléchir.
Tant il est d’actualité.
Et il peut même rendre optimiste !

SNOWPIERCER
LE TRANSPERCENEIGE

« 2031. Nouvelle ère glaciaire.
Le dernier refuge de l’humanité est un train. »

Bravo au réalisateur sud-coréen Bong Joon-ho !

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Batman et l’Assomption

Quelle idée, d’être allé voir le dernier opus de Batman, « The Dark Knight Rises » (TDKR), de Chritopher Nolan !

Quoique, un 15 août, jour de l’Assomption, synonyme de mort et de résurrection glorieuse pour les chrétiens…

Ceux qui ont vu ce film pourront éventuellement comprendre l’analogie, du moins s’ils ont réussi à tenir jusqu’à la fin.

Il y avait la bravitude, il y a maintenant le comble de la glauquitude (et même les deux dans le film) !

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