Je croyais cette époque révolue, mais non, ils se déchaînent !
Harcèlement téléphonique…
Spam/phishing par SMS/MMS…
Spam/phishing par mails…
Comme si cela ne suffisait pas…
Et en ouvrant ma boîte aux lettres, crise de nerfs !
Des « plis » luxueux, avec beaucoup de marketing.
Pour moi, ça a commencé en octobre 2024.
Par une « association de pompiers », et j’ai mis l’enveloppe directement à la poubelle.
Mais depuis, je les garde.
Je m’en amusais, pour… les autres !
Mais il y a une enflure qui a « vendu » mes coordonnées…
Je pense savoir de qui il s’agit, et cela relève de la trahison.
Surtout compte tenu du positionnement officiel de cet « organisme ».
En effet, curieusement, mon adresse est toujours libellée exactement pareil.
- SPA (Société protectrice des Animaux) : « Il n’y a plus de limites à la cruauté. Le monde d’après sera-t-il encore pire pour les animaux ? »
- APF France handicap : « Noémie rêve d’évasion que vous pouvez contribuez à lui offrir. »
La faute d’accord/conjugaison est d’origine, elle aussi « offerte » et non sollicitée, mais certainement stratégique à la relecture. - France Alzheimer : « GRANDE ENQUÊTE NATIONALE. Merci de répondre dans les 15 jours ! »
- Fondation pour la Recherche Médicale : « Contre les cancers, donnez de l’espoir aux patients comme Cindy, faites avancer la recherche ! »
115 grammes !
Parce que donner du pognon dans un pays de plus en plus corrompu ferait avancer les choses ???
Parce que tout cela ne relèverait pas, déjà, du « régalien » ?
En attendant, d’infâmes boîtes de marketing/de com’ s’engraissent.
La planète est polluée/dévastée pour du papier glacé et de la quadrichromie.
La Poste gagne du fric trop facilement.
La factrice se fait complice du « charity business ».
Et l’on me taxe pour le tri des déchets.
Je sais, dans l’histoire j’ai gagné trois stylos bien merdiques.
Mais, vu que tout est dématérialisé, ils vont aussi rejoindre la poubelle.
Ah oui, pour les stylos, j’ai aussi des « bloc-notes » et quelques cartes dans ces enveloppes…
Mais pour ça, j’ai bien une petite idée !
PS1 : Les quatre, pouvez-vous me dire qui vous a vendu mon adresse — je m’y suis toujours opposé — et pourquoi vous vous livrez à ce genre de trafic ? Comme la méthode de départ est malhonnête, excusez-moi, mais j’ai des doutes sur la suite.
PS2 : Si j’ai envie de « donner », je suis assez grand pour vous trouver. Mais là, c’est certain, vous me dégoûtez.
Visuel : « En tout, 425 grammes de déchets divers et non sollicités. »
© PF/Grinçant.com (2025)
Tout le pognon que ces associations passent dans les courriers et objets pub ! C’est terrible. Surtout quand on est pas à l’origine de ces envois… Cela ne donne pas vraiment envie de donner en constatant toute cette publicité. OK : cela fait travailler les services postaux et des sociétés privées, mais l’argent consacré à tout ce matériel « marketing » pourrait plutôt servir à l’essentiel. Evidemment, ces associations ont besoin de se faire connaître pour espérer des dons, mais je ne suis pas certain que ce soit la meilleure solution. Un vrai gâchis qui termine souvent à la poubelle. L’une des solutions pour se sortir de ce « traquenard », comme vous le savez, c’est d’effectuer une demande RGPD : efficace car sinon, la sanction financière peut tomber.
J’évalue le coût de chaque « pli » à au moins 5 euros (poids moyen : 106 grammes).
En plus, la communication est à gerber tant ils jouent sur l’empathie alors qu’il s’agit de prédation — j’ai oublié ce tag, je l’ajoute au billet — puisqu’ils prennent de l’argent qui pourrait être utile à des causes plus « discrètes » et largement plus utiles.
Quant à une demande RGPD (et là il en faudrait plusieurs), j’ai des doutes sur son efficacité, puisqu’ils alimentent leurs fichiers avec des sources qu’ils savent tirées par les cheveux. Et le mal est fait, je suis dans une boucle « Charity Business »…
C’est l’origine de la « fuite » qu’il faudrait sanctionner, et si mes suppositions sont bonnes, ça ne manquerait pas de piquant.
Et je ne me demande même pas où sont fabriqués leurs « stylos »…
Une fois j’ai fait un don à une association. Du coup j’ai droit maintenant à 4 ou 5 courriers par an minimum de leur part. Grossière erreur. Si je donne, c’est pour qu’ils fassent quelque chose qui corresponde à l’objet de l’association, pas pour polluer les boîtes aux lettres avec de la pub. Du coup, plus de don.
Ces plis me sont arrivés, curieusement, à la fin d’un abonnement à une revue éditée par un organisme… de « défense des consommateurs » !
Le pire, c’est que je (pres)sentais que cela risquait de m’arriver.
Pour moi aussi, et leur méthode est radicale, avec de telles pratiques, hors de question de leur donner ne serait-ce qu’une pièce jaune !